La prescription médicale est le seul lien existant entre le médecin et l'infirmier. Il est chargé de la mise en application des prescriptions médicales, et de la surveillance des effets secondaires ou complications qui pourraient en découler. Il n'est cependant pas qu'un simple exécutant, il doit en permanence faire le lien entre ses connaissances et les ordonnances faites par les médecins. En effet, il lui serait reproché d'avoir appliqué une prescription absurde. Il doit donc savoir interpeller le praticien lorsqu'il identifie une erreur ou en tout cas une prescription atypique, afin d'en obtenir confirmation.

Cela constitue une des difficultés majeures de la profession. L'infirmier doit en effet être en mesure de comprendre toutes les prescriptions, afin de savoir identifier non seulement les erreurs mais aussi la spécificité de chacune d'entre elles, pour en déterminer les risques et donc les surveillances ad hoc. Pour cela l'infirmier peut faire appel aux connaissances acquises lors de sa formation initiale, mais aussi par le biais d'une formation professionnelle continue.
Les infirmiers, pour ce qui est d'une pratique rigoureuse de la profession, doivent se conformer à des règles de conduite admises et pratiquées.
L'éthique de la profession touche, pour partie, au secret professionnel. L'obligation du secret qui lui est imposée est consacrée par l'article 378 du code pénal. Les dispositions de cet article sont rendues applicables aux infirmiers par l'article 481 du code de la santé publique.
Cette notion peut prendre toute son ampleur dans les situations où l'infirmier est confronté à des cas de violence ou de maltraitance.
De manière plus générale, les infirmiers partagent une éthique, ainsi qu'une conception commune de l'être humain, des soins, de la maladie... C'est une profession tout particulièrement axée sur la communication.

Cela constitue une des difficultés majeures de la profession. L'infirmier doit en effet être en mesure de comprendre toutes les prescriptions, afin de savoir identifier non seulement les erreurs mais aussi la spécificité de chacune d'entre elles, pour en déterminer les risques et donc les surveillances ad hoc. Pour cela l'infirmier peut faire appel aux connaissances acquises lors de sa formation initiale, mais aussi par le biais d'une formation professionnelle continue.
Les infirmiers, pour ce qui est d'une pratique rigoureuse de la profession, doivent se conformer à des règles de conduite admises et pratiquées.
L'éthique de la profession touche, pour partie, au secret professionnel. L'obligation du secret qui lui est imposée est consacrée par l'article 378 du code pénal. Les dispositions de cet article sont rendues applicables aux infirmiers par l'article 481 du code de la santé publique.
Cette notion peut prendre toute son ampleur dans les situations où l'infirmier est confronté à des cas de violence ou de maltraitance.
De manière plus générale, les infirmiers partagent une éthique, ainsi qu'une conception commune de l'être humain, des soins, de la maladie... C'est une profession tout particulièrement axée sur la communication.
delta671, Posté le samedi 26 janvier 2013 11:09
...merci de ce rappel,
...bien sur, le code deontologique est bien etabli.
....sa prestance, sa disponibilité, sa presence,son sourire chaleureux, son sacrifice, son accompagnement..autant de qualités , autant de bémols pour une therapie reussie, son aura soulage et allège toutes souffrances psychiques ou physiques; dans tout protocole d'activité de santé, son role est predominant..