Une robe est un vêtement qui couvre le corps d'une seule pièce allant des épaules aux jambes. Elle s'enfile par la tête grâce à une ouverture dans le dos ou sur le devant.

Si le terme désigne de nos jours, en Occident, un vêtement presque exclusivement féminin, de nombreuses cultures la considèrent comme un vêtement traditionnel masculin (pays islamiques, Extrême-Orient, certains peuples d'Afrique et d'Amérique latine, en Chine jusqu'au début du XXe siècle).

Même en Europe, la robe a longtemps été portée par les deux sexes avant la naissance du concept de féminité lors de la Renaissance.
Dès lors, la robe stigmatisera le rôle auquel la femme doit se cantonner en entravant ses mouvements, soit par des jupons démesurés (crinoline, etc), soit par des carcans de tissus (XIXe siècle)1. Elle prend plusieurs formes successives :
fourreau sous l'Empire et la Restauration ;
cloche jusqu'en 1850 ;
à crinoline jusqu'en 1870 ;
à tournure jusqu'en 1910.

Et ce n'est qu'après la Première Guerre mondiale que la coupe va se simplifier pour offrir une plus grande liberté de mouvement ou au contraire souligner les formes.

C'est vers 1920 que les robes commencent à laisser entrevoir les chevilles, provoquant de nombreux scandales. C'est également à cette époque qu'apparaît la petite robe noire, vêtement court et léger aux lignes simples et de couleur sombre.

Les matières et les coupes sont variables ; elle peut être plus ou moins longue sur les jambes, comporter ou non des manches. La coupe comporte une tunique et une jupe cousus pour ne former qu'une seule pièce.


Si le terme désigne de nos jours, en Occident, un vêtement presque exclusivement féminin, de nombreuses cultures la considèrent comme un vêtement traditionnel masculin (pays islamiques, Extrême-Orient, certains peuples d'Afrique et d'Amérique latine, en Chine jusqu'au début du XXe siècle).

Même en Europe, la robe a longtemps été portée par les deux sexes avant la naissance du concept de féminité lors de la Renaissance.

Dès lors, la robe stigmatisera le rôle auquel la femme doit se cantonner en entravant ses mouvements, soit par des jupons démesurés (crinoline, etc), soit par des carcans de tissus (XIXe siècle)1. Elle prend plusieurs formes successives :
fourreau sous l'Empire et la Restauration ;
cloche jusqu'en 1850 ;
à crinoline jusqu'en 1870 ;
à tournure jusqu'en 1910.

Et ce n'est qu'après la Première Guerre mondiale que la coupe va se simplifier pour offrir une plus grande liberté de mouvement ou au contraire souligner les formes.

C'est vers 1920 que les robes commencent à laisser entrevoir les chevilles, provoquant de nombreux scandales. C'est également à cette époque qu'apparaît la petite robe noire, vêtement court et léger aux lignes simples et de couleur sombre.

Les matières et les coupes sont variables ; elle peut être plus ou moins longue sur les jambes, comporter ou non des manches. La coupe comporte une tunique et une jupe cousus pour ne former qu'une seule pièce.

de-battre-mon-coeur, Posté le vendredi 10 août 2012 08:45
j'adore porter la robe , trop à l'aise !