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Angélique et le Roy est un film franco-italiano-allemand de Bernard Borderie, sorti en 1966
Réalisé par Eric Picard / dessinsagogo55
Angélique s'est mariée dans le précédent volet à son cousin Philippe de Plessis-Bellières. Le film s'ouvre sur la guerre que mène Louis XIV dans les Flandres, et où le mari d'Angélique a été gravement blessé. Sur son lit de mort, il demande au roi de ne pas lui prendre sa femme, seule chose sur laquelle il n'ait pas de pouvoir. Au terme de son deuil officiel, le monarque envoie François Desgrez tirer la belle veuve de ses robes noires pour lui confier une mission secrète dont elle ignore la teneur. Réticente, Angélique part pourtant pour Paris, où le roi dédaigne la pauvre Mme de Montespan pour retrouver sa nouvelle espionne, dont la beauté l'éblouit toujours autant. Sa mission : convaincre par ses charmes l'ambassadeur de Perse de se rendre à Versailles y signer un traité avec les Français plutôt que les Moscovites, comme il était alors prévu. Pour la convaincre tout à fait, Louis XIV lui rend le titre de propriété de l'hôtel particulier de Joffrey de Peyrac, dans lequel elle se rend. Des signes lui font bientôt battre le c½ur : repas frais, lumière, laboratoire, elle est persuadée que Joffrey est vivant et vit ici à l'insu de tous. Mais un vieillard brise ses espoirs : il s'appelle Savary, est alchimiste, vit ici, et avait une grande admiration pour son mari, mais affirme avoir vu de ses yeux son cadavre brûler en place de Grève comme tout le monde. Desgrez fait alors son apparition et lui apprend où trouver le bey, et commencer la mission que lui a confiée le roi. Le traducteur d'Angélique auprès de l'ambassadeur, Saint-Amon, est d'une inefficacité et d'une maladresse notoires, mais il est le seul homme de la Cour à parler le perse. Elle le retrouve à un supplice dont Zoukim Batchiary Bey se délecte, ce qui amène Angélique à proférer contre lui des insultes. Étonné, le bey demande à la marquise de le suivre chez lui, d'où il chasse Saint-Amon, pourtant chargé de ne jamais laisser seules les deux personnes. Le roi ne manquera pas de reprocher au traducteur son incompétence, le privant de pension et de titre, puis envisage même d'envoyer une armée chercher Angélique, dont le sort l'inquiète grandement : toutes les femmes blondes qu'on avait offertes à l'ambassadeur ont été repêchées gorge tranchée dans la Seine. Pendant ce temps, Angélique fait la farouche dans la chambre du bey. Une servante entre avec un plateau et le renverse sur un signe du maître des lieux sur la robe de la marquise, que l'ambassadeur contraint à se vêtir d'une robe de son pays, beaucoup plus légère et affriolante. Mais lorsqu'Angélique constate que cette même servante obéissante se fait fouetter pour avoir sali sa robe, son geôlier lui explique qu'en Perse le problème du choix ne se pose pas comme en Europe : pour lui en donner la preuve, il déchire sa robe de marquise, lui prouvant qu'elle est tout à fait sa prisonnière. Lorsqu'il essaie d'abuser d'elle, Angélique le menace d'un poignard, mais ne se résout pas à devenir une meurtrière, fondant en larmes. Leur entretien est alors interrompu par des ravisseurs qui tentent de tuer l'ambassadeur, mais la marquise arrête leur geste, avant de se faire enlever par eux. Son ravisseur se présente comme Vladimir Stanislas Racoczi, beau-frère du roi en disgrâce, mais pourtant secrètement mandaté par lui pour ôter des griffes de l'ambassadeur de Perse Angélique. Il lui fait aussitôt sa demande de mariage, que la belle rejette en riant. Pendant ce temps, l'ambassadeur est furieux, et demande la tête du ravisseur d'Angélique ; il s'apprête à aller la chercher avec du renfort, mais celle-ci arrive pour l'arrêter : elle le réprimande de ses manières, mais le bey conquis la supplie de lui indiquer où la retrouver. Elle l'invite donc à Versailles pour signer le traité. L'ambassadeur s'exécute et offre au monarque de nombreux cadeaux. Louis XIV souhaiterait lui en offrir un en retour, et l'ambassadeur réclame la marquise de Plessis-Bellières comme cadeau. Pour sauver Angélique, Colbert prétend devant le bey, Mme de Montespan et la Cour entière, qu'elle est la favorite en titre du roi, ce qui provoque un tollé général, et le triomphe de la marquise. Entre-temps, Racoczi en cavale se réfugie chez Angélique avec qui il partage la couche. Invitée à dormir à Versailles, Angélique occupe la chambre privilégiée, celle de Mme de Montespan, qui contient un couloir permettant d'accéder aux appartements du roi. Desgrez vient la mettre en garde : il a "malencontreusement" renversé le sorbet qui lui était destiné dans la cuisine, et le chien qui a léché le tout est mort en deux minutes. Quoiqu'il la conjure de partir avant de rendre l'âme, elle va rejoindre le roi qui l'a convoquée. Elle se refuse à lui, qui lui apprend que Joffrey n'est pas mort sur le bûcher mais noyé : il l'avait fait remplacer par le cadavre d'un autre condamné, et embarquer en bateau, mais le comte de Peyrac s'était enfui, puis avait été englouti par les eaux. Angélique ne croit pas que son grand amour ait pu être vaincu par les eaux, et décide de rentrer chez elle. Au moment de se coucher, elle manque d'être assassinée par sa robe de chambre imbibée d'un poison foudroyant ; interrogeant sa servante complice de cette tentative, elle lui arrache le nom du commanditaire : Mme des ¼illets. Elle charge le nain Barcarolle de mener enquête sur cette dame, dont il apprend qu'elle s'est rendue chez une dame dénommée La Voisin, réputée pour être le Diable en personne. Ils se rendent au rendez-vous suivant, le lendemain à minuit : ils assistent alors à une messe noire, où la favorite du roi pactise avec le Malin pour conserver l'amour du roi et son exclusivité. Au moment où un prêtre s'apprête à sacrifier un petit bébé, Angélique se manifeste et se fait poursuivre par la compagnie. Au cours de leur fuite, Barcarole est tué. La marquise se réfugie chez François Desgrez et lui révèle tout, mais celui-ci lui apprend que s'il n'est pas ignorant de ces pratiques, il n'en a pourtant aucune preuve, et se montre assez indifférent à la mort d'un enfant qu'on était allé chercher chez des gitans. Il lui révèle cependant qu'il a la preuve de la vie de Joffrey : il l'emmène au cimetière des Innocents, dans lequel un puits mène au jardin de la propriété de Joffrey, où il a trouvé un coffre ayant contenu l'argent du comte, que celui-ci serait venu chercher. Angélique dort dans la propriété. Pendant la nuit, Joffrey fait une apparition et vient contempler le sommeil calme de sa bien-aimée. Mais au moment de son départ, il surprend un homme se dirigeant vers la chambre d'Angélique couteau à la main : cet assassin est envoyé par La Voisin et le prêtre de la messe noire pour faire taire le témoin de leurs agissements sataniques. Joffrey se débarrasse de l'importun, mais le bruit réveille Angélique : elle voit Joffrey, qui pourtant s'enfuit dans le souterrain, qu'il condamne. Savary lui confie alors une lettre que lui a remis le comte, dont il est le complice depuis longtemps. Celle-ci explique à Angélique que son mari a fui pour la laisser vivre heureuse, loin d'un banni en fuite. Comme elle n'a jamais été raisonnable, et qu'elle ne l'est toujours pas, elle part sur le champ le retrouver en compagnie de Savary, en direction du Midi où il se rendait.
Fiche technique
Titre original : Angélique et le Roy Réalisation : Bernard Borderie Assistant réalisateur : Tony Aboyantz Scénario : Alain Decaux, Bernard Borderie, Francis Cosne, d'après le roman d'Anne et Serge Golon Dialogue : Pascal Jardin Décors : Robert Giordani Costumes : Rosine Delamare Photographie : Henri Persin Son : René Sarazin Musique : Michel Magne Montage : Christian Gaudin Production : Francis Cosne, Raymond Borderie Sociétés de production : Francos-Films, CICC Fonoroma Gloria-Film GmbH Pays d'origine : France, Italie et Allemagne Langue originale : français Format : couleur — 35 mm — 2,35:1 — son Mono Genre : film d'aventure, film historique Durée : 100 minutes Date de sortie : France : 31 janvier 1966 Affiche : Yves THOS
Angelica alla corte del re
Distribution
Michèle Mercier : Angélique Jean Rochefort : François Desgrez / voix du narrateur Jacques Toja : Louis XIV Sami Frey : Zoukim Batchiary Bey Estella Blain : Madame de Montespan Claude Giraud : Philippe de Plessis-Bellières Philippe Lemaire : De Vardes Fred Williams : Vladimir Stanislas Racoczi Pasquale Martino (V.F. : Georges Chamarat) : Savary Jean Parédès : Saint-Amon Le nain Roberto (it) : Barcarole Michel Galabru : Bontemps René Lefèvre : Colbert Carole Lebesque : Des ¼illets Ann Smyrner : Thérèse Joëlle Bernard : La Voisin Robert Hossein : Joffrey de Peyrac Jacques Hilling : M° Molines Robert Favart : Le chirurgien Michel Thomass : M. de Bonchef, bourreau. Claire Athana : la reine Marie-Thérèse d'Espagne Jean Lefebvre : L'apothicaire Jean Degrave : Le domestique d'Angélique Frederico Boïdo : Jean Pourri Dany Jacquet : Une dame de la cour Robert Berri : Le sorcier Dominique Zardi : Un homme de main Jean Gold : courtisan
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Angélique et le sultan est un film franco-germano-italien de Bernard Borderie sorti en 1968. Angélique a été enlevée, malgré les efforts de Peyrac. Elle doit être vendue comme esclave au roi du Maroc. Peyrac, après bien des aventures, échoue chez son ami l'ambassadeur de Turquie. Il propose au roi du Maroc l'échange d'un secret contre sa femme, mais celle-ci est déjà parvenue à prendre la fuite...
Réalisé par Eric Picard / dessinsagogo55
Fiche technique
Titre : Angélique et le sultan Réalisation : Bernard Borderie Scénariste : Bernard Borderie et Francis Cosne Producteurs : François Chavane, Francis Cosne et Raymond Borderie Compositeur : Michel Magne Dialoguiste : Pascal Jardin Directeur de la photographie : Henri Persin Costumes : Rosine Delamare Monteur : Christian Gaudin Pays : France, Allemagne, Italie et Tunisie Langue de tournage : Français Genre : Historique, Aventure Format : Couleur Durée : 105 minutes Date de sortie : France : 21 août 1968 Distribution Michèle Mercier : Angélique Robert Hossein : Joffrey de Peyrac "Le Rescator" Jean-Claude Pascal : Osman Ferradji Helmuth Schneider: Colin Paturel Aly Ben Ayed: Sultan Moulay-El-Raschid Roger Pigaut: Pierre-Marie D'Escrainville Jacques Santi: comte de Vateville Bruno Dietrich : Coriano Henri Cogan: Simon Bolbec Erno Crisa: ambassadeur turc Arturo Dominici: Mezzo Morte (non crédité) Wilma Lindamar : Leïla Aïcha Gaby Mess/Mesee : favorite du Sultan Ettore Manni: Jason Manja Golec : captive Emilio Massina : garde de l'ambassadeur (non crédité) Mohamed Kouka Claudio Previtera. Antoine Baud : un marin D'Escrainville Marc Cassot: voix d'Helmut Schneider Jean Topart: voix d'Arturo Dominici Michèle Montel : voix de Manja Golec
Autour du film
De nombreuses scènes du film sont tournées en Tunisie, par exemple dans la ville de Sidi Bou Saïd, entre autres dans le palais du baron Rodolphe d'Erlanger, autour du ribat de Monastir, dans l'amphithéâtre d'El Jem, avec une vue de la corbeille de Nefta, de la baie de La Marsa, etc.
Filmographie d'Angélique 1964 : Angélique Marquise des Anges de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Robert Hossein, Jean Rochefort 1964 : Merveilleuse Angélique de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Claude Giraud, Jean Rochefort 1965 : Angélique et le Roy de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Jean Rochefort 1967 : Indomptable Angélique de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Robert Hossein 1968 : Angélique et le sultan de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Robert Hossein, Jean-Claude Pascal
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Date de sortie 1964 Réalisé par Bernard Borderie Avec : Michèle Mercier , Robert Hossein , Jean Rochefort Genre : Historique , Aventure Nationalité : Français , italien , allemand
Réalisé par Eric Picard / dessinsagogo55
La jeune Angélique assiste à la fomentation d'un complot entre plusieurs grands du royaume , visant à empoisonner le futur Louis XIV . Afin de la protéger de cette dangereuse découverte , elle est envoyée dans un couvent pour y faire ses études . Les années passent , et quand son père l'en fait sortir prématurément , c'est pour lui apprendre qu'elle est promise au richissime comte de Toulouse qu'on dit boiteux et défiguré par une cicatrice ...
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Anjelica Huston ( Santa Monica (Californie) , 8 Juillet 1951 ) est une actrice et réalisatrice américaine. Elle est surtout connue pour son rôle de Morticia Addams dans le film La Famille Addams (1991) et sa suite Valeurs de la famille Addams (1993).
Anjelica Huston - Vogue par Richard Avedon, Janvier 1973
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Anna Karina, de son vrai nom Hanne Karin Blarke Bayer (née le 22 septembre 1940 à Solbjerg Danemark), est actrice, chanteuse et écrivaine.
Elle commence sa carrière au Danemark, où elle chante dans des cabarets, travaille comme mannequin et joue dans des publicités et des courts métrages. Elle vient à Paris à l'âge de dix-sept ans et y rencontre Coco Chanel qui lui invente son nom Anna Karina. C'est à cette époque qu'elle est repérée par Jean-Luc Godard, alors journaliste aux Cahiers du cinéma, avec lequel elle se marie en 1960. En 1968, elle divorce de Godard et se marie avec Pierre Fabre. En 1974, elle divorce de ce dernier, pour épouser quatre ans plus tard Daniel Duval. Ils divorcent en 1981 et, l'année suivante, elle se remarie avec Dennis Berry.
En 1959, elle refuse un rôle important dans À bout de souffle parce qu'il comprenait une scène dénudée. Son personnage disparaîtra finalement du film. Malgré ce refus, Anna Karina jouera dans nombre de films de Jean-Luc Godard. Ils se marient peu de temps après le tournage du Petit Soldat (1960). En 1961, elle obtient le prix de la meilleure actrice au festival de Berlin pour son interprétation du personnage d'Angela dans le film Une femme est une femme. La carrière d'Anna Karina ne se limite pas aux films de Jean-Luc Godard, et elle obtient nombre de succès dans ceux d'autres réalisateurs. Sa prestation dans Suzanne Simonin, la Religieuse de Diderot (1967) de Jacques Rivette est même considérée par certains comme la meilleure de sa carrière. Anna Karina sera dirigée par Luchino Visconti dans L'Étranger (aux côtés de Marcello Mastroianni), mais aussi par George Cukor, Volker Schlöndorff, Rainer Werner Fassbinder, Raoul Ruiz ou encore Jonathan Demme. En 1973 elle fait ses débuts de réalisatrice dans Vivre Ensemble dans lequel elle joue également. Elle écrit et joue également dans Last Song en 1987. Plus récemment elle est apparue dans Haut, Bas, Fragile (1996) de Jacques Rivette et chante dans La Vérité sur Charlie (The Truth About Charlie). En 2007, elle réalise un road-movie nommé Victoria à Montréal, à Québec et au Saguenay–Lac-Saint-Jean dans lequel elle interprète le rôle principal aux côtés du jeune comédien Woodson Louis, du chanteur Jean-François Moran et d'Emmanuel Reichenbach. Ce long-métrage a été produit par la cinéaste canadienne Hejer Charf (Nadja Productions Inc). C'est Philippe Katerine qui compose la musique du film.
Parallèlement, Anna Karina a mené une carrière de chanteuse. En 1967, elle rencontre un grand succès avec Sous le soleil exactement et Roller Girl. Ces titres sont extraits de la comédie musicale Anna de Serge Gainsbourg. Elle y chante sept morceaux aux côtés de Serge Gainsbourg et de Jean-Claude Brialy. Elle se produit au Palace dans les années 1980. En 1999, elle a enregistré avec Philippe Katerine un album intitulé Une histoire d'amour. Le disque sort en 2000 et sera suivi d'une tournée dans les principaux festivals en France et à l'étranger. Anna Karina s'est produite également sur la scène du Printemps de Bourges 2006 pour un hommage à Serge Gainsbourg. Elle a écrit quatre romans et fait quelques apparitions dans des téléfilms.
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Anna Magnani, née le 7 mars 1908 à Rome, province du Latium, Italie et morte le 26 septembre 1973 dans la même ville, était une actrice italienne. Fille naturelle, abandonnée par sa mère, elle est élevée chichement par sa grand-mère maternelle à Rome, et fit son éducation dans un couvent.
Elle commence sa carrière artistique en chantant dans des cabarets et des night-clubs avant d'intégrer l'Académie d'art dramatique de Rome. Commencent ensuite des tournées à travers le pays avec des compagnies théâtrales à répertoire minimal. Ses débuts au cinéma ont lieu en 1927 avec un petit rôle dans un film muet, Scampolo, suivi d'un rôle de premier plan dans La Prisonnière des ténèbres (La Cieca di Sorrento) de Nunzio Malasomma en 1934. En 1935, elle épouse Goffredo Alessandrini qui la fit jouer dans La Cavalerie héroïque (Cavalleria) en 1936. Leur union dura peu de temps et le mariage fut annulé en 1950. Elle devint une actrice connue avec le rôle qu'elle eut en 1941 dans Mademoiselle Vendredi (Teresa Venerdi), réalisé par Vittorio De Sica. Sa véritable percée et sa réputation mondiale se firent avec Roberto Rossellini dans le film Rome, ville ouverte (Roma, città aperta) en 1945, généralement considéré comme le premier film néoréaliste commercial de l'après-guerre. Dès lors, elle ne cessa de travailler pour le cinéma et la télévision, recevant un Oscar de la meilleure actrice pour sa performance dans la version cinématographique de La Rose tatouée (The Rose Tattoo) de Daniel Mann d'après la pièce de Tennessee Williams (Williams et elle étaient des amis proches), et travaillant avec les plus importants réalisateurs italiens durant les années 1950, 1960 et 1970. Elle était réputée pour ses rôles de femme plébéienne, rude et passionnée. Elle eut une liaison avec Roberto Rossellini entre la réalisation de Rome, ville ouverte et sa rencontre à scandale avec Ingrid Bergman. Anna eut un enfant naturel avec un acteur italien, un garçon qui fut victime de la poliomyélite, et elle consacra sa vie à prendre soin de lui. Le dernier film dans lequel elle joua fut Fellini Roma, en 1972. Elle mourut l'année suivante, à Rome, d'un cancer du pancréas. Filmographie Cinéma 1928 : Scampolo (Das Mädchen der Straße) d'Augusto Genina 1934 : Tempo massimo de Mario Mattoli, rôle d'Emilia 1934 : La Prisonnière des ténèbres (La Cieca di Sorrento) de Nunzio Malasomma, rôle d'Anna 1935 : Quei due de Gennaro Righelli 1936 : Trenta secondi d'amore de Mario Bonnard 1936 : La Cavalerie héroïque (Cavalleria) de Goffredo Alessandrini, rôle de Fanny 1938 : Tarakanowa (Principessa Tarakanova) de Fedor Ozep et Mario Soldati, rôle de la servante de la princesse 1940 : Una Lampada alla finestra de Gino Talamo, rôle d'Ivana, la maîtresse de Max 1941 : La Fuggitiva de Piero Ballerini, rôle de Wanda Reni 1941 : Mademoiselle Vendredi (Teresa Venerdì) de Vittorio De Sica, rôles de Maddalena Tentini et Loretta Prima 1942 : Finalmente soli de Giacomo Gentilomo, rôle de Ninetta, alias Lulù 1942 : La Fortuna viene dal cielo d'Ákos Ráthonyi, rôle de Zizi 1943 : L'Avventura di Annabella de Leo Menardi, rôle de la mondaine 1943 : La Vita è bella de Carlo Ludovico Bragaglia, rôle de Virginia 1943 : Campo de' fiori de Mario Bonnard, rôle d'Elide 1943 : Gli Assi della risata de Roberto Bianchi et Montero Guido Brignone : épisode Il mio pallone 1943 : Le Diamant mystérieux (L'Ultima carrozzella) de Mario Mattoli, rôle de Mary Dunchetti, la chanteuse 1944 : Il Fiore sotto gli occhi de Guido Brignone, rôle de Maria Comasco, l'actrice 1945 : Quartetto pazzo de Guido Salvini, rôle d'Elena 1945 : Rome, ville ouverte (Roma, città aperta) de Roberto Rossellini, rôle de Pina 1945 : Abbasso la miseria! de Gennaro Righelli, rôle de Nannina Straselli 1946 : Un homme revient (Un Uomo ritorna) de Max Neufeld, rôle d'Adele 1946 : Lo Sconosciuto di San Marino (L'inconnu de Saint-Marin) de Michal Waszynski, rôle de Liana, la prostituée 1946 : Devant lui tremblait tout Rome (Avanti a lui tremava tutta Roma) de Carmine Gallone, rôle d'Ada 1946 : Le Bandit (Il Bandito) d'Alberto Lattuada, rôle de Lidia 1946 : Au diable la richesse (Abbasso la ricchezza!) de Gennaro Righelli, rôle de Gioconda Perfetti 1946 : Assunta Spina de Mario Mattoli, rôle d'Assunta Spina 1947 : L'Honorable Angelina (L'Onorevole Angelina) de Luigi Zampa où Anna Magnani participe au scénario, rôle d'Angelina Bianchi 1948 : Beaucoup de rêves sur les routes (Molti sogni per le strade) de Mario Camerini 1948 : Amore (L'Amore) de Roberto Rossellini, en deux parties : I - La Voix humaine (Una voce umana) (rôle de la femme) ; II - Le Miracle (Il miracolo) (rôle de Nanni) 1950 : Vulcano de William Dieterle, rôle de Maddalena Natoli 1951 : Bellissima de Luchino Visconti, rôle de Maddalena Cecconi 1952 : Les Chemises rouges (Camicie rosse) de Goffredo Alessandrini et Francesco Rosi où Anna Magnani participe au scénario, rôle de d'Anita Garibaldi 1953 : Le Carrosse d'or (Carrozza d'oro) de Jean Renoir, rôle de Camilla 1953 : Nous les femmes (Siamo donne) co-réalisation, épisode Anna Magnani de Luchino Visconti, dans son propre rôle 1955 : Carosello del varietà (Carrousel du music-hall) d'Aldo Bonaldi et Aldo Quinti 1955 : La Rose tatouée (The Rose Tattoo) de Daniel Mann, rôle de Serafina Delle Rose 1957 : Suor Letizia de Mario Camerini, rôle de Suor Letizia 1957 : Car sauvage est le vent (Wild is the Wind) de George Cukor, rôle de Gioia 1958 : L'Enfer dans la ville (Nella città dell'inferno) de Renato Castellani, rôle d'Egle 1959 : L'Homme à la peau de serpent (The Fugitive Kind) de Sidney Lumet, rôle de Lady Torrance 1960 : Larmes de joie (Risate di gioia) de Mario Monicelli, rôle de Gioia 1962 : Mamma Roma de Pier Paolo Pasolini, rôle de Mamma Roma 1963 : Le Magot de Josefa (Pila della Peppa) de Claude Autant-Lara, rôle de Josefa 1967 : À l'italienne (Made in Italy) de Nanni Loy : épisode La Famiglia, rôle d'Adelina 1969 : Le Secret de Santa Vittoria (The Secret of Santa Vittoria) de Stanley Kramer, rôle de Rosa Bombolini 1972 : Fellini Roma de Federico Fellini, dans son propre rôle Télévision 1969 : 1843 : un incontro d'Alfredo Giannetti, rôle de Jolanda l'infirmière 1970 : La Chanteuse (La Sciantosa) d'Alfredo Giannetti, rôle de Flora Torres 1971 : 1870 (Correva l'anno di grazia 1870) d'Alfredo Giannetti 1972 : L'Automobile d'Alfredo Giannetti Récompenses 1946 : Ruban d'argent du meilleur second rôle féminin pour Rome, ville ouverte 1946 : NBR Award de la meilleure actrice pour Rome, ville ouverte 1947 : Prix international de la meilleure actrice à la Mostra de Venise pour L'Honorable Angelina 1948 : Ruban d'argent de la meilleure actrice principale pour L'Honorable Angelina 1949 : Ruban d'argent de la meilleure actrice principale pour La Voix humaine 1952 : Ruban d'argent de la meilleure actrice pour Bellissima 1955 : NBR Award de la meilleure actrice pour La Rose tatouée 1955 : NYFCC Award de la meilleure actrice pour La Rose tatouée 1956 : Oscar de la meilleure actrice principale pour La Rose tatouée 1956 : Golden Globe Award de la meilleure actrice de film dramatique pour La Rose tatouée 1957 : Ruban d'argent de la meilleure actrice principale pour Suor Letizia 1957 : BAFTA film award de la meilleure actrice étrangère pour Car sauvage est le vent 1958 : David di Donatello de la meilleure actrice italienne pour Car sauvage est le vent 1958 : Ours d'argent de la meilleure actrice au Festival de Berlin pour Car sauvage est le vent 1959 : David di Donatello de la meilleure actrice pour L'Enfer dans la ville Anecdotes Dans le milieu du cinéma italien, on avait coutume de la surnommer La Magnani ou Nanarella. Deux films ont été réalisés sur le sujet de sa vie d'actrice : en 1979, Anna Magnani, un film d'amour (Io sono Anna Magnani), film documentaire de Chris Vermorcken, réalisatrice belge, en 2000, Anna film pour la télévision de Giorgio Capitani. Deux livres ont été écrits sur sa vie : en 1984, The Film of Anna Magnani par Matilde Hochkofler (Gremese Editore, Rome, Italy, ISBN 88-7605-150-3), en 1986, La Magnani par Patrizia Carrano (Ed. Rizzoli, Milan, Italie). Une étoile à son nom (et à sa renommée) a été posée sur le Hollywood Walk of Fame à Los Angeles (USA) face au 6381 Hollywood Boulevard. Lors du premier vol spatial habité le 12 avril 1961, Youri Gagarine lança ce message : "Je salue la fraternité des hommes, le monde des arts, et Anna Magnani"
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