La protection offerte par la peau face aux radiations ultraviolettes n'est pas parfaite. Dans un premier temps le bronzage est un processus lent, la peau reste donc très vulnérable lors des premières heures d'expositions. En cas de surexposition solaire, notamment pendant l'enfance et pour les peaux les plus claires il peut y avoir risque de cancer de la peau.
Les principaux facteurs de risque favorisant les cancers de la peau sont :
l'hérédité ;
l'abus d'exposition au soleil avant l'âge adulte ;
la faible pigmentation, chez les roux et les blonds à teint laiteux ;
les composés de goudron, créosote, d'arsenic et/ou radium lorsque côtoyés régulièrement ;
les régimes alimentaires riches en gras.

Cependant un bronzage minimum est nécessaire pour la fixation des vitamines, la consolidation de la masse osseuse, le sommeil.
Les principaux facteurs de risque favorisant les cancers de la peau sont :
l'hérédité ;
l'abus d'exposition au soleil avant l'âge adulte ;
la faible pigmentation, chez les roux et les blonds à teint laiteux ;
les composés de goudron, créosote, d'arsenic et/ou radium lorsque côtoyés régulièrement ;
les régimes alimentaires riches en gras.

Cependant un bronzage minimum est nécessaire pour la fixation des vitamines, la consolidation de la masse osseuse, le sommeil.

Une méta-analyse indique que les bénéfices des courtes expositions solaires des bras et des jambes ou des mains, des bras et du visage (15–20 minutes plusieurs fois par semaine sans protection) seraient plus grands que les risques. La réserve de vitamine D constituée par l'exposition régulière au soleil permettrait de prévenir des milliers de décès attribués au cancer aux États-Unis. En effet, aux États-Unis, de 50 à 60 000 personnes meurent chaque année de cancer dû à une carence en vitamine D, ce qui est davantage que les 8 800 morts dues aux mélanomes et aux carcinome spinocellulaire.