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dessinsagogo55

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10 articles taggés Personnalité née en Meuse

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Didier Gustin est né en Meuse

Didier Gustin (de son vrai nom Didier Gueusquin), né le 26 avril 1966 à Bar-le-Duc (Meuse), est un imitateur et acteur français

Didier Gustin est né en Meuse

Il naît à Bar-le-Duc dans la Meuse et passe une partie de sa petite enfance à Combles en Barrois. Il part ensuite pour le petit village de Coussey dans les Vosges Il a une s½ur (Cathy) et deux frères (Jean-Claude et Patrick). Après un BEP de comptabilité, en
1987 : il monte à Paris pour se lancer dans la profession d'imitateur qu'il rêve de faire depuis toujours. Son premier spectacle « Profession imitateur » se produit en 1987 ;
1988 : un an plus tard il passe 3 jours au théâtre de la ville à Paris ;
1990 : il passe au café de la gare, dans un nouveau spectacle ;
1991 : le Splendid Saint Martin ;
1992 : il joue dans le film d'Yves Robert Le Bal des casse-pieds ;
1993 : Comédie Caumartin avec encore un nouveau spectacle, une pièce de théâtre où il joue tous les rôles Meutres au music-hall ;
1994 : il revient à la Comédie Caumartin pour un nouveau spectacle, il partage alors l'affiche avec l'imitatrice de talent Sandrine Alexi ;
1996 : il goûte au théâtre dans une pièce de Peter Shaffer "court circuit" mise en scène par Stephan Meldegg ;
1997 : il retourne chez Sotha au Café de la Gare pour son Best off ;
2000 : avec son ami Jean-Marie Bigard il écrit Cent pour sans Gustin qui deviendra En attendant Gustin spectacle drôle et poétique ;
2001 : en première partie de Jean-Marie Bigard au Zenith puis le Palais des Glaces et le théâtre Déjazet ;
la même année il prête sa voix à Walt Disney pour incarner Kuzco ; il enregistrera également plus de 100 épisodes pour la télévision Kuzco empereur New School ; à la radio cette année-là il rejoint l'équipe de Laurent Ruquier sur France Inter ;
2003 : il joue dans un épisode de la série Louis la Brocante, Louis et le Violon noir ;
2003 : Palais des Congrès de Paris (salle bordeaux) pour son nouveau show musical Ça manque pas d'airs entouré de 4 musiciens ;
De 2004 à 2005 il est tous les soirs sur Canal+ dans le grand journal de Michel Denisot, où il interprète les voix de Fogiel et Ardisson pour des personnages 3D. En même temps il est sur Europe 1 tous les dimanches dans l'émission d'Ariane Massenet, les Peopl'ettes, où il dresse le portrait des invités en chansons ;
2005 : son premier Olympia ;
2006 : il imite la voix de Jacques Chirac dans le film Dans la peau de Jacques Chirac de Karl Zéro et Michel Royer, qui est récompensé par un César ;
2008 : retour au théâtre de la gaité Montparnasse dans "Adam et Eve" une comédie ;
2010 : nouveau spectacle "ajouter comme ami" un show musical où il est accompagné du guitariste Laurent Roubach ;
2012 : il animera la tournée Âge tendre et Têtes de bois saison 7.


Voxographie
Didier Gustin imite plus de 200 voix.
Des chanteurs : Bénabar, Cali, Calogero, Vincent Delerm, K-Maro, Kyo, Louise Attaque, -M-, Mickey 3D, Sanseverino, Raphael, Grand Corps Malade, Christophe Mae, Alain Bashung, Patrick Bruel, Etienne Daho, Gérald de Palmas, Stéphane Eicher, Garou, Marc Lavoine, Johnny Hallyday, Julio Iglesias, Michel Jonasz, Maxime Le Forestier, Enrico Macias, Eddy Mitchell, Michel Polnareff, Renaud, Michel Sardou, Pierre Bachelet, Georges Brassens, Jacques Brel, Serge Gainsbourg, Yves Montand, Claude Nougaro, Dany Brillant.
Des gens de télévision : Thierry Ardisson, Marc-Olivier Fogiel, Pascal Sevran.
Des politiques : Nicolas Sarkozy, Jacques Chirac, Philippe de Villiers, Bertrand Delanoe, Jean-Marie Le Pen.
Des comiques : Guy Bedos, Jean-Marie Bigard, Dany Boon, Régis Laspalès, Pierre Palmade, Popeck, Coluche, Raymond Devos.

Des personnalités : Jean-Pierre Coffe, Maïté, Hubert Reeves.

Des acteurs : Jean Gabin, Christian Clavier, Gérard Depardieu, Albert Dupontel, Fabrice Luchini, Jean-Pierre Marielle, François Morel, Bourvil, Henri Salvador, Jacques Villeret, Philippe Noiret, Michel Serrault.

Didier Gustin est né en Meuse


Films
1991 : L'Opération Corned-Beef : Voix du président de la République François Mitterrand
2009 : Envoyés très spéciaux : Voix du président de la République Nicolas Sarkozy
2005 : Dans la peau de Jacques Chirac
2005 : l'illusionniste", de Sylvain Chomet

Films d'animation
2001 : Kuzco, l'empereur mégalo : Kuzco
2005 : Kuzco 2 : King Kronk : Kuzco
2006 : Kuzco, un empereur à l'école : Kuzco
2006 : The Wild : Nigel, le koala

Emissions
Les Minikeums


Émissions

Télévision
1987 – 1994 : La Classe
1998 – 2000 : Le Kadox en tant que célébrité.
2006 – 2007 : Les Grands du rire (8 émissions)
2007 : Pour le meilleur et pour le rire : La croisière du rire (6 émissions)
depuis 2009 : Mot de passe en tant que célébrité jouant avec les candidats.

Radio
France Inter dans l'équipe de “L'Oreille en coin”
RMC son émission “Les Caméléons”
Europe 1 son émissions “Mécéki”
RMC son émission “Tout le monde déguste”, puis “Trois bien frappés”
France Inter dans l'équipe de “Dans tous les sens” animée par Laurent Ruquier
RTL avec Christophe Dechavanne
RTL dans l'équipe de l'émission “Les tontons fouteux” animée par Pierre Sled
France Inter dans l'équipe de l'émission “Le Fou du roi”

Filmographie

Cinéma
1992 : Le Bal des casse-pieds d'Yves Robert : le gominé
2005 : Dans la peau de Jacques Chirac
2010 : "Didier Gustin a prêté sa voix au film de Sylvain Chomet "l'illusionniste"

Télévision
1997 : Les Midis d'RTL9
2003 : Louis la brocante dans l'épisode Louis et le violon noir : Jean-Do
2005 : La famille Zappon : Lucas Quinton
2005 : Alice Nevers, le juge est une femme dans l'épisode Mince à mourir : Le directeur artistique
2005 : L'homme qui voulait passer à la télé
2007 : Pourquoi les manchots n'ont-ils pas froid aux pieds ?
2011 : Section de recherches dans l'épisode Crève-c½ur : Christian Cheron
2011 : Gustin et la machine à rêves pour la chaîne comédie : Jean-Pierre Huguet
2012 : Chirac rebat la campagne, suite de Dans la peau de Jacques Chirac diffusée exclusivement sur Canal +, le 23 mai à 22h40.

Théâtre

1996 : Court circuit
2009 : Adam et Eve, ce n'est pas du tout ce que vous croyez
2010 : le siècle sera féminin
Tags : Didier Gustin, Didier Gueusquin, 26 avril 1966, 26 avril, 1966, Bar-le-Duc, Personnalité née en Meuse, Meuse, 55000, 55, Imitateur, Acteur
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#Posté le dimanche 16 décembre 2012 12:00

Joseph Émile Colson

Joseph Emile Colson (né le 29 janvier 1821 à Saint-Aubin-sur-Aire (Meuse), mort le 6 août 1870 à la bataille de Fr½schwiller-W½rth, était un général français.

Joseph Émile Colson

Joseph Emile Colson, issu d'une famille médiocrement fortunée, reçut une éducation forte et des principes solides entretenus de génération en génération : l'amour du travail et le sentiment du devoir.
Son grand-père était médecin et maître de poste à Saint-Aubin. Son père, ruiné par l'invasion de 1814, était mort prématurément à 35 ans, laissant 5 enfants, dont 4 garçons. Joseph Emile, le dernier de ces 4 garçons, fit de bonnes études au lycée de Nancy (Meurthe-et-Moselle) et, à peine âgé de 18 ans, se présenta en 1839 à l'école de Saint Cyr. Deux ans après, il en sortait à la tête de sa promotion et fut admis par voie de concours à l'école d'État-major.


Esprit studieux, sensé et droit, il donnait déjà de nombreuses espérances et se conciliait de nombreuses amitiés par son caractère ferme et loyal. Nommé lieutenant d'État-major, le 9 janvier 1844, il fit son stage d'Infanterie en Afrique et prit part aux expéditions de Biskra, de l'Aurès et du Hodna. Chargé du service topographique des colonies, il exécuta des travaux qui attirèrent l'attention du Ministre. Il fut nommé capitaine au 5ème Régiment de hussards (1846) où il fit son stage de cavalerie. Il rentra en France avec ce régiment et fut appelé le 7 septembre 1848 à l'État-major de la 2ème Division de l'armée de Paris.
En 1851, il devint l'aide de camp du général Renault et, dans ses nouvelles fonctions, s'acquit de sérieux titres à la confiance de ses chefs. De graves circonstances allaient ouvrir un champ plus vaste à son ambition. La guerre d'Orient éclata au commencement de 1854 et Colson fut désigné pour l'État-major de la Division de réserve commandée par le général Forey. Il se comporta vaillamment à Inkerman et au siège de Sébastopol, où il fut blessé.
Après la signature de la paix, il revint de Crimée avec le grade de chef d'escadron et la croix d'officier de la Légion d'Honneur. Redevenu l'aide de camp du général Renault, il le rejoignit à Alger et fut chargé de l'organisation générale des cantonnements en Algérie (1859).
La guerre d'Italie le rappela sur le continent. Promu au grade de lieutenant-colonel et maintenu comme chef d'État-major à Toulouse, puis attaché militaire à l'ambassade de Russie, il demanda et obtint d'aller suivre une expédition au Caucase et rentra à Saint-Pétersbourg riche de souvenirs amassés et de souvenirs recueillis.
Le Tsar lui conféra la croix de Sainte Anne, et il devint très populaire parmi la haute société russe. Ses utiles travaux lui valurent le grade de colonel en 1862. Peu de temps après, il revint en France et se maria avec Frederika Kulmann de Lille.
Appelé à la demande du général de Montebello en qualité de chef d'État-major de la Division d'occupation à Rome, il s'y distingua par de précieuses qualités de tact et de prudence et fut nommé, en 1865, chef de cabinet du maréchal Randon, ministre de la Guerre.
En 1868, il fut promu au grade de général de brigade et maintenu néanmoins au service du Maréchal Niel. À la mort de ce dernier, il quitta le ministère et reçut le commandement de la subdivision du nord. Ce fut là que le trouva la déclaration de guerre de 1870.

Joseph Émile Colson
Tombe de Joseph-Emile Colson au cimetière de St-Aubin-sur-Aire (Meuse)

Le 25 juillet 1870, Colson était nommé chef d'État-major de la 1ère armée du Rhin, et le 6 août suivant, sur le chemin de Froeschviller, il était frappé au c½ur par une balle prussienne, la mort fut instantanée ; les hommes qui avaient reçu l'ordre d'enlever le corps du général furent eux-mêmes atteints et la dépouille de ce glorieux soldat resta jusqu'au lendemain sur le terrain labouré par les obus et la mitraille.
Une des maximes favorites de Colson, dit son biographe, le colonel d'État-major Baron Saint Cyr Hugues, une maxime qu'il avait répétée bien des fois pendant sa vie et à laquelle il devait rester fidèle jusqu'à son dernier soupir, était qu'il faut faire honneur à son pays, celui des Droits de l'Homme.
A son tour, le département de la Meuse a voulu honorer sa mémoire. Il a inscrit son nom des premiers sur le monument élevé à Bar-le-Duc aux victimes de la guerre et il a fait placer son portrait dans le musée de cette ville.
De son côté, la ville de Lille, pleine encore de bons souvenirs que Colson avait laissé chez ses habitants, a décidé que son nom serait donné à une des rues nouvelles.
Par ailleurs, son village natal fit placer sa statue sur une stèle, place de l'église.
L'inauguration eu lieu en 1912. Les allemands, en 1940, pendant l'occupation, s'emparèrent de la statue pour en couler le bronze et en faire des boulets de canon ; ils ne laissèrent que la stèle de granit où, par la suite, sa famille fit replacer un buste plus modeste du général.
On trouve sa sépulture au cimetière de Saint-Aubin-sur-Aire.

A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z, 0-9,
Tags : Joseph Émile Colson, Personnalité née en Meuse, 29 janvier 1821, 29 janvier, 1821, Saint-Aubin-sur-Aire, Meuse, Décès, 6 août 1870, 6 août, 1870, Général, Général français, Joseph
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#Posté le samedi 29 janvier 2022 04:00

Nicolas Charles Oudinot

Nicolas Charles Oudinot, né le 25 avril 1767 à Bar-le-Duc, mort le 13 septembre 1847, duc de Reggio et maréchal d'Empire.

Nicolas Charles Oudinot

Nicolas-Charles Oudinot est issu de la petite bourgeoisie meusienne. Après des études dans sa ville natale puis à Toul, il s'engagea en 1784, à l'âge de dix-sept ans, dans le régiment de Médoc-infanterie, son caractère ne l'inclinant guère à participer aux affaires de la brasserie paternelle. Revenu dans sa région trois ans plus tard avec le grade de sergent, il y épousa Françoise-Charlotte Derlin en septembre 1789, année où les premiers événements de la Révolution lui fournirent l'occasion de se révéler.
Le 14 juillet 1789, une compagnie soldée, formée à Bar, plaça à sa tête l'ancien soldat du Médoc-infanterie avec le grade de capitaine. Ayant montré sa fermeté et son esprit de décision lors de quelques troubles qui agitèrent cette ville, Oudinot fut désigné en 1790 comme chef de légion, commandant la Garde nationale du département, puis, le 6 septembre 1791, élu à la majorité des suffrages lieutenant-colonel du 3e bataillon des volontaires de la Meuse, avec lequel il partit pour la frontière du Nord-Est.


À la suite de sa remarquable défense de Bitche, il fut promu chef de brigade (colonel) le 5 novembre 1793 et se vit attribuer le commandement de la 4e demi-brigade, qui venait d'être constituée avec l'un des plus brillants éléments de l'armée monarchique, le régiment de Picardie. En décembre de la même année, à l'affaire d'Haguenau il reçut la première d'une longue série de blessures qui firent de lui le maréchal le plus blessé de l'Empire. Quelques mois plus tard, sa conduite à Kaiserslautern, où il se fraya un passage à la baïonnette dans les rangs prussiens, lui valut le grade de général de brigade (14 juin 1794). Il avait alors vingt-sept ans et, comme la plupart des futurs maréchaux de l'Empire, était parvenu à ce grade bien avant le 18 Brumaire. En octobre 1795, victime de cinq coups de sabre à Neckerau et laissé sur le terrain, il fut fait prisonnier par les Autrichiens. Libéré l'année suivante à la suite d'un échange d'officiers supérieurs, il rejoignit les armées du Rhin et de la Moselle commandées par le général Moreau. En 1799, pendant la campagne d'Helvétie, il se distingua à la prise de Zurich et à celle de Constance, étant alors chef d'état-major de Masséna qui le fit nommer général de division (12 avril 1799).

Oudinot prit ensuite part à toutes les grandes campagnes du Consulat et de l'Empire, à l'exception de celles d'Espagne et du Portugal. Auprès de Masséna, il soutint avec l'armée de Ligurie le siège de Gênes, place qui fut évacuée avec les honneurs de la guerre après avoir permis à Bonaparte de franchir les Alpes. Lors des dernières opérations en Italie, il s'illustra, notamment par un fait d'armes personnel en s'emparant avec son état-major d'une batterie autrichienne gardant le passage du Mincio (décembre 1800). En février 1805, à la veille de la formation de la troisième coalition, il reçut le commandement en chef des grenadiers réunis, soldats d'élite qui ne furent bientôt plus connus que sous le nom de « Grenadiers d'Oudinot » : il remporta l'année même une série de succès à Wertingen, Amstetten. Vienne et Hollabrünn, puis contribua à la victoire d'Austerlitz. Il rendit de précieux services en 1806 durant la campagne de Prusse, enleva Ostrolenka par une brillante charge de cavalerie Tannée suivante (février 1807) et se couvrit de gloire face aux Russes à Friedland (juin 1807). Le 25 juillet 1808. l'Empereur lui accorda le titre de comte de l'Empire avec pour dotation le domaine d'Inowaclo (Pologne). A la tête de sa troupe — surnommée « la colonne infernale » tant elle inspirait de crainte dans les rangs ennemis —, il se signala durant la campagne d'Autriche (1809) à Ebersberg puis Essling. Quand Lannes fut mis hors de combat, l'Empereur donna « le commandement du 2ecorps au comte Oudinot, général éprouvé dans cent combats, où il a montré autant d'intrépidité que de savoir» (23 mai, 10e Bulletin de la Grande Armée). Peu après, il fit des prodiges de valeur à Wagram, où il força la victoire en outrepassant les ordres de Napoléon, qui lui donna son bâton de maréchal le 12 juillet 1809 et le titre de duc de Reggio.

S'il semble bien que l'Empereur voyait, depuis plusieurs années déjà, en lui l'un de ses futurs maréchaux, divers facteurs ont pu venir retarder son élévation à cette dignité : Oudinot était de l'armée du Rhin el n'avait rencontré Bonaparte pour la première fois qu'après l'instauration du Consulat; républicain affiché, il fit longtemps partie du groupe des généraux « d'opposition »; s'il était un meneur d'hommes d'une bravoure exceptionnelle, il n'était toutefois pas un grand stratège ; ses multiples blessures, enfin, le tinrent trop souvent écarté aux moments où se distribuaient les distinctions. À l'intrépidité Oudinot joignait un esprit chevaleresque reconnu de ses adversaires et, dernière la rudesse extérieure de son caractère, un indéniable savoir-faire qui contribuèrent sans doute à lui faire attribuer certaines missions plus diplomatiques que militaires avant comme après son accession au maréchalat.

Chargé, en 1806, de prendre possession au nom de Berthier de la principauté de Neuchâtel (Suisse) cédée à la France par la Prusse, il s'attira, par son équité et son désintéressement, la reconnaissance des habitants qui, à son départ, lui offrirent une épée d'honneur et la citoyenneté de Neuchâtel. Gouverneur d'Erfurt, il eut la tâche délicate de veiller au bon déroulement d'un congrès (septembre 1808) où étaient conviés nombre de souverains et princes d'Europe autour de Napoléon et du tsar, auquel l'Empereur le présenta comme « le Bayard de l'armée française ». Lors de l'abdication de Louis Bonaparte du trône de Hollande, Napoléon, ayant décidé d'annexer ce pays à l'Empire, en confia l'occupation à Oudinot, qui sut concilier dans cette opération (1810) la fermeté qu'exigeait l'application des ordres reçus, le respect que demandait le sort d'un peuple éprouvé et les égards qu'appelait la situation du frère de l'Empereur.

C'est durant son séjour en Hollande qu'Oudinot apprit le décès de sa femme dont il avait eu sept enfants. Quelque temps plus tard, le 19 janvier 1812, il épousa Marie-Charlotte-Eugénie de Coucy, jeune femme de l'aristocratie de l'Ancien Régime, qui lui donna quatre autres descendants venant agrandir une famille où le métier des armes fut largement représenté. Tous ses fils embrassèrent la carrière militaire : l'aîné, Victor, lieutenant des hussards en 1809, chef d'escadron à la fin de l'Empire, reçut en 1849, une fois devenu général, le commandement en chef du corps expéditionnaire français contre la République romaine ; le deuxième, Auguste, colonel des chasseurs d'Afrique, trouva la mort durant la conquête de l'Algérie ; le troisième, Charles, fut lieutenant-colonel d'infanterie et le quatrième, Henri, général de brigade. Deux de ses gendres, Claude Pajol et Guillaume de Lorencez, étaient de brillants généraux de division qui, comme le maréchal, firent les dernières campagnes de l'Empire.

Chef du 2e corps pendant la campagne de Russie, Oudinot remporta plusieurs succès autour de Pulutsk (août 1812) et montra le plus admirable courage en ouvrant à l'armée le passage de la Bérézina (novembre 1812).
Commandant le 12e corps, le 4e, puis le 7e et 12e corps réunis durant la campagne d'Allemagne, il se battit comme un lion à Bautzen (mai 1813), mais fut refoulé par Bernadotte à Gross-Beeren (août 1813) ; il conduisit ensuite avec héroïsme deux divisions de la Jeune Garde à Wachau puis à Freiburg (octobre 1813) et, lors de la campagne de France, fit preuve d'une remarquable bravoure à La Rolhière (février 1814) et à Arcis-sur-Aube (mars 1814), où il reçut sa trente-deuxième blessure. Oudinot fut enfin de ceux qui, étant encore à Fontainebleau le 4 avril 1814, incitèrent alors l'Empereur à l'abdication,

Rallié au gouvernement provisoire après l'abdication de Napoléon, le 20 mai 1814 le maréchal Oudinot se vit remettre par Louis XVIII le commandement en chef du corps royal des grenadiers et chasseurs à pied (ex-Garde impériale), puis fut nommé ministre d'Etat, pair de France et gouverneur de la 3e division militaire. Durant les Cent-Jours, dégagé de ses serments envers l'Empereur mais non de ceux qu'il avait prêtés aux Bourbons, il fit savoir à Davout, alors ministre de la Guerre, qu'il n'entendait pas « jouer un double rôle ni servir deux maîtres » et souhaitait rester dans ses terres, ce qu'il confirma ensuite directement à l'Empereur qui l'avait appelé à Paris (avril 1815) : « Je ne servirai personne, Sire, puisque je ne vous servirai pas. » Conduite loyale à laquelle Napoléon rendit hommage à Sainte-Hélène.

Au retour de Louis XVIII, Oudinot devint major général de la Garde royale (8 septembre 1815), puis reçut le commandement en chef de la Garde nationale de Paris qu'il conserva jusqu'à la dissolution de ce corps (1827), tandis que sa femme se voyait confier la charge de dame d'honneur de la duchesse de Berry.
Oudinot, qui bénéficia vraiment de la confiance des gouvernements de la Restauration, fut mis à la tête du 1er corps de l'armée des Pyrénées conduite par le duc d'Angoulême lors de la guerre d'Espagne (1823) et mena ses troupes à Madrid dans une campagne à caractère plus politique que guerrier.

Resté d'abord à l'écart du gouvernement de Juillet, le maréchal vieillissant accepta ensuite les fonctions de grand chancelier de la Légion d'honneur (1839), puis, trois ans plus tard, de gouverneur de l'hôtel des Invalides, où il s'éteignit le 13 septembre 1847.


Nicolas Charles Oudinot

Nicolas Charles Oudinot, by Robert Lefèvre


Nicolas Charles Oudinot
Tags : Nicolas Charles Oudinot, Meuse, Personnalité née en Meuse, Bar-le-Duc, 25 avril 1767, 25 avril, 1767, Décès, 13 septembre 1847, 13 septembre, 1847, Maréchal d'Empire, Nicolas
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#Posté le dimanche 13 septembre 2020 01:30

Nicolas Lebel


Nicolas Lebel, né le 18 août 1838 à Saint-Mihiel (Meuse) et mort le 6 mai 1891 à Vitré (Ille-et-Vilaine), est un officier français, qui a contribué à la création du fusil de l'armée française qui porte son nom : le fusil Lebel.


Nicolas Lebel
Fusil Lebel


Intéressé par la carrière militaire, il intègre l'École spéciale militaire de Saint-Cyr en 1855. En 1857, il intègre le 58e régiment d'infanterie de ligne comme sous-lieutenant. Durant la guerre franco-prussienne de 1870, alors capitaine et commandant de compagnie, il combat avec courage mais, le 1er septembre, il subit le sort de toute l'armée de Sedan et part en captivité en Allemagne.
Libéré après le traité de Francfort, il retrouve un commandement à Tours, au 66e régiment d'infanterie de ligne, durant les années de réorganisation de l'armée française qui fait suite à la défaite. Nommé chef de bataillon en 1876, Lebel devient chef de l'école normale de tir et se passionne pour l'armement d'infanterie. Ses compétences sont vite reconnues et en 1883, le ministre de la Guerre (le général Jean Thibaudin) le nomme membre d'une commission des armes à répétition présidée par le général Tramond. Elle a pour objectif d'élaborer un nouveau fusil d'infanterie qui doit remplacer le fusil Gras. Nicolas Lebel est chargé de mettre au point la balle destinée à ce futur fusil d'infanterie. Cette balle doit, avant tout, fonctionner avec la nouvelle poudre sans fumée du chimiste français Paul Vieille qui assure des vitesses initiales très élevées. Ces dernières font fondre le plomb nu des balles conventionnelles de l'époque. Le Lt Col Lebel dessine alors une balle de 8mm qui est chemisée en maillechort et fonctionne parfaitement. Elle sera la première balle adoptée pour le futur fusil Mle 1886 : la balle "M" .
Finalement, la Commission finit par adopter les propositions des colonels Gras, Bonnet et Lebel concernant le nouveau fusil d'infanterie. Il sera donc officiellement adopté en tant que Fusil Mle 1886 puis, un peu plus tard, en tant que Fusil Mle 1886M93. Dans le langage courant la nouvelle arme fut vite baptisée fusil Lebel par ses utilisateurs.
Lebel est ensuite nommé colonel en 1887 et il devient ainsi chef de corps du 120e régiment de ligne, alors en garnison à Sedan. Mais à cause de problèmes cardiaques, il obtient sa retraite en 1890, se reconvertissant dans le civil comme inspecteur du Trésor à Vitré. Il décède l'année suivante, le 6 mai 1891.
Il a également été décoré comme commandeur dans l'Ordre national de la Légion d'honneur.
Tags : Nicolas Lebel, Nicolas, Meuse, 18 août 1838, 18 août, 1838, Saint-Mihiel, Décès, 6 mai 1891, Officier français, Fusil Lebel, Personnalité née en Meuse
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#Posté le dimanche 20 janvier 2013 11:00

Modifié le dimanche 18 août 2013 12:00

Nicolas Psaume

Nicolas Psaume, né le 11 décembre 1518 à Chaumont-sur-Aire (alors en duché de Bar) et décédé le 10 août 1575 à Verdun (évêché de Verdun), est un religieux prémontré devenu comte-évêque de Verdun et prince du Saint-Empire romain germanique. C'est un des grands évêques de la fin du XVIe siècle.

Nicolas Psaume

Entré à l'abbaye Saint-Paul de Verdun où son oncle, François Psaume, était abbé commendataire, il poursuit des études aux universités de Paris, Orléans et Poitiers. Il revient à St-Paul et fut ordonné prêtre en 1540. De retour à Paris, en Sorbonne il obtient son doctorat en théologie et y rencontre Ignace de Loyola. Il devint abbé de Saint-Paul et en 1546, choisi par l'ordre pour le représenter au concile de Trente mais fut retenu par Jean, le cardinal de Lorraine; en 1548 devint évêque de Verdun. À ce titre il participe au Concile de Trente. Il y était en 1551 et 1552 où il se fit remarquer par son éloquence en défendant les prérogatives de l'Église mais aussi en en dénonçant certain abus comme l'accumulation de titres épiscopaux, Jean de Lorraine 12 fois évêques et de trois en même temps par exemple, et son corollaire les commendataires; il était chargé d'éditer les canons du concile. Il y était aussi pour la troisième session de 1562-1563. Il tint et publia un journal du quotidien du concile qu'il fit publier.
Il crée en 1554 un séminaire à Verdun, appelé Orphanotrophe, puisque 24 places d'étudiants y sont réservées à des orphelins.
Nicolas Psaume fut aussi, avec le cardinal Charles de Lorraine un des promoteurs de l'Université de Pont-à-Mousson.

Nicolas Psaume

Écrits

Advertissement à l'homme chrestien, pour cognoistre et fuir les hérétiques de ce temps... , Rheims ,imprimeur J. de Foigny, 1564.
Canones et decreta... Concilii tridentini... , Rheims, 1564.
Le Vray et naïf portrait de l'église catholique,... , Rheims, imprimeur J. de Foigny, 1574.
Tags : Nicolas Psaume, Meuse, 11 décembre 1518, 11 décembre, 1518, Nicolas, Chaumont-sur-Aire, Décès, 10 août 1575, 10 août, 1575, Personnalité née en Meuse
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#Posté le samedi 11 décembre 2021 03:00

Pascal Vigneron

Pascal Vigneron (né le 23 juin 1963 à Commercy) est un musicien français, à la fois trompettiste, organiste, et chef d'orchestre.

Pascal Vigneron

Pascal Vigneron mène une triple carrière artistique. Il est à la fois trompettiste, organiste et chef d'orchestre. Il a été professeur à l'École normale de musique de Paris de 1999 à 2007.
Héritier de la tradition de l'École française de trompette léguée par ses maîtres Roger Delmotte et Marcel Lagorce, il affiche comme principal objectif de faire connaître cet instrument par le biais d'½uvres originales de Renaissance à nos jours. Pascal Vigneron se veut également pédagogue, musicologue, passionné par l'art, la facture instrumentale. Il est un collaborateur privilégié de la Société Selmer depuis près de 20 ans.
Attiré par l'orgue, il fut élève de Jacques Marichal (organiste à Notre-Dame de Paris). En 2005, après un profond travail de plus de quatre ans, une nouvelle instrumentation de l'Art de la fugue de Johann Sebastian Bach, pour cuivres, bois et orgue dans l'ordonnancement de Jacques Chailley a vu le jour. La critique internationale a été unanime pour rendre hommage à cette nouvelle version (The Independant, Midi libre, Télérama).
En tant qu'organiste, il a enregistré en compagnie de Dimitri Vassilakis et de Christine Auger le clavier bien tempéré, dans une version unique proche de l'écriture réelle du Cantor de Leipzig. En effet, selon les grands spécialistes, seul trois instruments permettent d'avoir une vue objective du texte, en rapport au vrai valeurs de notes écrites. Pascal Vigneron vient également d'enregistrer en 2008 les Variations Goldberg sur le Grand Orgue Curt Schwenkedel de la cathédrale de Toul. Il vient de réaliser également une nouvelle instrumentation de l'offrande musicale BWV 1079, déjà reconnue comme une référence. Un album consacré au livre d'orgue de Jean-Baptiste Notre, organiste de la Cathédrale de Toul va voir prochainement le jour, ainsi qu'un album récital allant de Du Caurroy à Charles Tournemire.
À la tête de l'Orchestre de chambre du Marais, Pascal Vigneron assure la direction du répertoire classique comme contemporain. Il a dirigé le Requiem allemand de Brahms, les grandes ½uvres lyriques de Mozart, la Symphonie fantastique d'Hector Berlioz, L'Histoire du soldat de Stravinsky avec des solistes connus : Hae Sun Kang, Dimitri Vassilakis, André isoir, Michel Chapuis, François Castang, Monique Zanetti, Jerôme Corréas, Kun Woo Paik, Sergei Edelmann, Sylvie Hue...
Il compte à son actif plus de 28 enregistrements : intégrale de l'½uvre avec trompette de Jean Langlais, intégrale des chorals de Johann Ludwig Krebs, les concertos de trompette de Haydn, Hummel, Telemann, de nombreuses pièces baroques, de nombreuses créations qui lui sont dédiées : Pierre Jansen (Grand Prix symphonique de la Sacem), Antoine Tisné, Pierre-Yves Level, Pierre Lantier, les concertos pour orgue opus IV de Haendel avec Michel Chapuis... Pascal Vigneron vient d'enregistrer les Paraphrases sur Les Jours de l'Apocalypse d'après les poèmes d'Armel Guerne (Éditions du Zodiaque, 1967), en compagnie de Marie-Christine Barrault. Ils ont inauguré ensemble la cathédrale Saint-Étienne de Toul le 20 septembre 2008 devant plus de 1 200 personnes.
Pascal Vigneron est un des rares artistes de notre temps qui maitrise totalement la technique numérique audio et vidéo. À ce titre il est très souvent demandé comme directeur artistique comme dernièrement avec l'Orchestre national d'Île-de-France sous la direction de Yoel Levi, pour l'intégrale des symphonies de Charles Camille Saint-Saëns. Directeur du label Quantum classic et depuis 2010, il est le Directeur artistique du Festival Bach de Toul et de l'Académie Bach de Toul en lorraine.

Discographie
Johann Sebastian Bach
L'art de la fugue BWV 1080 pour cuivres, bois et orgue (Ordonnance des Fugues Jacques Chailley - Instrumentation Pascal Vigneron)
Johann Sebatian Bach, Le Clavier Bien Tempéré, vol.I et II, Enregistrement avec les trois instruments requis (orgue, piano, clavecin) accordés au tempérament Werckmeister III avec Dimitri Vassilakis et Christine Auger, enregistrement préfacé de Michel Chapuis et de Gilles Cantagrel
Johann Sebastian Bach, les Variations Goldberg premier enregistrement critique avec les trois instruments à claviers - Pascal Vigneron, orgue, Dimitri Vassilakis, piano et Christine Auger, clavecin.
Johann Sebastian Bach, L'Offrande musicale, Pascal Vigneron, orgue Curt Schwenkedel du Temple de l'Annonciation de Paris
Solistes de l'Orchestre de Chambre du Marais, ensemble de cuivres Pascal Vigneron.
Johann Sebastian Bach, Les Arias pour Mezzo-Soprano et instruments obligés, Pascal Vigneron, Orgue Curt Schwenkedel du Temple de l'Annonciation de Paris, Anne Maugard, Mezzo-Soprano, Vinh Pham, violon, Patricia Nagle, Flûte, Pierre Makareenko, Hautbois.
Johann Sebastian Bach, Les Partitas I-II-III , Pascal Vigneron, orgue Curt Schwenkedel du Temple de l'Annonciation de Paris, de la Cathédrale de Toul et de l'Eglise d'Arques la Bataille
Johann Sebastian Bach, Transcriptions pour Bugle et Piano, chorals de préludes, sonates et arias
Johann Sebastian Bach, Les Suites pour Violoncelles, transcrites pour bugle à quatre pistons
Jean-Baptiste Nôtre
Jean-Baptiste Nôtre, Le Livre d'orgue , Premier enregistrement mondial.


Musique baroque et classique
Georg Friedrich Haendel Concertos pour Orgue et Orchestre, Michel Chapuis, Orgue, Orchestre du Marais, Pascal Vigneron
Les Grands Concertos pour Trompette : Haendel, Telemann, Mozart, Haydn, Hummel avec l'Orchestre de Chambre de Prague
Divers enregistrements avec Orgue avec Pierre Méa, Vincent Warnier, Jacques Amade, Jean-Paul Imbert, Michael Matthes, etc.
Plusieurs récitals de Musique Italienne, Anglaise, Allemande
Johann Ludwig Krebs : Intégrale des chorals pour trompette et orgue (Première Mondiale)
L'Art du Cantus Firmus vol.1&2, Bach, Précurseurs, Contemporains et Élèves

Musique française du XXe siècle et du XXIe siècle dont plusieurs créations dédiées
Jacques Chailley, Pierre Jansen, Antoine Tisné, Pierre Yves Level, Marcel Landowsky, Jean Rivier, André Jolivet, Pierre Ancelin (avec orgue)
Jean Aubain, Pierre Lantier, Georges Enesco, Jean Hubeau, Florent Schmitt (avec piano)
Jean Langlais, Intégrale des ½uvres pour Trompette et Orgue
Paraphrases sur Les Jours de l'Apocalypse d'après les poèmes d'Armel Guerne en compagnie de Marie-Christine Barrault.
En Cours (2009)
L'Anthologie du cornet à pistons, premier volume en 2007, sur vingt volumes prévus (Première mondiale)
Ensemble de cuivres Pascal Vigneron
L'Europe des Cuivres, Bach, Gabrielli, Purcell, Lejeune, ...

Pascal Vigneron
Pascal Vigneron - Orgue de l'église Saint-Roch à Paris
Tags : Pascal Vigneron, Meuse, Personnalité née en Meuse, Commercy, 23 juin 1963, 23 juin, 1963, Musicien, Trompettiste, Organiste, Chef d'orchestre
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#Posté le samedi 02 février 2013 09:00

Raymond Poincaré



Raymond Poincaré, né le 20 août 1860 à Bar-le-Duc (Meuse) et décédé le 15 octobre 1934 à Paris, fut un homme d'État français.
Ministre à plusieurs reprises, président du Conseil des ministres puis président de la République de 1913 à 1920, Raymond Poincaré fut l'une des plus grandes figures politiques de la IIIe République. Il fut également l'un des personnages centraux de la Première Guerre mondiale, conflit durant lequel il appela « le Tigre », Georges Clemenceau, à la présidence du Conseil, en 1917.



Raymond Poincaré
Raymond Poincaré en 1914


Raymond Poincaré est le fils d'un ingénieur des Ponts et Chaussées.
Par ailleurs, il est l'arrière-petit-fils d'un député ayant exercé ses fonctions sous le règne de Louis-Philippe; il est également le petit-fils du doyen de la faculté de médecine.
Il est enfin le cousin du mathématicien et savant Henri Poincaré.


Formé à la politique par Jules Develle dont il est, pendant dix-huit mois, directeur de cabinet au ministère de l'Agriculture en 1886, élu ensuite conseiller général du canton de Pierrefitte dans la Meuse, Poincaré se forge une réputation de républicain modéré et conciliant dès son premier mandat de député de la Meuse en 1887. Cela n'empêche pas ce fils de polytechnicien, entré avec réticence sur la scène politique, de s'y imposer rapidement.
Après des études à Nancy puis à la faculté de droit de Paris, il entre au barreau de Paris en tant que stagiaire en 1879 ; il est nommé premier secrétaire de la Conférence du barreau de Paris et devient secrétaire de Me Henry du Buit, célèbre avocat d'affaires. En 1883, il prononce un discours à l'ouverture de la Conférence des Avocats dans lequel il fait l'éloge du républicain Jules Dufaure, ancien bâtonnier et ex-président du Conseil décédé deux ans auparavant :
« S'il est à souhaiter que l'éloge d'un mort illustre éveille chez nous le désir de l'imiter, le simple récit de la vie de Dufaure contiendra, je crois, pour notre génération, un précieux exemple de travail, d'indépendance et de dignité . »
(Éloge de Dufaure à l'ouverture de la Conférence des Avocats 1883 Barreau de Paris)
En 1895, il ouvre son propre cabinet, qui obtient rapidement un grand succès et détient une clientèle très prestigieuse pour les affaires de presse, les affaires littéraires—il est notamment l'avocat de l'écrivain Jules Verne—et le droit des sociétés. Poincaré a parmi ses clients les plus grandes entreprises industrielles et financières du moment.


Il entre en politique en 1887, en se faisant élire député de la Meuse. En 1892, il est rapporteur de la commission des Finances, au moment du scandale de Panamá, et est réélu l'année suivante.
À trente-six ans, il a déjà été trois fois ministre : de l'Instruction publique (1893), sous Dupuy, puis des Finances dans le second cabinet Dupuy, après la victoire électorale des modérés (1894-1895), et de nouveau chargé de l'Instruction publique, dans le cabinet Ribot, en 1895. Il est partisan de la laïcité mais éloigné de l'anticléricalisme radical. Il prône en effet une « école neutre », dont la vocation serait de produire de vrais patriotes. Poincaré devient alors l'un des leaders en vue des modérés, qui arborent l'étiquette « progressiste » qui a remplacé l'ancienne appellation d'« opportunisme » utilisée par Gambetta et Jules Ferry. Au fil du temps, ces « républicains progressistes » évoluent du centre gauche vers le centre droit, suivant le phénomène du sinistrisme.
Durant l'affaire Dreyfus, il adopte une attitude prudente. Il fait d'abord partie de ceux qui souhaitent étouffer un scandale qu'ils jugent contraire à la raison d'État. Il se rallie finalement au camp dreyfusard, plus par légalisme que par conviction.

Bien que républicain et laïque - signe sûr, à la Belle Époque, d'une appartenance à la gauche - Poincaré demeure cependant prudent envers les gauches, et reste très modéré. En juin 1899, le président de la République Émile Loubet le pressent comme président du Conseil. Mais il n'arrive pas à mettre d'accord les différentes tendances républicaines pour composer un gouvernement, tandis que Clemenceau déclarait :
« Le don de Poincaré n'est pas à dédaigner : c'est l'intelligence. Il pourrait faire remarquablement à côté de quelqu'un qui fournirait le caractère »

Raymond Poincaré
Raymond Poincaré.


Aussi Poincaré conseille-t-il à Loubet d'appeler plutôt Waldeck-Rousseau, qui forme un cabinet de Défense républicaine. Néanmoins, Poincaré s'oppose à celui-ci, et plus encore, après la victoire du Bloc des gauches aux élections de 1902, à la politique anticléricale d'Émile Combes. En tant que membre de l'Alliance libérale démocratique (centre-droit), il soutient cependant, de façon générale, le cabinet combiste.
Plus tard, c'est au Sénat que Poincaré décida de se présenter. Élu sénateur de la Meuse en 1903, il quitte ses fonctions en 1913, date à laquelle il est élu à l'Élysée, puis reprend ses fonctions en 1920 et ce jusqu'en 1934, date de son décès.
En 1906, Clemenceau, qui juge pourtant Poincaré un peu trop mou — c'est lui qui aurait inventé l'expression « poincarisme » dans son hebdomadaire Le Bloc du 15 mars 1902 — lui propose néanmoins d'entrer dans son gouvernement. Poincaré, peut-être par animosité, s'y refuse.
Belle consécration, il est élu à l'Académie française en 1909, et est également professeur aux écoles HEI-HEP.








 
Tags : Raymond Poincaré, Bar-le-Duc, Raymond, 20 août 1860, 20 août, 1860, Décès, 15 octobre 1934, 15 octobre, 1934, IIIe République, Homme d'État, Député de la Meuse, Sénateur de la Meuse, Président de la République, Conseiller général de la Meuse, Président du Conseil général de la Meuse, Personnalité née en Meuse
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#Posté le jeudi 15 octobre 2020 05:30

Raymond Poincaré

Le président du Conseil (1912 - 1913)

En janvier 1912, il est nommé président du Conseil et forme un gouvernement de républicains modérés avec Briand aux Affaires étrangères ; Théophile Delcassé à la Marine ; Jules Pams à l'Agriculture ; Albert Lebrun aux Colonies et Léon Bourgeois au Travail et à la Prévoyance sociale.
Du 6 au 12 août 1912, il est en visite officielle en Russie dans le cadre de l'alliance franco-russe et assiste à des revues militaires.

Raymond Poincaré
Poincaré au front.



L'élection présidentielle de janvier 1913

Alors que le mandat présidentiel d'Armand Fallières touche à sa fin, Poincaré se présente comme candidat à l'élection présidentielle de janvier 1913. Le président du Conseil est en lice face au président de la Chambre, Paul Deschanel, et au président du Sénat, Antonin Dubost. Avec Clemenceau, les radicaux soutiennent Jules Pams, le ministre de l'Agriculture, une personnalité considérée comme effacée et dont la candidature vise essentiellement à contrer Poincaré.

Selon la tradition républicaine, un scrutin préparatoire a lieu pour choisir le candidat du « camp républicain » ; les « modérés » (républicains de droite) d'un côté, de l'autre les socialistes, refusent toutefois d'y participer. Au troisième tour, Pams l'emporte avec 323 voix contre 309 pour Poincaré, classé à gauche à l'époque (dreyfusard, laïc, il s'était marié civilement). La discipline républicaine aurait voulu que, battu à ces primaires, il se retire, et c'est ce que lui demande une délégation conduite par Combes et Clemenceau.

Mais Poincaré refuse, sachant que lors du scrutin officiel, il serait soutenu par la droite républicaine : il se présente donc à Versailles, et est élu le 17 janvier 1913 au deuxième tour, avec 482 voix contre 296 à Pams et 69 pour le socialiste Édouard Vaillant. Clemenceau conservera une rancune tenace contre Poincaré pour n'avoir pas respecté la discipline républicaine, que lui-même respectera lors de l'élection présidentielle de 1920.

L'Élysée (1913 - 1920)

Son mandat de chef de l'État va évidemment être marqué par la Première Guerre mondiale, pendant laquelle il est l'artisan de l'Union Sacrée politique et sociale, aux côtés de René Viviani, d'Aristide Briand puis de Georges Clemenceau. Avec Briand et Clemenceau, et contre Jaurès et la SFIO, il soutient la loi des trois ans, votée en juillet 1913.

Son rôle dans le déclenchement de la guerre est controversé : il aurait poussé à la fermeté la Russie lors de son voyage officiel du 13 au 23 juillet 1914 en Russie, afin de renforcer les alliances deux semaines après l'attentat de Sarajevo. Le 4 août, son message est communiqué aux Chambres par Viviani : la France « sera héroïquement défendue par tous ses fils, dont rien ne brisera devant l'ennemi, l'Union sacrée, et qui sont aujourd'hui fraternellement assemblés dans une même indignation contre l'agresseur, et dans une même foi patriotique ».
Il n'hésite pas, parfois au péril de sa vie, à venir au front (essentiellement dans la Meuse et dans la Somme) afin de juger du moral des troupes et des populations déplacées. Il visite à plusieurs reprises la partie de l'Alsace redevenue française dès le 7 août 1914 : au Col de la Schlucht, à Thann, Masevaux, Saint-Amarin et Dannemarie entre le 11 février 1915 et le 10 avril 1916.

Fin 1917, il nomme le radical-socialiste Clemenceau, qu'il n'apprécie guère mais dont il admire la fermeté de caractère, comme président du Conseil. Son rôle devient alors plus discret, et il se plaint même, dans ses écrits, d'être mis de côté. Il conserve toutefois une certaine influence : selon l'historien Michel Winock, une certaine forme de cohabitation se met en place entre les deux hommes.
Tags : Raymond Poincaré, Bar-le-Duc, Raymond, 20 août 1860, 20 août, 1860, Décès, 15 octobre 1934, 15 octobre, 1934, IIIe République, Homme d'État, Député de la Meuse, Sénateur de la Meuse, Président de la République, Conseiller général de la Meuse, Président du Conseil général de la Meuse, Personnalité née en Meuse
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#Posté le jeudi 20 août 2020 04:00

Raymond Poincaré

Raymond Poincaré
Dès 1920, alors que son mandat n'est pas achevé, il se fait élire sénateur de la Meuse. Aristide Briand ayant démissionné de la Présidence du Conseil à la suite des critiques subies du fait de ses prises de position en matière de politique étrangère à la Conférence de Cannes, Poincaré accepte de redevenir président du Conseil en janvier 1922, à la demande du Président de la République Alexandre Millerand.

Face à l'Allemagne qui refuse de payer les « réparations de guerre », Raymond Poincaré a recours à la force, faisant occuper la Ruhr. Mais sa politique de rigueur budgétaire le rend impopulaire et, en 1924, après la victoire du Cartel des gauches, il doit présenter sa démission, tout comme le président Millerand.
On le rappelle à la tête du gouvernement en 1926, devant l'ampleur de la crise financière. Il forme alors un cabinet d'union nationale, en conservant Briand aux Affaires étrangères, et en revenant à une politique d'austérité financière ; le franc Germinal est remplacé par le franc Poincaré d'une valeur cinq fois moindre, dévaluation qui se borne à entériner le change réel. Malade et fatigué, il démissionne et se retire de la scène publique en 1929. Mort à Paris en 1934, il est inhumé à Nubécourt (Meuse), dans son département natal.


Mandats électifs

Député de la Meuse (1887-1903)
Sénateur de la Meuse (1903-1913 puis 1920-1934)
Président de la République (1913-1920)
Conseiller général de la Meuse : 1886-1913 / 1920-1934
Président du Conseil général de la Meuse : 1910-1913


Fonctions gouvernementales

Ministre de l'Instruction publique en 1893 puis en 1895.
Ministre des Finances en 1894.
Il fut cinq fois président du Conseil :
du 14 janvier 1912 au 21 janvier 1913, cumule ces fonctions avec les Affaires étrangères
du 15 janvier 1922 au 29 mars 1924 cumule ces fonctions avec les Affaires étrangères
29 mars 1924 au 1er juin 1924
du 23 juillet 1926 au 6 novembre 1928 cumule ces fonctions avec les Finances
du 11 novembre 1928 au 20 juillet 1929

Décorations

Grand-croix de la Légion d'honneur en 1913 en tant que président de la République.
Grand-Maître de la Légion d'honneur de 1913 à 1920
Chevalier de l'ordre de la Toison d'or (Espagne) en 1913


¼uvres de Raymond Poincaré

Du droit de suite dans la propriété mobilière, 1883.
Idées contemporaines, 1906.
Questions et figures politiques, 1907.
Messages, discours, allocutions, lettres et télégrammes (1914-1919), 1919.
Histoire politique, chroniques de quinzaine, 4 vol. , 1921-22.
Au service de la France, neuf années de souvenirs, 1926-1934.
L'Invasion 1914, Paris, Plon (livre tiré à 100 exemplaires qui retrace le septennat du président).
Ce que demande la cité, Hachette, 1911. Vingt textes de Raymond Poincaré extraits de la revue pour enfants "Au seuil de la vie" (Hachette, 1910). Réédition en 2010 aux Éditions Nouvelles Mémoires (voir bibliographie).


Bibliographie

Henry Girard, Raymond Poincaré, chez lui, au Parlement, à l'Élysée, A. Méricant, 1913
René Dumesnil, Poincaré, Flammarion, vers 1930
Gaston Gros, Mr. Poincaré mémorialiste (sa psychologie), Ed. Baudinière, 1930
Dr. Georges Samné, Raymond Poincaré, Politique et personnel de la IIIe République, Les ½uvres représentatives, 1933
Fernand Payen, Raymond Poincaré, chez lui, au Parlement, au Palais, Grasset, 1936
Jacques Chastenet, Raymond Poincaré, Julliard, 1948
Pierre Miquel, Raymond Poincaré, Paris, Fayard, 1961.(Prix Broquette-Gonin de l'Académie française)
Pierre Miquel, Les Souvenirs de Raymond Poincaré, publication critique du XIe tome avec Jacques Bariéty, Plon, 1973
Daniel Amson, Raymond Poincaré, l'acharné de la politique, Tallandier, 1997
John Keiger, Raymond Poincaré, Cambridge, Cambridge University Press, 1997
S. Jeannesson, Poincaré, la France et la Ruhr (1922-1924), histoire d'une occupation, Presses universitaires de Strasbourg, 1998
François Roth, Raymond Poincaré, Paris, Fayard, 2000
Alain Ostenga et Christian Gérini, "Raymond Poincaré. Ce que demande la cité", Pierrefeu du Var, Éditions Nouvelles Mémoires, diffusion : HDiffusion, 6 rue de la Sorbonne, 75005 Paris, 2010.



Tags : Raymond Poincaré, Bar-le-Duc, Raymond, 20 août 1860, 20 août, 1860, Décès, 15 octobre 1934, 15 octobre, 1934, IIIe République, Homme d'État, Député de la Meuse, Sénateur de la Meuse, Président de la République, Conseiller général de la Meuse, Président du Conseil général de la Meuse, Personnalité née en Meuse
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#Posté le jeudi 20 août 2020 05:00

Sophie Thalmann : Miss France 1998



Sophie Thalmann, née le 7 mai 1976 à Bar-le-Duc (Meuse), est une animatrice et mannequin française, élue Miss Lorraine 1997 puis Miss France 1998. Elle est la 69e Miss France.

Sophie Thalmann : Miss France 1998

Elle est issue d'un milieu modeste : son père est gérant d'une auto-école et sa mère est couturière. Elle fait ses études à Nancy et passe un DEUG médiation culturelle et communication. Par la suite, elle entre à l'Institut européen de cinéma et d'audiovisuel et obtient sa licence. Elle est mariée au jockey Christophe Soumillon. Ensemble, ils ont deux enfants, Charlie née 8 septembre 2005 et Mika, né le 5 novembre 2008.
Elle mesure 1 m 80

Sophie Thalmann : Miss France 1998

En 1996, à l'âge de 20 ans, Sophie Thalmann gagne l'élection de Miss Meuse. En 1996, elle passe de justesse à côté du titre de Miss Lorraine et devient première dauphine. En 1997, elle décroche le titre de Miss Lorraine. Alors qu'elle entamait des études d'audiovisuel à Nancy (Institut européen du cinéma et de l'audiovisuel), elle est élue Miss France. Ses dauphines sont :
1re : Véronique Caloc, Miss Martinique, 1re dauphine de Miss Monde
2e : Céline Cheuva, Miss Flandre
3e : Hinano Teonatoga, Miss Tahiti
4e : Anne Houze, Miss Hainaut
5e : Florence Jacquinot, Miss Pays d'Ain, 7e dauphine de Miss Model of the World
6e : Maud Aguilar, Miss Bourgogne
Après son élection et ce pendant près d'un an, Sophie Thalmann sillonne les routes françaises en compagnie de Geneviève de Fontenay. Elle va passer dans de nombreuses émissions télévisées et faire de nombreuses « Une » de grands quotidiens.

Sophie Thalmann : Miss France 1998

En 1999, elle débute sa carrière télévisuelle avec sa première saison à Téléfoot sur TF1. Elle sera présente durant trois saisons pour animer cette émission aux côtés de Thierry Roland. Elle enchaînera les émissions sur la même chaîne, notamment Y'a pas photo (1999-2000) avec Pascal Bataille et Laurent Fontaine, Les Petits Princes (2000), Combien ça coûte ? (2001-2002) avec Jean-Pierre Pernault et Le bêtisier du sport (2001-2002) avec Jean-Philippe Lustyk.

Sophie Thalmann : Miss France 1998

D'autre part, elle apparaît en 2004 dans l'épisode 319 de la série Sous le Soleil, également sur TF1. Durant la même période, elle anime aux côtés de Pierre Sled Vous pouvez répéter la question ? sur France 3. Sur la chaîne Equidia, elle animera l'émission Le matin de Diane le 10 juin 2007 aux côtés de Fabien Cailler. De 2006 à 2009, elle présente Sophie.club et une fois par mois durant la saison 2004-2005, elle propose l'émission J'ai aimé un cheval. Sur la même chaîne, le 8 novembre 2009, elle entame la première d'une série d'émission Ch'val dire à Sophie. Elle anime également des émissions de radio comme Passionnément Sophie en 2001 sur France Bleu sud Lorraine et Les tontons footeux en 2003 sur RTL. En novembre, elle va lancer une nouvelle émission sur Équidia, Ch'val dire à Sophie, qui sera diffusée les mercredi, samedi et dimanche de 8 h 30 à 10 h.

Sophie Thalmann : Miss France 1998

En 2001, elle sort son premier livre Ça fait quoi d'être Miss France ? aux éditions Michel Lafon. Deux ans plus tard, sort Cheval mon ami.
Puis, en octobre 2006, elle sort Passions Chevaux aux Éditions Flammarion. Deux ans plus tard, sort L'encyclopédie sur le cheval - Au galop chez Hachette Jeunesse. En 2009, elle revient avec son dernier livre Mon journal d'équitation destiné aux enfants qui pratiquent l'équitation.
Sophie Thalmann a été ambassadrice de campagnes publicitaires. Elle a notamment fait la campagne d'Oral B, Coca-Cola, Bergère de France, Xélance, Sanogyl, Côte Anglaise Paris et Colgate.
Elle fait également la couverture de nombreux magazines tels que Gala, Version Femme, Télé 7 jours.
En 1999, elle enregistre un titre avec Emmanuel Petit : 1 an déjà (3-0).

Sophie Thalmann : Miss France 1998

Sophie Thalmann s'investit dans deux associations : ELA, association européenne contre la leucodystrophie et la manifestation d'Octobre rose. Depuis la deuxième année consécutive, elle est la marraine de cette manifestation qui vise à dépister le cancer du sein. Sophie Thalmann est aux côtés d'ELA depuis 1998 et est leur marraine depuis 12 ans. Elle s'associe régulièrement à eux pour leurs opérations telles que « Mets tes baskets » ou « La dictée d'ELA ». Depuis 2008 et à l'initiative de Guy Alba un calendrier de miss France devient un outil de soutien et de lutte contre les leucodystrophies.


Sophie Thalmann : Miss France 1998

Titres

Miss France 1998
Miss Lorraine 1997
1re dauphine de Miss Lorraine 1996
Miss Meuse 1996


Discographie

Chanson : Un an déjà (3-0) en duo avec Emmanuel Petit


Ouvrages

Ça fait quoi d'être Miss France ? 2001 (Michel Lafon)
Cheval mon ami 2003 (Jacques-Marie Laffont)
Passions chevaux 2006 (Flammarion)
Au galop 2008 (Hachette)
Mon journal d'équitation 2009 (Hachette)

Tags : Sophie Thalmann, 7 mai 1976, 7 mai, 1976, Miss Lorraine, Miss France 1998, 1998, Miss France, Sophie, Bar-le-Duc, Animatrice, (7), Personnalité née en Meuse, Meuse
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#Posté le samedi 08 décembre 2012 21:44

Modifié le mercredi 12 décembre 2012 14:14

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