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Angus and Julia Stone " Big Jet Plane "

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Tags : Angus and Julia Stone, Clip Vidéo-Musique, Musique, 1 vidéo
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#Posté le mercredi 27 juin 2012 15:00

The Animals : House Of The Rising Sun

 The Animals : House Of The Rising Sun
 
The House of the Rising Sun est une chanson traditionnelle de folk américaine. Elle est aussi connue sous le nom de Rising Sun Blues. De nombreuses versions de la chanson existent, car elle a été reprise maintes fois.
La version commerciale la plus connue, enregistrée en 1964 par le groupe de rock britannique The Animals, a été un succès international, numéro 1 au Royaume-Uni, aux États-Unis et au Canada
 
OrigineLa chanson raconte l'histoire d'une vie qui a mal tourné à La Nouvelle-Orléans. La dite « maison » (house) pourrait désigner une maison close, un établissement de jeu, voire une prison, mais l'existence ou non de l'établissement a donné lieu à de nombreuses spéculations. La signification varie selon l'interprète : le point de vue peut être celui d'une prostituée ou d'un jeune homme corrompu par le jeu et l'alcool, selon que l'interprète soit un homme ou une femme. De nombreuses versions invitent également un frère ou un parent ou des enfants à éviter le même sort.
Comme plusieurs classique de la folk, l'auteur de The House of the Rising Sun est inconnu. Les musicologues pensent qu'elle est basée sur la tradition des « ballades populaires » (broadside ballads) et, thématiquement, elle a une certaine ressemblance avec la ballade du xvie siècle intitulée The Unfortunate Rake. Selon Alan Lomax, « Rising Sun » était le nom donné à une maison de débauche dans deux chansons anglaises traditionnelles, et c'était aussi une appellation usitée pour des pubs anglais. Il suggère également que la mélodie pourrait être liée à une chanson populaire du xviie siècle, Lord Barnard and Little Musgrave, également connue sous le titre Matty Groves, mais une enquête de Bertrand Bronson n'a montré aucune relation claire entre les deux chansons. Lomax suppose que l'emplacement de la maison a ensuite été déplacé d'Angleterre à la Nouvelle-Orléans par des interprètes blancs du Sud des États-Unis. Quant à lui, Vance Randolph propose une origine française, « le soleil levant » (rising sun) faisant alors référence à l'utilisation décorative du symbole du soleil en cours à l'époque de Louis XIV et qui aurait été introduit en Amérique du Nord par des immigrants français.
 
House of Rising Sun aurait été connue des mineurs en 1905. La plus ancienne publication des paroles connue est celle imprimée par Robert Winslow Gordon en 1925, dans une chronique intitulée Old Songs That Men Have Sung dans le magazine Adventure. Les paroles de cette version commencent ainsi.
There is a house in New Orleans, it's called the Rising SunIt's been the ruin of many a poor girlGreat God, and I for oneLe plus ancien enregistrement connu de la chanson, sous le titre Rising Sun Blues, est de Clarence "Tom" Ashley et Gwen Foster, des artistes originaires des Appalaches, qui l'ont gravée en 1928. Ashley disait qu'il l'avait apprise de son grand-père, Enoch. Roy Acuff, un disciple et vieil ami d'Asley, l'a apprise de lui et l'a enregistrée sous le nom de Rising Sun le 3 novembre 1938. Plusieurs enregistrements de blues plus anciens ayant des titres semblables sont pourtant sans relation, par exemple, Rising Sun Blues d'Ivy Smith et Cow Cow Davenport (1927) ou The Risin' Sun de Texas Alexander (1928).
La chanson fait partie de celles collectées par le folkloriste Alan Lomax, qui, avec son père John, était conservateur des Archives of American Folk Song pour la Bibliothèque du Congrès. Lors d'une expédition avec sa femme dans l'est du Kentucky, Lomax installe son appareil d'enregistrement à Middlesboro, chez le chanteur et militant Tilman Cadle. En 1937, il enregistre une prestation de Georgia Turner, la fille d'un mineur local âgée de 16 ans. Il l'a appelé The Rising Sun Blues. Lomax a plus tard enregistré une version différente chantée par Bert Martin et une troisième chantée par Daw Henson, deux chanteurs de l'est du Kentucky. Dans son recueil de chansons de 1941, Our Singing Country, Lomax attribue les paroles à Turner avec des références à la version de Martin.
 
Anciennes interprétations folk et blues
 
Woody Guthrie enregistre la chanson en 1941. Un enregistrement réalisé en 1947 par Libby Holman et Josh White (qui écrit également de nouvelles paroles et musiques qui seront ensuite popularisées dans les versions de nombreux autres artistes) est publié en 1950 par Mercury Records. White a appris la chanson en Caroline du Nord vers 1923-1924 auprès d'un « chanteur blanc de musique hillbilly » qui aurait pu être Ashley. Lead Belly enregistre deux versions de la chanson, en février 1944 et en octobre 1948, respectivement intitulées In New Orleans et The House of the Rising Sun; la dernière est enregistrée lors de sessions qui seront ensuite utilisées pour l'album Lead Belly's Last Sessions (Smithsonian Folkways, 1994).
En 1957, Glenn Yarbrough enregistre la chanson pour Elektra. La chanson est également attribuée à Ronnie Gilbert sur un album de The Weavers sorti à la fin des années 1940 ou au début des années 1950. Pete Seeger publie une version sur Folkways en 1958, rééditée par Smithsonian Folkways en 2009. Andy Griffith l'enregistre sur son album de 1959 Andy Griffith Shouts the Blues et Old Timey Songs. En 1960, Miriam Makeba enregistre la chanson sur son album éponyme.
Joan Baez l'enregistre en 1960 sur son premier album éponyme ; elle interprète fréquemment la chanson en concert tout au long de sa carrière. Nina Simone enregistre sa première version pour l'album Nina at the Village Gate en 1962. Tim Hardin la chante sur This is Tim Hardin, enregistré en 1964 mais pas sorti avant 1967. Les Chambers Brothers ont enregistré une version sur Feelin' the Blues, parue sur Vault Records (1970).
 
Version de Dave Van Ronk
 
Fin 1961, Bob Dylan enregistre la chanson pour son premier album, sorti en mars 1962. Cette version ne comporte pas de nom d'auteur, mais les notes de pochette indiquent que Dylan a appris cet arrangement de la chanson par Dave Van Ronk. Dans une interview pour le documentaire No Direction Home, Van Ronk déclare qu'il avait déjà l'intention d'enregistrer la chanson, mais que Dylan a copié son arrangement. Van Ronk l'enregistre peu après pour l'album Just Dave Van Ronk (1964).
« Je l'avais appris dans les années 1950, d'un enregistrement de Hally Wood, le chanteur et collectionneur texan, qui l'avait lui-même obtenu d'un enregistrement sur le terrain d'Alan Lomax par une femme du Kentucky, Georgia Turner. Je lui ai donné un tour différent en modifiant les accords et en utilisant une ligne de basse descendante en demi-ton - une progression assez courante dans le jazz, mais inhabituelle chez les chanteurs folk. Au début des années 1960, la chanson était devenue l'une de mes pièces emblématiques et je pouvais difficilement sortir de la scène sans la faire.
Puis, un soir de 1962, j'étais assis à ma table habituelle à l'arrière du Kettle of Fish, et Dylan est venu s'asseoir. Il était aux studios Columbia avec John Hammond, pour son premier album. Il était très mystérieux à propos de tout ça, et personne que je connaisse n'avait assisté à aucune des sessions, hormis sa femme Suze. Je l'ai cuisiné, mais il est resté vague. Tout allait bien, puis : "Hey, serais-tu OK si j'enregistrais ton arrangement d'House of the Rising Sun ?" Oh merde ! "Mon dieu, Bobby, je vais en studio pour la faire moi-même dans quelques semaines. Ca ne pourrait pas attendre ton prochain album ?" Long silence. "Oh-oh". Je n'ai pas aimé ça. "Que veux-tu dire exactement par oh-oh" ? "Et bien, dit-il timidement, je l'ai déjà enregistrée". »
 
Autres VersionsThe Animals
The House of the Rising Sun

 
Une interview d'Eric Burdon a révélé qu'il avait d'abord entendu la chanson dans un club de Newcastle, en Angleterre, où il était interprété par le chanteur folklorique du Northumberland, Johnny Handle.
The Animals étaient en tournée avec Chuck Berry et l'ont choisi parce qu'ils voulaient chanter quelque chose de différent. La version des Animals déplace le récit du point de vue initial d'une femme entraînée dans une vie de déchéance à celui d'un homme dont le père est un joueur et un ivrogne, plutôt que l'adorable personne des versions précédentes.
Les Animals commencent à jouer leur propre version lors de cette tournée, l'utilisant pour clore le show, afin de se différencier des numéros qui se terminaient toujours par des rockers bruts. Le public a eu une réaction énorme, convainquant le producteur Mickie Most, initialement réticent, qu'elle avait un potentiel, et, pendant les interruptions de la tournée, le groupe s'est rendu dans un petit studio sur Kingsway à Londres pour l'enregistrer.
 
Enregistrement et parution
 
La chanson est enregistrée en une seule prise le 18 mai 1964, et commence par le désormais célèbre arpège de guitare électrique en accord mineur de Hilton Valentine. Selon lui, il s'est contenté de reprendre la séquence d'accords de Dylan et l'a jouée en arpège. La prestation s'envole avec la voix de Burdon, décrite successivement comme « hurlante », « mélancolique », ou encore « ...profonde et graveleuse comme Newcastle, la ville minière du nord-est de l'Angleterre qui l'a engendrée ». Pour finir, la partie d'orgue palpitante d'Alan Price (jouée sur un Vox Continental) complète l'orchestration. Burdon dira plus tard, « nous cherchions une chanson qui saisirait l'attention des gens ».
Ainsi enregistrée, House of the Rising Sun dure quatre minutes trente, ce qui est considéré comme beaucoup trop long pour un single pop à l'époque. Most, le producteur, qui au départ ne voulait pas vraiment enregistrer la chanson, dit à cette occasion: « Tout était au bon endroit... Cela n'a pris que 15 minutes, alors je ne peux pas m'accorder un grand mérite pour la production ». Il était néanmoins maintenant un partisan de la chanson et l'a sorti en single dans toute sa durée, en déclarant : « Nous vivons dans le monde de microsillon maintenant, nous le sortirons ».
Aux États-Unis, cependant, le single original (MGM 13264) est une version écourtée de 2 minutes 58. La réédition Golden Circle de la MGM (KGC 179) comporte la version inédite de 4:29, bien que l'étiquette du disque indique toujours le temps de lecture de 2:58. C'est la version courte qui figure sur The Animals, premier album américain du groupe en 1964, tandis que la version complète est incluse plus tard dans la compilation The Best of The Animals, leur meilleure vente d'album de 1966 aux États-Unis. Néanmoins, la toute première version américaine de la version intégrale se trouve dès 1965 sur une compilation de différents groupes intitulée Mickie Most Presents British Go-Go (MGM SE-4306), dont la pochette indique Original uncut version sous le titre House of the Rising Sun. Les Américains peuvent aussi entendre la version complète dans le film musical Go Go Mania au printemps 1965.
House of the Rising Sun ne figure sur aucun des albums britanniques du groupe, mais est rééditée deux fois au cours des décennies suivantes, atteignant le numéro 25 en 1972 et le numéro 11 en 1982, en utilisant le célèbre orgue de Wittelsbach.
La version des Animals est interprétée en mesures ternaires à deux temps (6/8), au lieu des quatre mesures (4/4) de la plupart des versions précédentes. Seul Alan Price est crédité pour les arrangements. Selon Burdon, c'est simplement parce qu'il n'y avait pas assez de place pour nommer les cinq membres du groupe sur l'étiquette du disque, et le prénom Alan est le premier dans l'ordre alphabétique. Toutefois, cela signifie que seul Price a perçu des droits d'auteur pour ce tube, fait qui a causé de l'amertume depuis, surtout chez Valentine.
 
Accueil
 
House of the Rising Sun est un succès transatlantique : après avoir atteint le sommet du UK Singles Chart en juillet 1964, il grimpe en tête du Billboard Hot 100 deux mois plus tard, le 5 septembre 1964, où il se maintient trois semaines, et devient le premier numéro un de la British Invasion sans lien avec les Beatles. C'est ce morceau qui les fait connaître dans les deux pays et ça devient leur chanson phare. La chanson est également un succès dans un certain nombre d'autres pays, dont l'Irlande, où elle a atteint la 10e place.
Selon John Steel, Bob Dylan lui a confié que lorsqu'il a découvert la version des Animals sur son autoradio, il s'est arrêté pour écouter, a « bondi hors de sa voiture » et « frappé sur le capot », l'incitant à se tourner vers l'électrique. Dave Van Ronk affirme que la version des Animals - comme celle de Dylan avant elle - était basée sur son arrangement de la chanson.
Dave Marsh décrit House of the Rising Sun des Animals comme « ...le premier tube du Folk rock », sonnant « comme s'ils avaient relié l'ancienne chanson à un fil électrique ». L'auteur Ralph McLean de la BBC convient que c'est « sans doute le premier air de folk-rock », le qualifiant de « single révolutionnaire », après quoi « le visage de la musique moderne a changé pour toujours ».
L'interprétation par The Animals est reconnue comme l'un des classiques de la musique pop britannique. L'écrivain Lester Bangs la qualifie de « réarrangement brillant » et de « nouvelle interprétation de référence d'une ancienne composition de référence ». Elle figure au 122e rang de la liste des « 500 plus grandes chansons de tous les temps » du magazine Rolling Stone. C'est aussi l'un des 500 titres du Rock and Roll Hall of Fame. La RIAA l'a classé numéro 240 sur la liste des « chansons du siècle ». En 1999, elle reçoit le Grammy Hall of Fame Award. Elle est depuis longtemps devenu un incontournable des radios classic rock. Un sondage réalisé en 2005 par Channel Five l'a classé au quatrième rang des chansons préférées des Britanniques.
En 2007, un CD parait en Allemagne qui contient 20 versions historiques de la chanson, intitulé House of the Rising Sun - One Song Collection - 20 Versions.
 

En 1969, le groupe de Détroit, Frijid Pink, enregistre une version psychédélique de House of the Rising Sun, qui devient un succès international en 1970. Leur interprétation est en 4/4 mesures (comme celle de Van Ronk ou les plus anciennes, et contrairement à celle des Animals en 6/8), et est menée par la guitare distordue de Gary Ray Thompson avec des effets de fuzz et de wah-wah, appuyée contre la batterie frénétique de Richard Stevers.
Selon Stevers, l'enregistrement d'House of the Rising Sun est improvisé alors qu'il reste du temps à la fin de la session réservée au groupe dans les studios de Tera Shirma. Stevers fait écouter ensuite des extraits de cette session à Paul Cannon, le père de sa petite-amie, qui est directeur musical de WKNR, la première radio rock de Détroit. Stevers se souvient : « nous avons tout écouté et Cannon ne disait pas grand chose. Puis House of the Rising Sun a commencé, et j'ai immédiatement éteint parce que ce n'était pas vraiment quelque chose que je voulais qu'il entende ». Cependant, Cannon se montre intrigué et demande à écouter la piste en entier. Puis lui il lui conseille de dire à Parrot (leur label) de laisser tomber God Gave Me You (le single actuel du groupe) et de sortir plutôt celle-ci.
L'aventure du House of the Rising Sun de Frijid Pink dans les charts débute le 6 janvier 1970 à la 29e place du hit parade de la WKNR, pour se classer en 7e position du Billboard Hot 100 le 4 avril 1970. Le disque est certifié disque d'or en mai avec plus d'un million d'exemplaires vendus.
Le single offre à Frijid Pink son plus large succès international, avec le Top 10 atteint en Autriche (numéro 3), en Belgique (région flamande, 6e), au Canada (3e), au Danemark (3e), en Allemagne (deux semaines au numéro 1), Grèce, Irlande (7e), Israël (4e), aux Pays-Bas (3e), en Norvège (sept semaines au numéro 1), Pologne (2e), Suède (6e), Suisse (2e) et au Royaume-Uni (4e). Le single se classe également en Australie (14e) et en Italie (54e).
 
Autres
 
En 1973, Jody Miller reprend le titre qui se classe 41e dans le Billboard Adult Contemporary. En septembre 1981, Dolly Parton sort une reprise de la chanson. Elle est extraite de son album 9 to 5 and Odd Jobs. La version de Parton atteint la 77e place du Billboard Hot 100.
The House of the Rising Sun (ou Rising Sun Blues) est également repris par un grand nombre d'autres artistes dans tous les styles. On en connait plus de 300 versions. Parmi les plus célèbres, on trouve notamment :
Lonnie Donegan sur l'album Lonnie Rides Again (1959)
Odetta sur Sometimes I Feel Like Cryin' (1962)
Marie Laforêt sur l'EP Blowin' in the Wind (1963)
Marianne Faithfull sur la face B du single Blowin' In The Wind (1964) puis sur l'album Come My Way (1965)
The Supremes sur l'album A Bit of Liverpool (1964)
Ramblin' Jack Elliott sur Jack Elliott (1964)
The Ventures sur Walk, Don't Run Vol. 2 (1964)
Bobby Fuller en 1964, paru sur l'album Live Again (1984)
The Platters sur The New Soul of The Platters - Campus Style (1965)
Duane Eddy en face B du single Don't Think Twice, It's Alright (1965)
Waylon Jennings enregistre une version avec des paroles et un arrangement différents intitulée The Real House of the Rising Sun, parue en single en 1965.
Billy Lee Riley sur In Action (1966)
Lonnie Youngblood avec Jimi Hendrix en 1966 ; cette version est parue sur In the Beginning (1972)
The Everly Brothers sur The Hit Sound of The Everly Brothers (1967)
Henry Mancini and his Orchestra sur Mancini '67 (1967)
Conway Twitty sur To See My Angel Cry / That's When She Started to Stop Loving You (1970)
Red Allen sur Allengrass (1973)
Geordie (avec Brian Johnson) sur Don't Be Fooled by the Name (1974)
The Beatles, sur un album de bootlegs intitulé Sweet Apple Trax vol. 1 (1974)
Leslie West (The Rising Sun Blues) sur The Great Fatsby (1975)
Santa Esmeralda (The House of the Rising Sun + Quasimodo Suite) sur Santa Esmeralda II - The House of the Rising Sun (1977)
Demis Roussos sur Attitudes (1982)
Le groupe belge The Dirty Scums chante The House of the Dirty Scums sur l'album Full Speed Ahead! en 1987.
Tracy Chapman sur la compilation Rubáiyát - Elektra's 40th Anniversary (1990)
Gregory Isaacs sur Pardon Me! (1992)
Sinéad O'Connor sur le CD 4 titres Fire on Babylon (1994)
Peter, Paul and Mary sur Life Lines (1995)
Bon Jovi en live sur le CD single Hey God (1996)
The Walkabouts sur la compilation Death Valley Days - Lost Song and Rarities, 1985 to 1995 (1996)
Bachman-Turner Overdrive en single, extrait de la compilation Trial by Fire: Greatest and Latest (1996)
Toto sur Through the Looking Glass (2002)
Muse sur la compilation caritative NME in association with Warchild presents 1 Love (2002)
Cat Power sur Live Session (iTunes Exclusive) - EP (2006)
Dick Annegarn sur Folk Talk (2011)
Five Finger Death Punch sur The Wrong Side of Heaven and the Righteous Side of Hell, Volume 2 (2013)
Krokus, sur l'album Big Rocks (2017)
alt-J sur Relaxer (2017)
Ramin Djawadi pour la saison 1 de la série télévisée Westworld (2016) (Bande-originale, instrumental)
Rebecca Emely version acoustique
 
Adaptations
 
Suite au succès international des Animals, la chanson est adaptée en de nombreuses langues.
En 1964, Hugues Aufray et Vline Buggy adaptent The House of the Rising Sun en français pour Johnny Hallyday sous le titre Le Pénitencier. Johnny Hallyday enregistre aussi une version en allemand intitulée Das alte Haus in New Orleans. Elle est interprétée dans la même langue par le groupe belge The Cousins (1964), puis par la chanteuse Gitte Hænning sous le titre Die Nacht (1981).
La chanson est interprétée en espagnol par le groupe Lone Star sous le titre La Casa del Sol Naciente (1964), puis par la groupe argentin Los de Fuego (1964), Frida Boccara (1965) et Alejandra Guzmán (1989), entre autres.
Lasse Mårtenson la chante en finnois (Nousevan auringon talo, 1964), Miki Jevremović en serbo-croate (Kuća izlazećeg sunca, 1964) et Karel Gott en tchèque (Dům u bílých bran, 1977).
Elle est adaptée en japonais par la chanteuse Maki Asakawa sous le titre Asahi no ataru ie (1971), et par le groupe Mucc sous le titre Robert no Thema (album Aishuu, 2001).
En 1987, le groupe polonais Kult reprend la chanson alors intitulée Dom wschodzącego słońca pour son premier album.
En 2011, pour son album Troubador since 1948, Hugues Aufray enregistre sa propre version du Le pénitencier, ainsi qu'une autre adaptation de The House of the Rising Sun intitulée L'hôtel du soleil levant sur un texte plus proche de l'original.
Il en existe aussi des versions en italien, norvégien, néerlandais, touvain et chinois de The House of the Rising Sun.
 

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Paroles
 
There is a house in New Orleans
They call the Rising Sun
And it's been the ruin of many a poor boy
And God, I know I'm one
 
My mother was a tailor
She sewed my new blue jeans
My father was a gamblin' man
Down in New Orleans
 
Now the only thing a gambler needs
Is a suitcase and a trunk
And the only time he's satisfied
Is when he's all drunk
 
Oh mother, tell your children
Not to do what I have done
Spend your lives in sin and misery
In the House of the Rising Sun
 
Well, I got one foot on the platform
The other foot on the train
I'm goin' back to New Orleans
To wear that ball and chain
 
Well, there is a house in New Orleans
They call the Rising Sun
And it's been the ruin of many a poor boy
And God, I know I'm one
 
 
Source : Musixmatch
Paroliers : Alan Price / Traditional
Paroles de House Of The Rising Sun © Velvet Apple Music, Keith Prowse Music Publishing Co Ltd
 


https://fr.wikipedia.org/wiki/The_House_of_the_Rising_Sun
https://youtu.be/4-43lLKaqBQ







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Tags : The Animals, Musique, Groupe, Parole, Pop, 1964, The Animals : House Of The Rising Sun
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#Posté le samedi 15 janvier 2022 10:00

Anita Ward

Anita Ward (née le 20 décembre 1956 à Memphis) est une chanteuse américaine. Elle est surtout connue grâce à son tube Ring my Bell sorti en 1979.

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" Ring My Bell "


Avant de signer un contrat d'enregistrement, Anita Ward a obtenu un diplôme en psychologie, à Holly Springs dans le Mississippi, et est devenue enseignante. Lors de l'enregistrement de son premier album, Frederick Knight propriétaire d'une maison de disques, lui présente une chanson écrite l'année précédente pour la chanteuse Stacy Lattisaw. Cette chanson ne plait pas à Ward mais Knight insiste sur le fait qu'une chanson disco est nécessaire pour tirer parti de la tendance actuelle. La chanson, qui est à l'origine ciblée sur les adolescents, a été réécrite avec plus de paroles "adultes" (la chanson parle de sexe). "Ring My Bell" atteint alors la place de numéro un au Canada, aux États-Unis, et au Royaume-Uni en 1979. Des différends avec Frederick Knight, un accident de voiture, et la disparition progressive de la musique disco poussent Anita Ward à arrêter sa carrière. Elle sort un autre album en 1987 dont le single Don't Drop My Love se classera 87e aux États-Unis.

Lors du réveillon du Jour de l'an 2002, elle a chanté "Ring My Bell" au quartier de Times Square à New York lors de la célébration officielle de la ville.

Lors du réveillon du Jour de l'an 2005, Anita s'est produite à Memphis, sur Beale Street. Elle a chanté son tube "Ring My Bell" ainsi que plusieurs autres tubes disco.

Elle est également apparue à Zagreb, en Croatie le 4 janvier 2006, la veille de la Coupe du monde de slalom avec d'autres groupes et chanteurs de disco (Nile Rodgers & Chic, Village People, Thelma Houston et Rose Royce).

Tags : Anita Ward, 1979, Clip Vidéo-Musique, Musique, Biographie., 20 décembre 1956, Chanteuse
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#Posté le mercredi 06 juin 2012 04:00

Anne Vanderlove : A toi Lili Marlene

 
 
  

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Paroles de « À toi Lili Marlène »



Je n'avais pas le coeur à faire des manières
J'ai bu un verre de vin, il a bu de la bière
M'a parlé de guerres oubliées
De son grand-père qui aimait
Lili, Lili Marlène
Lili, Lili Marlène

Et de ce réverbère à l'angle de la rue
Qui frangeait de lumière leurs ombres éperdues
De la mitraille et des obus
Dont il n'est jamais revenu
Adieu Lili Marlène
Adieu Lili Marlène

Dans cette gare oubliée dans la nuit
Il a pleuré, j'ai pleuré avec lui
Où s'en vont les ombres légères
De ceux qu'on aime, de ceux qu'on perd ?
Et toi Lili Marlène
Et toi Lili Marlène

On avait dans les yeux comme une pluie d'hiver
Comme une solitude de vieux réverbères
On a chanté pour son grand-père
Pour que son âme retrouve celle
De sa Lili Marlène
De sa Lili Marlène

Et l'on a bu un autre verre
À l'absurdité de la guerre
Et à Lili Marlène
À toi Lili Marlène
Adieu Lili Marlène.




https://youtu.be/ioG6WfWfOTE




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Tags : Anne Vanderlove, Anne, 11 décembre 1939, 11 décembre, 1939, Scheveningen, Musique, Chanteuse, Parole, Anne Vanderlove : A toi Lili Marlene
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#Posté le samedi 29 mars 2014 23:56

Modifié le lundi 13 décembre 2021 20:31

Annie Girardot : Une grande actrice


Annie Girardot : Une grande actrice

Annie Girardot (Annie Suzanne Girardot) est une actrice française,
née le 25 octobre 1931 à Paris (10e) et morte dans cette ville le 28 février 2011
Elle suit des études d'infirmière à Caen pour être sage-femme comme sa mère . Mais , rapidement , elle se consacre à sa passion , la comédie . Élève au conservatoire de la rue Blanche dès 1949 , Annie Girardot fait , parallèlement , des apparitions , le soir , dans des cabarets . . .
Elle obtient son premier grand rôle en 1955 dans" treize à table " Taille 1m63

Annie Girardot : Une grande actrice

Annie Girardot : Une grande actrice

Annie Girardot : Une grande actrice
Tags : Cinéma, Annie Girardot, Actrice, 25 octobre 1931, 1931, Annie, 28 février 2011, 28 février, 2011, Chanteuse, Musique
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#Posté le dimanche 21 avril 2013 15:38

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Annie Girardot : Naissance



Annie Girardot : Naissance

Annie Girardot est née à Paris de père inconnu (un homme marié qui ne la reconnaîtra pas et qui mourra alors qu'elle est âgée de 2 ans) et d'une mère sage-femme (Raymonde Noële Félicie Girardot). Elle suit des études d'infirmière à Caen pour être sage-femme comme sa mère. Mais, rapidement, elle se consacre à sa passion, la comédie.

Annie Girardot : Naissance

Élève au conservatoire de la rue Blanche dès 1949, Annie Girardot fait, parallèlement, des apparitions, le soir, dans des cabarets (La Rose rouge, à Montmartre, sous le pseudonyme d'Annie Girard, ou au Lapin agile), et participe à des revues telles Dugudu avec la troupe de Robert Dhéry, dans laquelle elle côtoie d'autres futurs « grands » : Michel Serrault, Jean Poiret, Jacqueline Maillan...

Annie Girardot : Naissance

En juillet 1954, elle sort du Conservatoire national supérieur d'art dramatique avec deux prix, et elle est engagée peu après à la Comédie-Française. Son interprétation de La Machine à écrire, en 1956, aux côtés de Robert Hirsch, est particulièrement remarquée par Jean Cocteau, qui voit en elle « le plus beau tempérament dramatique de l'après-guerre »

Annie Girardot : Naissance
Tags : Cinéma, Actrice, 25 octobre 1931, 1931, Paris, Annie Girardot, Annie, 28 février 2011, 28 février, 2011, Chanteuse, Musique
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#Posté le dimanche 21 avril 2013 15:39

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Annie Girardot : Ses premières apparitions



Ses premières apparitions au cinéma sont moins éclatantes, dans des films mineurs, mais elle tient remarquablement tête à Jean Gabin dans deux bonnes séries noires : Le rouge est mis et Maigret tend un piège.

Elle démissionne finalement en 1960 du Français à contrec½ur pour se consacrer essentiellement au cinéma et tourner pour le film de Luchino Visconti, Rocco et ses frères, qui fait d'elle une star, aux côtés d'autres débutants tels que Alain Delon (qui restera à jamais un ami fidèle de la comédienne), Renato Salvatori ou Claudia Cardinale. Mais, sur les planches, elle sera encore dirigée par le réalisateur italien pour Deux sur la balançoire aux côtés de Jean Marais. Elle connaît un triomphe, en 1974, avec Madame Marguerite, qui devient son rôle-fétiche, qu'elle reprendra plusieurs fois jusqu'en 2002.

Annie Girardot : Ses premières apparitions

Dans les années 1960, Annie Girardot n'est pas sollicitée par les réalisateurs de la Nouvelle Vague, mais tourne avec des réalisateurs confirmés comme Alexandre Astruc (La Proie pour l'ombre), Roger Vadim (Le Vice et la Vertu, avec la débutante Catherine Deneuve), Gérard Oury (Le crime ne paie pas) ou encore Marcel Carné (Trois chambres à Manhattan). C'est d'ailleurs sur le tournage de ce dernier film qu'a débuté Robert de Niro, qui dira d'Annie Girardot : « Elle est la plus belle femelle mec que je connaisse »

Partageant sa vie entre la France et l'Italie, Annie Girardot tourne également avec de nombreux réalisateurs italiens comme Marco Ferreri, qui lui fera tenir le rôle surprenant d'une femme singe, phénomène de foire, dans Le Mari de la femme à barbe, film audacieux qui provoquera un scandale lors de sa présentation au Festival de Cannes 1964. Elle tourne aussi avec Mario Monicelli (Les Camarades, avec Marcello Mastroianni) et les frères Taviani (Les Hors-la-loi du mariage).

En 1971 sort Mourir d'aimer, film d'André Cayatte, qui va révolutionner la carrière de la comédienne. Inspiré de l'affaire Gabrielle Russier, ce film raconte l'histoire d'amour entre une enseignante et un des élèves lycéen ; une histoire dérangeante qui fera l'objet d'un procès retentissant et conduira l'enseignante au suicide. Ce film est un énorme succès avec près de six millions d'entrées en France, mais ne plaît pas à tout le monde. Ainsi, François Truffaut écrit une lettre ouverte, dénonçant la façon très démagogique, selon lui, avec laquelle André Cayatte a traité cette affaire. Ce rôle reste cependant comme l'un des plus marquants de la comédienne, lui assurant même une reconnaissance internationale.

À partir de là, elle devient l'actrice française la plus populaire, alternant comédies et mélodrames, n'hésitant pas, à l'occasion, à aider de jeunes cinéastes à tourner leur premier film. Grâce à elle, et à Philippe Noiret, surgit l'une des comédies les plus insolites de cette époque, La Vieille Fille, en 1971, signée Jean-Pierre Blanc. Le spécialiste des comédies Serge Korber l'engage pour son prémier drame, Les feux de la Chandeleur en 1972, où elle incarne une mère de deux enfants adultes (Claude Jade, Bernard Le Coq) qui tente de reconquérir son ex-mari (Jean Rochefort). De Vivre pour vivre en 1967 à On a volé la cuisse de Jupiter en 1980, Annie Girardot a contribué grâce à son interprétation de « femme normale et populaire » à imposer vingt films millionnaires au box-office. D'ailleurs, à cette époque, à chaque sortie d'un nouveau film, on allait voir « la Girardot » au cinéma : à la fin des années 1970, elle est l'actrice la mieux payée et la star préférée des Français.

Sa rencontre avec Michel Audiard sera déterminante dans sa carrière. Le dialoguiste fera d'elle une des principales interprètes de ses films lorsqu'il passe à la réalisation. Ainsi devient-elle une femme de ménage trop bavarde dans Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause ! puis une femme régnant sur un bidonville et spécialisée dans le trafic de saintes reliques dans Elle cause plus, elle flingue. Il lui ouvre alors les portes de la comédie, elle qui jusqu'alors été cantonnée aux rôles plus dramatiques.

Annie Girardot : Ses premières apparitions

En 1974, elle remporte un énorme succès au box-office dans La Gifle de Claude Pinoteau. Dans ce film, elle incarne l'ex-femme de Lino Ventura et la mère d'une débutante nommée Isabelle Adjani. Sa maîtrise approximative de l'anglais donnera lieu à quelques scènes et répliques cultes dans le film.

Elle reçoit, en 1977, le César de la meilleure actrice pour Docteur Françoise Gailland de Jean-Louis Bertucelli, autre film marquant dans la carrière de la comédienne. Elle y incarne une femme médecin luttant contre un cancer des poumons.

En 1978, elle partage l'affiche de La Zizanie de Claude Zidi avec un acteur pour lequel elle a une immense admiration : Louis de Funès. Les deux acteurs rêvaient de tourner ensemble depuis quelques années. Ce sera malheureusement leur unique collaboration.

Durant les années 1970, elle forme avec Philippe Noiret, rencontré sur Le Rendez-vous en 1961, un véritable couple de cinéma. Ensemble, ils tourneront, La Vieille Fille en 1971, La Mandarine en 1972, Tendre poulet en 1977 et On a volé la cuisse de Jupiter en 1980 (ils seront également tous les deux à l'affiche de Souvenirs, souvenirs en 1984 mais ils n'ont aucune scène commune). Ils devaient se retrouver en 2001 dans un film de Bertrand Blier intitulé Tête de n½ud, mais le film ne verra jamais le jour.

La gouaille d'Annie Girardot est souvent mise au service de films mettant en avant les femmes et le féminisme, et elle incarne alors cette cause en interprétant une série de rôles qui jouent sur le décalage de personnages assumant des métiers d'ordinaire réservés aux hommes : médecin, chauffeur de taxi, reporter-photographe, commissaire de police, etc. À travers ses rôles, elle défend des causes comme la lutte contre le cancer, le droit à l'avortement, le droit à la parité.

En 1979, elle est de nouveau nommée aux Césars, dans la catégorie meilleure actrice, pour le film La Clé sur la porte d'Yves Boisset. Fatiguée d'endosser toujours les mêmes rôles, Annie Girardot désire faire une pause dans sa carrière cinématographique. Elle commence par tenir une rubrique à la radio en 1981 dans une émission de Stéphane Collaro sur Europe 1. Tous les jours, dans Paroles de femmes, elle fait le récit d'aventures quotidiennes exceptionnelles, drôles, inquiétantes ou émouvantes, réellement arrivées à des femmes.

Puis, l'actrice décide de se lancer dans l'enregistrement d'un disque. C'est Bob Decout qui est chargé d'en écrire les chansons. Il devient finalement le compagnon de l'actrice en 1981. Cette relation l'entraîne vers un univers différent : la musique. Elle chante lors d'une émission de Jacques Chancel, puis monte avec Bob Decout un spectacle musical intitulé Revue et corrigée sur des musiques de Catherine Lara et avec des costumes de Jean-Paul Gaultier au Casino de Paris (alors en passe d'être transformé en parking). Considérée comme bancale, la production ne trouve pas de financement et Annie Girardot doit hypothéquer son appartement de la place des Vosges. Le spectacle est un fiasco et ne reste qu'un mois à l'affiche. Girardot enchaîne avec une pièce de théâtre et un film qui ne fonctionnent pas plus. Ces échecs la plongent dans un grand désarroi moral et financier, accentués par le décès de sa mère et les problèmes de drogue de sa fille.

Annie Girardot se tourne alors davantage vers le théâtre, jouant ainsi L'Avare de Molière aux côtés de son ami Michel Serrault, Première Jeunesse avec Odette Joyeux, ou encore Le roi se meurt de Ionesco avec Daniel Ivernel. En 1987, la télévision lui permet de retrouver le chemin des plateaux. Elle devient la vedette de la toute première saga de l'été diffusée sur TF1 : Le Vent des moissons. Le succès est immense et l'année suivante, c'est elle joue dans une nouvelle saga, Orages d'été, aux côtés de Patachou. Dès lors, elle tournera de nombreux téléfilms, assurant à chaque fois aux chaînes de télévision de beaux succès d'audience.

Annie Girardot : Ses premières apparitions

Au début des années 1990, les propositions se font rares, seule sa participation au film de Bertrand Blier, Merci la vie, se faisant remarquer. Elle tourne également pour Gérard Mordillat (Toujours seuls) et incarne la mère farfelue de Catherine Jacob dans la comédie Les Braqueuses de Jean-Paul Salomé, en 1994.

En 1974, elle remporte un énorme succès au box-office dans La Gifle de Claude Pinoteau. Dans ce film, elle incarne l'ex-femme de Lino Ventura et la mère d'une débutante nommée Isabelle Adjani. Sa maîtrise approximative de l'anglais donnera lieu à quelques scènes et répliques cultes dans le film.

Elle reçoit, en 1977, le César de la meilleure actrice pour Docteur Françoise Gailland de Jean-Louis Bertucelli, autre film marquant dans la carrière de la comédienne. Elle y incarne une femme médecin luttant contre un cancer des poumons.

En 1978, elle partage l'affiche de La Zizanie de Claude Zidi avec un acteur pour lequel elle a une immense admiration : Louis de Funès. Les deux acteurs rêvaient de tourner ensemble depuis quelques années. Ce sera malheureusement leur unique collaboration.

Durant les années 1970, elle forme avec Philippe Noiret, rencontré sur Le Rendez-vous en 1961, un véritable couple de cinéma. Ensemble, ils tourneront, La Vieille Fille en 1971, La Mandarine en 1972, Tendre poulet en 1977 et On a volé la cuisse de Jupiter en 1980 (ils seront également tous les deux à l'affiche de Souvenirs, souvenirs en 1984 mais ils n'ont aucune scène commune). Ils devaient se retrouver en 2001 dans un film de Bertrand Blier intitulé Tête de n½ud, mais le film ne verra jamais le jour.

La gouaille d'Annie Girardot est souvent mise au service de films mettant en avant les femmes et le féminisme, et elle incarne alors cette cause en interprétant une série de rôles qui jouent sur le décalage de personnages assumant des métiers d'ordinaire réservés aux hommes : médecin, chauffeur de taxi, reporter-photographe, commissaire de police, etc. À travers ses rôles, elle défend des causes comme la lutte contre le cancer, le droit à l'avortement, le droit à la parité.

Annie Girardot : Ses premières apparitions

En 1979, elle est de nouveau nommée aux Césars, dans la catégorie meilleure actrice, pour le film La Clé sur la porte d'Yves Boisset. Fatiguée d'endosser toujours les mêmes rôles, Annie Girardot désire faire une pause dans sa carrière cinématographique. Elle commence par tenir une rubrique à la radio en 1981 dans une émission de Stéphane Collaro sur Europe 1. Tous les jours, dans Paroles de femmes, elle fait le récit d'aventures quotidiennes exceptionnelles, drôles, inquiétantes ou émouvantes, réellement arrivées à des femmes.

Puis, l'actrice décide de se lancer dans l'enregistrement d'un disque. C'est Bob Decout qui est chargé d'en écrire les chansons. Il devient finalement le compagnon de l'actrice en 1981. Cette relation l'entraîne vers un univers différent : la musique. Elle chante lors d'une émission de Jacques Chancel, puis monte avec Bob Decout un spectacle musical intitulé Revue et corrigée sur des musiques de Catherine Lara et avec des costumes de Jean-Paul Gaultier au Casino de Paris (alors en passe d'être transformé en parking). Considérée comme bancale, la production ne trouve pas de financement et Annie Girardot doit hypothéquer son appartement de la place des Vosges. Le spectacle est un fiasco et ne reste qu'un mois à l'affiche. Girardot enchaîne avec une pièce de théâtre et un film qui ne fonctionnent pas plus. Ces échecs la plongent dans un grand désarroi moral et financier, accentués par le décès de sa mère et les problèmes de drogue de sa fille.

Annie Girardot se tourne alors davantage vers le théâtre, jouant ainsi L'Avare de Molière aux côtés de son ami Michel Serrault, Première Jeunesse avec Odette Joyeux, ou encore Le roi se meurt de Ionesco avec Daniel Ivernel. En 1987, la télévision lui permet de retrouver le chemin des plateaux. Elle devient la vedette de la toute première saga de l'été diffusée sur TF1 : Le Vent des moissons. Le succès est immense et l'année suivante, c'est elle joue dans une nouvelle saga, Orages d'été, aux côtés de Patachou. Dès lors, elle tournera de nombreux téléfilms, assurant à chaque fois aux chaînes de télévision de beaux succès d'audience.

Au début des années 1990, les propositions se font rares, seule sa participation au film de Bertrand Blier, Merci la vie, se faisant remarquer. Elle tourne également pour Gérard Mordillat (Toujours seuls) et incarne la mère farfelue de Catherine Jacob dans la comédie Les Braqueuses de Jean-Paul Salomé, en 1994.
Tags : Cinéma, Actrice, 25 octobre 1931, 1931, Annie, Annie Girardot, 28 février 2011, 28 février, 2011, Chanteuse, Musique
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#Posté le dimanche 21 avril 2013 15:39

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Annie Girardot : Après une traversée du désert



Après une traversée du désert de plusieurs années, l'obtention en 1996 du César de la meilleure actrice dans un second rôle, pour Les Misérables, de Claude Lelouch, lui permet de « retrouver sa place ». Lors de la remise de son César à la 21e cérémonie, les larmes aux yeux, elle provoque l'émotion avec ces paroles : « Je ne sais pas si j'ai manqué au cinéma français, mais à moi, le cinéma français a manqué follement... éperdument... douloureusement. Et votre témoignage, votre amour, me font penser que peut-être, je dis bien peut-être, je ne suis pas encore tout à fait morte. ». L'année suivante, elle est la présidente de la 22e cérémonie.

Annie Girardot : Après une traversée du désert


En 2002, elle remporte à nouveau le César de la meilleure actrice dans un second rôle, pour son interprétation de la mère castratrice d'Isabelle Huppert (qui avait déjà joué sa fille dans Docteur Françoise Gailland) dans La Pianiste de Michael Haneke. Michael Haneke fera de nouveau appel à elle en 2005 pour incarner la mère de Daniel Auteuil dans Caché.

La fin des années 2000 sera marquée par de petits rôles dans quelques films (Le Temps des porte-plumes avec Jean-Paul Rouve, Boxes avec Jane Birkin).

Annie Girardot : Après une traversée du désert


Le 20 septembre 2006, on apprend par son avocat Me Emmanuel Asmar, chargé de ses intérêts, qu'Annie Girardot est atteinte de la maladie d'Alzheimer, ce que confirme l'édition du 21 septembre de l'hebdomadaire Paris Match, dans lequel la fille, Giulia Salvatori, et la petite-fille de l'actrice, Lola Vogel, révèlent sa maladie.

Annie Girardot : Après une traversée du désert

Malgré cela, la comédienne continue à jouer au théâtre : de 2001 à 2003, elle reprend la pièce Madame Marguerite à Paris et en tournée, et, pour pallier les éventuels trous de mémoire, elle est équipée d'une oreillette destinée à lui souffler son texte. C'est avec ce même procédé qu'elle continuera à participer au tournage de plusieurs films comme Je préfère qu'on reste amis... (2005), où elle interprète - ironie du sort - une femme atteinte de la maladie d'Alzheimer. Les rôles sont plus courts et adaptés (peu de scènes physiques), mais les réalisateurs sont conciliants. La comédienne « revit » lorsqu'elle est sur un plateau de tournage et, le temps d'une scène, la maladie s'efface.

Annie Girardot : Après une traversée du désert

En 2007, sa fille Giulia Salvatori publie, avec le journaliste Jean-Michel Caradec'h, une biographie intitulée La Mémoire de ma mère (éditions Michel Lafon), où elle consigne les souvenirs de sa mère.


À partir de 2008, Annie Girardot vit dans une maison médicalisée de Paris. Le 21 septembre 2008, TF1 diffuse Annie Girardot, ainsi va la vie, un film documentaire de Nicolas Baulieu filmant huit mois de sa vie, avec Claire Keim en voix off. On y découvre sa vision du passé et les effets de la maladie.


Tags : Cinéma, Actrice, 25 octobre 1931, 1931, Annie, 28 février 2011, 28 février, 2011, Chanteuse, Musique, Annie Girardot
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Annie Girardot

Annie Girardot

Annie Girardot

Annie Girardot
Tags : Cinéma, Actrice, 25 octobre 1931, 1931, Annie, Annie Girardot, dessinsagogo55, 28 février 2011, 28 février, 2011, Chanteuse, Musique
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#Posté le dimanche 21 avril 2013 15:40

Modifié le lundi 29 avril 2013 04:57

Annie Lennox


Ann « Annie » Lennox, OBE, est une chanteuse, auteur et compositrice britannique née le 25 décembre 1954 à Aberdeen. Elle est la fille unique d'un père chaudronnier sur les chantiers navals et d'une mère cuisinière. Elle commence sa carrière musicale avec Dave Stewart et Peet Coombes en 1975 au sein du groupe The Catch qui devient The Tourists en 1977. Après trois albums et la séparation du groupe, Dave Stewart et Annie Lennox continuent à collaborer et forment le duo Eurythmics. En 1983, le single Sweet Dreams (Are Made of This) permet au duo d'acquérir une notoriété mondiale. Durant les années 1980 avec huit albums studio et des singles à succès comme Here Comes the Rain Again ou There Must Be an Angel (Playing with My Heart), Eurythmics devient l'un des principaux groupes de pop anglaise de la décennie. En 1990, à la cérémonie des Brit Awards Annie Lennox annonce officiellement la séparation du groupe et décide de se retirer momentanément pour se consacrer à sa famille.

Annie Lennox

La carrière solo d'Annie Lennox commence en 1992 avec l'album Diva qui reçoit à la fois la reconnaissance des critiques et les faveurs du public. Elle réalise en 1995 un album de reprises Medusa. Le titre phare No More I Love Yous remporte le Grammy de la meilleure performance vocale pop féminine. Après une pause de huit ans, elle revient en 2003 avec l'album Bare. Elle remporte en 2004 un Oscar et un Golden Globe pour la chanson Into the West, extraite de la bande originale du film Le Retour du Roi. Son dernier album studio en date, Songs of Mass Destruction, sort en 2007.

Annie Lennox

Durant sa carrière, Annie Lennox a remporté à six reprises le Brit Award de la meilleure chanteuse britannique. Reconnue pour ses capacités vocales, elle a également signé avec Dave Stewart l'ensemble des chansons d'Eurythmics et ils reçoivent en 1983 et 1986 l'Ivor Novello Award de l'auteur de l'année. Durant sa carrière solo, Annie Lennox continue d'écrire et composer ses titres et remporte en 1993 l'Ivor Novello Award de la meilleure chanson pour Why.

Annie Lennox


Préoccupé par la cause tibétaine, elle a soutenu le moine Palden Gyatso et le musicologue Ngawang Choephel, deux prisonniers d'opinion tibétains pour la libération desquels Amnesty International fit campagne.

Selon sa maison de disques RCA, Annie Lennox a vendu plus de 80 millions de disques durant sa carrière, avec Eurythmics et en solo. Elle est faite Officier de l'Ordre de l'Empire britannique le 31 décembre 2010, pour services rendus à Oxfam.



Tags : Annie Lennox, Ann « Annie » Lennox, Ann, 25 décembre 1954, 25 décembre, 1954, Chanteuse, Musique, Musique A, Eurythmics
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#Posté le mercredi 14 août 2013 10:00

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