
Sur ton corps si beau,
Comme une étoffe vacillante
Miroiter ces fresques sur ta peau.
Tel un navire qui appareille
S'offrant au vent du matin,
Mon âme rêveuse s'émerveille
En quête de rivages lointains.
Ta posture offerte nonchalamment
Belle d'abandon,
Me fait frissonner dans l'attente
Déjà, souffrant mille tentations.
De ton corps qui se déhanche, dénudé
Comme une vague affolant l'eau,
S'empare l'envie de m'immerger
Et me laisser emporter par les flots
22 novembre 1978
" Moâ "

tout-simplement, Posté le dimanche 08 septembre 2013 05:12
Joli dessin....mais où est passée sa petite culotte ? lol