
Devenu récemment propriétaire d'un bâtis à rénover, il consacrait la majeur partie de son temps à divers travaux sur des murs dévorés par l'abandon, dans une rue camouflée par ces plantes grimpantes sur des façades lézardées, vieillissantes, écartées de toute réjouissance. De toute son énergie, il montait des murs, dégageait les gravas encombrants qui tapissait le sol, tapait, perçait, découpait, usinait, pour embellir humblement sa résidence principale . . .

