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8 articles taggés Premier ministre

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Qui est Jean Castex, le nouveau premier ministre pour la suite du mandat d'Emmanuel Macron ?

Qui est Jean Castex, le nouveau premier ministre pour la suite du mandat d’Emmanuel Macron ?Qui est Jean Castex, le nouveau premier ministre pour la suite du mandat d'Emmanuel Macron ?A 55 ans, il a évolué dans la haute fonction publique, jusqu'à l'Elysée lorsque Nicolas Sarkozy était président. Pendant la crise sanitaire, il a été en charge de la stratégie de déconfinement nationale.
 
Le Monde avec AFP Publié aujourd'hui à 14h46, mis à jour à 15h53
 
 
Haut fonctionnaire, élu local et ancien conseiller de Nicolas Sarkozy : Jean Castex, nommé vendredi 3 juillet premier ministre en remplacement d'Edouard Philippe, était devenu une personnalité de choix pour la majorité depuis sa mission de conseil stratégique sur le déconfinement.
Cet homme de 55 ans, qui n'a jamais été ministre, cumule, aux yeux du président, les avantages pour porter la deuxième phase du quinquennat : énarque, mais au contact des territoires ; toujours étiqueté LR, mais réputé homme de dialogue et parfait connaisseur des arcanes du pouvoir depuis son passage à l'Elysée comme secrétaire général adjoint, à la fin du mandat de Nicolas Sarkozy.

L'homme du déconfinement
 
Début avril, au pic de la crise, Jean Castex reçoit un coup de fil d'Edouard Philippe. « On aurait besoin de vous », lâche le premier ministre. L'homme est alors délégué interministériel aux Jeux olympiques et paralympiques de 2024 et s'embarque au ministère de la santé, qu'il connaît bien, pour penser le déconfinement d'une France à l'arrêt, alors que plusieurs centaines de personnes meurent encore chaque jour du Covid-19 dans le pays.
 
Doté d'une équipe de 18 personnes, il navigue entre l'Elysée, Matignon et le ministère de la santé pour proposer une stratégie de levée des mesures strictes de contrôle de l'épidémie. Il défend un déconfinement par petits pas et, dans la mesure du possible, adaptable au terrain. Pour l'école comme pour les transports publics, un maître mot : « On y va mollo. »
Il regrette l'interdiction faite à la maire de Paris d'ouvrir les parcs et jardins dans la capitale, ainsi que l'ouverture du Puy du Fou décidée par Emmanuel Macron. Mais « environ 90 % de ses recommandations ont été suivies », selon un de ses proches.

Un maire rural et de droite
 
 Jean Castex, maire de Prades (Pyrénées-Orientales), aux côtés d'Elisabeth Borne, alors ministre des transports, en novembre 2017. STRINGER / AFP
 
 
Jean Castex, qui a gardé un léger accent de son Gers natal (il est né le 25 juin 1965 à Vic-Fezensac), est maire Les Républicains de Prades depuis 2008, quand il avait arraché la commune à la gauche. Il a été réélu dans cette petite ville des Pyrénées-Orientales à 75 % dès le premier tour, le 15 mars. Entre 2010 et 2015, il était conseiller régional de Languedoc-Roussillon et a été candidat malheureux aux législatives de 2012, battu par la candidate PS.
« Politiquement, je suis de droite et je l'assume parfaitement », avait-il dit au début des années 2000. Ce père de quatre filles soutient la candidature de François Fillon pour la présidence de l'UMP lors du congrès d'automne 2012. Mais il avait déjà réussi à se ménager des appuis à La République en marche : son nom avait un temps circulé fin 2018 pour succéder à Gérard Collomb au ministère de l'intérieur.
 
Un haut fonctionnaire proche de Xavier Bertrand et Nicolas Sarkozy
 
Enarque, membre de la Cour des comptes, il enchaîne les hauts postes depuis des années, notamment sur les questions de santé. Directeur de l'hospitalisation au ministère des solidarités en 2005-2006, il devient ensuite directeur de cabinet de Xavier Bertrand à deux reprises, d'abord au ministère de la santé (2006-2007) puis au travail (2007-2008). « Le premier plan pandémie, c'est Jean Castex qui est dircab » à l'époque du virus H5N1, rappelle Xavier Bertrand, en louant « les idées claires et le franc-parler ».
 
« C'est un vrai couteau suisse, il a des connexions un peu partout, il sait faire ce qu'il faut faire au bon endroit », assure Franck Louvrier, l'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy. Immédiatement après avoir été nommé, Jean Castex a appelé l'ancien président Nicolas Sarkozy. « Jean Castex est quelqu'un pour lequel Nicolas Sarkozy a beaucoup de respect, d'amitié et même d'affection », assure-t-on dans l'entourage de l'ancien président.

Une personnalité « avenante »
 
« II a une bonhomie et une sympathie incroyable, une empathie et humilité naturelles. Il travaille à la vitesse de la lumière en gardant un calme à toute épreuve », se souvient un ancien du cabinet ministériel de Xavier Bertrand.
« C'est le mec réglo par excellence, confirme le président socialiste de la Seine-Saint-Denis, Stéphane Troussel. Jamais de coup tordu. Il dit les choses et, quand il dit oui, il s'engage à fond. Et en plus, il est très sympathique. Des comme lui, j'en ai rarement croisé dans ma carrière. » Pour Valérie Pécresse, « c'est tout sauf un courtisan. C'est un mélange assez inédit de très grande connaissance de l'appareil d'Etat et de sensibilité du terrain, grâce à son mandat de maire de Prades. Cela lui donne une forme de bon sens, de recul par rapport aux jeux de pouvoir. »
De son passage au ministère du travail, les centrales syndicales gardent le souvenir d'un homme « disponible » et « avenant », même s'il « cache une certaine fermeté », avec « une excellente connaissance de ses dossiers ». En somme, disent les mêmes, « quelqu'un avec qui on peut discuter ».
 
Tags : Jean Castex, Premier ministre, Politique, 03 juillet, 03 juillet 2020, 2020, dessinsagogo55
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#Posté le vendredi 03 juillet 2020 11:24

Passation de pouvoirs

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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Tags : Premier ministre, Politique, 03 juillet, 03 juillet 2020, 2020, dessinsagogo55, Jean Castex, Édouard Philippe
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#Posté le vendredi 03 juillet 2020 14:01

Jean Castex agacé ? Cette réplique à Emmanuel Macron

Jean Castex agacé ? Cette réplique à Emmanuel Macron
 
 
Jean Castex agacé ? Cette réplique à Emmanuel Macron
 
 
« MA PERSONNALITÉ N'EST PAS SOLUBLE »
GIPSY DAUGE | dimanche 5 juillet 2020 à 08h50 - Mis à jour le dimanche 5 juillet 2020 à 12h14

 





Jean Castex dessine les contours de son rôle de Premier ministre. Dans une interview au JDD ce dimanche, le successeur d'Édouard Philippe met en garde Emmanuel Macron : il ne deviendra pas son « subordonné ».
 
 
Jean Castex - que l'on dit d'une « redoutable efficacité » - a été nommé Premier ministre vendredi pour succéder à Édouard Philippe, démissionnaire et réélu maire du Havre. 48 heures plus tard, le nouveau Premier ministre met les point sur les i : son rôle n'est pas d'obéir sans broncher au Président. « Le mot de « collaborateur » est un peu péjoratif, vous en conviendrez. Il n'entre pas dans les intentions du chef de l'État de faire de moi un subordonné voué aux tâches secondaires. Quand vous aurez appris à me connaître, vous verrez que ma personnalité n'est pas soluble dans le terme de 'collaborateur' », assure dans les colonnes du JDD ce dimanche 5 juillet celui qui demande aux Français de lui laisser sa chance et de le juger « sur pièces ».
 
Pourtant, en nommant Jean Castex, Emmanuel Macron a pris le parti d'avoir à ses côtés un Premier ministre moins politique et moins encombrant que son prédécesseur, dont la popularité s'était envolée. "Un non-Premier ministre", s'est même moqué le président des Républicains, Christian Jacob. D'autant qu'à Matignon, Jean Castex aura comme directeur de cabinet Nicolas Revel, un proche d'Emmanuel Macron, que le président n'avait pas réussi à imposer à Edouard Philippe.
 
 
« Il ne peut en rien faire ombre au président »
 
Une situation que Raymond Soubie, ancien conseiller social à l'Élysée sous Nicolas Sarkozy, a résumé à sa manière : Jean Castex, selon lui, est un "casting idéal" : "Puisqu'il n'a aucune existence politique par lui-même, il ne peut en rien faire ombre au président", a-t-il déclaré sur Public Sénat. "Pour le président, il est une double assurance : il est l'homme idéal pour cette situation et en même temps cela ne peut pas être un rival politique. En vérité, pour le président, c'est un choix très habile." , a-t-il poursuivi. Une présentation qui n'a sans doute pas plu au nouveau Premier ministre.



 
 
Tags : Premier ministre, Politique, 2020, dessinsagogo55, Jean Castex, 5 juillet, 5 juillet 2020
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#Posté le dimanche 05 juillet 2020 10:05

Gérald Darmanin affirme avoir « le droit à la présomption

Gérald Darmanin affirme avoir « le droit à la présomptionGouvernement Castex : Gérald Darmanin affirme avoir « le droit à la présomption d'innocence »
 
POLEMIQUE 
 
Alors que Gérald Darmanin est visé par une enquête pour viol, le nouveau ministre de l'Intérieur s'est défendu sur RTL
N.S. avec AFPPublié le 09/07/20 à 08h59 — Mis à jour le 09/07/20 à 08h59
Gérald Darmanin connaît des débuts agités place Beauvau. Depuis sa nomination lundi, le nouveau ministre de l'Intérieur se trouve au c½ur de plusieurs polémiques. La principale concerne l'enquête pour viol qui le vise. Il s'est une nouvelle fois défendu, jeudi au micro de RTL.
 
« Je ne commente pas les affaires de justice en général et pas la mienne depuis trois ans en particulier, a lancé Gérald Darmanin. Je constate simplement qu'il y a eu trois décisions de justice, deux enquêtes préliminaires ont été classées sans suite et un non-lieu rendu par deux juges d'instruction. » Avant de compléter : « Il me semble qu'au bout de trois décisions de justice, on peut penser que j'ai le droit à la présomption d'innocence ».
 
Le futur ancien maire de Tourcoing assure avoir demandé à son administration à ne pas avoir de remontées d'informations sur les affaires le concernant.
Tags : Gérald Darmanin, Politique, dessinsagogo55, Premier ministre, 9 juillet 2020, 9 juillet, 2020, Ministre
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#Posté le jeudi 09 juillet 2020 07:55

Jean Castex fait grincer les dents des députés LREM

Jean Castex fait grincer les dents des députés LREMJean Castex fait grincer les dents des députés LREM
Le groupe majoritaire fait pour l'instant contre mauvaise fortune bon c½ur. Mais l'enthousiasme des débuts a disparu. Gare à une rentrée chahutée.  Par Valérie PeifferModifié le 09/07/2020 à 10:27 - Publié le 09/07/2020 à 08:31 | Le Point.fr
 
 
C'est dans un brouhaha intense que le Premier ministre Jean Castex et ses ministres ont fait leur entrée dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. Pour leurs premières questions au gouvernement, qui devancent d'une semaine la déclaration de politique générale, l'ambiance était – sans surprise – survoltée, tandis que le jeu restait classique. Chacun a tenu son rôle sur le devant de la scène : les oppositions en championnes de la contestation et des mises en garde tonitruantes, la majorité à l'écoute bienveillante et aux applaudissements nourris. Reste que, dans les coulisses, beaucoup de députés de la majorité s'interrogent. L'acte III du quinquennat tiendra-t-il ses promesses d'un nouveau chemin ? Et ce dernier respectera-t-il la promesse originelle du macronisme ?
Nicolas Sarkoy de retour au pouvoir ?
« Main dans la main avec le gouvernement et Jean Castex », a tweeté Gilles Le Gendre, le (encore) président du groupe LREM à l'Assemblée nationale. C'est loin d'être l'avis des 280 députés qui restent dans le parti majoritaire. Il y a évidemment ceux de l'aile gauche qui s'inquiètent de voir la droite en majesté dans ce gouvernement. « Nicolas Sarkozy ne serait-il pas de nouveau au pouvoir ? » s'interroge, grinçant, un ancien député socialiste. Tandis que d'autres notent qu'il y a eu beaucoup de ministres sortants issus de la gauche. Dans ce camp, même si l'on affirme toujours croire en Emmanuel Macron, on se sent « trahi » : la ligne politique n'est plus celle du début.
 
 
Certains parlementaires sont cependant plus nuancés. « Le signal est inquiétant au regard du message lancé par les électeurs aux municipales », analyse Claire Pitollat, députée des Bouches-du-Rhône, qui se sent « orpheline de sa ligne politique » avec LREM qui se conforte dans le centre droit et une gauche qui penche vers les Insoumis. Ce qui ne l'empêche pas de penser que rien n'est perdu : « Si on regarde dans le détail, Jean Castex est aussi celui qui a géré la crise d'une manière très sociale. Et la nomination de son directeur de cabinet [un homme de gauche] pourrait permettre des arbitrages plus équilibrés à Matignon qu'avant. » Et de souligner que « la création d'un ministère de l'Insertion est aussi une nouvelle prometteuse ».
 
Les déçus : de futurs frondeurs en puissance
Il y a aussi celles et ceux qui pensaient entrer au gouvernement et qui doivent définitivement se faire une raison et s'en tenir à leur place dans l'hémicycle. Déçus, ils accusent le coup en silence, pour l'instant. Certains espèrent encore un poste de secrétaire d'État... Mais que feront-ils à la rentrée ? « C'est a priori le dernier remaniement, leurs espoirs sont douchés et si, pour l'instant, ils se taisent pour ne pas apparaître comme de mauvais joueurs, ils pourraient vite devenir bruyants et frondeurs. La culture du hold-up façon 2017 est dans les gènes des Marcheurs », explique un député.
 
Pour les autres, qui n'espéraient rien, la palette des positionnements est aussi vaste que le groupe est nombreux. « Ce n'est pas une question de personne, mais ce gouvernement et Jean Castex n'incarnent pas ce pour quoi les Marcheurs issus de la société civile se sont engagés », observe une députée « ni de gauche ni de droite ». « L'image que cela renvoie ne me parle pas. » Sans préjuger de la capacité du Premier ministre et de son gouvernement à faire leurs preuves, un certain nombre de députés regrettent aussi le manque d'audace de cette nomination. Jean Castex n'incarne pas le changement annoncé par le président de la République et attendu par les députés. « C'est vrai que certains se disent tout ça pour ça ! et déplorent le manque de profondeur du changement », note Éric Pouillat, député de Gironde. Lui-même le reconnaît : « Jean Castex n'était pas le Premier ministre que j'attendais, mais il a envoyé des signaux corrects lorsqu'il nous [les députés de la majorité, NDLR] a reçus à Matignon et quand il est venu à notre réunion de groupe. Plusieurs fois, le Premier ministre a répété qu'il serait le chef de la majorité et qu'il entendait valoriser les députés et le travail parlementaire. »
 
Un discours de politique générale très attendu
Des paroles qui ont fait du bien aux troupes, qui en ont marre des leçons qui leur sont données et surtout d'être sur le banc des accusés. Notamment en ce qui concerne les résultats des municipales. « S'entendre répéter en boucle qu'il faut faire du terrain est insupportable, souligne un député. Le terrain, nous en faisons tout le temps, cela fait partie du job. Les ministres feraient bien d'en faire autant... » Aussi, une majorité de députés assure préférer juger sur pièces le nouveau Premier ministre et le gouvernement. Prévu le 15 juillet à 15 heures, le discours de politique générale que livrera Jean Castex dans l'hémicycle est ainsi très attendu.
 
Tags : Jean Castex, LREM, Politique, dessinsagogo55, Premier ministre, 9 juillet 2020, 9 juillet, 2020
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#Posté le jeudi 09 juillet 2020 07:58

Jean Castex presse ses ministres d'aller « sur le terrain »

Jean Castex presse ses ministres d’aller « sur le terrain »Jean Castex presse ses ministres d'aller « sur le terrain »
 
 
 
 
 
 
AU TRAVAIL 
Le Premier ministre a animé son tout premier séminaire de travail ce samedi matin
20 Minutes avec AFPPublié le 11/07/20 à 14h09 — Mis à jour le 11/07/20 à 14h11
Plus de temps à perdre. Jean Castex a pressé ce samedi ses ministres d'aller « sur le terrain » pour « entendre les demandes » et veiller à la concrétisation des décisions du gouvernement, lors d'un premier séminaire de travail.
 
Place à la « méthode Castex »
 
Lors du premier Conseil des ministres en début de semaine, « le président de la République a fixé le cap » et « maintenant il y a la traduction concrète avec la "méthode Castex" », a précisé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal​ à l'issue de ce séminaire. C'est « un gouvernement des 600 jours » jusqu'au bout du quinquennat, a rappelé Gabriel Attal, soulignant que « nous sommes dans un moment de crise historique pour le pays et nous ne pouvons pas attendre pour agir ».
« Il y a un souci très marqué par le Premier ministre de la concrétisation », ce qui doit conduire « les membres du gouvernement à se déplacer, à aller sur le terrain, au contact des Français » pour « mesurer les effets concrets des décisions », a-t-il dit. Jean Castex a aussi « un souci très appuyé de dialogue, de concertation, avec les élus locaux, les entreprises, les associations » pour « avancer » et « embarquer du monde », a rapporté le porte-parole.
 
« Travailler en circuit court »
 
Le gouvernement a eu par ailleurs « un échange politique assez long autour de la déclaration de politique générale » que fera le Premier ministre devant l'Assemblée nationale mercredi, après une interview télévisée d'Emmanuel Macron mardi. Il était « important que tous les membres du gouvernement puissent faire valoir leurs idées », selon Gabriel Attal. Un participant a rapporté un échange « assez prospectif » afin que chacun donne sa « perception du terrain ». Jean Castex veut « travailler en circuit court », selon ce ministre.
 
Interrogé sur une possible augmentation du nombre de conseillers ministériels, Gabriel Attal n'a pas confirmé mais relevé que pour le dialogue et la concertation, il faudrait « qu'on ait dans les équipes des ministres des interlocuteurs en mesure de répondre et d'échanger avec l'ensemble des acteurs qui participent à la vie du pays ». « Peut-être c'est quelque chose qui a un peu manqué précédemment d'avoir des personnes identifiées sur ces sujets-là », a-t-il admis.
 
Tags : Jean Castex, 2020, Politique, dessinsagogo55, 11 juillet, 11 Juillet 2020, Premier ministre
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#Posté le dimanche 12 juillet 2020 04:04

Plan de relance, écologie, territoires... Ce qu'il faut retenir du discours de politique générale de Castex

 
 Plan de relance, écologie, territoires... Ce qu'il faut retenir du discours de politique générale de Castex
 
 
 
 
Plan de relance, écologie, territoires... Ce qu'il faut retenir du discours de politique générale de Castex
 
 
Au lendemain de l'interview télévisée d'Emmanuel Macron, le chef du gouvernement a passé son premier grand oral à l'Assemblée nationale ce mercredi après-midi.
Par Loris Boichot, Claudia Cohen, Louis Heidsieck et Pierre Maurer
Publié il y a 2 heures, mis à jour il y a 1 heure
 
Chacun son tour. Au lendemain de l'interview télévisée accordée mardi par Emmanuel Macron à TF1 et France 2, le premier ministre Jean Castex s'est exprimé à l'Assemblée nationale ce mercredi après-midi. Deux semaines après sa nomination à Matignon, le chef du gouvernement a prononcé son premier discours de politique générale dans l'hémicycle, avant de solliciter la confiance des députés en fin d'après-midi. À la tribune, il a commencé à préciser les contours du «nouveau chemin» promis par l'exécutif pour projeter le pays dans le «monde d'après», et affronter la crise économique et sociale.
 
 
● Coronavirus : développement du port du masque et intensification des dépistages
 
Arrivé à Matignon après «l'une des plus graves crises sanitaires» que la France «ait connu», le premier ministre souhaite «renforcer nos actions de prévention». Il s'agit selon lui de la «meilleure façon de nous préparer à une reprise possible de l'épidémie» et d'«éviter» un «retour à des formes strictes et larges de confinement». «Cela passe nécessairement par le développement du port du masque et une intensification de notre politique de dépistage», assure-t-il.
 
● Plan de relance d'au moins 100 milliards d'euros
 
«À la crise sanitaire succède une crise économique d'une ampleur inégalée depuis la Seconde Guerre mondiale», a souligné Jean Castex. Le premier ministre a précisé les modalités du plan de relance de 100 milliards d'euros prévu par l'exécutif, au service de l'emploi (38 milliards), de la transformation des secteurs industriels stratégiques (40 milliards) et de la transition écologique (20 milliards).
 
 
● La lutte contre le chômage, «priorité absolue» des «18 prochains mois»
 
«La lutte contre le chômage et la préservation de l'emploi» : telles seront les priorités «absolues» du gouvernement pour «les 18 prochains mois».
 
● Retraites : réforme «nécessaire», en la distinguant «de toute mesure financière»
 
«La crise invite plus que jamais à poursuivre nos objectifs vers un système plus juste et plus équitable, notamment pour les femmes et les travailleurs modestes». C'est en ces termes que le premier ministre a remis la réforme des retraites sur le métier. Jean Castex a plaidé pour «la création d'un régime universel (qui) implique la disparition à terme des régimes spéciaux», mais il a affirmé vouloir prendre «pleinement en considération la situation des bénéficiaires actuels de ces régimes». Reconnaissant que les modalités de cette réforme ont généré «de l'inquiétude et de l'incompréhension» par le passé, il a confirmé qu'il allait distinguer «très clairement» la réforme structurelle de toute «mesure financière (...) paramétrique», comme le très controversé âge pivot.
 
 
● Un grand plan pour aider les jeunes à la rentrée
 
«Premiers touchés par la crise», les jeunes sont «la première urgence» de l'exécutif. C'est pourquoi un plan jeunesse «sera discuté vendredi avec les partenaires sociaux», afin d'accompagner les 700.000 jeunes qui se présenteront en septembre sur le marché du travail. L'État y aidera notamment «avec un dispositif exceptionnel de réduction du coût du travail, à hauteur de 4000 euros par an, pour les jeunes de moins de 25 ans, jusqu'à 1,6 Smic, dans toutes les entreprises et pour une durée d'au moins un an», a précisé le premier ministre ce mercredi à l'Assemblée nationale. Pour lutter contre le chômage, Jean Castex a également annoncé la création de 300.000 parcours et contrats d'insertion, qui permettront de «toucher les jeunes les plus en difficulté». Il a aussi évoqué 100.000 places de plus en service civique. Enfin, il a misé sur la formation, annonçant l'objectif de créer «200.000 places supplémentaires de formation en 2021».
 
● 19 milliards de plus pour l'hôpital, entre subventions et reprise de dette
 
Jean Castex s'est félicité des résultats du «Ségur de la Santé» signé lundi, qui permettra à «chaque infirmière (de) gagner dès l'année prochaine au moins 200 euros nets en plus chaque mois». «Soyons en fiers», a-t-il exhorté, avant d'annoncer de nouvelles aides à l'hôpital. «S'y ajouteront, dans le cadre du plan de relance, 13 milliards (d'euros) de reprise de la dette hospitalière et 6 milliards supplémentaires en investissements pour notre système de santé. L'objectif est de donner davantage de souplesse aux établissements», a-t-il ajouté.
 
● Repas à 1¤ pour les étudiants boursiers
 
Afin de «soutenir les étudiants, notamment les plus modestes, qui se retrouvent en difficulté avec moins d'accès aux petits boulots», le premier ministre a annoncé que «dès la rentrée, les repas dans les restaurants universitaires seront à 1 euro pour les étudiants boursiers» , contre 3,30 euros actuellement. Cette mesure devrait ainsi concerner près de 716.000 étudiants.
 
● Revalorisation «exceptionnelle» de 100 euros de l'allocation de rentrée scolaire
 
Parmi les nombreuses «mesures de soutien pour nos concitoyens les plus précaires», le premier ministre a annoncé une revalorisation «exceptionnelle» de 100 euros de l'allocation de rentrée scolaire en septembre. Il a également précisé que le plan pauvreté, dévoilé en 2018 par Emmanuel Macron, «sera amplifié en fonction de l'évolution de la conjoncture».
 
● Suspendue, la réforme de l'assurance-chômage va être «aménagée»
 
«Suspendues» jusqu'à nouvel ordre, certaines réformes vont désormais pouvoir reprendre... Sous des formes nouvelles. Le premier ministre a notamment dit vouloir «aménager» le texte sur l'assurance-chômage. «Ce sera l'un des points que nous aborderons vendredi (avec les partenaires sociaux) dans le cadre de la conférence du dialogue social» a-t-il indiqué. Un peu plus tôt, il avait tenu à rappeler que «lorsque la crise du coronavirus s'est abattue sur notre pays, le chômage était au plus bas depuis plus de dix ans».
 
● Un projet de loi contre «les séparatismes» sera présenté à la rentrée
 
Le premier ministre a affirmé que la lutte contre l'islam radical demeure «une préoccupation majeure» du gouvernement. À ce titre, un projet de loi «contre les séparatismes» sera présenté à la rentrée en Conseil des ministres. Le premier ministre, qui veut défendre la laïcité «avec intransigeance», souhaite «éviter que certains groupes ne se referment autour d'appartenances ethniques ou religieuses».
 
● «Réponse ferme» aux «minorités ultra violentes» et à la délinquance du quotidien
 
Après les violences perpétrées en juin à Dijon (Côte-d'Or) et la récente attaque mortelle d'un chauffeur de bus à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), Jean Castex promet une «réponse ferme» aux «minorités ultra-violentes» et à «la délinquance du quotidien». Le premier ministre entend aussi «combattre avec la dernière énergie» les violences «conjugales», ainsi que «toutes (les) formes de discrimination», de «racisme» et d'«antisémitisme». Il veut créer des «juges de proximité» pour réprimer «les incivilités du quotidien».
 
● La «première ambition» de l'exécutif sera de «ressouder la France»
 
Emmanuel Macron a reconnu mardi qu'il n'était «pas parvenu» à réconcilier les Français. Mais pas question pour autant de rester sur ce constat d'échec. «Notre première ambition, immense» sera de «souder ou ressouder (le pays)», a affirmé le premier ministre. Il a regretté que l'Hexagone soit aujourd'hui «ébranlé dans ses fondements par la coalition de ses ennemis : terroristes, extrémistes, complotistes, séparatistes, communautaristes».
 
● Oui à «la croissance écologique», non «à la décroissance verte»
 
Alors que l'exécutif a promis d'adopter la quasi-totalité des propositions de la Convention climat, Jean Castex a dit croire «en la croissance écologique» mais pas à la «décroissance verte». «Rien ne serait plus inefficace ou injuste que de demander à certains de nos concitoyens qui n'en ont (...) pas les moyens de changer brutalement leur mode de consommation ou de déplacement», a-t-il expliqué. Il a néanmoins enjoint «nos entreprises à évoluer», indiquant que 20 milliards d'euros du plan de relance seraient consacrés à la transition écologique et à la rénovation technique des bâtiments thermiques.
 
● Vers un «plan vélo très ambitieux»
 
Le «monde d'après» comportera «un plan vélo très ambitieux » et «contractualisé» avec les collectivités. Le premier ministre a annoncé que des «montants significatifs et inégalés» seraient investis en ce sens. Il a ajouté que, d'ici à la fin de l'année 2021, tous les territoires devront être dotés de «contrats de développement écologiques».
 
● Un «droit à la différenciation» des territoires sera consacré dans une loi
 
Désireux d'entamer une «nouvelle étape de la décentralisation» pour «réarmer» les «territoires» - un mot qu'il a employé 25 fois -, Jean Castex souhaite qu'un «droit à la différenciation» des collectivités territoriales soit consacré. Ce principe, qui était jusqu'alors contenu dans la réforme de la Constitution - restée au point mort -, devrait finalement figurer dans une «loi organique».
 
● Fonctionnaires: toutes les créations se feront dans les services départementaux
 
«C'est une révolution». Jean Castex a annoncé que toutes les créations d'emploi de fonctionnaires seront désormais affectées, «sauf exceptions justifiées», dans les services départementaux de l'État. Et non plus dans les administrations centrales : «Notre intention est de rendre rapidement plus cohérente et plus efficace l'organisation territoriale de l'État, en particulier au niveau du département».
 
● Dépendance : création d'une «cinquième branche» de la Sécurité sociale
 
Lors de son discours, le premier ministre a annoncé la création d'une «cinquième branche» de la Sécurité sociale, dédiée à la dépendance. Cet organe viendra couvrir les risques de la vie liés à la perte d'autonomie et au handicap. Il s'ajoute ainsi aux quatre autres branches déjà existantes : maladie, vieillesse, famille, accidents du travail. Son principe avait été voté en première lecture à l'Assemblée dans la nuit du lundi 15 au mardi 16 juin.
 
Tags : Jean Castex, Politique, Premier ministre, dessinsagogo55, 15 juillet 2020, 15 juillet, 2020
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#Posté le mercredi 15 juillet 2020 14:25

Margaret Thatcher

 
Margaret Thatcher
 
 
 
Margaret Thatcher, baronne Thatcher, née Margaret Hilda Roberts le 13 octobre 1925 à Grantham et morte le 8 avril 2013 à Londres, est une femme d'État britannique.
 
Fille d'un épicier et d'une couturière, elle est chimiste au Somerville College (Oxford), puis avocate de profession. Elle fait son entrée au Parlement du Royaume-Uni en 1959 et exerce la fonction de secrétaire d'État à l'Éducation et aux Sciences dans le gouvernement Heath, de 1970 à 1974.
 
Elle est la première femme à diriger le Parti conservateur, de 1975 à 1990. Elle est également la première femme à exercer les fonctions de Premier ministre du Royaume-Uni, du 4 mai 1979 au 28 novembre 1990. Arrivée au pouvoir dans un pays en situation d'instabilité, Margaret Thatcher en redresse l'économie en mettant en place une série de réformes radicales. Remportant trois élections générales consécutives, elle effectue le plus long mandat ininterrompu de Premier ministre au Royaume-Uni depuis Robert Jenkinson (1812 à 1827), et est considérée comme étant la plus renommée des dirigeants politiques britanniques depuis Winston Churchill.
 
Attachée à ses convictions chrétiennes méthodistes, conservatrices et libérales, invoquant la souveraineté britannique, la protection de l'intérêt de ses administrés et les principes de droit, elle mène une politique étrangère marquée par l'opposition à l'URSS, la promotion de l'atlantisme, la guerre des Malouines (en 1982), et la promotion d'une Europe libre-échangiste au sein de la Communauté économique européenne. Sa politique économique, fortement influencée par les idées issues du libéralisme économique, se distingue par d'importantes privatisations, la baisse des impôts directs, la maîtrise de l'inflation et du déficit public, ainsi que par l'affaiblissement des syndicats. Elle s'accompagne d'une hausse puis d'une baisse du chômage, d'une augmentation significative du produit intérieur brut, d'un accroissement des inégalités économiques, d'une augmentation des impôts indirects et prélèvements obligatoires. L'ensemble de ses politiques, et notamment sa politique économique libérale, est connu sous le nom de « thatchérisme ».
 
Margaret Thatcher est l'une des figures politiques britanniques à la fois les plus admirées et les plus détestées. Le surnom de « Dame de fer », que le journal L'Étoile rouge, organe de l'armée soviétique, lui décerne en 1976 dans le but de stigmatiser son anticommunisme, symbolise sa fermeté face aux grévistes de la faim de l'IRA provisoire en 1981 ou aux mineurs grévistes en 1984-1985 et se répandra dans le monde entier. Elle reste associée à la « révolution conservatrice » des années 1980. En effet, l'influence de son passage au gouvernement du Royaume-Uni est souvent qualifiée de « révolution » sur les plans politique, idéologique et économique.
 
Au-delà des conservateurs, elle a influencé une partie des travaillistes, notamment Tony Blair.
 
 

A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z, 0-9,
 
Tags : Margaret Thatcher, Margaret, 13 octobre 1925, 13 octobre, 1925, Grantham, Décès, 8 avril 2013, 8 avril, 2013, Londres, Margaret Hilda Roberts, Premier ministre, dessinsagogo55
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#Posté le vendredi 08 avril 2022 02:00

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