
Eddy Mitchell s'oriente de plus en plus vers le style crooner, livrant ainsi quelques une de ses plus grandes chansons : Couleur menthe à l'eau (1980), Pauvre baby doll (1981), Le cimetière des éléphants (1982), La Peau d'un autre (1987). S'il ne délaisse pas totalement le Rock 'n' roll, il y revient plus épisodiquement et le succès est également là : en témoignent les ventes de tubes que seront Nashville ou Belleville (1984), ou encore plus sûrement Lèche-bottes Blues (1989).
Durant les années 1980 et depuis lors, Eddy Mitchell se produit régulièrement sur scène à Paris mais aussi en province, à contrario des seventies durant lesquelles les tournées du chanteur se firent plus rares. Il compte parmi les personnalités les plus importantes du paysage musical français, drainant un public fidèle.
Durant les années 1980 et depuis lors, Eddy Mitchell se produit régulièrement sur scène à Paris mais aussi en province, à contrario des seventies durant lesquelles les tournées du chanteur se firent plus rares. Il compte parmi les personnalités les plus importantes du paysage musical français, drainant un public fidèle.