L'homme est le mâle de l'Homo sapiens.
Le terme garçon désigne l'homme à ses stades infantile et pubère.
Sur un caryotype, la masculinité se traduit par la présence d'un seul chromosome X (hérité de la mère) et par la présence du chromosome Y (hérité du père).
Chaque individu d'une espèce voit sa constitution basée sur un tronc commun, auquel s'ajoute sa spécificité sexuelle. Ce tronc commun est, pour les deux sexes, un nombre identique d'organes dont la fonction est commune : peau, c½ur, intestins, foie, cerveau, nombre d'os, de muscles, présence des mêmes hormones mais en quantité différente, etc., le tout en conformité avec son espèce, son genre.
Globalement, l'anatomie masculine se distingue de celle des femmes par une taille, une masse et un indice de masse corporelle supérieurs. Les hommes ont en général une puissance musculaire supérieure à celle des femmes. Leur système pileux est en général plus développé : leur caractère sexuel secondaire le plus visible est d'ailleurs la barbe.
Les hommes ont en général une espérance de vie plus courte que celle des femmes.
Le taux de masculinité est la proportion d'hommes dans la population totale des deux sexes. L'expression taux de masculinité est issue de la démographie.
En se limitant aux nouveau-nés, on observe un taux de surmasculinité à la naissance compris entre 1,03 et 1,07. En France, le taux de surmasculinité à la naissance est de 1,05.
L'anglicisme Sex ratio (SR), est défini comme le rapport du nombre d'hommes au nombre de femmes, pour une tranche d'âge donnée. Le taux de surmasculinité à la naissance est donc le Sex ratio à l'âge 0, ou
Pour des raisons biologiques et sociologiques, il est déjà bien différent pour les enfants de moins de cinq ans (le ). À partir de trente ans (entre 35 à 49 ans en France, contre 25 en 1950), la prépondérance s'inverse et le nombre de femmes l'emporte généralement sur le nombre d'hommes (huit centenaires sur dix sont des femmes), malgré de notables disparités régionales.

Fresque représentant un homme nu (La création d'Adam de Michel-Ange)
Les approches de la psychologie masculine, du fonctionnement psychique de l'homme sont multiples et il existe, pour ainsi dire, autant d'approches que de psychologies.
Par exemple, parmi les disciplines ayant décrit la construction de la masculinité, une des approches est la psychologie analytique. Selon cette théorie, l'intégration des caractères masculins se fait par l'acceptation de sa féminité par l'homme. Tout comme la femme qui doit accepter son masculin. Ce processus se fait avec difficulté pour les deux genres. Ainsi pour le célèbre psychanalyste Carl Gustav Jung, l'homme a sa part de féminité, qui se nomme l'Anima. Ces théories sont développées sur l'article psychologie masculine.
itounany, Posté le mardi 18 mars 2014 14:31
il a une tout petite quéquette