
L'érotisme ici se joue autour de peu d'artifices : un bas, une culotte, des talons et un éclairage spécifique au Crazy... La cambrure aussi, est centrale... "On n'y voit pas le haut du corps, ce numéro très graphique s'apparente à un trou de serrure" décode le photographe. Et toutes les autorisations de voyeurisme qu'il renferme. Ambiance feutrée, lenteur de l'effeuillage autour d'une culotte...
Photo : ©Antoine Poupel