En 1973, il retrouve le succès pour sa dernière collaboration avec André Hunebelle dans Joseph Balsamo. En tout, il tourne huit fois sous la direction d'André Hunebelle. Il apparait dans Italiques pour parler de Cocteau - Moretti, l'âge du verseau de Louis Nucera

Jean Marais se retire dans les Alpes-Maritimes, d'abord à Cabris où il passe une quinzaine d'années (un boulevard de la commune près de la maison qu'il habita porte son nom) puis à Vallauris où il pratique la poterie, la sculpture et le théâtre. Il y ouvre un magasin et même une galerie d'art grâce à un couple d'amis potiers.
Vers 1980, il monte le spectacle Cocteau Marais et devient le gardien de l'œuvre de Cocteau, sans en avoir légalement les droits.

En 1988, il enregistre la chanson On oublie rien, de François Valéry et Gilbert Sinoué, chez Franceval.
Au cours des années 1980, il joue au théâtre (Don Diègue dans Le Cid, Le Roi Lear, Les Monstres sacrés) et quelques rôles au cinéma (dans Parking de Jacques Demy et dans Les Misérables du XXe siècle de Claude Lelouch). Il joue son dernier rôle au cinéma dans Beauté volée de Bernardo Bertolucci en 1995, et au théâtre en 1997, celui du berger Balthazar dans L'Arlésienne, aux Folies Bergère.
Dans une interview donnée à Bernard Pivot, Jean Marais précise n'avoir jamais fait de figuration dans Drôle de drame et avoir été remplacé à la dernière minute.
Il écrit quelques livres dont ses Mémoires, L'Inconcevable Jean Cocteau, des contes et des poèmes.
Comme sculpteur, il réalise, entre autres, une évocation du Passe-murailles qui est installée à Montmartre devant la maison où habitait Marcel Aymé, auteur de la nouvelle éponyme.
Jean Marais meurt à Cannes le 8 novembre 1998. Il est enterré dans le petit cimetière de Vallauris, la ville des potiers, où il a passé les dernières années de sa vie.

Jean Marais se retire dans les Alpes-Maritimes, d'abord à Cabris où il passe une quinzaine d'années (un boulevard de la commune près de la maison qu'il habita porte son nom) puis à Vallauris où il pratique la poterie, la sculpture et le théâtre. Il y ouvre un magasin et même une galerie d'art grâce à un couple d'amis potiers.
Vers 1980, il monte le spectacle Cocteau Marais et devient le gardien de l'œuvre de Cocteau, sans en avoir légalement les droits.

En 1988, il enregistre la chanson On oublie rien, de François Valéry et Gilbert Sinoué, chez Franceval.
Au cours des années 1980, il joue au théâtre (Don Diègue dans Le Cid, Le Roi Lear, Les Monstres sacrés) et quelques rôles au cinéma (dans Parking de Jacques Demy et dans Les Misérables du XXe siècle de Claude Lelouch). Il joue son dernier rôle au cinéma dans Beauté volée de Bernardo Bertolucci en 1995, et au théâtre en 1997, celui du berger Balthazar dans L'Arlésienne, aux Folies Bergère.
Dans une interview donnée à Bernard Pivot, Jean Marais précise n'avoir jamais fait de figuration dans Drôle de drame et avoir été remplacé à la dernière minute.
Il écrit quelques livres dont ses Mémoires, L'Inconcevable Jean Cocteau, des contes et des poèmes.
Comme sculpteur, il réalise, entre autres, une évocation du Passe-murailles qui est installée à Montmartre devant la maison où habitait Marcel Aymé, auteur de la nouvelle éponyme.
Jean Marais meurt à Cannes le 8 novembre 1998. Il est enterré dans le petit cimetière de Vallauris, la ville des potiers, où il a passé les dernières années de sa vie.
Survivance, Posté le dimanche 27 avril 2014 11:05
il tournait très bien ! ne l ' oublions pas ! amen !