

Michel THEATO, 2ème à partir de la gauche
Pour de nombreux auteurs anglo-saxons, la victoire de Théato reste suspecte. Ils mettent notamment en avant les possibilités de prendre des raccourcis. Raymond Pointu réfute totalement cette version dans son ouvrage Les Marathons olympiques (Athènes 1896 - Athènes 2004), en raison du parcours et de la présence continuelle de témoins le long du parcours. Le seul élément qui peut prêter à controverses est la présence de « lièvres », qui effectuèrent notamment les quinze derniers kilomètres aux côtés de Théato, mais aussi des autres concurrents.
