En 1999, après avoir été spoliée de plusieurs millions de francs par l'associé avec lequel elle avait monté une maison d'édition, l'actrice confesse à Nice-Matin : « Je suis ruinée. Je vais devoir vendre une partie de mes tableaux, mes meubles, mes bijoux et les vêtements que portait Angélique dans ses films ».


