
Certaines femmes sont forcées, par le trafic d'êtres humains, à se prostituer. Dans le cadre spécifique de la prostitution forcée, des réseaux criminels peuvent utiliser des techniques de contrainte comme la confiscation de papiers d'identité, le chantage familial, la surveillance par des souteneurs. Il arrive que les prostituées soient l'objet de trafic et soient vendues. Elles peuvent également être droguées de force afin d'être plus faciles à surveiller.
Les destinations les plus communes pour les victimes de la traite des êtres humains sont la Thaïlande, le Japon, Israël, la Belgique, les Pays-Bas, l'Allemagne, l'Italie, la Turquie et les États-Unis, selon un rapport de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime. Beaucoup de femmes, dans le cadre de cette activité, émigrent vers des pays parfois très éloignés. Les principales sources de traite de personnes comprennent la Thaïlande, la Chine, le Nigéria, l'Albanie, la Bulgarie, la Biélorussie, la Moldavie et l'Ukraine.
Actuellement, le trafic d'êtres humains en Asie par le crime organisé, décrit comme le plus grand esclavage sexuel de l'histoire, est largement composé de femmes et d'enfants.
Les destinations les plus communes pour les victimes de la traite des êtres humains sont la Thaïlande, le Japon, Israël, la Belgique, les Pays-Bas, l'Allemagne, l'Italie, la Turquie et les États-Unis, selon un rapport de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime. Beaucoup de femmes, dans le cadre de cette activité, émigrent vers des pays parfois très éloignés. Les principales sources de traite de personnes comprennent la Thaïlande, la Chine, le Nigéria, l'Albanie, la Bulgarie, la Biélorussie, la Moldavie et l'Ukraine.
Actuellement, le trafic d'êtres humains en Asie par le crime organisé, décrit comme le plus grand esclavage sexuel de l'histoire, est largement composé de femmes et d'enfants.