En 2001, PETA lui décerne un prix, le Peta humanitarian Award, afin de la récompenser pour son combat mené pour les animaux, et notamment contre la chasse aux phoques.
Brigitte Bardot lors d'un passage à Nice en 2002
En 2002, à l'occasion de la coupe du monde de football, Brigitte Bardot appelle à un boycott des produits sud-coréens afin de protester contre la consommation de viande de chien et de chat en Corée du Sud. Suite à cet appel, elle recevra, dira-t-elle, plusieurs milliers de lettres de menaces de mort.

Puis en 2003, elle créé de nouveau le scandale mais bien différemment cette fois-ci, en publiant Un cri dans le silence, où elle exprime l'ensemble de ses idées personnelles sur la vie et dévoile certains points de vue ouvertement en faveur de l'extrême droite. Brigitte Bardot y déplore notamment la guerre en Irak et condamne la liberté française qui s'amenuise. Elle s'en prend également à la « débauche sexuelle de la société », méprise certains enseignants qu'elle qualifie de « SDF de l'enseignement » et qualifie aussi certains chômeurs de « profiteurs paresseux planqués ». Mais aussi, elle condamne les Gay Pride, ainsi que la fête musulmane de l'Aïd el-Kebir et leur sacrifice de moutons, tout comme les sans-papiers. Elle est condamnée en juin 2004 pour propos racistes.
Brigitte Bardot lors d'un passage à Nice en 2002
En 2002, à l'occasion de la coupe du monde de football, Brigitte Bardot appelle à un boycott des produits sud-coréens afin de protester contre la consommation de viande de chien et de chat en Corée du Sud. Suite à cet appel, elle recevra, dira-t-elle, plusieurs milliers de lettres de menaces de mort.

Puis en 2003, elle créé de nouveau le scandale mais bien différemment cette fois-ci, en publiant Un cri dans le silence, où elle exprime l'ensemble de ses idées personnelles sur la vie et dévoile certains points de vue ouvertement en faveur de l'extrême droite. Brigitte Bardot y déplore notamment la guerre en Irak et condamne la liberté française qui s'amenuise. Elle s'en prend également à la « débauche sexuelle de la société », méprise certains enseignants qu'elle qualifie de « SDF de l'enseignement » et qualifie aussi certains chômeurs de « profiteurs paresseux planqués ». Mais aussi, elle condamne les Gay Pride, ainsi que la fête musulmane de l'Aïd el-Kebir et leur sacrifice de moutons, tout comme les sans-papiers. Elle est condamnée en juin 2004 pour propos racistes.
floflo275, Posté le mardi 04 juin 2013 06:58
La jaloiusie c'est pire que tout !