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6 articles taggés Autour du film

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Les tontons flingueurs

 Les tontons flingueurs


Les Tontons flingueurs est un film franco-germano-italien, réalisé par Georges Lautner et dialogué par Michel Audiard, sorti sur les écrans en 1963. Adaptation du roman d'Albert Simonin, Grisbi or Not Grisbi, c'est le troisième volet d'une trilogie consacrée au truand Max le Menteur qui comprend également Touchez pas au grisbi et Le Cave se rebiffe.

 Les tontons flingueurs
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Tags : Les Tontons Flingueurs, 1963, Cinéma, Cinéma L, Film, Autour du film, Lino Ventura, Francis Blanche, Bernard Blier
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#Posté le lundi 21 mai 2012 13:00

Modifié le vendredi 07 novembre 2014 13:50

Les tontons flingueurs

Les tontons flingueurs
Dans le film de Lautner, le personnage récurrent de la trilogie d'Albert Simonin, Max le Menteur, devient Fernand Naudin (incarné par Lino Ventura), un ex-truand reconverti dans le négoce de machines agricoles, à Montauban. Sa petite vie tranquille va basculer lorsque son ami d'enfance, Louis dit le Mexicain, un gangster notoire, de retour à Paris, l'appelle à son chevet...

Les tontons flingueurs
Celui-ci, mourant, confie à Fernand, avant de s'éteindre, la gestion de ses « affaires » ainsi que l'éducation de sa petite Patricia (Sabine Sinjen), au mécontentement de ses troupes et sous la neutralité bienveillante de Maître Folace (Francis Blanche), son notaire, qui ne s'émeut pas trop de la querelle de succession à venir.

Les tontons flingueurs
Fernand Naudin doit affronter les frères Volfoni – Raoul (Bernard Blier) et Paul (Jean Lefebvre) – qui ont des visées sur les affaires du Mexicain, parmi lesquelles un tripot clandestin, une distillerie tout aussi clandestine, une maison close ... D'autres « vilains » vont se révéler être très intéressés par la succession, dont Théo et son ami Tomate.
Les tontons flingueurs

Les tontons flingueurs



Tags : Les Tontons Flingueurs, 1963, Cinéma, Cinéma L, Film, Autour du film, Lino Ventura, Francis Blanche, Bernard Blier
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#Posté le mardi 22 mai 2012 10:00

Les tontons flingueurs : Autour du film


La Gaumont ne croyait pas au succès du film qui n'était défendu que par Alain Poiré et, pour limiter les risques financiers, s'associa avec d'autres maisons de production. Ceci explique la présence dans la distribution d'acteurs allemands (Sabine Sinjen et Horst Frank) et italiens (Venantino Venantini).
Michel Audiard trouvait la scène de la cuisine inutile et elle faillit bien ne jamais exister. C'est Georges Lautner qui l'a rétablie en hommage à Key Largo, film noir dans lequel on voit des gangsters accoudés à un bar évoquer avec nostalgie le bon temps de la prohibition.
Les tontons flingueurs : Autour du film
Michel Audiard aurait préféré comme titre le Terminus des prétentieux, expression que l'on retrouve dans une réplique de Raoul Volfoni : « Il entendra chanter les anges, le gugusse de Montauban. Je vais le renvoyer tout droit à la maison mère, au terminus des prétentieux ! » Mais ses partenaires le jugèrent trop pompeux. Le titre le Terminus des prétentieux apparaîtra en manière de clin d'½il sur un fronton de cinéma dans un film ultérieur de Lautner, Flic ou Voyou.
Les tontons flingueurs : Autour du film
Jean Gabin fut un temps pressenti pour tenir le rôle de Fernand Naudin. Il posa cependant de telles exigences (il souhaitait imposer son équipe de techniciens) qu'il ne fut pas retenu, au grand soulagement de Michel Audiard avec lequel il était momentanément fâché à l'époque. Le choix se porta un temps sur Paul Meurisse, mais celui-ci déclina le rôle pour raisons de santé. Il apparaît toutefois quelques secondes dans la scène finale. À l'origine, Lino Ventura ne se voyait pas tenir ce rôle du fait de l'aspect comique des personnages, convaincu qu'il ne serait pas crédible dans ce genre de composition.
Les tontons flingueurs : Autour du film
Georges Lautner n'a utilisé qu'un seul thème musical, réalisé par Michel Magne et interprété dans différents styles musicaux (baroque, rock, valse, etc.), y compris le fameux piano-banjo à chaque bourre-pif de Fernand. Ce thème est restreint aux quatre notes du bourdon de Notre-Dame (dont l'enchaînement n'est pas sans rappeler les premières notes du refrain de Tout va très bien Madame la Marquise, fox-trot populaire et humoristique) et même la sonate présentée dans le film comme étant de Corelli est l'½uvre de Michel Magne qui s'en est toujours amusé.
Les tontons flingueurs : Autour du film
Le film ne fut pas un énorme succès populaire dès sa sortie en salle puisqu'il ne déplaça que quatre cent cinquante mille spectateurs en six mois dans Paris et sa périphérie, ce qui n'a rien d'exceptionnel. Mais sa réputation n'a fait que croître au fil des années et il est depuis passé quinze fois à la télévision et s'est vendu à deux cent cinquante mille exemplaires lors de sa sortie en DVD en 2002. Il fut en revanche éreinté par la critique (la mode était plutôt à la Nouvelle Vague), et en particulier par Henry Chapier (« Vous pavoisez haut... mais vous visez bas. »).
Les tontons flingueurs : Autour du film
La qualité de réalisation du DVD a été très soignée, entre autres par élimination numérique de l'inévitable tressautement d'image des projecteurs 35 mm. Le même traitement a par la suite été accordé à un autre film, Le Cave se rebiffe. L'opération de colorisation de ces deux longs métrages fut plus discutée, mais reste toujours « réversible » par élimination de la couleur, ce que permettent la plupart des téléviseurs (avec néanmoins une perte de netteté et de tons dans les gris malgré une augmentation artificielle du contraste).
Les dernières scènes du film (mariage-explosion) furent tournées dans et autour de l'église Saint-Germain-de-Charonne, place Saint-Blaise, dans le 20e arrondissement de Paris.
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Les tontons flingueurs : Autour du film
C'est dans une maison louée par la Gaumont à Rueil-Malmaison qu'eut lieu le 29 avril 1963 le tournage de la célèbre scène de la cuisine, qui se prolongea jusque très tard dans la nuit.
Le bowling de la Matène à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne), dans lequel a été tournée une scène des Tontons flingueurs, a également servi de décors aux films Monsieur Hire et Jean-Philippe
Les tontons flingueurs : Autour du film
Outre le sel des répliques d'Audiard, l'un des ressorts comiques du film tient dans les astuces utilisées pour masquer à Patricia et son ami Antoine (Claude Rich), ainsi qu'au père de ce dernier, la véritable situation.
Combiner au cinéma le comique truculent de la langue verte (l'argot) et l'ambiance d'un roman noir, comme l'était celui d'Albert Simonin, relève de l'impossible. Ainsi, pour faire de Grisbi or not Grisbi cette fameuse comédie hilarante, de grandes libertés ont dû être prises avec l'½uvre originale (notamment par Simonin lui-même puisqu'il a travaillé à l'adaptation cinématographique). Si la trame principale de ce troisième volet des aventures de Max le Menteur est conservée — la succession du Mexicain, la lutte avec les Volfoni —, les personnages de Maître Folace ou de la jeune Patricia et de son fiancé Antoine n'appartiennent qu'au film. Dans le même ordre d'idées, l'affrontement entre Max (Fernand Naudin) et les Volfoni est sanglant dans le roman de Simonin, et traité sous l'angle comique dans le film de Lautner. Mais l'esprit du style rédactionnel, c'est-à-dire un livre entièrement écrit en argot, se retrouve dans les dialogues concoctés par Michel Audiard.
Parmi les adaptations de la trilogie simonienne, Touchez pas au grisbi conserve le ton du film noir, tandis que Le Cave se rebiffe a été réalisé dans le même esprit que Les Tontons flingueurs.




Tags : Les Tontons Flingueurs, 1963, Autour du film, Cinéma, Lino Ventura, Francis Blanche, Bernard Blier, Cinéma L, Film
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#Posté le dimanche 27 mai 2012 11:00

Modifié le lundi 03 septembre 2012 18:22

Les tontons flingueurs : Distribution

Les tontons flingueurs : Distribution

Lino Ventura : Fernand Naudin
Bernard Blier : Raoul Volfoni
Francis Blanche : Maître Folace, le notaire de Louis « le Mexicain »
Sabine Sinjen : Patricia, la fille de Louis "le Mexicain" (doublée par Valérie Lagrange)
Claude Rich : Antoine Delafoy, le petit ami de Patricia
Robert Dalban : Jean, le majordome
Jean Lefebvre : Paul Volfoni, le frère de Raoul
Horst Frank : Théo
Venantino Venantini : Pascal (doublé par Charles Millot)
Mac Ronay : Bastien (doublé par André Weber)
Charles Régnier : Tomate
Pierre Bertin : Adolphe Amédée Delafoy, le père d'Antoine
Jacques Dumesnil : Louis « le Mexicain »
Paul Mercey : Henri
Dominique Davray : Madame Mado
Henri Cogan : Freddy
Georges Nojaroff : Vincent
Yves Arcanel: le contre-maître
Charles Lavialle: le chauffeur taxi
Anne Marescot : l'amie de Patricia
Philippe Castelli: le tailleur
Marcel Bernier : Léon
Jean-Pierre Moutier : un jeune homme
Jean Luisi : un tueur à la mitraillette
Paul Meurisse : commandant Théobald Dromard, dit « Le Monocle »
Jean-Louis Castelli : le photographe du mariage
Béatrice Delfe: une invitée de Patricia
Jean-Michel Derot : un invité de Patricia
Françoise Borio : une invitée de Patricia
Dominique Borio : une invité de Patricia
Les tontons flingueurs : Distribution
Les tontons flingueurs : Distribution
Les tontons flingueurs : Distribution

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#Posté le vendredi 25 mai 2012 05:00

Modifié le lundi 28 mai 2012 14:27

Les tontons flingueurs : Fiche technique

Les tontons flingueurs : Fiche technique


Titre : Les Tontons flingueurs
Réalisation : Georges Lautner
Scénario : Albert Simonin, d'après son roman Grisbi or Not Grisbi et Georges Lautner (non crédité)
Dialogues : Michel Audiard
Musique : Michel Magne
Décors : Jean Mandaroux et Jacques d'Ovidio
Assistant Réalisation : Claude Vital
Affichiste : Jean-Etienne Siry
Photographie : Maurice Fellous
Ingénieurs du son : Antoine Archimbaud et Daniel Brisseau
Montage : Michelle David
Sociétés de production : Société Nouvelle des Établissements Gaumont, Corona Filmproduktion, Ultra Film et Sicilia Cinematografica (non crédité)
Producteurs : Alain Poiré (délégué), Robert Sussfeld et Irénée Leriche
Distributeur : Gaumont-International
Format : Noir et blanc (Laboratoire GTC) - 1,66:1 - Mono (Le Poste parisien) - 35 mm
Genre : comédie, film de gangsters
Durée : 1h46

Les tontons flingueurs : Fiche technique
Les tontons flingueurs : Fiche technique
Pays d'origine : France
Italie
Allemagne

Les tontons flingueurs : Fiche technique
Langue : français
Lieux de tournage : Studios Éclair
Bowling de la Matène, Fontenay-sous-Bois

Les tontons flingueurs : Fiche technique
Dates de sortie : Allemagne de l'Ouest : 4 octobre 1963, France : 27 novembre 1963
Les tontons flingueurs : Fiche technique

Les tontons flingueurs : Fiche technique


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#Posté le jeudi 24 mai 2012 13:00

Les visiteurs : Autour du film



Les visiteurs : Autour du film

Château de Beynac Le film marque la seconde collaboration du quatuor Poiré/Reno/Clavier/Lemercier, qui s'était déjà rodé deux ans auparavant avec L'Opération Corned-Beef.
Le château d'Ermenonville a servi de décor pour le château de Montmirail à l'époque actuelle et le Château de Beynac pour l'époque médiévale.
Jean-Marie Poiré fait une apparition à la fin du film. Il dit la réplique : « Donne tes bijoux, le drôle ! »
Le portrait de Godefroy le Hardi visible dans sa chambre du château de Montmirail dans plusieurs scènes du film est un remaniement du portrait de Frédéric de Montefeltro par Piero della Francesca de 1464-66. Il s'agit d'un des nombreux anachronismes du film — dont le plus frappant étant le fait que les « visiteurs » peuvent communiquer dans le francais de 1992 — puisque le portrait de della Francesca est une ½uvre de la Renaissance italienne alors que Godefroy est supposé venir du XIIe siècle.
Comme on peut le constater sur les plaques minéralogiques des voitures, le film a été tourné dans les départements de l'Aude (11), où de nombreuses scènes furent tournées aux abords du château comtal de la Cité de Carcassonne, ainsi que dans l'Oise (60) et dans le Val-d'Oise, à Cergy (la scène du restaurant Courtepaille en particulier). Ceci peut sembler insolite étant donné que ces départements sont situés de part et d'autre de la France. De plus, si l'on observe bien le début du film, on peut remarquer que la voiture de la famille Goulard porte successivement les immatriculations de deux des trois départements cités.
On peut également observer que le maréchal des logis Gibon porte un écusson de la région Picardie sur sa chemise d'uniforme, dans le second volet le capitaine de gendarmerie porte un écusson de la région Bourgogne

Les visiteurs : Autour du film

Au tout début du film, le roi de France et sa maîtresse anglaise parlent tous les deux anglais ; or, à cette époque la famille royale et la noblesse anglaises ne parlaient que l'anglo-normand.
La chanson à boire : « Et on lui pèlera le jonc comme au bailli du Limousin... » est une pure invention : les baillis n'ont été institués en France qu'au XIIIe siècle ; or les « visiteurs » sont supposés venir du XIIe siècle. D'autre part, le terme « bailli » était usité dans les pays de langue d'oil, c'est-à-dire la moitié nord de la France ; le Limousin était un pays de langue d'oc où l'on utilisait à la place les termes de « sénéchal » et de « sénéchaussée ».
La formule d'Eusebius pour emprunter les couloirs du temps est : « Per Horus et per Rha et per solem invictus duceres. » ; ce qui signifie en latin : « Par Horus et par Rê et par le soleil invaincu sois conduit. » Elle est prononcée à l'italienne, selon l'usage suivi dans la plupart des pays par ceux qui s'expriment en latin ecclésiastique.
La devise des Montmirail est : « Que trépasse si je faiblis ! », précédée du cri de guerre des chevaliers français : « Montjoie ! Saint-Denis ! »
Hubert est souvent appelé « Hub » ou « Cousin Hubert » par Béatrice.
La chanson interprétée par Ginette rencontrant les deux visiteurs pour la première fois, est la chanson très connue de Patrick Bruel : Casser la voix.
La bande originale du film a été composée et orchestrée par le compositeur français Éric Lévi. Le titre est tiré du projet musical Era.
Selon un calendrier visible au début du film, les visiteurs arrivent le 27 octobre 1992.
Dans la scène où Jacquouille et Ginette sont au bowling, on entend la chanson Passion for love qui fait référence au précédent film Opération Corned Beef de 1990.
A la fin du film (et au début des Visiteurs 2), Godefroy tourne son arbalète vers la gauche pour ne pas tuer son futur beau-père. Mais le carreau d'arbalète, lors de la vue suivante, tourne vers la droite.


Tags : Les visiteurs, Autour du film, Cinéma, Cinéma L, Film, Gif, Jean Reno
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#Posté le vendredi 15 février 2013 11:00

Modifié le dimanche 17 février 2013 08:13

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