Bien avant la découverte du textile, les hommes et les femmes utilisaient des peaux de bêtes pour se vêtir. Les hommes préhistoriques découvrirent très tôt comment conserver les fourrures. Ils avaient déjà à leur disposition le tannage végétal qui utilise des écorces d'arbres riches en tanins (chêne, bouleau, etc...) et le tannage aux graisses animales qui utilise la cervelle ou le suif.

Marché aux fourrures, Irbit, vers 1900
Au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime, une communauté d'artisans spécialisés s'occupe du travail des fourrures : les pelletiers (terme logiquement devenu un nom de famille courant sous diverses déclinaisons).
La traite des fourrures joua un rôle économique important par le passé. Les trappeurs explorèrent et ouvrirent aux colons de grandes parties de l'Amérique du Nord, et la mode pour les chapeaux de castor mena à une compétition intense pour la matière première. Pendant environ 200 ans, la fourrure a été la ressource la plus importante de la Nouvelle-France et ensuite de la province de Québec. Mais, au tournant des années 1800 le commerce des fourrures entra dans un certain déclin.

Marché aux fourrures, Irbit, vers 1900
Au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime, une communauté d'artisans spécialisés s'occupe du travail des fourrures : les pelletiers (terme logiquement devenu un nom de famille courant sous diverses déclinaisons).
La traite des fourrures joua un rôle économique important par le passé. Les trappeurs explorèrent et ouvrirent aux colons de grandes parties de l'Amérique du Nord, et la mode pour les chapeaux de castor mena à une compétition intense pour la matière première. Pendant environ 200 ans, la fourrure a été la ressource la plus importante de la Nouvelle-France et ensuite de la province de Québec. Mais, au tournant des années 1800 le commerce des fourrures entra dans un certain déclin.