Nom originaire du Béarn ou de la Vendée, venant du catalan, signifie le trou, le creux, la grotte... Hautement stratégique, véritable jeu d'échec de la bille, la clotte, qui tient à la fois du golf et du billard, se pratique sur un terrain quelconque, plus ou moins accidenté, entre un nombre variable de joueurs, individuellement ou par équipes. La clotte proprement dite, d'où le jeu tire son nom, est un creux dans le sol que chaque joueur tentera d'atteindre pour gagner un point, et un tour supplémentaire à jouer.
La particularité de la clotte est qu'un joueur dont la bille frappe celle d'un autre peut compter autant de points que le nombre de pieds (au sens propre) qui sépare sa bille de celle de son adversaire. Ce jeu exige donc une force et une technique particulières lors du lancer de la bille, lequel doit se faire uniquement avec le pouce, sans aucun mouvement de la main.
Si la bille d'un joueur entre dans « la clotte », celui-ci gagne un point et un tour supplémentaire à jouer. Le score atteint par un joueur lui donne également certains avantages, c'est-à-dire qu'il peut s'avancer avant de tirer d'une distance d'une main (à 12 points), de deux mains (à 42 points), voire de trois mains (à 72 points). Le gagnant est le premier qui atteint 100 points.
Ce jeu était pratiqué par les élèves de l'École des Roches à Maslacq et à Clères1, durant les années 1940-1950.

Un joueur de clotte
La particularité de la clotte est qu'un joueur dont la bille frappe celle d'un autre peut compter autant de points que le nombre de pieds (au sens propre) qui sépare sa bille de celle de son adversaire. Ce jeu exige donc une force et une technique particulières lors du lancer de la bille, lequel doit se faire uniquement avec le pouce, sans aucun mouvement de la main.
Si la bille d'un joueur entre dans « la clotte », celui-ci gagne un point et un tour supplémentaire à jouer. Le score atteint par un joueur lui donne également certains avantages, c'est-à-dire qu'il peut s'avancer avant de tirer d'une distance d'une main (à 12 points), de deux mains (à 42 points), voire de trois mains (à 72 points). Le gagnant est le premier qui atteint 100 points.
Ce jeu était pratiqué par les élèves de l'École des Roches à Maslacq et à Clères1, durant les années 1940-1950.

Un joueur de clotte