Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Connecte-toi
  • Crée ton blog

dessinsagogo55

Masquer Voir son profil
Photo de dessinsagogo55
  • Suivre
  • Envoyer un messageMessage
  • Voir son profil
  • Plus d'actions ▼
  • Blog secret
  • Partager
  • Offrir un cadeau
  • Devenir VIP
  • Bloquer
  • S'abonner à mon blog
  • 40 honneurs
  • 15 102 articles
  • 261 333 kiffs
  • 66 367 commentaires
  • 499 tags
  • 418 766 visites
Jouer

Skyrock Les n°1 sont Rap & RnB

Ajouter Skyrock.fm

Création : 01/10/2007 à 23:30 Mise à jour : 18/01/2023 à 22:38

Retour au blog de dessinsagogo55

12 articles taggés 21 janvier

Rechercher tous les articles taggés 21 janvier

Agnès Souret

Agnès Souret, née à Bayonne en 1902, habitante d'Espelette lors de son élection et décédée en Argentine en 1928, est un mannequin français. Elle est la première Miss France, élue en 1920, alors appelée « la plus belle femme de France ».

Agnès Souret


Agnès Souret est née le 21 janvier 1902 à Bayonne, au n° 32, remparts Lachepaillet. Elle est la fille illégitime de Marguerite Souret, âgée de 20 ans sans profession, non mariée, domiciliée dans cette même ville. On note une mention marginale sur l'acte de naissance : « Jeanne Germaine Berthe Agnès Souret, Illégitime, décédée en République argentine en septembre 1928 » (sans précision du jour). Autre mention : « Par acte passé devant Nous, Jeanne Germaine Berthe Agnès dont la naissance est constatée ci contre, a été reconnue pour sa fille naturelle par Marguerite Souret, sa mère à Bayonne le 10 octobre 1907 ».

Agnès Souret porte le patronyme de son grand-père maternel, Henri Souret, un Béarnais agent des douanes dans le village de Bidarray, époux de Jeanne Carrica native du hameau d'Etxavé, au village d'Ossès. Agnès Souret, au moment de son élection, habitait avec sa mère le village d'Espelette, où elle est d'ailleurs inhumée.


En 1920 est créé le concours Miss France, appelé alors celui de « la plus belle femme de France ». Agnès Souret envoie donc une photo d'elle, en communiante avec une courte lettre : « Je n'ai que 17 ans, dites-moi si je dois traverser la France pour courir ma chance ». Il y a alors 2 063 candidates avant les éliminatoires et 49 après.

Agnès Souret est élue par 115 000 voix(ou selon d'autres sources 198 000). Dans Le Figaro, Hervé Lauwick dit d'elle « Le ciel lui avait donné, outre une beauté éblouissante qu'on pouvait ne pas aimer, mais certaine, infiniment de sagesse et de bonté ; elle avait ce don précieux et rare entre tous les dons : un heureux caractère, que nul mouvement d'humeur n'a jamais troublé. Nous ne connaissons guère, pour être dans ce cas, qu'une seule femme illustre par sa beauté, à laquelle on pourrait peut-être en ajouter deux, mais surement pas trois, dans le monde entier. C'est si dangereux d'être trop belle ; et l'orgueil vient si vite au c½ur humain ! ».


Comme son idole Sarah Bernhardt, Agnès Souret rêve de la scène. Sa première tentative au cinéma est un premier rôle dans le film Le Lys du Mont Saint Michel, qui est un cuisant échec.

Elle travaille alors comme modiste chez Madeleine et Madeleine. Elle poursuit après sa carrière artistique dans le domaine de la danse. Elle devient alors, comme sa mère avant elle, danseuse au Ballets de Monte-Carlo (qui n'est encore que l'Opéra de Monte-Carlo). Elle est ensuite meneuse de revue aux Folies Bergère, à Paris. La maison de famille d'Espelette est pendant ce temps renommée Ederrena (la plus belle) : entre ses revues et tournées, Agnès Souret revenait de temps à autres dans son Pays basque natal. Elle aimait alors se promener sur la croisette de Biarritz, à cheval ou avec son chien Cricri.

Marcel Périn dit d'elle, en 1929 : « son beau corps si souple, si élégant, ses gestes si gracieux, si chastes, tout en elle permettait la floraison d'une grande artiste ».


Agnès Souret décède d'une péritonite en 1928 alors qu'elle fait une tournée en Argentine. Pour rapatrier sa dépouille et lui offrir un caveau à Espelette, sa mère Marguerite Souret vend alors tous ses biens, dont la maison Ederrena. L'amour de sa mère transparaît dans la tombe qu'elle lui fait construire, dans un marbre pastel, avec un vitrail et comme épitaphe : « À ma fille douce et jolie, elle fut une petite rose sans épines ». Il y a un médaillon du sculpteur Lucien Danglade sur le tombeau.

Il y a quelques années, le maire d'Espelette, alors André Darraïdou, invite l'architecte des bâtiments de France, pour inscrire la tombe à l'inventaire des monuments historiques et donc la restaurer. En 2002, une fête est organisée sur le thème d'Agnès Souret, avec une exposition sur sa vie ; une Miss France est même invitée.

Agnès Souret avait le teint clair, des yeux bruns et des cheveux châtains. Elle mesurait 1 mètre 68


Filmographie
La Maison des pendus d'Henry Houry
Le Lys du Mont Saint-Michel d'Henry Houry



A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z, 0-9,
Tags : Agnès Souret, Miss France, Miss France 1920, 21 janvier 1902, 21 janvier, 1902, Agnès, 1920, La plus belle femme de France, Mannequin, Bayonne, Décès, 30 septembre 1928, 30 septembre, 1928, Argentine
​ 17 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le vendredi 21 janvier 2022 02:00

Achille Murat

 Achille Murat
 
 
 
 
 
Achille Murat en uniforme avec son frère, ses s½urs et sa mère Caroline Bonaparte, vers 1808. Tableau de François Gérard



.
 
Achille Charles Louis Napoléon Murat (en italien : Achille Carlo Luigi Napoleone Murat), prince héritier de Berg et de Clèves (1806-1808) puis prince royal de Naples (1808-1815) et enfin 2e prince Murat (1815-1847), est né à l'Hôtel de Brienne, à Paris, le 21 janvier 1801, et est décédé dans sa résidence "Lipona", une plantation près de Waukeenah, aujourd'hui située dans le comté de Jefferson, en Floride, le 15 avril 1847. C'est une personnalité du Premier Empire.
 
 
Le prince Achille est le fils aîné du maréchal Joachim Murat (1767-1815), grand-duc de Berg et de Clèves (1806-1808) puis roi de Naples (1808-1815), et de son épouse la princesse française Caroline Bonaparte (1782-1839).
 
Par sa mère, le prince Achille est donc le neveu de l'empereur des Français Napoléon Ier (1769-1821) et le cousin germain de l'empereur Napoléon III (1808-1873). Enfin, par son père, il est le cousin de Marie-Antoinette Murat (1793-1847), princesse de Sigmaringen par son mariage avec le prince Charles de Hohenzollern (1785-1853).
 
Le 12 juillet 1826, le prince Achille épouse, à Tallahassee, en Floride, Catherine Willis Gray (1803-1867), arrière-petite-nièce du président américain George Washington (1732-1799). Mais le mariage reste sans postérité et les titres du prince Achille sont transmis à son frère cadet, Lucien Murat (1803-1878).
 
 
Biographie
 
Fils aîné du maréchal-roi Joachim Murat et de son épouse Caroline Bonaparte, il est éduqué par le précepteur peintre et graveur Claude-François Fortier. Il est emprisonné pendant plusieurs années en Autriche, d'abord près de Trieste puis au château de Frohsdorf, après la chute et l'exécution de son père, en 1815. En 1821, il quitte l'Europe pour les États-Unis et s'établit en Floride, comme propriétaire d'une plantation dans le comté de Tallahassee qu'il baptisa Lipona Plantation (en), anagramme de « Napoli » (en français, Naples)2. Devenu citoyen américain et demeurant à Tallahassee, il intègre la milice locale puis s'engage dans l'armée lorsque éclatent les guerres séminoles, ce qui lui vaut d'être nommé colonel.
 
Dans les mêmes moments, il rencontre une arrière-petite-nièce du président George Washington, Catherine Willis Gray (17 août 1803 - 6 août 1867) qu'il épouse le 12 juillet 1826. Le couple part alors pour La Nouvelle-Orléans, où le prince travaille comme avocat.
 
Après la Révolution de juillet 1830, le prince Achille revient en Europe dans l'espoir de retrouver une partie de la fortune de ses parents. Il participe alors à la guerre d'indépendance belge et sert comme colonel aux côtés des insurgés. Mais, incapable de faire valoir ses droits sur l'héritage des Murat, il rentre aux États-Unis et revient vivre sur ses terres de Floride.
 
Le prince Murat trouve la mort en 1847, un an avant l'élection de son cousin Louis-Napoléon Bonaparte à la présidence de la République française. Il est enterré dans le cimetière de l'église épiscopalienne St. Johns de Tallahassee. N'ayant jamais eu d'enfant, le prince transmet ses titres à son frère cadet, le prince Lucien Murat.
 
Quelques années plus tard, la France étant redevenue un Empire, la veuve du prince Achille reçoit de Napoléon III une somme de 40 000 dollars ainsi qu'une confortable pension annuelle jusqu'à sa mort, en 1867.
 
 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Achille_Murat
 
 

 
A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z, 0-9,

 
 
Tags : Achille Charles Louis Napoléon Murat, Achille, 21 janvier 1801, 21 janvier, 1801, Paris, 15 avril 1847, 15 avril, 1847, Waukeenah, François Gérard
​ 15 | 2 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le jeudi 21 janvier 2021 02:00

Modifié le vendredi 15 avril 2022 14:07

Marie Trintignant

 Marie Trintignant
 
 
 
Marie Trintignant, née le 21 janvier 1962 à Boulogne-Billancourt et morte le 1er août 2003 à Neuilly-sur-Seine, est une actrice française. Elle a été tuée par son compagnon Bertrand Cantat. Sa carrière de comédienne a commencé très tôt et devient fructueuse durant les années 90 notamment grâce à sa prestation dans le film Une affaire de femmes. Elle reçoit plusieurs nominations au César.
 
Fille de l'acteur Jean-Louis Trintignant et de la réalisatrice Nadine Trintignant, Marie Trintignant commence sa carrière d'actrice en 1966, à l'âge de quatre ans, dans Mon amour, mon amour de sa mère, aux côtés de son père, puis enchaîne d'autres films avec sa mère.
 
En 1978, à 16 ans, elle tourne dans Série noire d'Alain Corneau, qui entre dans les annales du film noir grâce à l'ambiance sombre et désespérée qui en émane et surtout l'interprétation de Patrick Dewaere sans qui le film « n'aurait pas existé », selon le réalisateur.
Dans les années 1980, sa notoriété bondit grâce à Etienne Périer, qui réalise La Garçonne, téléfilm en deux parties pour France 2 d'après le roman de Victor Margueritte en 1922, et à Claude Chabrol avec Une affaire de femmes — film dans lequel elle incarne une prostituée, amie du personnage principal interprété par Isabelle Huppert — puis Betty, en 1992, dans lequel elle tient le premier rôle, un personnage d'alcoolique en rupture avec sa famille bourgeoise et qui provoque le désordre dans le couple qui la recueille. Tous deux y ont mis en valeur son timbre de voix grave et son regard profond.
 
Dans les années 1990, elle obtient le premier rôle dans Nuit d'été en ville de Michel Deville. Elle se met à la comédie avec des films comme Cible émouvante ou encore ... Comme elle respire, deux films de Pierre Salvadori où elle donne la réplique à Jean Rochefort et Guillaume Depardieu.
 
En 2000, sous la direction de sa mère Nadine Trintignant, elle joue le rôle d'une militante du droit à l'avortement dans le téléfilm Victoire ou la Douleur des femmes. La même année, elle est membre du jury au Festival du cinéma américain de Deauville.
 
Elle est nommée cinq fois aux César du cinéma (1989 pour Une affaire de femmes, 1994 pour Les Marmottes, 1997 pour Le Cri de la soie, 1998 pour Le Cousin et 1999 pour ... Comme elle respire), sans obtenir le trophée.
 
Décès
 
Dans la nuit du 26 au 27 juillet 2003 dans leur chambre d'hôtel de Domina Plaza de Vilnius en Lituanie où elle tourne le téléfilm Colette, une femme libre, une dispute au sujet d'un message envoyé par son mari Samuel Benchetrit, dont elle est séparée, éclate avec son compagnon Bertrand Cantat. Ce dernier et Marie Trintignant ont une relation tumulteuse depuis 18 mois. Lors de cette dispute, Bertrand Cantat la frappe à plusieurs reprises, « une vingtaine de traces de coups ». La comédienne tombe au sol, inanimée. Bertrand Cantat la porte alors jusque dans son lit, sans appeler les secours. Au c½ur de la nuit seulement, il appelle au téléphone Vincent Trintignant, le frère de Marie. Celui-ci rejoint le chanteur, mais ne peut mesurer la gravité de la situation et est dissuadé d'appeler un médecin à plusieurs reprises. Ce n'est qu'à 7 h 15 du matin que Vincent Trintignant, constatant que sa s½ur ne réagit pas, se décide, lui, à appeler les secours. Marie Trintignant est admise à l'hôpital universitaire de Vilnius dans un coma profond.
 
À deux reprises, les chirurgiens de Vilnius opèrent la jeune femme pour décompresser le cerveau. Elle est rapatriée en France le 31 juillet 2003 en état de mort cérébrale, à la suite d'un ½dème cérébral suivi d'un coma profond provoqué par les coups portés. Une opération de la dernière chance est tentée par le neurochirurgien Stéphane Delajoux, mais elle meurt le lendemain, le vendredi 1er août 2003, à Neuilly-sur-Seine.
 
Marie Trintignant est inhumée au cimetière du Père-Lachaise (45e division) le 6 août 2003, en présence d'une assistance vêtue de blanc comme l'a demandé la famille, ont rapporté les journaux. Son cercueil est recouvert de tournesols, sa fleur favorite. Le matin, un hommage réunit des proches au théâtre Édouard VII pour des lectures de textes et chansons joués ou appréciés par Marie Trintignant.
 
Vie privée
 
Installée tantôt à Uzès, tantôt à Paris, Marie Trintignant est la mère de quatre enfants : Roman, né en 1986 de Richard Kolinka, Paul né en 1993 de François Cluzet, Léon né en 1996 de Mathias Othnin-Girard, et Jules né en 1998 de Samuel Benchetrit.
 
En 1998, sa mère, Nadine Trintignant, épouse son compagnon de longue date, le réalisateur Alain Corneau, qui adopte dans la foulée Marie et son frère Vincent, avec le consentement de leur père biologique, Jean-Louis Trintignant.
 
Le 4 septembre 2010, Alain Corneau est inhumé auprès de Marie au Père-Lachaise. Leur sépulture porte en épitaphe une citation signée de Percy Shelley : « Paix, paix, ils ne sont pas morts, ils ne sont pas endormis, ils se sont réveillés du rêve de la vie. »
 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_Trintignant
 
Tags : Marie Trintignant, Marie, 21 janvier 1962, 21 janvier, 1962, Boulogne-Billancourt, Décès, 1 août 2003, 1 août, 2003, Neuilly-sur-Seine, dessinsagogo55
​ 20 | 1 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le jeudi 21 janvier 2021 02:30

Marie Trintignant

Marie Trintignant




A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z, 0-9,
Tags : Marie Trintignant, Marie, 21 janvier, 1962, Boulogne-Billancourt, Décès, 1 août 2003, 1 août, Neuilly-sur-Seine, dessinsagogo55
​ 2 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le lundi 04 avril 2022 05:00

Marie Trintignant

Marie Trintignant




A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z, 0-9,
Tags : Marie Trintignant, Marie, 21 janvier 1962, 21 janvier, 1962, Boulogne-Billancourt, Décès, 1 août 2003, 1 août, 2003, Neuilly-sur-Seine, dessinsagogo55
​ 3 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le samedi 21 janvier 2023 03:00

Marie Trintignant

Marie Trintignant




A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z, 0-9,
Tags : Marie Trintignant, Marie, 21 janvier 1962, 21 janvier, 1962, Boulogne-Billancourt, Décès, 1 août 2003, 1 août, 2003, Neuilly-sur-Seine, dessinsagogo55
​ 4 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le vendredi 21 janvier 2022 03:00

Mort de Nathalie Delon

 Mort de Nathalie Delon
 
 
MORT DE L'ACTRICE NATHALIE DELON, EX-FEMME D'ALAIN ET MÈRE D'ANTHONY DELON
Le 21/01/2021 à 12:56
 
La comédienne Nathalie Delon, qui a partagé la vie d'Alain Delon dans les années 60, vient de mourir à l'âge de 79 ans.
 
La comédienne Nathalie Delon, mariée à Alain Delon dans les années 1960, est morte jeudi à Paris, à l'âge de 79 ans. Son fils l'acteur Anthony Delon l'a confirmé sur Instagram. "R.I.P. Maman", a-t-il sobrement écrit. "Ma mère est décédée ce matin à 11h00, à Paris, entourée de ses proches. Elle est morte d'un cancer rapide", a-t-il indiqué à l'AFP.
 
Nathalie Delon était surtout connue pour avoir joué aux côtés d'Alain Delon dans Le Samouraï de Jean-Pierre Melville, en 1967. Son premier rôle. Elle y joue Jane Lagrange, la maîtresse de Jef Costello, le taiseux tueur à gages incarné par Alain Delon. Elle jouera ensuite une seconde fois chez Melville, dans L'Armée des ombres.
 
D'origine espagnole, elle est née Francine Canovas le 1er août 1941 à Oujda, au Maroc, alors sous protectorat français. Elle débarque à Paris en 1962 après avoir quitté son premier mari, Guy Barthélémy, un ancien appelé du contingent, dont elle a une fille. Elle rencontre Alain Delon en 1962 dans une boîte de nuit parisienne. Une première rencontre sous le signe de l'amabilité, comme Nathalie Delon l'avait raconté dans l'émission Dim, Dam, Dom:
 
"Cela vous ennuierait-il de vous lever un tout petit peu, afin que je puisse prendre mon sac? Prenez-le, votre sac, je n'en ai strictement rien à foutre.""Quand je l'ai quitté, j'ai tout laissé derrière moi"
 
Delon se sépare de Romy Schneider avec qui il est fiancé, puis épouse le 13 août 1964 Nathalie. Le couple embarque aussitôt à bord du navire France pour une lune de miel et s'installe à Los Angeles, où elle accouche un mois plus tard de leur fils Anthony. L'idylle sera de courte durée.
 
Le fantôme de Romy Schneider plane sur leur histoire d'amour: "Alain ne me parlait jamais d'elle mais je voyais, de temps en temps, une ombre de tristesse passer dans son regard", lâche-t-elle bien plus tard. Très vite, l'atmosphère devient orageuse dans leur superbe villa des hauteurs de Hollywood et Nathalie Delon vit mal les conquêtes éphémères de son mari. "J'étais très naïve. Il était infidèle et moi pas", confiera-t-elle en 2001 sur le plateau de Thierry Ardisson.
 
Quatre ans plus tard, en 1969, ils divorcent. Selon Le Monde, ils s'étaient séparés deux ans auparavant, au cours de l'été 1967, sur le tournage du Samouraï:
 
"Dans la dernière scène du Samouraï que partagent Nathalie et Alain Delon, ce dernier l'embrasse furtivement sur la joue avant de quitter son appartement. Dans la vraie vie, la jeune femme venait de gifler son mari, laissant une marque sur sa joue, au point de contraindre Melville à filmer l'autre profil de l'acteur. C'est la dernière image à l'écran du couple, qui se séparera très vite", écrit Samuel Blumenfeld.
Le divorce est prononcé en février 1969. "Quand je l'ai quitté, j'ai tout laissé derrière moi, je suis partie avec mon fils et ma gouvernante, c'est tout", raconte-t-elle en 2018 à Paris Match. Tandis qu'Alain Delon refait sa vie avec Mireille Darc.
 
Nathalie Delon conservera malgré tout son nom d'épouse et continuera d'apparaître au cinéma. On la voit notamment dans Sex-shop (1971) de Claude Berri, Le Moine (1973) d'Adonis Kayrou ou encore dans Une femme fidèle (1976) de Roger Vadim. Elle a ensuite réalisé deux films dans les années 1980.
 
Alain et Nathalie ne s'étaient pas perdus de vue. Anthony Delon avait partagé une photo de ses parents au début du mois de janvier.
 
Jérôme Lachasse avec AFP
 
 


A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z, 0-9,



 
 
 
Tags : Nathalie Delon, Nathalie, 1 août 1941, 1 août, 1941, Oujda, Décès, 21 janvier 2021, 21 janvier, 2021, Paris, dessinsagogo55, Cinéma, Actrice
​ 4 | 1 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le vendredi 21 janvier 2022 00:30

Mort de Rémy Julienne

 Mort de Rémy Julienne
 
 
 
Mort de Rémy Julienne : ses cascades les plus folles en images
 
 

DISPARITION - Figure emblématique de la cascade au cinéma, Rémy Julienne a été emporté par le coronavirus dans la nuit de jeudi à vendredi, ont annoncé ses proches.
22 janv. 13:41 - La rédaction de LCI

 
Son nom était indissociable de l'histoire de la cascade au cinéma. Rémy Julienne est décédé du Covid-19 à l'âge de 90 ans, après avoir lutté contre la maladie depuis le début du mois, ont annoncé des proches à l'AFP, confirmant une information du Figaro. 
 
Le cascadeur français a marqué sa discipline à l'échelle internationale. En plus d'un demi-siècle de carrière, il compte plus de 1400 productions à son actif. 
 
De "Fantômas" à "James Bond"
 
Alors champion de France de moto-cross, Rémy Julienne a débuté au cinéma en 1964 en doublant Jean Marais dans Fantômas. Il a par la suite joué les doublures pour Yves Montand, Alain Delon ou encore Sean Connery et Roger Moore dans les films de la saga James Bond. "Sans Rémy Julienne, James Bond n'aurait jamais existé", avait d'ailleurs déclaré Roger Moore. Il était également très lié à Jean-Paul Belmondo, pour lequel il a réglé d'innombrables cascades.
 
Le roi de la cascade était notamment au générique des films La Grande Vadrouille, L'Aile ou la Cuisse, Le Gendarme de Saint-Tropez, Da Vinci Code, Permis de tuer, GoldenEye ou encore Taxi 2.
 
Selon une source proche de la famille, Rémy Julienne sera enterré à Cepoy, dans le caveau familial.
 
 
 
 
Tags : Rémy Julienne, Rémy, 17 avril 1930, 17 avril, 1930, Cepoy, Décès, 21 janvier 2021, 21 janvier, 2021, Montargis, Cinéma, Concepteur de cascades, dessinsagogo55
​ 4 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le vendredi 22 janvier 2021 12:23

Rémy Julienne

 Rémy Julienne
 
 
 
Rémy Julienne, né le 17 avril 1930 à Cepoy (Loiret) et mort le 21 janvier 2021 à Montargis (Loiret), est un cascadeur et concepteur de cascades français.
 
« Casse-cou du cinéma français », il a plus de 1 400 productions à son actif (environ 400 films cinématographiques, des séries télévisées, des publicités, des shows mécaniques, etc.
 
Biographie
Famille et formation
 
Rémi Lucien Ernest, dit Rémy, Lucienne naît le 12 avril 1930 à Cepoy dans le Loiret du mariage de Paul Julienne, restaurateur et transporteur, et de Lucienne Pavas, restauratrice.
 
Rémi Julienne suit les cours de l'école primaire à Cepoy, puis à Gien.
 
Le 30 janvier 1956, il épouse Antonie Pedrocchi. De ce mariage naissent deux enfants : Michel et Dominique.
 
Carrière
 
Pilote
 
De 1948 à 1964, Rémy Julienne est transporteur routier. Il est champion de France de moto-cross en 1958, catégorie 500 cm3. Il gagne la course des 24 Heures motonautiques de Rouen en 1982, les courses automobiles Star Racing Team en 1983 et Speedy Star Challenge en 1987.
 
Cascadeur
Rémy Julienne est considéré comme « le casse-cou du cinéma français ».
 
Il commence sa carrière de cascadeur dans le film Fantômas en 1964. Il est recruté par le responsable des effets spéciaux du film, Gil Delamare. À l'époque, le cascadeur le plus réputé outre Delamare était Jean Sunny.
 
Il règle les cascades pour plusieurs grosses productions ou des films populaires français parmi lesquels on peut retenir : La Grande Vadrouille, Le Cerveau, Le Pacha, L'aventure c'est l'aventure, Le Grand Bazar, Les Aventures de Rabbi Jacob, La Menace, Trois Hommes à abattre, Le Marginal, Taxi, ainsi que six James Bond (Rien que pour vos yeux, Octopussy, Dangereusement vôtre, Tuer n'est pas jouer, et Permis de tuer de John Glen et GoldenEye de Martin Campbell) et la série des Gendarmes de Saint-Tropez où il double notamment la scène de la religieuse en 2 CV. Pour le film d'Henri Verneuil Le Casse, sorti en 1971, une course-poursuite de neuf minutes est filmée dans un quartier d'Athènes sans que l'équipe de tournage ne fasse arrêter la circulation : Rémy Julienne est finalement obligé de s'encastrer dans une bordure pour éviter la voiture d'un inconnu arrivant en face.
 
 
La Renault 11 "décapitée" par James Bond. L'une des voitures qui ont servi pendant le tournage de Dangereusement vôtre.
 

Parallèlement à son activité cinématographique, le groupe Disney fait appel à Rémy Julienne pour la conception d'une attraction liée à Disneyland Paris. C'est ainsi qu'il imagine et propose pour le nouveau parc Walt Disney Studios le spectacle à connotation cinéma Moteurs, Action! présenté depuis 2002. Il travaille en collaboration avec son fils Dominique chargé de l'étude et la conception de tous les éléments technique (véhicules, infrastructures cascade), la formation des pilotes cascadeurs et techniciens, l'étude et la mise au point des cascades et la mise en scène du spectacle. Le succès est tel que depuis 2005 le spectacle est reproduit de manière identique en Floride où il remporte un succès constant au Disney-MGM Studios.
 
La télévision a fait appel à lui de nombreuses fois pour des spots publicitaires de constructeurs automobiles (Fiat, Citroën, etc.). Il est sollicité par la justice pour superviser techniquement la reconstitution du meurtre d'Isabel Peake par Sid Ahmed Rezala.
 
Mort
 
Le 11 janvier 2021, Jean-Pierre Door annonce sur son compte Facebook l'hospitalisation et la mise en réanimation de Rémy Julienne. Il est touché sévèrement par la Covid-19. Il meurt le 21 janvier à l'hôpital de Montargis des suites de la maladie.
 
Affaire judiciaire
 
À la suite d'un accident survenu sur le tournage de Taxi 2 le 16 août 1999, le cameraman Alain Dutartre meurt. Rémy Julienne, responsable des cascades, est jugé et condamné à dix-huit mois de prison avec sursis et 13 000 ¤ d'amende. En appel, il est condamné le 29 juin 2009 à six mois de prison avec sursis et 2 000 ¤ d'amende.
 
Lors de ces deux procès, Rémy Julienne n'était pas présent à la barre. Les deux fois, il avait demandé le report des procès, en justifiant de son état de santé alarmant (deux infarctus du myocarde). Sa requête a été refusée. La Cour de cassation a donné raison à Rémy Julienne. Le dénouement de ce feuilleton judiciaire s'avère approximatif.
 
Filmographie partielle
 
1964 : Fantômas d'André Hunebelle
1965 : Le Gentleman de Cocody de Christian-Jaque
1965 : Coplan FX 18 casse tout de Riccardo Freda
1966 : Le Solitaire passe à l'attaque de Ralph Habib
1966 : La Grande Vadrouille de Gérard Oury
1966 : Le Grand Restaurant de Jacques Besnard
1966 : Le Roi de c½ur de Philippe de Broca
1966 : Commissaire San-Antonio : Sale temps pour les mouches ! de Guy Lefranc
1966 : Le Saint prend l'affût de Christian-Jaque
1966 : Opération San Gennaro de Dino Risi
1966 : Mission T.S. de Alberto Lattuada
1967 : Les Grandes Vacances de Jean Girault
1967 : Au diable les anges de Lucio Fulci
1967 : Typhon sur Hambourg de Alfonso Balcázar
1967 : Fleur d'oseille de Georges Lautner
1968 : À tout casser de John Berry
1968 : Le Pacha de Georges Lautner
1968 : Le Gendarme se marie de Jean Girault
1968 : Le Cascadeur de Marcello Baldi
1968 : Ho ! de Robert Enrico
1969 : Le Cerveau de Gérard Oury
1969 : La Peau de Torpedo de Jean Delannoy
1969 : L'or se barre (The Italian Job) de Peter Collinson
1970 : Qui ? de Léonard Keigel
1970 : Cannabis de Pierre Koralnik
1970 : Point de chute de Robert Hossein
1970 : La Femme du prêtre de Dino Risi
1970 : Sur un arbre perché de Serge Korber
1970 : Le Gendarme en balade de Jean Girault
1970 : Le Mur de l'Atlantique de Marcel Camus
1970 : De la part des copains de Terence Young
1970 : La Cité de la violence de Sergio Sollima
1970 : Fantasia chez les ploucs de Gérard Pirès
1971 : Le Tueur de Denys de La Patellière
1971 : La Poudre d'escampette de Philippe de Broca
1971 : La Maison sous les arbres de René Clément
1971 : Le Casse d'Henri Verneuil
1972 : Le Silencieux de Claude Pinoteau
1972 : Les Charlots font l'Espagne de Jean Girault
1972 : Les Caïds de Robert Enrico
1972 : Le Serpent d'Henri Verneuil
1972 : La Nuit américaine de François Truffaut
1972 : Un homme à respecter de Michele Lupo
1972 : Le Chacal de Fred Zinnemann
1972 : Les Caïds de Robert Enrico
1972 : Cosa Nostra de Terence Young
1972 : L'aventure c'est l'aventure de Claude Lelouch
1972 : Quelques messieurs trop tranquilles de Georges Lautner
1973 : Il n'y a pas de fumée sans feu d'André Cayatte
1973 : La Bonne Année de Claude Lelouch
1973 : Le Grand Bazar de Claude Zidi
1973 : Les Aventures de Rabbi Jacob de Gérard Oury
1973 : Les Grands Fusils de Duccio Tessari
1973 : Deux Hommes dans la ville de José Giovanni
1974 : Toute une vie de Claude Lelouch
1974 : Attention, on va s'fâcher ! de Marcello Fondato
1974 : Section Spéciale de Costa-Gavras
1974 : French Connection 2 (French Connection II) de John Frankenheimer
1974 : La Gifle de Claude Pinoteau
1974 : Comme un pot de fraises de Jean Aurel
1974 : Peur sur la ville d'Henri Verneuil
1974 : Marseille contrat de Robert Parish
1974 : Salut les pourris (Il Poliziotto è marcio) de Fernando Di Leo
1975 : L'Agression de Gérard Pirès
1975 : Il faut vivre dangereusement de Claude Makovski
1975 : La Faille de Peter Fleischmann
1975 : Pas de problème ! de Georges Lautner
1975 : Le Gitan de José Giovanni
1975 : La situation est grave mais... pas désespérée ! de Jacques Besnard
1975 : Le Sauvage de Jean-Paul Rappeneau
1975 : Flic Story de Jacques Deray
1975 : L'Alpagueur de Philippe Labro
1975 : Bons baisers de Hong Kong d'Yvan Chiffre
1976 : Tough Tony Saitta de Alberto de Martino
1976 : Police Python 357 d'Alain Corneau
1976 : On aura tout vu de Georges Lautner
1976 : L'Aile ou la Cuisse de Claude Zidi
1977 : Dites-lui que je l'aime de Claude Miller
1977 : À chacun son enfer d'André Cayatte
1977 : Bobby Deerfield de Sydney Pollack
1977 : L'Animal de Claude Zidi
1977 : La Coccinelle à Monte-Carlo de Vincent McEveety
1977 : La Menace d'Alain Corneau
1977 : Mort d'un pourri de Georges Lautner
1978 : La Raison d'État d'André Cayatte
1978 : Sale Rêveur de Jean-Marie Périer
1978 : Le beaujolais nouveau est arrivé de Jean-Luc Voulfow
1978 : Ils sont fous ces sorciers de Georges Lautner
1978 : La Carapate de Gérard Oury
1979 : Coup de tête de Jean-Jacques Annaud
1979 : Flic ou Voyou de Georges Lautner
1979 : Le Gendarme et les Extra-terrestres de Jean Girault
1979 : Le Pull-over rouge de Michel Drach
1979 : Les Égouts du paradis de José Giovanni
1979 : Avec les compliments de Charlie de Stuart Rosenberg
1980 : Inspecteur la Bavure de Claude Zidi
1980 : Le Coup du parapluie de Gérard Oury
1980 : Le Guignolo de Georges Lautner
1980 : Trois Hommes à abattre de Jacques Deray
1981 : Rien que pour vos yeux de John Glen
1981 : Beau-père de Bertrand Blier
1981 : Le Professionnel de Georges Lautner
1981 : Pour la peau d'un flic d'Alain Delon
1982 : L'As des as de Gérard Oury
1982 : Le Battant de Alain Delon et Robin Davis
1982 : Jamais avant le mariage de Daniel Ceccaldi
1982 : Le Gendarme et les Gendarmettes de Jean Girault
1982 : Mortelle randonnée de Claude Miller
1982 : Le Faucon de Paul Boujenah
1982 : Flics de choc de Jean-Pierre Desagnat
1982 : Tout feu, tout flamme, de Jean-Paul Rappeneau (sous la houlette de Daniel Vérité)
1983 : Trenchcoat de Michael Tuchner
1983 : Le Marginal de Jacques Deray
1983 : Octopussy de John Glen
1983 : Il était une fois en Amérique de Sergio Leone
1983 : Canicule d'Yves Boisset
1984 : La Femme publique de Andrzej Żuławski
1984 : La Septième Cible de Claude Pinoteau
1984 : French Lover de Richard Marquand
1984 : Les Morfalous d'Henri Verneuil
1984 : Joyeuses Pâques de Georges Lautner
1985 : Target de Arthur Penn
1985 : Tristesse et Beauté de Joy Fleury
1985 : Mon beau-frère a tué ma s½ur de Jacques Rouffio
1985 : Dangereusement vôtre de John Glen
1985 : Hold-up d'Alexandre Arcady
1986 : Mauvais Sang de Leos Carax
1986 : Mister Dynamite de Jackie Chan
1986 : Lévy et Goliath de Gérard Oury
1986 : Twist again à Moscou de Jean-Marie Poiré
1987 : Grand Larceny de Jeannot Szwarc
1987 : Le Solitaire de Jacques Deray
1987 : Tuer n'est pas jouer de John Glen
1987 : Man on Fire de Élie Chouraqui
1988 : Frantic de Roman Polanski
1988 : Honor Bound de Jeannot Szwarc
1988 : Permis de tuer de John Glen
1989 : Pleure pas my love de Tony Gatlif
1991 : Netchaiev est de retour de Jacques Deray
1991 : Les Associés de John Woo
1993 : Un crime de Jacques Deray
1995 : Mr. Stitch : Le voleur d'âmes de Roger Avary avec Rutger Hauer
1995 : GoldenEye de Martin Campbell
1995 : Antártida de Manuel Huerga
1996 : Le Huitième jour de Jaco Van Dormael (+ cameo)
1998 : Une chance sur deux de Patrice Leconte
1998 : Taxi de Gérard Pirès
2000 : Taxi 2 de Gérard Krawczyk
2002 : Riders de Gérard Pirès
2006 : Da Vinci Code de Ron Howard
2010 : La Souricière de Antoine Besson et Yasmina Ghemzi
 
Distinctions
 
Récompenses
 
Rémy Julienne est titulaire de plusieurs prix et médailles d'honneur :
 
en 1981, l'« annual award » remis aux États-Unis, par la Motion Picture Hall of Fame  en tant que meilleur coordinateur de cascades pour le film Rien que pour vos yeux ;
en 2012, le trophée d'honneur des Tickets d'or et le trophée Vulcain de la Commission Supérieure Technique de Cannes ;
en 2013, la médaille d'honneur de la ville de Rouen ;
en 2014, le prix Henri-Langlois, Arts et Techniques de la Cascade lors des Rencontres internationales du Cinéma et le prix de la Mémoire du Cinéma français de l'Association de la presse étrangère lors de la Cérémonie de la Plume d'or, à l'occasion des cinquante ans de carrière de Rémy Julienne au service du cinéma français et international ;
en 2016, l'Hitchcock d'honneur, Festival du film britannique de Dinard :
en 2017, la médaille d'honneur de la ville de Belfort.
 
Hommages
 
Depuis 1999, un prix Rémy-Julienne est remis chaque année lors du Festival du film d'aventures de Valenciennes à « un comédien capable d'aborder avec le même talent des rôles physiques et des personnages intimistes dans des films d'auteur ».
En 2016, la municipalité de Cepoy, sa commune de naissance, donne son nom à une place
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9my_Julienne
 
 
 
 
Tags : Rémy Julienne, Rémy, 17 avril 1930, 17 avril, 1930, Cepoy, Décès, 21 janvier 2021, 21 janvier, 2021, Montargis, Cinéma, Concepteur de cascades
​ 4 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le vendredi 21 janvier 2022 03:30

Vladimir Ilitch Lénine

Vladimir Ilitch Lénine
Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine à partir de 1901, est un révolutionnaire communiste, théoricien politique et homme d'État russe, né le 10 avril 1870 (22 avril 1870 dans le calendrier grégorien) à Simbirsk (aujourd'hui Oulianovsk) et mort le 21 janvier 1924 à Vichnie Gorki (aujourd'hui Gorki Leninskie).
 
Il rejoint à la fin du XIXe siècle le Parti ouvrier social-démocrate de Russie, la section russe de la Deuxième Internationale, puis provoque en 1903 une scission du Parti russe et devient l'un des principaux dirigeants du courant bolchevik. Auteur d'une importante ½uvre écrite d'inspiration marxiste, il se distingue par ses conceptions politiques qui font du parti l'élément moteur de la lutte des classes et de la dictature du prolétariat.
 
En 1917, après l'effondrement du tsarisme, les bolcheviks s'emparent du pouvoir en Russie lors de la révolution d'Octobre. La prise du pouvoir par Lénine donne naissance à la Russie soviétique, premier régime communiste de l'histoire, autour de laquelle se constitue ensuite l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS). Lénine et les bolcheviks parviennent à assurer la survie de leur régime, malgré leur isolement international et un contexte de guerre civile. Ayant pour ambition d'étendre la révolution au reste du monde, Lénine fonde en 1919 l'Internationale communiste : il provoque à l'échelle mondiale une scission de la famille politique socialiste et la naissance en tant que courant distinct du mouvement communiste, ce qui contribue à faire de lui l'un des personnages les plus importants de l'histoire contemporaine. Il instaure également le parti unique en URSS.
 
En mars 1923, Lénine est définitivement écarté du jeu politique par la maladie ; il meurt en début d'année suivante. Deux successeurs se présentent : Joseph Staline et Léon Trotski. Lénine ne voulait pas que le premier gouverne et préférait Trotski, mais Staline sort finalement vainqueur de cette rivalité. Les idées de Lénine sont, après sa mort, synthétisées au sein d'un corpus doctrinal, baptisé léninisme, qui donne ensuite naissance au marxisme-léninisme, idéologie officielle de l'URSS et de l'ensemble des régimes communistes durant le XXe siècle.
 
La continuité politique entre Lénine et Staline fait l'objet de débats ; certains auteurs ont souligné que la philosophie politique et la pratique du pouvoir de Lénine contiendraient des éléments clés de la dictature au sens moderne du terme, voire du totalitarisme quand d'autres soutiennent l'idée d'une rupture entre les pratiques des deux dirigeants. À l'international, certains historiens le comparent parfois à Oliver Cromwell et Maximilien de Robespierre, puisqu'ils sont considérés comme les principaux responsables de régicides, tout en se rendant ultérieurement responsables de pratiques répressives et d'expériences dictatoriales voire proto-totalitaires éloignées des idéaux de libertés affichés lors des révolutions menées


A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z, 0-9,
Tags : Vladimir Ilitch Lénine, Vladimir Ilitch Oulianov, Lénine, 10 avril 1870, 10 avril, 1870, Simbirsk, Oulianovsk, 21 janvier 1924, 21 janvier, 1924, Vichnie Gorki, Gorki Leninskie, Vladimir, Politique, dessinsagogo55
​ 4 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mercredi 16 mars 2022 06:30

Modifié le dimanche 10 avril 2022 17:42

  • 1
  • 2
  • Suivant

Design by dessinsagogo55

Signaler un abus

Abonne-toi à mon blog ! (85 abonnés)

RSS

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
    • Signaler un abus
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Politique de confidentialité
    • Gestion de la publicité
    • Aide
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tasanté
    • Zipalo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile