L'aérosol a été inventé par l'allemand Schmauss en 1920. En 1929, un inventeur norvégien, Erik Rotheim fit breveter l'utilisation d'un récipient sous pression muni d'une valve pour la diffusion d'une grande variété de produits.

Bombe aérosol
Ce principe est mis en application en 1941 avec le premier insecticide en aérosol.
Jusqu'aux années 1980, les aérosols libéraient des CFC (chlorofluorocarbures). Les CFC servaient de gaz propulseurs depuis la Seconde Guerre Mondiale en raison de leurs propriétés intéressantes : ils sont ininflammables, inodores et stables. Cependant les CFC détruisant la couche d'ozone, ils sont maintenant interdits (ou en voie d'interdiction) dans les 196 pays signataires du Protocole de Montréal (à l'origine 24 pays en 1987).
Le fréon était utilisé pour les mousses à raser, les désodorisants, les réfrigérateurs, entre autres.
Différents gaz propulseurs sont utilisés, qui n'ont pas d'effet sur la couche d'ozone. Le propane, le butane et l'isobutane sont des hydrocarbures inflammables et explosifs. L'azote (principal composant de l'air) est un gaz propulseur inerte, donc moins dangereux. Le dioxyde de carbone est parfois utilisé.
Le protoxyde d'azote a les mêmes caractéristiques thermodynamiques que le gaz carbonique. Il est plus cher, mais est beaucoup moins corrosif pour le boîtier lorsque le produit actif contient de l'eau.
Le diméthyl éther est un propulseur liquéfié inflammable, mais soluble dans l'eau, ce qui permet d'obtenir des aérosols au danger d'inflammabilité réduit. Il a un très bon pouvoir solvant, ce qui permet son utilisation dans les aérosols de peinture. (R-134a) est un hydrogénofluoré ininflammable. Sa molécule ne contient pas de chlore. Il n'a pas d'action sur la couche d'ozone, mais a un fort effet de serre. On parle de l'interdire ou d'en limiter l'usage, bien qu'il soit le dernier propulseur ininflammable encore autorisé. Il est assez cher, ce qui limite son utilisation.
Il ne faut jamais pulvériser un aérosol sur une flamme ou un point chaud (plaque chauffante, moteur thermique...) à cause de l'inflammation immédiate et du risque d'explosion.

Bombe aérosol
Ce principe est mis en application en 1941 avec le premier insecticide en aérosol.
Jusqu'aux années 1980, les aérosols libéraient des CFC (chlorofluorocarbures). Les CFC servaient de gaz propulseurs depuis la Seconde Guerre Mondiale en raison de leurs propriétés intéressantes : ils sont ininflammables, inodores et stables. Cependant les CFC détruisant la couche d'ozone, ils sont maintenant interdits (ou en voie d'interdiction) dans les 196 pays signataires du Protocole de Montréal (à l'origine 24 pays en 1987).
Le fréon était utilisé pour les mousses à raser, les désodorisants, les réfrigérateurs, entre autres.
Différents gaz propulseurs sont utilisés, qui n'ont pas d'effet sur la couche d'ozone. Le propane, le butane et l'isobutane sont des hydrocarbures inflammables et explosifs. L'azote (principal composant de l'air) est un gaz propulseur inerte, donc moins dangereux. Le dioxyde de carbone est parfois utilisé.
Le protoxyde d'azote a les mêmes caractéristiques thermodynamiques que le gaz carbonique. Il est plus cher, mais est beaucoup moins corrosif pour le boîtier lorsque le produit actif contient de l'eau.
Le diméthyl éther est un propulseur liquéfié inflammable, mais soluble dans l'eau, ce qui permet d'obtenir des aérosols au danger d'inflammabilité réduit. Il a un très bon pouvoir solvant, ce qui permet son utilisation dans les aérosols de peinture. (R-134a) est un hydrogénofluoré ininflammable. Sa molécule ne contient pas de chlore. Il n'a pas d'action sur la couche d'ozone, mais a un fort effet de serre. On parle de l'interdire ou d'en limiter l'usage, bien qu'il soit le dernier propulseur ininflammable encore autorisé. Il est assez cher, ce qui limite son utilisation.
Il ne faut jamais pulvériser un aérosol sur une flamme ou un point chaud (plaque chauffante, moteur thermique...) à cause de l'inflammation immédiate et du risque d'explosion.