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Création : 01/10/2007 à 23:30 Mise à jour : 15/04/2022 à 14:13

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2 articles taggés 1830

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Machine à coudre : Invention

Une machine à coudre est une machine, d'usage domestique ou industrielle, qui exécute mécaniquement les points de couture, généralement en utilisant deux fils, le fil supérieur enfilé dans l'aiguille, et le fil inférieur venant de la canette.

Machine à coudre : Invention

Les premières machines à coudre, apparues au xixe siècle, étaient mécaniques et mues manuellement ; de nos jours elles sont généralement électriques et font de plus en plus appel à l'électronique, et par exemple à des mémoires permettant de piloter des motifs complexes ou même de broder des suites de lettres.

Les premiers inventeurs d'une « machine à coudre », l'Américain Elias Howe, l'Allemand Balthasar Krems, l'Anglais Thomas Saint et l'Autrichien Joseph Maderspeger sont, aujourd'hui, pratiquement oubliés.


Machine à coudre : Invention
Machine à coudre des années 1930


En 1830 première machine à coudre véritablement pratique attribuée à un tailleur français originaire de la région lyonnaise, Barthélemy Thimonnier. Il dépose le premier brevet d'une machine à coudre à 1 fil continu. Beaucoup d'inventeurs de cette époque misaient sur la reproduction du mouvement de la main, ce qui limitait la couture à une simple aiguille (Madesperger notamment dont la machine s'appelait « La main qui coud »).
En 1834 l'américain Walter Hunt est le premier à utiliser une navette, et donc utilise deux fils. Cette idée sera reprise et améliorée par Elias HOWE en 1846.

La fabrication des machines françaises allait être brillante sous le second empire: Peugeot, Hurtu, Journaux Leblond, Brion, Reimann. La machine à coudre à navette, fonctionnant au pied avec une pédale, fut brevetée le 12 mai 1868 par Pierre Cobet. Brevet et nom furent vendus à la famille Peugeot qui la fabriqua à Audincourt. À l'Exposition universelle de Paris de 1878, la Légion d'honneur fut décernée à Benjamin Peugeot, constructeur de la machine à coudre.

En 1871 l'allemand Kayser imagine un dispositif qui permet de déplacer l'aiguille transversalement afin d'obtenir une couture en zig-zag. En Alsace Caroline Garcin, imagine un moteur à ressort, car, à cette époque, l'électricité ne pouvait encore être produite que par des piles encombrantes et onéreuses.
En 1873, Ward invente l'ancêtre de la machine à bras libre.
En 1937, Pfad ajoute à cette machine un moteur.
La machine à coudre a révolutionné la couture en la rendant plus rapide et moins chère.
Tags : 1830, Machine à coudre, Invention, Elias Howe, Balthasar Krems, Thomas Saint, Joseph Maderspeger, Barthélemy Thimonnier
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#Posté le samedi 11 août 2012 07:00

Antoine Marie Chamans de Lavalette

 
 Antoine Marie Chamans de Lavalette
 
 
 
 
Antoine-Marie Chamans, comte de Lavalette, né le 14 octobre 1769 à Paris et mort dans la même ville le 15 février 1830, est un officier et haut fonctionnaire français.
Il est directeur général des Postes sous le Premier Empire de 1804 à 1814 et pendant les Cent-Jours. Condamné à mort en 1815, il réussit une audacieuse évasion avec la complicité de sa femme. Il est gracié en 1822.





Le père de Lavalette, un limonadier, le destine d'abord à l'état ecclésiastique mais l'intéressé préfère rentrer dans l'étude d'un procureur, afin de se préparer à la profession d'avocat au collège d'Harcourt.
Après de bonnes études, Antoine Lavalette devient secrétaire du bibliothécaire de Louis XVI. Favorable aux idées de la Révolution, il se prononce en faveur de la famille royale lors des journées des 5 et 6 octobre 1789, 20 juin et 10 août 1792, et s'oppose aux mouvements populaires.




Il s'engage alors dans l'armée et devient officier d'état-major du général Custine en l'an II (1793), puis aide-de-camp de Baraguey d'Hilliers l'année suivante. Le général Napoléon Bonaparte, après la bataille d'Arcole (1796) en fait son aide de camp en remplacement du colonel Jean-Baptiste Muiron, tué lors de la bataille.
Il assiste aux négociations des préliminaires de la paix de Leoben (1797) en qualité de secrétaire. Puis en l'an V, Bonaparte l'envoie à Paris étudier l'esprit public, afin de l'instruire des causes de la lutte qui venait d'éclater entre la majorité des conseils et le Directoire. Le Directoire ayant découvert le but de sa mission, voulut, par des menaces, le déterminer à lui livrer la correspondance de son général ; mais Lavalette préféra la brûler.
Lavalette épouse le 22 avril 1798 (an VI) Émilie de Beauharnais (1781-1855), nièce de Joséphine de Beauharnais. Un mois après, le jeune marié part pour l'Égypte. Lavalette participe ensuite à la prise de Malte, puis est expédié en mission à Corfou, avant de rejoindre le corps expéditionnaire en Égypte.




Il revient en France avec Bonaparte peu avant coup d'État du 18 brumaire an VIII (1799). En janvier 1800, il est envoyé en mission diplomatique en Saxe et en Hesse. Enfin, après avoir été successivement administrateur de la caisse d'amortissement, commissaire central (1801), puis directeur général des Postes (19 mars 1804), (an XII) Lavalette est nommé peu après à la section de l'Intérieur du Conseil d'État. Il est également directeur du Cabinet noir, le bureau de la censure.
Il est membre et commandant de la Légion d'honneur, les 4 germinal et 25 prairial an XII, (printemps 1804) il fut élevé en 1808 au rang de comte de l'Empire, et le 30 juin 1811 à celui de grand officier de la Légion d'honneur.




Lors de la Première Restauration, Lavalette participe à une conspiration menée par les généraux Drouet d'Erlon, et Lefebvre-Desnouettes.
Le 20 mars 1815, apprenant le débarquement de Napoléon, Lavalette se présente à l'administration des Postes. Le comte Ferrand, pressé de s'enfuir, demande à l'ex-ministre des Postes de signer son passeport, contrairement à la loi (le comte Ferrand est toujours le ministre et il doit signer lui-même son passeport).




 
Lavalette est arrêté chez lui le 18 juillet 1815 et est conduit à la Conciergerie pour conspiration contre l'état et usurpation de fonctions. Après un procès agité, il est condamné à mort le 21 novembre 1815.
Le 20 décembre (la veille de son exécution), Émilie de Lavalette et sa fille rendent visite à leur mari et père. La femme de Lavalette a prévu une évasion. Antoine revêt les vêtements de sa femme puis à l'aide de sa fille, il parvient à tromper la surveillance des gardiens avec les habits de sa femme, qui reste dans la cellule, à sa place.
Avec l'aide d'Amable de Baudus, Lavalette trouve refuge dans l'appartement de fonction de Bresson chef de la division des fonds et de la comptabilité, au ministère des Affaires étrangères dirigé par le duc de Richelieu, un complice
Il quitte Paris le 8 janvier 1816 avec la complicité de trois officiers anglais : Bruce, Hutchinson et le général Robert Wilson. Il revêt l'uniforme britannique et gagne Mons, en Belgique. Puis Antoine de Lavalette se dirige seul vers la Bavière, pays où il réside plusieurs années, avec la bienveillance d'Eugène de Beauharnais, d'Hortense, ses cousins, et du roi Maximilien.
Gracié en 1822, il rentre à Paris où il retrouve son épouse, Émilie, qui a perdu la raison après avoir accouché d'un enfant mort-né. Lavalette, mort sans doute d'un cancer des poumons à Paris le 15 février 1830, vivait depuis son retour dans la plus profonde retraite. Il a laissé des Mémoires.
Il est enterré à Paris au cimetière du Père-Lachaise.



A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z, 0-9,




 
Tags : Antoine Marie Chamans de Lavalette, Antoine, 14 octobre 1769, 14 octobre, 1769, Paris, Décès, 15 février 1830, 15 février, 1830, Haut fonctionnaire
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#Posté le mardi 15 février 2022 02:00

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