Les chaînes de télévision sont accusées de céder à la facilité dans la diffusion des programmes au détriment de la qualité.

La neutralité des programmes de télévision est considérée par certains comme discutable, ils la voient comme participant autant à la désinformation qu'à l'information des spectateurs.
Les séries télévisuelles sont accusées par certains d'être des fictions qui s'inspirent de la réalité, parfois uniquement de la réalité d'un certain milieu où les gens ne se fréquentent qu'entre eux; elles peuvent déformer le sens des réalités chez les téléspectateurs, ou provoquer des frustrations de par ce décalage illusoire.
Les chaînes de télévision ont été accusées de propager la vulgarité et le voyeurisme, notamment lors de l'apparition des émissions de télé-réalité.
La télévision est accusée par certaines associations d'être une machine fonctionnant au service des grandes entreprises diffusant des séquences de publicité (les « annonceurs »). La déclaration de Patrick Le Lay, président de la première chaîne française TF1 sur son rôle de vente de « temps de cerveaux disponible » aux annonceurs a été interprétée par ces associations comme un aveu de la réalité de la télévision. Le Lay avait déclaré en juillet 2004 : « dans une perspective « business », soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c'est d'aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit. [...] Or pour qu'un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c'est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau humain disponible. »
La logique mercantile de la télévision expliquerait, selon ses critiques, la réduction au cours des dernières années de la durée de chaque plan. Christophe Girard, adjoint au maire de Paris et chargé de la culture, écrit, dans la page Débat du journal Le Monde du 24 août 2008, que chaque plan « excède désormais rarement dix secondes. », ce qui contribue à « placer l'esprit du téléspectateur sous tutelle, dans un état de fascination télévisuelle. » Cela nuit par ailleurs, selon lui, au fond des émissions : « À la télévision, couper l'image est un moyen très efficace de couper la parole, voire de détruire la pensée ou de noyer le poisson... Ce saucissonage des plans rend difficile la production d'une pensée qui ait un peu de continuité. Chaque intervention ne dure pas plus d'une ou deux minutes et se voit elle-même découpée en tranches de cinq secondes ».
Certaines personnes refusent de critiquer la télévision dans son intégralité et voient en ce média un objet-clé de la culture populaire.

La neutralité des programmes de télévision est considérée par certains comme discutable, ils la voient comme participant autant à la désinformation qu'à l'information des spectateurs.
Les séries télévisuelles sont accusées par certains d'être des fictions qui s'inspirent de la réalité, parfois uniquement de la réalité d'un certain milieu où les gens ne se fréquentent qu'entre eux; elles peuvent déformer le sens des réalités chez les téléspectateurs, ou provoquer des frustrations de par ce décalage illusoire.
Les chaînes de télévision ont été accusées de propager la vulgarité et le voyeurisme, notamment lors de l'apparition des émissions de télé-réalité.
La télévision est accusée par certaines associations d'être une machine fonctionnant au service des grandes entreprises diffusant des séquences de publicité (les « annonceurs »). La déclaration de Patrick Le Lay, président de la première chaîne française TF1 sur son rôle de vente de « temps de cerveaux disponible » aux annonceurs a été interprétée par ces associations comme un aveu de la réalité de la télévision. Le Lay avait déclaré en juillet 2004 : « dans une perspective « business », soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c'est d'aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit. [...] Or pour qu'un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c'est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau humain disponible. »
La logique mercantile de la télévision expliquerait, selon ses critiques, la réduction au cours des dernières années de la durée de chaque plan. Christophe Girard, adjoint au maire de Paris et chargé de la culture, écrit, dans la page Débat du journal Le Monde du 24 août 2008, que chaque plan « excède désormais rarement dix secondes. », ce qui contribue à « placer l'esprit du téléspectateur sous tutelle, dans un état de fascination télévisuelle. » Cela nuit par ailleurs, selon lui, au fond des émissions : « À la télévision, couper l'image est un moyen très efficace de couper la parole, voire de détruire la pensée ou de noyer le poisson... Ce saucissonage des plans rend difficile la production d'une pensée qui ait un peu de continuité. Chaque intervention ne dure pas plus d'une ou deux minutes et se voit elle-même découpée en tranches de cinq secondes ».
Certaines personnes refusent de critiquer la télévision dans son intégralité et voient en ce média un objet-clé de la culture populaire.
Survivance, Posté le samedi 26 septembre 2015 15:40
une bonne télé vaut bcp mieux ! ! ! amen !