Antisocial est une chanson du groupe de hard rock français Trust. Elle est parue sur l'album Répression en 1980.
Il s'agit du titre le plus connu du groupe, qui est représentatif du ton engagé et révolté du groupe à cette époque, alors que la France était encore sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing.
Philippe Man½uvre a souligné une anecdote concernant le ch½ur final : au moment où ils allaient l'enregistrer, il était neuf heures du soir et tous les employés étaient partis, seuls étaient présents les présidents de Sony, qui acceptèrent d'être mis à contribution pour répéter le titre à tue-tête.
Elle a été traduite en anglais et reprise par le groupe Anthrax dans l'album State of Euphoria. Cette version en anglais a elle-même été reprise par le groupe finlandais Children of Bodom dans son album Skeletons in the Closet. Antisocial a aussi été reprise par Tagada Jones dans l'album 6.6.6
Une version remix avec le groupe NTM a été faite par Loo & Placido.

Interprete : BERNIE BONVOISIN
Langue : Francais
Genre : Punk
Année : 1978
Texte :
Tu bosses toute ta vie
pour payer ta pierre tombale,
Tu masques ton visage en
lisant ton journal,
Tu marches tel un robot
dans les couloirs du metro,
Les gens ne te touchent
pas, il faut faire le premier pas,
Tu voudrais dialoguer
sans renvoyer la balle,
Impossible d'avancer sans
ton gilet pare-balle.
Tu voudrais donner des
yeux a la justice
Imposssible de violer
cette femme pleine de vices.
Antisocial, tu pers ton
sang froid.
Repense a toutes ces
annees de service.
Antisocial, bientot les
annees de sevices,
Enfin le temps perdu qu'on
ne rattrape plus.
Ecraser les gens est
devenu ton passe-temps.
En les eclaboussant, tu
deviens genant.
Dans ton desespoir, il
reste un peu d'espoir
Celui de voir les gens
sans fard et moins batards.
Mais cesse de faire le
point, serre plutot les poings,
Bouge de ta retraite, ta
conduite est trop parfaite
Releve la gueule, je suis
la, t'es pas seul
Ceux qui t'enviaient,
aujourd'hui te jugeraient.
Tu bosses toute ta vie
pour payer ta pierre tombale,
Tu masques ton visage en
lisant ton journal,
Tu marches tel un robot
dans les couloirs du metro,
Les gens ne te touchent
pas, il faut faire le premier pas,
Tu voudrais dialoguer
sans renvoyer la balle,
Impossible d'avancer sans
ton gilet pare-balle.
Tu voudrais donner des
yeux a la justice
Imposssible de violer
cette femme pleine de vices.
Antisocial, antisocial,
antisocial, antisocial
Il s'agit du titre le plus connu du groupe, qui est représentatif du ton engagé et révolté du groupe à cette époque, alors que la France était encore sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing.
Philippe Man½uvre a souligné une anecdote concernant le ch½ur final : au moment où ils allaient l'enregistrer, il était neuf heures du soir et tous les employés étaient partis, seuls étaient présents les présidents de Sony, qui acceptèrent d'être mis à contribution pour répéter le titre à tue-tête.
Elle a été traduite en anglais et reprise par le groupe Anthrax dans l'album State of Euphoria. Cette version en anglais a elle-même été reprise par le groupe finlandais Children of Bodom dans son album Skeletons in the Closet. Antisocial a aussi été reprise par Tagada Jones dans l'album 6.6.6
Une version remix avec le groupe NTM a été faite par Loo & Placido.

Interprete : BERNIE BONVOISIN
Langue : Francais
Genre : Punk
Année : 1978
Texte :
Tu bosses toute ta vie
pour payer ta pierre tombale,
Tu masques ton visage en
lisant ton journal,
Tu marches tel un robot
dans les couloirs du metro,
Les gens ne te touchent
pas, il faut faire le premier pas,
Tu voudrais dialoguer
sans renvoyer la balle,
Impossible d'avancer sans
ton gilet pare-balle.
Tu voudrais donner des
yeux a la justice
Imposssible de violer
cette femme pleine de vices.
Antisocial, tu pers ton
sang froid.
Repense a toutes ces
annees de service.
Antisocial, bientot les
annees de sevices,
Enfin le temps perdu qu'on
ne rattrape plus.
Ecraser les gens est
devenu ton passe-temps.
En les eclaboussant, tu
deviens genant.
Dans ton desespoir, il
reste un peu d'espoir
Celui de voir les gens
sans fard et moins batards.
Mais cesse de faire le
point, serre plutot les poings,
Bouge de ta retraite, ta
conduite est trop parfaite
Releve la gueule, je suis
la, t'es pas seul
Ceux qui t'enviaient,
aujourd'hui te jugeraient.
Tu bosses toute ta vie
pour payer ta pierre tombale,
Tu masques ton visage en
lisant ton journal,
Tu marches tel un robot
dans les couloirs du metro,
Les gens ne te touchent
pas, il faut faire le premier pas,
Tu voudrais dialoguer
sans renvoyer la balle,
Impossible d'avancer sans
ton gilet pare-balle.
Tu voudrais donner des
yeux a la justice
Imposssible de violer
cette femme pleine de vices.
Antisocial, antisocial,
antisocial, antisocial