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dessinsagogo55

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17 articles taggés 25 avril

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la femme : Gif dessinsagogo55

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Tags : femme, Gif, Gif dessinsagogo55, Eric Picard, 25 avril 2014, 25 avril, 2014
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#Posté le mercredi 15 juin 2011 16:29

Modifié le mardi 06 mai 2014 13:56

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#Posté le vendredi 22 mars 2013 07:30

Modifié le dimanche 18 mai 2014 11:47

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#Posté le jeudi 08 mai 2014 14:00

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#Posté le dimanche 03 février 2013 15:26

Modifié le dimanche 25 mai 2014 15:05

Mike Brant

Né Moshé Michaël Brand, plus connu sous le nom de Mike Brant (1er février 1947 à Famagouste, Chypre - 25 avril 1975 à Paris), était un chanteur crooner israélien.
Il est le fils de Bronia Rosenberg, originaire de Lodz en Pologne, rescapée d'Auschwitz, et de Fichel Brand, résistant polonais originaire de Bilgoraj, de 20 ans son aîné. Ses parents se marient au sortir de la guerre puis essaient d'immigrer en Palestine mandataire, mais seront refoulés par les Britanniques dans un camp d'accueil à Famagouste à Chypre. C'est dans ce camp que naît Mike Brant. La famille Brand parvient finalement à débarquer en Israël à Haïfa fin septembre 1947 et y vit de l'agriculture dans un kibboutz en Galilée. Mike Brant ne parle qu'à l'âge de 4 ans et affirme très tôt à son entourage « plus tard, je serai vedette... ou clochard ! ». Il rentre à l'âge de 11 ans dans la chorale de son école.
À 15 ans, il est choisi pour animer le réveillon de la Saint Sylvestre dans un grand hôtel d'Haïfa et à 17 ans il devient un artiste reconnu dans les grands hôtels israéliens à la tête de son groupe, « les Chocolate's ». Il interprète pour la clientèle internationale des hits américains de ses chanteurs préférés : Tom Jones, Elvis Presley, Frank Sinatra, Aretha Franklin, les Platters.
Son père décède en 1967 et Mike Brant en est très affecté. Désormais il commencera chacune de ses prestations par interpréter en son honneur la chanson préférée de son père. Peu après, à l'âge de 20 ans il entre comme chanteur dans la célèbre troupe du grand music-hall d'Israël, Lakat Karmon et pendant deux ans, il fait connaître en Afrique, en Australie et aux États-Unis des airs du folklore israélien. Puis il est embauché dans un night-club en Iran à Téhéran, le Baccara, et est remarqué par Sylvie Vartan et Carlos qui l'invitent en France bien qu'il ne parle pas le français et à peine l'anglais.
C'est en 1969 qu'il arrive à Paris et se produit grâce à Carlos au club Bistingo. Carlos lui fait également rencontrer Jean Renard, l'un des compositeurs de Johnny Hallyday qui lui écrit Laisse moi t'aimer. Il passera 2 mois à travailler la chanson dans les studios, en réécrivant phonétiquement les paroles en hébreu. Grâce à son travail acharné la chanson devient rapidement un énorme succès et il est invité dans les émissions de télévision qui le font connaître. Il vendra plus d'un million de disques de son premier hit.
Le 28 octobre 1970, il interprète « Mais dans la lumière » et remporte le Grand Prix RTL international, référence de l'époque. Le 14 février 1971, il est victime d'un accident de la route à Bourg-en-Bresse. Il subit un traumatisme crânien et s'en sort très secoué. En novembre 1971 Dalida lui propose de participer à son prochain spectacle à l'Olympia de Paris qui dure 17 jours. À cette époque il part en tournée avec Esther Galil avec qui il noue une grande amitié.
En 1972, il chante Qui saura, reprise de Ché Sara de José Feliciano, qui devient rapidement numéro 1 des hits et dépasse Claude François en popularité. Puis c'est au tour de C'est ma prière et, en 1973, viennent trois autres succès : Rien qu'une larme, Tout donné, tout repris et Viens ce soir. Il enchaîne tournée sur tournée et soixante-dix galas pendant l'été. En 1974 d'autres succès voient le jour : C'est comme ça que je t'aime, Serre les poings et bats-toi, On se retrouve par hasard et Qui pourra te dire ?.
Epuisé par sa vie trépidante et très affecté psychologiquement par le cambriolage de son appartement, il fait une première tentative de suicide le vendredi 22 novembre 1974 en se jetant du 5e étage de l'hôtel de la Paix, à Genève. Par chance, il est bloqué aux rambardes du 3e étage : il en est quitte pour un nouveau traumatisme crânien et deux fractures des jambes. Une version rapporte qu'il aurait voulu faire une farce à un ami résidant à l'étage en dessous en se suspendant à la balustrade du balcon de sa chambre. C'est là qu'il aurait fait une chute.
Mais le vendredi 25 avril 1975 à 11 h du matin, Mike Brant fait une nouvelle tentative de suicide en se jetant du 6e étage d'un immeuble situé au 6 de la rue Erlanger à Paris. La chute lui est fatale : Mike Brant avait 28 ans. Plusieurs thèses ont été mises en avant pour expliquer sa mort prématurée. Certains ont parlé d'assassinat, de sa difficulté grandissante à assumer les conséquences de son succès (vie désorganisée, harcèlement des fans), tandis que d'autres ont défendu la version du traumatisme psychologique qui touche les enfants de déportés. Parmi les autres versions qui firent également les gros titres des magazines à sensation : une implication dans un trafic d'œuvres d'art, une obscure histoire d'espionnage avec le Mossad (les services secrets israéliens) en toile de fond ou bien encore une dispute avec Simon Wajntrob (son dernier producteur qui sera retrouvé mort quelques années plus tard dans le Bois de Boulogne) qui aurait tourné à la tragédie. Il faut néanmoins employer le conditionnel tant les raisons expliquant sa disparition demeurent matières à controverse. Comme toute vedette morte de façon aussi tragique, une sorte de légende entoure sa mort car on a du mal à admettre qu'il ait disparu...
Mike Brant a été enterré dans le cimetière Camp David de Haïfa en Israël le 7 mai 1975
Principaux succès
1970 Laisse moi t'aimer

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(Remix)


1970 Mais dans la lumière
1970 Parce que je t'aime plus que moi
1971 A corps perdu
1972 Qui saura

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1972 C'est ma prière
1972 Sans amis
1973 Rien qu'une larme
1973 Toi mon enfant
1973 Tout donné, tout repris
1973 Viens ce soir
1974 Serre les poings et bats toi
1974 Qui pourra te dire
1974 C'est comme ça que je t'aime

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1974 Toutes les couleurs


1975 Dis lui

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Tags : Mike Brant, Musique, Chanteur, Clip Vidéo-Musique, Moshé Michaël Brand, 1 février 1947, 1 février, 1947, Famagouste, Décès, 25 avril 1975, 25 avril, 1975
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#Posté le mardi 01 février 2022 04:00

Nicolas Charles Oudinot

Nicolas Charles Oudinot, né le 25 avril 1767 à Bar-le-Duc, mort le 13 septembre 1847, duc de Reggio et maréchal d'Empire.

Nicolas Charles Oudinot

Nicolas-Charles Oudinot est issu de la petite bourgeoisie meusienne. Après des études dans sa ville natale puis à Toul, il s'engagea en 1784, à l'âge de dix-sept ans, dans le régiment de Médoc-infanterie, son caractère ne l'inclinant guère à participer aux affaires de la brasserie paternelle. Revenu dans sa région trois ans plus tard avec le grade de sergent, il y épousa Françoise-Charlotte Derlin en septembre 1789, année où les premiers événements de la Révolution lui fournirent l'occasion de se révéler.
Le 14 juillet 1789, une compagnie soldée, formée à Bar, plaça à sa tête l'ancien soldat du Médoc-infanterie avec le grade de capitaine. Ayant montré sa fermeté et son esprit de décision lors de quelques troubles qui agitèrent cette ville, Oudinot fut désigné en 1790 comme chef de légion, commandant la Garde nationale du département, puis, le 6 septembre 1791, élu à la majorité des suffrages lieutenant-colonel du 3e bataillon des volontaires de la Meuse, avec lequel il partit pour la frontière du Nord-Est.


À la suite de sa remarquable défense de Bitche, il fut promu chef de brigade (colonel) le 5 novembre 1793 et se vit attribuer le commandement de la 4e demi-brigade, qui venait d'être constituée avec l'un des plus brillants éléments de l'armée monarchique, le régiment de Picardie. En décembre de la même année, à l'affaire d'Haguenau il reçut la première d'une longue série de blessures qui firent de lui le maréchal le plus blessé de l'Empire. Quelques mois plus tard, sa conduite à Kaiserslautern, où il se fraya un passage à la baïonnette dans les rangs prussiens, lui valut le grade de général de brigade (14 juin 1794). Il avait alors vingt-sept ans et, comme la plupart des futurs maréchaux de l'Empire, était parvenu à ce grade bien avant le 18 Brumaire. En octobre 1795, victime de cinq coups de sabre à Neckerau et laissé sur le terrain, il fut fait prisonnier par les Autrichiens. Libéré l'année suivante à la suite d'un échange d'officiers supérieurs, il rejoignit les armées du Rhin et de la Moselle commandées par le général Moreau. En 1799, pendant la campagne d'Helvétie, il se distingua à la prise de Zurich et à celle de Constance, étant alors chef d'état-major de Masséna qui le fit nommer général de division (12 avril 1799).

Oudinot prit ensuite part à toutes les grandes campagnes du Consulat et de l'Empire, à l'exception de celles d'Espagne et du Portugal. Auprès de Masséna, il soutint avec l'armée de Ligurie le siège de Gênes, place qui fut évacuée avec les honneurs de la guerre après avoir permis à Bonaparte de franchir les Alpes. Lors des dernières opérations en Italie, il s'illustra, notamment par un fait d'armes personnel en s'emparant avec son état-major d'une batterie autrichienne gardant le passage du Mincio (décembre 1800). En février 1805, à la veille de la formation de la troisième coalition, il reçut le commandement en chef des grenadiers réunis, soldats d'élite qui ne furent bientôt plus connus que sous le nom de « Grenadiers d'Oudinot » : il remporta l'année même une série de succès à Wertingen, Amstetten. Vienne et Hollabrünn, puis contribua à la victoire d'Austerlitz. Il rendit de précieux services en 1806 durant la campagne de Prusse, enleva Ostrolenka par une brillante charge de cavalerie Tannée suivante (février 1807) et se couvrit de gloire face aux Russes à Friedland (juin 1807). Le 25 juillet 1808. l'Empereur lui accorda le titre de comte de l'Empire avec pour dotation le domaine d'Inowaclo (Pologne). A la tête de sa troupe — surnommée « la colonne infernale » tant elle inspirait de crainte dans les rangs ennemis —, il se signala durant la campagne d'Autriche (1809) à Ebersberg puis Essling. Quand Lannes fut mis hors de combat, l'Empereur donna « le commandement du 2ecorps au comte Oudinot, général éprouvé dans cent combats, où il a montré autant d'intrépidité que de savoir» (23 mai, 10e Bulletin de la Grande Armée). Peu après, il fit des prodiges de valeur à Wagram, où il força la victoire en outrepassant les ordres de Napoléon, qui lui donna son bâton de maréchal le 12 juillet 1809 et le titre de duc de Reggio.

S'il semble bien que l'Empereur voyait, depuis plusieurs années déjà, en lui l'un de ses futurs maréchaux, divers facteurs ont pu venir retarder son élévation à cette dignité : Oudinot était de l'armée du Rhin el n'avait rencontré Bonaparte pour la première fois qu'après l'instauration du Consulat; républicain affiché, il fit longtemps partie du groupe des généraux « d'opposition »; s'il était un meneur d'hommes d'une bravoure exceptionnelle, il n'était toutefois pas un grand stratège ; ses multiples blessures, enfin, le tinrent trop souvent écarté aux moments où se distribuaient les distinctions. À l'intrépidité Oudinot joignait un esprit chevaleresque reconnu de ses adversaires et, dernière la rudesse extérieure de son caractère, un indéniable savoir-faire qui contribuèrent sans doute à lui faire attribuer certaines missions plus diplomatiques que militaires avant comme après son accession au maréchalat.

Chargé, en 1806, de prendre possession au nom de Berthier de la principauté de Neuchâtel (Suisse) cédée à la France par la Prusse, il s'attira, par son équité et son désintéressement, la reconnaissance des habitants qui, à son départ, lui offrirent une épée d'honneur et la citoyenneté de Neuchâtel. Gouverneur d'Erfurt, il eut la tâche délicate de veiller au bon déroulement d'un congrès (septembre 1808) où étaient conviés nombre de souverains et princes d'Europe autour de Napoléon et du tsar, auquel l'Empereur le présenta comme « le Bayard de l'armée française ». Lors de l'abdication de Louis Bonaparte du trône de Hollande, Napoléon, ayant décidé d'annexer ce pays à l'Empire, en confia l'occupation à Oudinot, qui sut concilier dans cette opération (1810) la fermeté qu'exigeait l'application des ordres reçus, le respect que demandait le sort d'un peuple éprouvé et les égards qu'appelait la situation du frère de l'Empereur.

C'est durant son séjour en Hollande qu'Oudinot apprit le décès de sa femme dont il avait eu sept enfants. Quelque temps plus tard, le 19 janvier 1812, il épousa Marie-Charlotte-Eugénie de Coucy, jeune femme de l'aristocratie de l'Ancien Régime, qui lui donna quatre autres descendants venant agrandir une famille où le métier des armes fut largement représenté. Tous ses fils embrassèrent la carrière militaire : l'aîné, Victor, lieutenant des hussards en 1809, chef d'escadron à la fin de l'Empire, reçut en 1849, une fois devenu général, le commandement en chef du corps expéditionnaire français contre la République romaine ; le deuxième, Auguste, colonel des chasseurs d'Afrique, trouva la mort durant la conquête de l'Algérie ; le troisième, Charles, fut lieutenant-colonel d'infanterie et le quatrième, Henri, général de brigade. Deux de ses gendres, Claude Pajol et Guillaume de Lorencez, étaient de brillants généraux de division qui, comme le maréchal, firent les dernières campagnes de l'Empire.

Chef du 2e corps pendant la campagne de Russie, Oudinot remporta plusieurs succès autour de Pulutsk (août 1812) et montra le plus admirable courage en ouvrant à l'armée le passage de la Bérézina (novembre 1812).
Commandant le 12e corps, le 4e, puis le 7e et 12e corps réunis durant la campagne d'Allemagne, il se battit comme un lion à Bautzen (mai 1813), mais fut refoulé par Bernadotte à Gross-Beeren (août 1813) ; il conduisit ensuite avec héroïsme deux divisions de la Jeune Garde à Wachau puis à Freiburg (octobre 1813) et, lors de la campagne de France, fit preuve d'une remarquable bravoure à La Rolhière (février 1814) et à Arcis-sur-Aube (mars 1814), où il reçut sa trente-deuxième blessure. Oudinot fut enfin de ceux qui, étant encore à Fontainebleau le 4 avril 1814, incitèrent alors l'Empereur à l'abdication,

Rallié au gouvernement provisoire après l'abdication de Napoléon, le 20 mai 1814 le maréchal Oudinot se vit remettre par Louis XVIII le commandement en chef du corps royal des grenadiers et chasseurs à pied (ex-Garde impériale), puis fut nommé ministre d'Etat, pair de France et gouverneur de la 3e division militaire. Durant les Cent-Jours, dégagé de ses serments envers l'Empereur mais non de ceux qu'il avait prêtés aux Bourbons, il fit savoir à Davout, alors ministre de la Guerre, qu'il n'entendait pas « jouer un double rôle ni servir deux maîtres » et souhaitait rester dans ses terres, ce qu'il confirma ensuite directement à l'Empereur qui l'avait appelé à Paris (avril 1815) : « Je ne servirai personne, Sire, puisque je ne vous servirai pas. » Conduite loyale à laquelle Napoléon rendit hommage à Sainte-Hélène.

Au retour de Louis XVIII, Oudinot devint major général de la Garde royale (8 septembre 1815), puis reçut le commandement en chef de la Garde nationale de Paris qu'il conserva jusqu'à la dissolution de ce corps (1827), tandis que sa femme se voyait confier la charge de dame d'honneur de la duchesse de Berry.
Oudinot, qui bénéficia vraiment de la confiance des gouvernements de la Restauration, fut mis à la tête du 1er corps de l'armée des Pyrénées conduite par le duc d'Angoulême lors de la guerre d'Espagne (1823) et mena ses troupes à Madrid dans une campagne à caractère plus politique que guerrier.

Resté d'abord à l'écart du gouvernement de Juillet, le maréchal vieillissant accepta ensuite les fonctions de grand chancelier de la Légion d'honneur (1839), puis, trois ans plus tard, de gouverneur de l'hôtel des Invalides, où il s'éteignit le 13 septembre 1847.


Nicolas Charles Oudinot

Nicolas Charles Oudinot, by Robert Lefèvre


Nicolas Charles Oudinot
Tags : Nicolas Charles Oudinot, Meuse, Personnalité née en Meuse, Bar-le-Duc, 25 avril 1767, 25 avril, 1767, Décès, 13 septembre 1847, 13 septembre, 1847, Maréchal d'Empire, Nicolas
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#Posté le dimanche 13 septembre 2020 01:30

Renaud - Si tu me payes un verre (Clip officiel)

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#Posté le dimanche 03 avril 2022 22:06

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