
Cette photo met l'accent sur un érotisme plus direct, une vision animale. "On peut y déceler l'aspect sauvage de la danseuse. Son regard félin, ses cheveux détachés (sans perruque), ses pieds nus (sans talon)..." détaille Antoine Poupel. Et la note inaccessible, derrière les barreaux de sa cage. Elle s'oppose à une approche plus intellectualisée, très élaborée du désir, souvent mis en scène au Crazy.
Photo : ©Antoine Poupel