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dessinsagogo55

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7 articles taggés Nicolas

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éric
Dessins d'enfants : Julie et Nicolas
Tags : Croquis, Croquis d'enfant, Nicolas, Julie, 2012
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#Posté le samedi 24 mars 2012 23:19

Modifié le lundi 30 avril 2012 19:46

Nicolas

Nicolas


Chaque enfant est une parole prise à la nuit , une caresse du temps

" Tahar Ben Jelloun "
Nicolas

Tags : Portrait, Nicolas, Garçon, 17 février 2012, 2012, Tahar Ben Jelloun, Citation ., Dessin, dessinsagogo55, Eric Picard, Citation T, Enfant, Christine
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#Posté le jeudi 16 février 2012 18:00

Modifié le dimanche 23 mars 2014 11:14

Nicolas Charles Oudinot

Nicolas Charles Oudinot, né le 25 avril 1767 à Bar-le-Duc, mort le 13 septembre 1847, duc de Reggio et maréchal d'Empire.

Nicolas Charles Oudinot

Nicolas-Charles Oudinot est issu de la petite bourgeoisie meusienne. Après des études dans sa ville natale puis à Toul, il s'engagea en 1784, à l'âge de dix-sept ans, dans le régiment de Médoc-infanterie, son caractère ne l'inclinant guère à participer aux affaires de la brasserie paternelle. Revenu dans sa région trois ans plus tard avec le grade de sergent, il y épousa Françoise-Charlotte Derlin en septembre 1789, année où les premiers événements de la Révolution lui fournirent l'occasion de se révéler.
Le 14 juillet 1789, une compagnie soldée, formée à Bar, plaça à sa tête l'ancien soldat du Médoc-infanterie avec le grade de capitaine. Ayant montré sa fermeté et son esprit de décision lors de quelques troubles qui agitèrent cette ville, Oudinot fut désigné en 1790 comme chef de légion, commandant la Garde nationale du département, puis, le 6 septembre 1791, élu à la majorité des suffrages lieutenant-colonel du 3e bataillon des volontaires de la Meuse, avec lequel il partit pour la frontière du Nord-Est.


À la suite de sa remarquable défense de Bitche, il fut promu chef de brigade (colonel) le 5 novembre 1793 et se vit attribuer le commandement de la 4e demi-brigade, qui venait d'être constituée avec l'un des plus brillants éléments de l'armée monarchique, le régiment de Picardie. En décembre de la même année, à l'affaire d'Haguenau il reçut la première d'une longue série de blessures qui firent de lui le maréchal le plus blessé de l'Empire. Quelques mois plus tard, sa conduite à Kaiserslautern, où il se fraya un passage à la baïonnette dans les rangs prussiens, lui valut le grade de général de brigade (14 juin 1794). Il avait alors vingt-sept ans et, comme la plupart des futurs maréchaux de l'Empire, était parvenu à ce grade bien avant le 18 Brumaire. En octobre 1795, victime de cinq coups de sabre à Neckerau et laissé sur le terrain, il fut fait prisonnier par les Autrichiens. Libéré l'année suivante à la suite d'un échange d'officiers supérieurs, il rejoignit les armées du Rhin et de la Moselle commandées par le général Moreau. En 1799, pendant la campagne d'Helvétie, il se distingua à la prise de Zurich et à celle de Constance, étant alors chef d'état-major de Masséna qui le fit nommer général de division (12 avril 1799).

Oudinot prit ensuite part à toutes les grandes campagnes du Consulat et de l'Empire, à l'exception de celles d'Espagne et du Portugal. Auprès de Masséna, il soutint avec l'armée de Ligurie le siège de Gênes, place qui fut évacuée avec les honneurs de la guerre après avoir permis à Bonaparte de franchir les Alpes. Lors des dernières opérations en Italie, il s'illustra, notamment par un fait d'armes personnel en s'emparant avec son état-major d'une batterie autrichienne gardant le passage du Mincio (décembre 1800). En février 1805, à la veille de la formation de la troisième coalition, il reçut le commandement en chef des grenadiers réunis, soldats d'élite qui ne furent bientôt plus connus que sous le nom de « Grenadiers d'Oudinot » : il remporta l'année même une série de succès à Wertingen, Amstetten. Vienne et Hollabrünn, puis contribua à la victoire d'Austerlitz. Il rendit de précieux services en 1806 durant la campagne de Prusse, enleva Ostrolenka par une brillante charge de cavalerie Tannée suivante (février 1807) et se couvrit de gloire face aux Russes à Friedland (juin 1807). Le 25 juillet 1808. l'Empereur lui accorda le titre de comte de l'Empire avec pour dotation le domaine d'Inowaclo (Pologne). A la tête de sa troupe — surnommée « la colonne infernale » tant elle inspirait de crainte dans les rangs ennemis —, il se signala durant la campagne d'Autriche (1809) à Ebersberg puis Essling. Quand Lannes fut mis hors de combat, l'Empereur donna « le commandement du 2ecorps au comte Oudinot, général éprouvé dans cent combats, où il a montré autant d'intrépidité que de savoir» (23 mai, 10e Bulletin de la Grande Armée). Peu après, il fit des prodiges de valeur à Wagram, où il força la victoire en outrepassant les ordres de Napoléon, qui lui donna son bâton de maréchal le 12 juillet 1809 et le titre de duc de Reggio.

S'il semble bien que l'Empereur voyait, depuis plusieurs années déjà, en lui l'un de ses futurs maréchaux, divers facteurs ont pu venir retarder son élévation à cette dignité : Oudinot était de l'armée du Rhin el n'avait rencontré Bonaparte pour la première fois qu'après l'instauration du Consulat; républicain affiché, il fit longtemps partie du groupe des généraux « d'opposition »; s'il était un meneur d'hommes d'une bravoure exceptionnelle, il n'était toutefois pas un grand stratège ; ses multiples blessures, enfin, le tinrent trop souvent écarté aux moments où se distribuaient les distinctions. À l'intrépidité Oudinot joignait un esprit chevaleresque reconnu de ses adversaires et, dernière la rudesse extérieure de son caractère, un indéniable savoir-faire qui contribuèrent sans doute à lui faire attribuer certaines missions plus diplomatiques que militaires avant comme après son accession au maréchalat.

Chargé, en 1806, de prendre possession au nom de Berthier de la principauté de Neuchâtel (Suisse) cédée à la France par la Prusse, il s'attira, par son équité et son désintéressement, la reconnaissance des habitants qui, à son départ, lui offrirent une épée d'honneur et la citoyenneté de Neuchâtel. Gouverneur d'Erfurt, il eut la tâche délicate de veiller au bon déroulement d'un congrès (septembre 1808) où étaient conviés nombre de souverains et princes d'Europe autour de Napoléon et du tsar, auquel l'Empereur le présenta comme « le Bayard de l'armée française ». Lors de l'abdication de Louis Bonaparte du trône de Hollande, Napoléon, ayant décidé d'annexer ce pays à l'Empire, en confia l'occupation à Oudinot, qui sut concilier dans cette opération (1810) la fermeté qu'exigeait l'application des ordres reçus, le respect que demandait le sort d'un peuple éprouvé et les égards qu'appelait la situation du frère de l'Empereur.

C'est durant son séjour en Hollande qu'Oudinot apprit le décès de sa femme dont il avait eu sept enfants. Quelque temps plus tard, le 19 janvier 1812, il épousa Marie-Charlotte-Eugénie de Coucy, jeune femme de l'aristocratie de l'Ancien Régime, qui lui donna quatre autres descendants venant agrandir une famille où le métier des armes fut largement représenté. Tous ses fils embrassèrent la carrière militaire : l'aîné, Victor, lieutenant des hussards en 1809, chef d'escadron à la fin de l'Empire, reçut en 1849, une fois devenu général, le commandement en chef du corps expéditionnaire français contre la République romaine ; le deuxième, Auguste, colonel des chasseurs d'Afrique, trouva la mort durant la conquête de l'Algérie ; le troisième, Charles, fut lieutenant-colonel d'infanterie et le quatrième, Henri, général de brigade. Deux de ses gendres, Claude Pajol et Guillaume de Lorencez, étaient de brillants généraux de division qui, comme le maréchal, firent les dernières campagnes de l'Empire.

Chef du 2e corps pendant la campagne de Russie, Oudinot remporta plusieurs succès autour de Pulutsk (août 1812) et montra le plus admirable courage en ouvrant à l'armée le passage de la Bérézina (novembre 1812).
Commandant le 12e corps, le 4e, puis le 7e et 12e corps réunis durant la campagne d'Allemagne, il se battit comme un lion à Bautzen (mai 1813), mais fut refoulé par Bernadotte à Gross-Beeren (août 1813) ; il conduisit ensuite avec héroïsme deux divisions de la Jeune Garde à Wachau puis à Freiburg (octobre 1813) et, lors de la campagne de France, fit preuve d'une remarquable bravoure à La Rolhière (février 1814) et à Arcis-sur-Aube (mars 1814), où il reçut sa trente-deuxième blessure. Oudinot fut enfin de ceux qui, étant encore à Fontainebleau le 4 avril 1814, incitèrent alors l'Empereur à l'abdication,

Rallié au gouvernement provisoire après l'abdication de Napoléon, le 20 mai 1814 le maréchal Oudinot se vit remettre par Louis XVIII le commandement en chef du corps royal des grenadiers et chasseurs à pied (ex-Garde impériale), puis fut nommé ministre d'Etat, pair de France et gouverneur de la 3e division militaire. Durant les Cent-Jours, dégagé de ses serments envers l'Empereur mais non de ceux qu'il avait prêtés aux Bourbons, il fit savoir à Davout, alors ministre de la Guerre, qu'il n'entendait pas « jouer un double rôle ni servir deux maîtres » et souhaitait rester dans ses terres, ce qu'il confirma ensuite directement à l'Empereur qui l'avait appelé à Paris (avril 1815) : « Je ne servirai personne, Sire, puisque je ne vous servirai pas. » Conduite loyale à laquelle Napoléon rendit hommage à Sainte-Hélène.

Au retour de Louis XVIII, Oudinot devint major général de la Garde royale (8 septembre 1815), puis reçut le commandement en chef de la Garde nationale de Paris qu'il conserva jusqu'à la dissolution de ce corps (1827), tandis que sa femme se voyait confier la charge de dame d'honneur de la duchesse de Berry.
Oudinot, qui bénéficia vraiment de la confiance des gouvernements de la Restauration, fut mis à la tête du 1er corps de l'armée des Pyrénées conduite par le duc d'Angoulême lors de la guerre d'Espagne (1823) et mena ses troupes à Madrid dans une campagne à caractère plus politique que guerrier.

Resté d'abord à l'écart du gouvernement de Juillet, le maréchal vieillissant accepta ensuite les fonctions de grand chancelier de la Légion d'honneur (1839), puis, trois ans plus tard, de gouverneur de l'hôtel des Invalides, où il s'éteignit le 13 septembre 1847.


Nicolas Charles Oudinot

Nicolas Charles Oudinot, by Robert Lefèvre


Nicolas Charles Oudinot
Tags : Nicolas Charles Oudinot, Meuse, Personnalité née en Meuse, Bar-le-Duc, 25 avril 1767, 25 avril, 1767, Décès, 13 septembre 1847, 13 septembre, 1847, Maréchal d'Empire, Nicolas
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#Posté le dimanche 13 septembre 2020 01:30

Nicolas Lebel


Nicolas Lebel, né le 18 août 1838 à Saint-Mihiel (Meuse) et mort le 6 mai 1891 à Vitré (Ille-et-Vilaine), est un officier français, qui a contribué à la création du fusil de l'armée française qui porte son nom : le fusil Lebel.


Nicolas Lebel
Fusil Lebel


Intéressé par la carrière militaire, il intègre l'École spéciale militaire de Saint-Cyr en 1855. En 1857, il intègre le 58e régiment d'infanterie de ligne comme sous-lieutenant. Durant la guerre franco-prussienne de 1870, alors capitaine et commandant de compagnie, il combat avec courage mais, le 1er septembre, il subit le sort de toute l'armée de Sedan et part en captivité en Allemagne.
Libéré après le traité de Francfort, il retrouve un commandement à Tours, au 66e régiment d'infanterie de ligne, durant les années de réorganisation de l'armée française qui fait suite à la défaite. Nommé chef de bataillon en 1876, Lebel devient chef de l'école normale de tir et se passionne pour l'armement d'infanterie. Ses compétences sont vite reconnues et en 1883, le ministre de la Guerre (le général Jean Thibaudin) le nomme membre d'une commission des armes à répétition présidée par le général Tramond. Elle a pour objectif d'élaborer un nouveau fusil d'infanterie qui doit remplacer le fusil Gras. Nicolas Lebel est chargé de mettre au point la balle destinée à ce futur fusil d'infanterie. Cette balle doit, avant tout, fonctionner avec la nouvelle poudre sans fumée du chimiste français Paul Vieille qui assure des vitesses initiales très élevées. Ces dernières font fondre le plomb nu des balles conventionnelles de l'époque. Le Lt Col Lebel dessine alors une balle de 8mm qui est chemisée en maillechort et fonctionne parfaitement. Elle sera la première balle adoptée pour le futur fusil Mle 1886 : la balle "M" .
Finalement, la Commission finit par adopter les propositions des colonels Gras, Bonnet et Lebel concernant le nouveau fusil d'infanterie. Il sera donc officiellement adopté en tant que Fusil Mle 1886 puis, un peu plus tard, en tant que Fusil Mle 1886M93. Dans le langage courant la nouvelle arme fut vite baptisée fusil Lebel par ses utilisateurs.
Lebel est ensuite nommé colonel en 1887 et il devient ainsi chef de corps du 120e régiment de ligne, alors en garnison à Sedan. Mais à cause de problèmes cardiaques, il obtient sa retraite en 1890, se reconvertissant dans le civil comme inspecteur du Trésor à Vitré. Il décède l'année suivante, le 6 mai 1891.
Il a également été décoré comme commandeur dans l'Ordre national de la Légion d'honneur.
Tags : Nicolas Lebel, Nicolas, Meuse, 18 août 1838, 18 août, 1838, Saint-Mihiel, Décès, 6 mai 1891, Officier français, Fusil Lebel, Personnalité née en Meuse
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#Posté le dimanche 20 janvier 2013 11:00

Modifié le dimanche 18 août 2013 12:00

Nicolas Psaume

Nicolas Psaume, né le 11 décembre 1518 à Chaumont-sur-Aire (alors en duché de Bar) et décédé le 10 août 1575 à Verdun (évêché de Verdun), est un religieux prémontré devenu comte-évêque de Verdun et prince du Saint-Empire romain germanique. C'est un des grands évêques de la fin du XVIe siècle.

Nicolas Psaume

Entré à l'abbaye Saint-Paul de Verdun où son oncle, François Psaume, était abbé commendataire, il poursuit des études aux universités de Paris, Orléans et Poitiers. Il revient à St-Paul et fut ordonné prêtre en 1540. De retour à Paris, en Sorbonne il obtient son doctorat en théologie et y rencontre Ignace de Loyola. Il devint abbé de Saint-Paul et en 1546, choisi par l'ordre pour le représenter au concile de Trente mais fut retenu par Jean, le cardinal de Lorraine; en 1548 devint évêque de Verdun. À ce titre il participe au Concile de Trente. Il y était en 1551 et 1552 où il se fit remarquer par son éloquence en défendant les prérogatives de l'Église mais aussi en en dénonçant certain abus comme l'accumulation de titres épiscopaux, Jean de Lorraine 12 fois évêques et de trois en même temps par exemple, et son corollaire les commendataires; il était chargé d'éditer les canons du concile. Il y était aussi pour la troisième session de 1562-1563. Il tint et publia un journal du quotidien du concile qu'il fit publier.
Il crée en 1554 un séminaire à Verdun, appelé Orphanotrophe, puisque 24 places d'étudiants y sont réservées à des orphelins.
Nicolas Psaume fut aussi, avec le cardinal Charles de Lorraine un des promoteurs de l'Université de Pont-à-Mousson.

Nicolas Psaume

Écrits

Advertissement à l'homme chrestien, pour cognoistre et fuir les hérétiques de ce temps... , Rheims ,imprimeur J. de Foigny, 1564.
Canones et decreta... Concilii tridentini... , Rheims, 1564.
Le Vray et naïf portrait de l'église catholique,... , Rheims, imprimeur J. de Foigny, 1574.
Tags : Nicolas Psaume, Meuse, 11 décembre 1518, 11 décembre, 1518, Nicolas, Chaumont-sur-Aire, Décès, 10 août 1575, 10 août, 1575, Personnalité née en Meuse
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#Posté le samedi 11 décembre 2021 03:00

Nicolas (prénom)

 Nicolas (prénom)







Nicolas est un prénom masculin français.
 
 
Nicolas est un prénom d'origine grecque, Νικόλαος / Nikólaos, de νίκη / níkê « victoire » et λαός / laós « peuple », qui signifie « roi absolu du peuple » selon Jacques de Voragine. Il doit son succès à la popularité de saint Nicolas de Myre (fêté le 6 décembre et le 9 mai).
 
Saint Nicolas, plusieurs saints du christianisme dont le plus célèbre est saint Nicolas de Myre.
Saint-Nicolas est reconnu comme le protecteur des enfants, des Lorrains, de la Russie, des avocats (pour le barreau de Paris), des marins et naufragés, la fête de la Saint-Nicolas est fêtée chaque 6 décembre, elle est très célèbre dans l'est de la France (Lorraine et Alsace). Elle est également célébrée dans le nord de la France et dans les pays du nord de l'Europe dont la Belgique, les Pays-Bas, l'Autriche, l'Allemagne et une partie de la Suisse. Avec Saint-Yves Hélory de Kermartin, Saint-Nicolas protège la profession des avocats et les opprimés qui font appel a lui selon la religion catholique.
 
 
Variantes linguistiques
 
Albanais : Nikollë
Allemand : Klaus, Nickolaus, Nicolas, Nicolaus, Niklaus, Nikolaus, Niklas
Anglais : Nic, Nick, Nickolas, Nicky, Niko, Nicolas, Nico, Nikolas, Nicholas
Arménien : Նիկողոս (Nigoghós)
Breton : Nikolaz, Nikolazig
Bulgare : Никола (Nikola)
Catalan : Nicolau
Corse : Niculinu, Niculosu
Croate: Nikica
Danois : Claus, Klaus, Niels, Nikolaus, Nikolaj, Nilaus, Nis
Espagnol : Nicolás
Français : Nicolas, Nico, Colas, Colin
Finnois : Nikolaus
Géorgien : ნიკოლოზ (Nikolaz)
Grec : Nikólaos (Νικόλαος), diminutif Níkos (Νίκος)
Hébreu : Nicodème
Hongrois : Miklós, Nikola
Italien : Nicola
Letton : Nikolajs
Lituanien : Mikalojus
Néerlandais flamand : Niklaas
Néerlandais Hollandais : Nicolaas
Norvégien : Nikolas, Niko, Nils
Occitan : Nicolau, Micolau
Poitevins : Cola, Colin, Nicoula, Colinét
Polonais : Mikołaj
Portugais : Nicolau, Nicolao
Roumain : Nicoară, Nicolae, Nicu
Russe : Николай (Nikolaï), Коля (Kolia, diminutif), Nikita
Serbe : Никола (Nikola)
Slovaque : Nikolas
Tchèque : Mikulá¨, Nicolas
Suédois : Nikolaus, Nils, Niklas, Niclas
Ukrainien : Микола (Mykola)
 
 
Dérivés
Dérivés patronymiques
 
 
Nicolas est aussi un patronyme qui a donné de nombreux noms de famille dérivés.
 
Diminutifs masculins en français
 
Colas, Colin, Collin et Nico qui sont aussi des prénoms à part entière ainsi que Nicolin
 
Formes féminines françaises
 
Nicole et Nicolette et les diminutifs Colette, Coline et Colinette.
Nico est un prénom mixte.
 
Popularité du prénom
 
 

En Lorraine, le prénom est particulièrement populaire entre le xviie et le xixe siècle, en raison de la popularité de saint Nicolas : par exemple, 20 % des naissances de Beaulieu-en-Argonne au début du xixe siècle. À Raon-aux-Bois, il s'agit de 10 % des naissances entre 1644 et 1792, et autour de 7 % au xviie siècle à Aouze et Aroffe.
Le prénom Nicolas connaît un succès particulier en France aux xxe et xxie siècles : il y est donné à plus d'un enfant sur 100 depuis plus de trente ans (alors que beaucoup de prénoms connaissent des modes plus brèves). Peu donné jusqu'à la fin des années 1950, le prénom Nicolas a été en forte croissance au cours des années 1970 pour culminer entre 1980 et 1983 (une naissance masculine sur vingt). Sa popularité a ensuite baissé pour remonter a nouveau en seconde position entre 1994 et 1996 dans plusieurs régions de l'Est et du sud de la France
 
Personnalités portant ce prénom
 
Pour les articles sur les personnes portant ce prénom, consulter la liste générée automatiquement pour Nicolas.
 
Hommes d'Église
 
Nicolas de Myre, archevêque (ive siècle), plus connu sous le nom de Saint Nicolas patron des écoliers, des étudiants, des marins, de la Lorraine, célébré le 6 décembre à la Saint-Nicolas.
Nicolas Ier, pape (858-867)
Nicolas II, pape (1058-1061)
Nicolas III, pape (1277-1280)
Nicolas IV, pape (1288-1292)
Nicolas V, pape (1447-1455)
Nicolas V, antipape (1328-1330)
Nicolas Psaume, Évêque de Verdun
Nicolas fut patriarche de Moscou de 1097 à 1101.
Nicolas de Lyre (vers 1270–1349), théologien et exégète français
Nicolas de Cues (1401-1464), cardinal et penseur allemand,
Nicolas Alexandre, médecin bénédictin (1654-1728)
Nicolas, l'un des sept premiers diacres de l'Église, qui est à l'origine du Nicolaïsme.
 
Souverains et princes
 
Lorraine et Barrois
 
Nicolas Ier, duc de Lorraine
Nicolas II, duc de Lorraine et de Bar
Nicolas de Lorraine-Joinville
Nicolas de Lorraine-Merc½ur
 
Mecklembourg
 
Nicolas Ier de Mecklembourg
Nicolas Ier de Mecklembourg-Werle
 
Monténégro
 
Nicolas Ier, roi de Monténégro,
Nicolas de Monténégro
 
Roumanie
 
Nicolas de Roumanie
Nicolas de Roumanie (1985)
 
Russie
 
Nicolas Ier, tsar de Russie
Nicolas II, tsar de Russie
Nicolas Nicolaevitch de Russie
Nicolas Alexandrovitch de Russie
Nicolas Mikhaïlovitch de Russie
 
Divers
 
Nicolas Ier roi de Danemark,
Nicolas de Grèce
Prénom attribué par certaines traditions historiographiques à Monsieur d'Orléans (1607-1611)
Nicolas Micault, seigneur d'Yndevelde.
Nicolas de Condorcet
Nicolas de Largillierre
 
Personnages de fiction portant ce prénom
 
Nicolas, l'enfant du divorce dans la chanson de Gérard Lenorman Voici les clés (1976)
Nicolas, le premier amour de Sylvie Vartan dans la chanson éponyme "Nicolas" (1979)
Nicolas, héros des histoires de Le Petit Nicolas de René Goscinny illustrées par Jean-Jacques Sempé
Nicolas, le héros de Nicolas et Marjolaine, une chanson de Dorothée.
Nicolas, un des protagonistes de la série française Hélène et les Garçons et de ses suites (années 1990 et 2000)
Nicolas, une marionnette formant un tandem célèbre avec Pimprenelle dans l'émission pour enfants Bonne nuit les petits
Nicolas Barrel, un des personnages récurrents de la série télévisée française Plus belle la vie (depuis 2005)
Nicolas Le Floch, personnage de fiction, héros d'une série de romans policiers écrits par Jean-François Parot
Nicolas Newman, un des protagonistes du feuilleton américain Les Feux de l'amour (depuis 1994)
Nicolas Rostov, un des personnages principaux du roman Guerre et Paix de Léon Tolstoï (publié en 1865)
 
et également :
 
Colas, le petit garçon, héros de la berceuse)Fais dodo, Colas, mon p'tit frère
Nicolas, héros du film Feu Nicolas, comédie de Jacques Houssin interprété par Rellys (1943)
Colinot, le héros du film de Nina Companeez, L'Histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise (1973)
Klaus Weber, le père de famille Weber (Ilse, Rolf, Gisela) illustrant une méthode d'apprentissage de l'Allemand (années 1970).
Nils, le héros du roman Le Merveilleux Voyage de Nils Holgersson à travers la Suède
 
 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_(pr%C3%A9nom)
 
Tags : Nicolas, Prénom
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#Posté le mardi 21 avril 2020 06:00

Nicolas Appert

Nicolas Appert
Nicolas Appert (appelé par erreur François, Nicolas-François, Charles ou Charles-Nicolas), né le 17 novembre 1749 à Châlons-sur-Marne et mort le 1er juin 1841 à Massy, est un inventeur français.
Il est le premier à mettre au point une méthode de conservation des aliments en les soumettant à la chaleur dans des contenants hermétiques et stériles (bouteilles en verre puis boîtes métalliques en fer-blanc). Il crée en France la première usine de conserves au monde.
 
 
Biographie
 
Neuvième enfant d'un couple d'aubergistes de Châlons-sur-Marne (aujourd'hui Châlons-en-Champagne), Nicolas Appert se familiarise dès sa jeunesse avec les métiers de cuisinier et de confiseur, et avec les modes de conservation des denrées alimentaires.
En 1772, il entre au service de bouche du duc palatin Christian IV de Deux-Ponts-Birkenfeld au château de Deux-Ponts en Allemagne, puis, à la mort de ce dernier en 1775, il reste comme officier de bouche au service de la comtesse de Forbach Marianne Camasse, veuve de Christian IV, dans son château de Forbach (département de la Moselle) jusqu'en 1784, date à laquelle il quitte Forbach et s'installe à Paris. Il y ouvre, au 47 rue des Lombards, une boutique de confiseur à l'enseigne de la Renommée.
Il épouse en 1785 Élisabeth Benoist ; ils auront cinq enfants, un garçon et quatre filles
Dans cette boutique de détaillant, après quelques années, Appert devient grossiste, emploie six employés, et a des correspondants à Rouen et à Marseille. Après s'être engagé dans l'action révolutionnaire dès 1789, et jusqu'en 1794, il devient président de la Section des Lombards et passe alors trois mois en prison. Il ne sera jamais jugé, sans doute grâce à l'intervention de deux amis, Louis-Joseph Charlier et Pierre-Louis Prieur de la Marne, qui avaient soudoyé un greffier. Libéré après Thermidor, il oriente ses travaux sur les solutions à apporter aux faiblesses des moyens de conservation de l'époque. En effet, en cette fin du xviiie siècle, les procédés de conservation des aliments (par le froid, par fumage, par des agents conservateurs tels que le sel, l'alcool, le vinaigre, la graisse, le sucre...) ont une efficacité partielle (quantité limitée d'agents de conservation qui ne stoppent pas complètement la prolifération bactérienne et ne gardent pas les substances dans leur intégralité) et sont onéreux : l'Ancien régime l'a compris en instituant un instrument politique et fiscal très lucratif, la gabelle du sel.
Prenant en compte plusieurs critères (modification du goût, coût important et piètres qualités nutritives des produits salés, séchés, fumés et confits), il met au point le procédé qui rend possible la mise en conserve (appelée appertisation) des aliments en 1795, soit soixante ans avant Louis Pasteur et la pasteurisation.
Installé à Ivry-sur-Seine, Nicolas Appert améliore sa découverte. La Verrerie de la Gare, créée en 1792 par Jean André Saget, lui fournit des bouteilles à large col pour ses essais de conserves dans des navires (tests sur leur bonne tenue en mer et leur efficacité sur les équipages souvent décimés par le scorbut). En 1802, il crée à Massy la première fabrique de conserves au monde, où il emploie une dizaine, puis une cinquantaine d'ouvrières. En 1806 il présente pour la première fois ses conserves lors de l'exposition des produits de l'industrie française mais le jury ne cite pas la découverte. Les tests sur les navires de la marine française sont concluants : les rapports des préfets maritimes sont favorables et la presse publie divers articles élogieux, si bien qu'il décide d'en informer le gouvernement et de solliciter un prix. Le 15 mai 1809, il adresse au ministre de l'Intérieur, Montalivet, un courrier l'informant de sa découverte. Dans sa réponse du 11 août, le ministre lui laisse le choix : soit prendre un brevet, soit offrir sa découverte à tous et recevoir un prix du gouvernement, à charge pour Appert de publier à ses frais le fruit de ses découvertes. Nicolas Appert opte pour la seconde solution, préférant faire profiter l'humanité de sa découverte plutôt que de s'enrichir. Une commission est alors nommé. Le 30 janvier 1810, le ministre notifie à Nicolas Appert l'avis favorable de la commission et lui accorde un prix de 12 000 francs. En juin, Nicolas Appert publie à 6 000 exemplaires L'Art de conserver pendant plusieurs années toutes les substances animales et végétales. Il doit en remettre 200 exemplaires au Gouvernement impérial ; dès juillet, toutes les préfectures en reçoivent, et diffusent l'information. Trois éditions suivront en 1811, 1813 et 1831.
Dès ce moment, sa méthode de conservation très appréciée chez les soldats et les marins, se voit copiée par les conserveurs anglais. Il voyage en 1814 en Angleterre où il constate qu'ils utilisent la technique Appert, reprise dans un brevet déposé par Peter Durand et Bryan Donkin, en conservant les aliments dans des boîtes en fer-blanc plus légères, qui ne cassent pas et supportent mieux la chaleur du bain-marie (leur seul inconvénient étant une ouverture difficile). Les Britanniques ne lui versent aucune compensation financière, et se contentent de l'honorer du titre symbolique de « bienfaiteur de l'humanité .
Le déclin de la marine impériale de Napoléon, après la défaite de Trafalgar et le blocus continental, réduisent drastiquement la demande de conserves pour les voyages au long cours et pour les guerres. La concurrence des Britanniques, favorisés par un accès à un fer-blanc de meilleure qualité et moins coûteux, finit par ruiner Appert. En 1814, lors de la première invasion par la Sixième Coalition, sa fabrique de conserves de Massy est saccagée et un an plus tard, elle est transformée en hôpital par les Anglais. Ayant besoin de recréer une usine, en 1817 il obtient du Ministère de l'intérieur gratuitement un local dans l'hospice des Quinze-Vingts où il reprend ses recherches et ses fabrications de conserves en fer-blanc mais l'absence de gisement d'étain en France rend cet acier très cher. Grâce à l'aide de Claude Berthollet, il poursuit d'autres recherches sur la dépuration de la gélatine pour la clarification des vins, sur les tablettes de jus de viande et de bouillons de légumes.
Devant faire face à ses dépenses, il cède son affaire en 1840 à son neveu Auguste Prieur, qui poursuivra l'exploitation sous l'enseigne « Prieur-Appert ». Ce dernier révisera, sous le nom de Prieur-Appert, et conjointement avec Gannal, la cinquième édition en 1842 de L'Art de conserver. Prieur-Appert cède à son tour, en 1845, l'affaire à Maurice Chevallier et un procès opposera les deux hommes sur le droit d'utiliser le nom d'Appert.
Âgé de quatre-vingt-onze ans, veuf, sans argent pour s'offrir une sépulture, Appert meurt le 1er juin 1841 à Massy, où son corps est déposé dans la fosse commune.
 
Contribution : l'appertisation
 
L'appertisation peut être définie comme un procédé de conservation qui consiste à stériliser par la chaleur des denrées périssables dans des contenants hermétiques (boîtes métalliques, bocaux en verre...)
 
 

L'appertisation (ou stérilisation) consiste à faire subir à un aliment un traitement thermique suffisamment intense pour assurer sa stabilité à long terme, à la température ambiante du lieu de son stockage. Ce traitement thermique détruit ou inactive tous les micro-organismes et enzymes susceptibles d'altérer le produit, ou de le rendre impropre à la consommation. Il s'effectue à une température égale ou supérieure à 100 °C, pendant une durée variable selon la nature et la quantité de produit à traiter. En réalité, lors de la stérilisation d'aliments dans les conditions de température et de durée appliquées, la destruction des germes ne peut être totale si on veut conserver le plus possible les qualités organoleptiques de ces aliments. Des micro-organismes vivants ou revivifiables peuvent subsister. Pour cette raison, le traitement thermique de « stérilisation » vise, en pratique, à obtenir un produit qui doit rester stable au cours d'une longue conservation (de 5 à 6 mois, voire plus), c'est-à-dire exempt de germes susceptibles de s'y développer et d'y provoquer des altérations. Parmi ces germes, seuls les non-pathogènes subsistent éventuellement, les plus thermorésistants d'entre eux étant détruits par des combinaisons temps/température très inférieures.
La technique de l'appertisation implique l'utilisation de récipients étanches qui empêchent la recontamination du produit alimentaire après le traitement thermique, et assurent la formation d'un vide partiel qui réduit la présence d'oxygène à l'intérieur du contenant, appelé dans le langage courant « conserve ».
Le procédé de Nicolas Appert consistait à remplir à ras bord des bouteilles de verre, à les fermer hermétiquement avec des bouchons de liège étanches puis à les faire chauffer au bain-marie. Ces bouteilles étaient identiques à celles qui étaient destinées au champagne mais avaient le goulot élargi. Parce que leur verre était plus épais, elles résistaient beaucoup mieux à la pression intérieure induite par l'augmentation de chaleur provoquée par le bain-marie.
Les bouteilles utilisées par Appert étaient produites à la Verrerie de la Gare à Ivry-sur-Seine, fondée en 1792 par Jean André Saget de Maker, qui l'aida dans ses travaux. Après la destruction de son usine de Massy par les troupes prussiennes en 1815 et un voyage en Angleterre, il installe un nouvel atelier à Paris où il substitue aux récipients en verre utilisés d'abord, des boîtes métalliques percées d'un trou sur le couvercle dans lesquelles les aliments sont enfermés. Les boites étaient portées au bain-marie à 100 °C puis les trous fermés par un point de soudure.
Avant l'arrivée de Pasteur, la société scientifique n'avait d'ailleurs pu déterminer ce qui (du chauffage ou du maintien en vase hermétiquement clos) était responsable de la conservation. Cette méthode de conservation, en plus du fait qu'elle respectait le goût des aliments, protégeait en bonne partie leur apport nutritionnel, dont celui de la vitamine C, évitant ainsi le scorbut, qui faisait de nombreuses victimes parmi les marins au long cours.
C'est à Appert que l'on doit le bouillon en tablettes, les procédés de clarification des boissons fermentées, le lait concentré, et le premier « lait pasteurisé » (deux semaines de conservation en plein été). Il expliquera ces découvertes dans la nouvelle édition revue et augmentée de son ouvrage Le Livre de tous les ménages, publiée en 1831 soit 30 ans avant les expériences et travaux de Pasteur.
 
 


 https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Appert
 


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Tags : Nicolas Appert, Nicolas, 17 novembre 1749, 17 novembre, 1749, Châlons-sur-Marne, Décès, 1 juin 1841, 1 juin, 1841, Massy, Inventeur
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#Posté le samedi 26 mars 2022 05:30

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