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dessinsagogo55

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Fernandel : Le tango corse

 
 
 Fernandel : Le tango corse
 
 
 

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« Le tango corse »
Au bal du petit Ajaccio
On ne dans pas le mambo
Ni le bee-bop, ni la biguine
Mais un vrais tango d'origine

Le tango Corse, c'est un tango conditionné
Le tango Corse, c'est de la sieste organisée
On se déplace pour être sur qu'on ne dort pas
On se prélasse, le tango Corse c'est comme ça!

Quand Dominique est fatigué
De voir les autres travailler
Il s'accorde un peu de repos
Juste le temps d'un petit tango.

Le tango Corse, c'est un tango conditionné
Le tango Corse, c'est l'avant goût de l'oreiller
Le Dominique se croit déjà en pyjama
C'est magnifique, le tango Corse c'est comme ça.

Un jour des musiciens du nord
On joué trop vite et trop fort
Un vrai tango de salarié!
On ne les a jamais retrouvés!

Le tango Corse, c'est un tango sélectionné
Le tango Corse, pour les courageux fatigués
Chacun s'étire en même temps que l'accordéon
Et l'on soupire, le tango Corse que c'est bon!

Quand a bout de forces
On va s'étendre une heure ou deux
Le tango Corse, c'est encore là
Qu'on le danse le mieux!


https://youtu.be/gwPQAs2co54




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Tags : Fernandel, dessinsagogo55, Cinéma, Fernand Contandin, 8 mai 1903, 8 mai, 1903, Marseille, Décès, 26 février 1971, 26 février, 1971, Paris, Acteur, Chanteur, Musique, Réalisateur, Humouriste, Fernandel : Le tango corse
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#Posté le samedi 26 février 2022 10:00

Robert Dalban : dessinsagogo55



Robert Dalban : dessinsagogo55
 
 
 

 

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Tags : Robert Dalban, dessinsagogo55, Gaston Paul Aimé Robert Barré, Gaston, 19 juillet 1903, 1903, Celles-sur-Belle, Décès, 3 avril 1987, 3 avril, 1987, Paris, Cinéma, Acteur, 19 juillet
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#Posté le samedi 03 avril 2021 03:00

Modifié le dimanche 03 avril 2022 08:10

Fernandel

 
 
Fernandel
 
 
Fernandel (Joseph Désiré Contandin).(8 mai 1903 à Marseille - 26 février 1971 à Paris), au civil Fernand Joseph Désiré Contandin, est un chanteur et acteur français.
C'est sa belle-mère, Mme Manse, qui inventa son pseudonyme ; en parlant de son gendre, elle disait : « Voilà le Fernand d'elle ! ».
Né d'un père, Denis, comptable et chanteur le dimanche au café-concert (Sined), et d'une mère comédienne amateur, Fernandel a deux frères : Auguste Marcel Sined, son aîné de 6 ans (avec lequel il sera un temps Fernand Sined), et Francis Fransined (plus jeune que lui de 11 ans) ainsi qu'une s½ur. C'est par une dizaine d'années de petits boulots alimentaires, de 1915 à 1925 (essentiellement comme garçon de course dans les banques marseillaises), que commence sa vie professionnelle, en 1915, il a douze ans !
 
En parallèle, il monte sur scène comme chanteur, comique troupier dans les cafés-concerts, où il surprend par son profil "à tête de cheval".
Andrex, comédien et ami de l'acteur, raconte à son propos: "Fernandel, qui n'était alors que Fernand, fit ses débuts sur scène à cinq ans en chantant le répertoire militaire avec son frère aîné, Marcel. Il connut son premier grand succès à sept ans, un jour où, paralysé par le trac, il fut propulsé sur la scène par son père, d'un grand coup de pied au derrière ; il s'empêtra dans son sabre et s'étala de tout son long sous une tempête de rires. Par la suite, il n'eut plus jamais peur d'affronter le public."
Le 4 avril 1925, il épouse Henriette Manse, la s½ur d'un inséparable copain. Ils auront trois enfants, Josette en 1926, Janine en 1930 et Franck en 1935.
Ses débuts au cinéma datent de 1930, où il joue un rôle de groom dans le film Le Blanc et le noir, dont Raimu est la vedette principale. La même année, Jean Renoir lui confie un rôle plus important dans On purge bébé, d'après une pièce de Georges Feydeau. Toujours en 1931, il est la vedette du film de Bernard Deschamps Le Rosier de Madame Husson, où il interprète un rôle qu'on lui confiera souvent par la suite : celui d'un jeune homme niais, en l'occurrence ici un puceau qui perd sa virginité dans un lieu de plaisir.
Par la suite, ses triomphes se multiplient, notamment dans les films de Christian-Jaque Un de la légion et François Ier (1936), mais surtout dans ceux de Marcel Pagnol : Angèle (1934), Regain (1937), Le Schpountz (1938), la Fille du puisatier (1940), et plus tard Topaze (1951).
Les succès cinématographiques n'empêchent pas Fernandel de continuer une carrière de chanteur. Il joue dans de nombreuses comédies musicales, le plus souvent transformées en films par la suite. Certaines des chansons qui y sont interprétées deviennent des « tubes », comme Ignace ou Simplet, ou encore Félicie aussi.
Dans l'ensemble, les films des années 1940 ne laisseront pas un souvenir inoubliable. Mais tout change dans les années 1950, grâce à Julien Duvivier et à la série des Don Camillo, tirés de l'½uvre de Giovanni Guareschi, où un curé et un maire communiste se livrent une lutte d'influence dans un petit village en Italie : Le Petit monde de Don Camillo (1951), Le Retour de Don Camillo (1953). Puis, avec d'autres réalisateurs, la Grande bagarre de Don Camillo (1955), Don Camillo Monseigneur (1961), Don Camillo en Russie (1965) et enfin Don Camillo et les contestataires, film qu'il commence à tourner en 1970 mais qu'il ne pourra achever, victime d'un cancer du poumon qui allait l'emporter.



Parmi les autres grands succès cinématographiques de Fernandel, notons aussi L'auberge rouge (1951), Ali Baba et les quarante voleurs (1954), film de Jacques Becker et surtout La Vache et le Prisonnier, film d'Henri Verneuil tourné en 1959.
Il a fondé avec Jean Gabin la société de production Gafer en 1963.
Fernandel a également remporté un grand succès avec les enregistrements des textes des Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet comme La Chèvre de Monsieur Seguin, Les Trois Messes basses, Le Secret de Maître Cornille ou Le sous-préfet aux champs.
Fernandel a aussi été réalisateur de films : Simplet en 1942, Adrien 1943 et Adhémar ou le jouet de la fatalité en 1951
En terminant, Sacha Guitry lui a rendu cet hommage peu commun : "Moi, on m'admire; vous, on vous aime." Quant à sa popularité sous la soutane de Don Camillo, un jour qu'il était à Rome, Pie XII le pria de venir au Vatican afin, dit-il, de faire la connaissance "du plus connu des prêtres de la chrétienté après le pape" !...
Fernandel est inhumé au cimetière de Passy.
 
Filmographie : longs-métrages
note : Les différences d'années qui peuvent apparaître sont dûes aux tournages et aux sorties en salle. Exemple Le Schpountz tourné en 1937 est sorti en 1938, ce qui permet de le considérer comme un film de 1938.
1930 : Le Blanc et le noir de Robert Florey : Le groom vierge
1931 : On purge bébé de Jean Renoir : Le cousin Horace Truchet
1931 : Paris Béguin d'Augusto Genina : Ficelle, un petit truand
1931 : C½ur de lilas d'Anatole Litvak : Le garçon d'honneur
1931 : Le Rosier de Madame Husson de Bernard Deschamp : Isidore, le rosier
1932 : Pas de femmes de Mario Bonnard : Casimir
1932 : Un homme sans nom de Gustav Uschiki : Julot
1932 : Les Gaietés de l'escadron de Maurice Tourneur : Le soldat Vanderague, le brimé
1932 : le Jugement de minuit ou Le Vengeur d'Alexandre Esway : Sam Hackitt
1933 : Le Coq du régiment de Maurice Cammage : Le soldat Médard
1933 : L'Ordonnance de Victor Tourjansky : Étienne
1933 : D'amour et d'eau fraîche de Félix Gandéra : Eloi, le chauffeur
1933 : La Garnison amoureuse de Max de Vaucorbeil : Le deuxième classe Frédéric
1933 : Adémaï aviateur de Jean Tarride : Méchelet, le camarade d'Adémaï
1933 : La Porteuse de pain de René Sti : Billenbuis, un boulanger
1934 : Une nuit de folies de Maurice Cammage : Fernand, le barman
1934 : Le Chéri de sa concierge de Guarino-Glavany : Eugène Crochard
1934 : L'Hôtel du libre échange de Marc Allégret : Boulot, le garçon d'étage
1934 : Le Train de 8 heures 47 d'Henry Wulschleger : Le cavalier Croquebol
1934 : Angèle de Marcel Pagnol : Saturnin, le valet de ferme
1934 : Les Bleus de la marine de Maurice Cammage : Lafraise, un marin du "Victorieux"
1934 : Le Cavalier Lafleur de Pierre-Jean Ducis : Fernand, Gaëtan Lafleur, le réserviste
1935 : Ferdinand le noceur de René Sti : Fernand Piat, préparateur en pharmacie
1935 : Jim la houlette d'André Berthomieu : Jacques Moluchet, écrivain "nègre"
1935 : Les Gaietés de la finance ou Bengali VII de Jack Forrester : Le banquier Marivol et le tailleur Lambinet
1936 : Un de la légion de Christian-Jaque : Fernand, Esculape, Siméon Espitalion
1936 : Josette de Christian-Jaque : Albert Durandal
1936 : François Ier ou Les Amours de la Ferronnière de Christian-Jaque : Honorin, régisseur de théâtre et Honorin des Meldeuses
1937 : Les Dégourdis de la 11ème de Christian-Jaque : L'ordonnace Patard, le premier dégourdi
1937 : Ignace de Pierre Colombier : Ignace Boitaclou, jeune paysan incorporé
1937 : Un carnet de bal de Julien Duvivier : Fabien Coutissol, le coiffeur
1937 : Les Rois du sport de Pierre Colombier : Fernand, garçon de café
1937 : Regain ou Arsule de Marcel Pagnol : Urbain Gédémus, le rémouleur
1938 : Hercule ou L'Incorruptible d'Alexandre Esway : Hercule Maffre, pêcheur provençal, héritant d'un grand journal
1938 : Le Schpountz ou La Fausse vocation de Marcel Pagnol : Irénée Fabre, commis-épicier
1938 : Barnabé d'Alexandre Esway : Barnabé, flûtiste occasionnel
1938 : Ernest le rebelle de Christian-Jaque : Ernest Pic, steward, accordéoniste à bord d'un navire
1938 : Tricoche et Cacolet de Pierre Colombier : Tricoche, détective privé
1938 : Les Cinq sous de Lavarède de Maurice Cammage : Armand Lavarède, le cousin de Mr Richard
1938 : Raphaël le tatoué ou C'était moi de Christian-Jaque : Modeste Manosque, veilleur de nuit alias : Raphaël
1939 : Berlingot et compagnie de Fernand Rivers : François, marchand de berlingots
1939 : Fric-Frac de Maurice Lehmann : Marcel, l'employé de la bijouterie
1939 : L'Héritier des Mondésir ou C'est un mystère d'Albert Valentin : Bien-Aimé, le facteur - Le baron de Mondésir et ses aïeux
1940 : Monsieur Hector ou Le Nègre du Negresco de Maurice Cammage : Hector, le valet de chambre
1940 : La Fille du puisatier de Marcel Pagnol : Félipe Rambert, l'assistant de Pascal
1940 : Un chapeau de paille d'Italie de Maurice Cammage : Fadinard, le jeune marié
1940 : La Nuit merveilleuse de Jean-Paul Paulin : Le berger
1941 : L'Acrobate de Jean Boyer : Ernest Sauce, maître d'hôtel
1941 : Le Club des soupirants de Maurice Gleize : Antoine Valoisir, chasseur de papillons
1941 : Les Petits Riens de Raymond Leboursier : Mr Astier
1942 : Simplet de Fernandel : Simplet, le "fada" de Miéjour
1942 : La Bonne Étoile de Jean Boyer : Auguste dit "Guste", pêcheur provençal
1942 : Ne le criez pas sur les toits de Jacques Daniel-Norman : Vincent Fleuret, préparateur du professeur Léonard
1943 : Une vie de chien ou Médor de Maurice Cammage : Gustave Bourdillon, professeur dans un institut
1943 : La Cavalcade des heures d'Yvan Noé : Antonin
1943 : Adrien de Fernandel : Adrien Moulinet, encaisseur à la banque Nortier
1944 : Le Mystère Saint-Val de René Le Hénaff : Désiré, Henri Le Sec, détective
1945 : Naïs ou Toine de Raymond Leboursier : Toine, l'ouvrier agricole bossu
1945 : Les Gueux au paradis de René Le Hénaff : Pons, un joyeux drille
1945 : L'Aventure de Cabassou de Gilles Grangier : Marius Cabassou, architecte
1946 : Pétrus de Marc Allégret : Pétrus, photographe
1947 : C½ur de coq ou Affaires de c½ur de Maurice Cloche : Tulipe Barbaroux, ouvrier imprimeur
1947 : Émile l'Africain de Robert Vernay : Emile Boulard, accessoiriste
1948 : Si ça peut vous faire plaisir de Jacques Daniel-Norman : Martial Gonfaron, aboyeur à la salle des ventes de Cassis
1948 : L'Armoire volante de Carlo Rim : Alfred Puc, percepteur
1949 : L'Héroïque Monsieur Boniface de Maurice Labro : Mr Boniface, étalagiste
1949 : On demande un assassin de Ernest Neubach : Bob Laurent, le fils de famille
1950 : Casimir de Richard Pottier - Casimir, représentant en aspirateurs
1950 : Meurtres de Richard Pottier - Noël Annequin, paysan et mari d'Isabelle
1950 : Tu m'as sauvé la vie de Sacha Guitry - Fortuné Richard, clochard
1950 : Uniformes et grandes man½uvres de René Le Hénaff - Luc, portier du "Miramar", et André Duroc
1951 : Topaze de Marcel Pagnol - Albert Topaze, professeur à l'institution "Muche"
1950 : Boniface Somnambule de Maurice Labro - Victor Boniface, détective dans un grand magasin
1951 : Je suis de la revue (Botta e riposta) de Mario Soldati : Fernand
1951 : Adhémar ou le jouet de la fatalité de Fernandel - Adhémar Pomme, ordonnateur de pompes funèbres, garde malade, souffleur...
1951 : L'Auberge rouge - Le moine
1951 : La Table aux crevés d'Henri Verneuil - Urbain Coindet, paysan et conseiller municipal
1951 : Le Petit Monde de Don Camillo de Julien Duvivier - Don Camillo, le curé
1952 : Coiffeur pour dames de Jean Boyer - Marius dit: Mario, coiffeur pour dames
1952 : Le Fruit défendu d'Henri Verneuil - Le docteur Charles Pellegrin
1952 : Le Boulanger de Valorgue d'Henri Verneuil - Félicien Hébrard, boulanger
1952 : Le Retour de Don Camillo de Julien Duvivier - Don Camillo, le curé
1953 : Carnaval ou Dardamelle d'Henri Verneuil - Dardamelle, l'architecte
1953 : L'Ennemi public numéro un d'Henri Verneuil - Joé Calvet, l'américain myope
1953 : Mam'zelle Nitouche (Santarellina) d'Yves Allégret - Célestin Floridor, professeur de musique
1954 : Le Mouton à cinq pattes d'Henri Verneuil - Edouard Saint-Forget, le père - Alain, le fils esthéticien - Désiré, le fils laveur de vitres - Étienne, le fils loup de mer - Bernard, le fils journaliste et Charles, le fils abbé
1954 : Ali Baba et les quarante voleurs de Jacques Becker - Ali Baba, le serviteur de Cassim
1954 : Le Printemps, l'automne et l'amour de Gilles Grangier - Fernand "Noël" Sarrazin, patron nougatier
1955 : La Grande bagarre de Don Camillo de Carmine Gallone - Don Camillo, le curé
1955 : Don Juan (El amor de Don Juan) de John Berry - Sganarelle, le valet de Don Juan
1956 : Le Couturier de ces dames de Jean Boyer - Fernand Vignard, couturier pour dames
1956 : Sous le ciel de Provence de Mario Soldati, adaptation du roman Quatre pas dans les nuages (Quattro passi fra le nuvole) d'Alessandro Blasetti - Paul Verdier, représentant en chocolat
1956 : Honoré de Marseille de Maurice Regamey - Protis, le guerrier grec, Honorius, le romain et Honoré
1956 : Le Tour du monde en 80 jours de Michael Anderson... d'après le roman éponyme de Jules Verne - Le cocher de fiacre à Paris
1956 : L'Homme à l'imperméable de Julien Duvivier - Albert Constantin, clarinettiste
1957 : Sénéchal le magnifique de Jean Boyer - Sénéchal, comédien d'une troupe théâtrale
1957 : A Paris tous les deux (Paris Holiday) de Gerd Oswald - Fernydel, l'artiste français
1957 : Le Chômeur de Clochemerle de Jean Boyer - Baptiste Lachaud dit: "Titin", chômeur
1957 : La Loi, c'est la loi de Christian-Jaque - Ferdinand Pastorelli, douanier français
1958 : La Vie à deux de Clément Duhour - Marcel Gaboufigue, mari de Marguerite
1958 : Les Vignes du seigneur de Jean Boyer - Henri Levrier, l'ami de la famille
1958 : Le Grand Chef d'Henri Verneuil - Antoine Venturen, employé d'une station-service
1958 : Le Confident de ces dames de Jean Boyer - Guiliano Goberti, vétérinaire
1959 : La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil - Charles Bailly, prisonnier de guerre
1960 : Crésus de Jean Giono - Jules, le berger de Provence
1960 : Le Caïd de Bernard Borderie - Justin Migonet professeur de philosophie
1960 : Cocagne de Maurice Cloche - Marc- Antoine, chauffeur de benne de nettoiement
1961 : Le Jugement dernier (Il giudizio universale) de Vittorio De Sica - Le veuf
1961 : Dynamite Jack de Jean Bastia - Antoine Espérendieu, collecteur d'impôts et Dynamite Jack, le bandit
1961 : Don Camillo Monseigneur de Carmine Gallone - Don Camillo, évêque
1961 : L'Assassin est dans l'annuaire de Léo Joannon - Albert Rimoldi, timide employé de banque
1962 : Le Diable et les Dix Commandements de Julien Duvivier - L'homme qui se prend pour Dieu
1962 : En avant la musique de Georges Bianchi - Attilio Capellaro, aubergiste
1962 : Le Voyage à Biarritz de Gilles Grangier - Guillaume Dodut, chef de gare de Puget-sur-Var
1963 : Blague dans le coin de Maurice Labro - Jeff Burlington, le comique
1963 : Le Bon roi Dagobert de Pierre Chevalier - Mr Pelletan et le roi Dagobert
1963 : La Cuisine au beurre de Gilles Grangier - Fernand Jouvin, prisonnier de guerre
1964 : Relaxe-toi chérie de Jean Boyer - François Faustin
1964 : L'Âge ingrat de Gilles Grangier - Adolphe Lartigue, le père d'Antoine
1965 : Don Camillo en Russie de Luigi Comencini - Don Camillo, le curé
1965 : La Bourse et la vie de Jean-Pierre Mocky - Charles Migue, un collègue de Pelepan
1966 : Le Voyage du père de Denys de La Patellière - Mr Quantin, fermier Jurassien
1967 : L'Homme à la Buick de Gilles Grangier - Armand Favrot, alias Monsieur Jo, contrebandier
1969 : Heureux qui comme Ulysse d'Henri Colpi - Antonin, modeste garçon de ferme
1970 : Don Camillo et les contestataires de Christian-Jaque - Le tournage de ce film (entre Juillet et Aout 1970 à Brescia) ne fut pas achevé en raison de la maladie de Fernandel; La production le fit cependant terminer par Mario Camerini et d'autres acteurs.
(nb: six de ses films ont été colorisés (les 4 premières fois pour des versions télévisées et VHS), dont quatre qu'il tourna avec Henri Verneuil: L'Auberge rouge, Le Boulanger de Valorgue, L'Ennemi public numéro un, Le Couturier de ces dames, Le Grand Chef, et La Vache et le Prisonnier en 1990, 1er film français traité par procédé électronique)




Filmographie : courts-métrages
1930 : La Meilleure bobone (ou Les 4 Jambes) de Marc Allégret et Claude Heymann - Lucien Pivoine
1930 : J'ai quelque chose à vous dire de Marc Allégret - Pierre Deneige, l'amant
1931 : Attaque nocturne de Marc Allégret et Jean de Marguenat - Le commissaire
1931 : La Fine combine d'André Chotin - Joseph, le valet de chambre
1931 : Bric-a-brac et compagnie d'André Chotin - Fernand
1931 : Vive la classe (ou les gaietés de l'escouade) de Maurice Cammage - Moussin
1931 : Pas un mot à ma femme d'André Chotin - Jules
1931 : Une brune piquante (ou La femme à barbe) de Serge de Poligny -
1932 : Quand tu nous tiens, Amour! de Maurice Cammage -
1932 : La Terreur de la Pampa de Maurice Cammage - Bill Forster, plongeur à Hollywood
1932 : Ordonnance malgré lui de Maurice Cammage - Alfred Leneveux, chauffeur du colonel
1932 : Un beau jour de noces de Maurice Cammage - Gustave Dupied, le marié
1932 : Comme une carpe (ou Le muet de Marseille) de Claude Heymann - Chatelard, le mari volage
1932 : Par habitude de Maurice Cammage - Valentin Bourgeasse, l'homme qui fait v½u d'ivresse
1932 : Restez dîner (ou Maruche) de Robert Péguy - Maruche, un ami de Blondel
1932 : La Claque de Robert Péguy
1932 : Cunégonde "chanson filmée"
1932 : Elle disait non "chanson filmée"
1933 : Ça colle de Christian-Jaque -
1933 : Lidoire de Maurice Tourneur - Le cavalier Lidoire
1933 : La veine d'Anatole ou (Le gros lot) de Maurice Cammage -
1943 : Guignol, marionnette de France de Maurice Cammage (Commentaire et présentation uniquement...)
1946 : Comédiens ambulants de Jean Canolle -
1947 : Irma la voyante (Vedettes et ritournelles) de Antoine Toé "chanson filmée" - La voyante et son client
1947 : La caissière du grand café (Vedettes et ritournelles) de Antoine Toé "chanson filmée" - Interprète la chanson en costume d'époque
1947 : Elle a de la barbe ou (Adoré de Philomène) - (Vedettes et ritournelles) de Antoine Toé "chanson filmée" - Le tourlourou amoureux de la femme à barbe
1947 : Attente (Vedettes et ritournelles) de Antoine Toé "chanson filmée" - L'amoureux qui attend celle qu'il aime
1947 : Escale au soleil d'Henri Verneuil - Le guide qui présente et commente le film
1950 : La nuit des étoiles de Louis Fehr-Lutz - Participation au bal des petits lits blancs de Monte-Carlo
1950 : La Chèvre de Monsieur Seguin de Francis Gir - Commentaire du film
1956 : L'Art d'être papa (ou Le téléphone) de Maurice Regamey
1969 : Tel est Franck de Jean-Paul Sassy (26') (une chanson en duo, sur l'amour, avec son fils)
Fernandel tourna également de rares publicités cinématographiques, comme en 1938 pour le tabac de Virginie Week-end (2'), en 1945 pour vanter le Cinéma dans le cadre d'une tombola (1'), ou bien encore en 1965 avec Le discours au gâteau d'anniversaire pour l'apéritif Dubonnet (30")




Télévision
1967 : L'amateur ou S.O.S Fernand série télévisée en 7 épisodes de 26 min :
-1- Le somnambule de Jean-Pierre Decourt
-2- La valise de Jean-Pierre Decourt
-3- Le sculpteur de Maurice Delbez
-4- La cleptomane de Louis Grospierre
-5- Le coup de fil de Jacques Pinoteau
-6- La princesse russe de Maurice Delbez
-7- La vicomtesse de Quentin Lawrence
"rôle de Fernand dans les 7 épisodes"
 
1969 : Freddy pièce de Robert Thomas réalisé pour la télévision par Igor Barrère et Alexandre Tarta - Freddy, le clown
De 1975 à 1999, l'imitateur André Aubert devint le petit curé de campagne provençal Don Patillo pour une célèbre marque de pâtes, écrivant même un livre à leur sujet en 1997 (éd. du Cherche Midi). En 2007, des extraits d'Honoré de Marseille servent encore et toujours d'illustrations (N & B) pour le petit écran, pour une huile d'olive provençale cette fois...
Discographie
Un total de plus de 350 chansons enregistrées
 
Récompenses
1914 : second du Concours Com½dia de la Chanson organisé au théâtre du Châtelet (devenu Capitole) de Marseille (derrière un certain Larquet,.. mais lui permettant de débuter au cabaret du Palais de Cristal)
1949 : Grand prix mondial du Rire pour On demande un assassin
1952 : Ruban d'argent du meilleur acteur étranger dans un film italien décerné par le syndicat des critiques cinématographiques italiens
1952 : Victoire du meilleur acteur pour Le Petit monde de Don Camillo
1953 : Chevalier de la légion d'honneur (introduit par Marcel Pagnol)
1953 : Chevalier du Mérite et de la Courtoisie
1953 : Grand prix de l'Académie du disque pour Les lettres de mon moulin
1954 : Médaille de l'acteur le plus populaire en Belgique (puis 9 oscars de la popularité en Belgique wallonne)
1957 : Citoyen d'honneur de la ville de Cassino (Italie)
1960 : Chevalier des Arts et des Lettres
1960 : Oscar européen de la Popularité
1964 : Médaille d'or du mérite civique
1964 : Prix Georges Courteline de l'humour remis par son co-lauréat Bourvil
1964 : Prix Orange de l'acteur le plus coopératif de l'année par la presse
1964 : Orphée d'or du disque lyrique pour Mam'zelle Nitouche
1968 : Intronisation au grand Conseil des Vins de Bordeaux
1968 : Grand prix de l'Académie du disque pour Les lettres de mon moulin
1970 : Grand prix du cinéma français (Nuit du Cinéma) remis par Claude Dauphin
2005 : il est classé 13e des "100 plus grands français de tous les temps", grâce à France 2, encore 34 ans
 
après sa mort.
(grâce à ses six rôles, Le Mouton à cinq pattes est Léopard d'or au Festival de Locarno en 1954)




Box office
1945 : Naïs : 3,47 millions d'entrées
1950 : Le Petit Monde de Don Camillo : 12,79 millions d'entrées
1952 : Le Retour de Don Camillo : 7,43 millions d'entrées
1954 : Le Mouton à cinq pattes : 4,14 millions d'entrées
1954 : Ali Baba et les quarante voleurs : 4,12 millions d'entrées
1955 : La Grande bagarre de Don Camillo : 5,08 millions d'entrées
1959 : La Vache et le Prisonnier : 8,84 millions d'entrées
1964 : L'Âge ingrat : 2,86 millions d'entrées
 
Citation(s)
« Le pastis, c'est comme les seins. Un c'est pas assez et trois c'est trop. »
(À propos de son personnage de Don Camillo) " Si je l'ai aimé ? Pensez donc ! J'avais Jésus-Christ comme partenaire."
(Le Général de Gaulle à son propos, l'ayant invité le 3 mai 1968 à l'Élysée devant un parterre de notables) "C'est le seul français qui soit, dans le monde, plus célèbre que moi!"
((nb: d'où probablement l'expression dérivée à usage francophone cette fois "Mon seul rival international, c'est Tintin!")
 
Documentaires
1991 : Fernandel, de père en fils: Fernandel raconté par son fils, réalisateur André Halimi, 25'
1996 : Fernandel, réalisateur Jacques Pessis, 90'
2004 : Fernandel raconté par Franck et Vincent Fernandel, interviewés par Patrick Plessis, 60' (TVOR/Médiaset/StudioCanal)







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#Posté le samedi 26 février 2022 03:00

Fernandel : Félicie aussi

Fernandel : Félicie aussi
 
 
« Félicie aussi » est une chanson de 1939 interprétée par Fernandel . Des 300 chansons qu'il a chantées sur scène au cours de sa carrière, c'est sans aucun doute sa plus célèbre.

Ecriture et composition

La chanson a été écrite par Albert Willemetz (qui a écrit les paroles de chansons telles que " Valentine " de Maurice Chevalier et " C'est vrai " de Mistinguett ) et Charles-Louis Pothier  et composée par Casimir Oberfeld .

La chanson est basée sur l'appréciation de l'adverbe "aussi" ("trop") : 
 
 
 
 
 

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Il faisait un temps superbe
Je me suis assis sur l'herbe
Félicie aussi
J'pensais les arbres bourgeonnent
Et les gueules de loup boutonnent
Félicie aussi
Près de nous sifflait un merle
La rosée faisait des perles
Félicie aussi
Un clocher sonnait tout proche
Il avait une drôle de cloche
Félicie aussi ...

https://en.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9licie_aussi







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#Posté le samedi 26 février 2022 03:15

Fernandel

Fernandel

Fernandel

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#Posté le mercredi 07 mars 2012 09:15

Modifié le mercredi 12 septembre 2012 18:11

Pauline Pô

Pauline Pô, née en 1903 près d'Ajaccio, est une femme française élue Miss Corse 1920, puis Miss France 1921, à l'époque appelée "La plus belle femme de France".

Pauline Pô

Après avoir vécu 3 ans à Paris, elle retourne en Corse, se marie et a 4 enfants. Elle décède en 1967 à 64 ans.

Pauline Pô

Pauline Pô

Elle est élue à Paris.


Tags : Pauline Pô, Miss France, La plus belle femme de France, Miss France 1921, 1903, Pauline, Miss Corse, 1921, (3)
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#Posté le mardi 31 juillet 2012 05:00

Modifié le dimanche 09 décembre 2012 13:11

1903 : Naissance du mouvement des suffragettes

Le terme "suffragettes" fait généralement référence aux militantes pour le droit des votes de femmes dans les pays anglo-saxons. Au sens strict du terme, il désigne les militantes de la Women's Social and Political Union, organisation créée en 1898 pour revendiquer le droit de vote pour les femmes au Royaume-Uni.

Les choses commencent à bouger dès la fin du XIXème siècle. Dès 1870, Millicent Fawcett, jeune femme issue d'une famille libérale (sa soeur fut la première femme médecin en Grande-Bretagne) milite pour l'éducation des femmes et pour obtenir leur droit de vote. Elle use pour cela de moyens pacifistes et raisonnables, ce qui lui vaudra de porter le terme de suffragiste, en opposition à celui des suffragettes.
Ces dernières sont réunies sous la houlette d'Emmeline Pankhurst, dont les méthodes sont quelque peu radicales... Avec sa fille Christabel et les militantes de son association, elles ne reculent devant rien pour faire valoir leur cause.

1903 : Naissance du mouvement des suffragettes

Néanmoins, leur mouvement prend de l'ampleur : la manifestation du 21 juin 1908 pour le droit de vote réunit dans le parc londonien d'Hyde Park plus de 250 000 femmes. Petite anecdote, en 1909, une jeune suffragette frappe au visage Winston Churchill, alors ministre du commerce britannique ! Au moment de lui donner un coup de fouet, elle lui aurait dit : "Vous ne l'avez pas volé et ce n'est pas fini. Les femmes britanniques vous en feront voir d'autres...".

Moins de 10 ans plus tard, en 1918, elles obtiennent une première victoire avec l'octroi du droit de vote des femmes de plus de 30 ans. Finalement, c'est en 1928 que les femmes britanniques de plus de 21 ans obtiendront vraiment le droit de vote. En France, il faudra attendre encore un peu...
Tags : 1903, Suffragettes
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#Posté le mardi 07 août 2012 05:00

Modifié le mardi 07 août 2012 05:16

Fernandel : dessinsagogo55

Fernandel : dessinsagogo55
Tags : Fernandel, dessinsagogo55, 8 mai 1903, 8 mai, 1903, Marseille, Décès, 26 février 1971, 26 février, 1971, Paris, Acteur, Chanteur, Musique, Cinéma
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#Posté le samedi 26 février 2022 09:00

Georg Elser

Georg Elser
 
 

 
Georg Elser, né le 4 janvier 1903 à Hermaringen et mort le 9 avril 1945 au camp de concentration de Dachau, est une figure majeure mais longtemps méconnue de la résistance intérieure au nazisme. Le 8 novembre 1939, il tente d'éliminer Adolf Hitler dans le but « d'empêcher la poursuite de la guerre », déclenchée deux mois plus tôt avec l'attaque de la Pologne par l'Allemagne.
Ancien membre de l'Union des combattants du Front rouge (Roter Frontkämpferbund), l'organisation combattante du Parti communiste d'Allemagne (KPD) dans les années 1928-1929, il fait exploser une bombe artisanale destinée à éliminer les principaux dirigeants nazis réunis le 8 novembre 1939 à Munich dans la grande salle de la brasserie Bürgerbräukeller, pour y célébrer le putsch raté de 1923. Toutefois, Hitler et les dignitaires du régime qui l'accompagnaient quittent la salle plus tôt que prévu, précisément treize minutes avant l'explosion.
Contrairement à d'autres figures souvent plus connues de la résistance allemande au nazisme, dont certaines ont d'abord collaboré au régime avant de se décider à agir, cet ébéniste de profession rejette dès le départ l'hégémonie nazie, refusant par exemple de faire le salut hitlérien. Malgré près d'une année de préparation, l'attentat ne réussit pas à tuer Hitler, qui est parti plus tôt que prévu, mais tue huit personnes et en blesse plus de soixante autres. Rapidement appréhendé alors qu'il tente de fuir le pays, Elser reste détenu comme prisonnier pendant plus de cinq ans jusqu'à ce qu'il soit exécuté au camp de concentration de Dachau moins d'un mois avant la capitulation du Troisième Reich.
 

 
Parcours jusqu'en 1939
 
Georg Elser est le fils d'un agriculteur et négociant en bois du Wurtemberg. Il fréquente l'école communale (Volksschule) de 1910 à 1917 puis commence un apprentissage de tourneur dans une entreprise métallurgique, qu'il interrompt deux ans plus tard pour raisons de santé. Il commence ensuite un apprentissage comme menuisier. Après avoir réussi son examen final comme meilleur de sa classe en 1922, il travaille jusqu'en 1925 dans diverses menuiseries à Königsbronn, Aalen et Heidenheim1 à la fabrication de charpentes et de meubles.
De 1925 à 1929, il travaille chez un fabricant d'horloges de Constance où il acquiert les connaissances qui vont lui permettre, dix ans plus tard, de mettre au point le mécanisme de mise à feu de sa bombe.
En 1926, Georg Elser devient membre du groupe folklorique « Oberrheintaler » de Constance, s'achète une cithare et devient aussi membre du club de citharistes de Constance. Il est en outre membre de l'association des amis de la nature (« Naturfreunde ») et participe fréquemment aux réunions.
Bien que d'une nature solitaire, il est très amical et apprécié. Au cours des années 1928 et 1929, il est membre du groupe de choc « Roter Frontkämpferbund » du Parti communiste d'Allemagne (KPD).
De 1929 à 1932, il travaille en Suisse comme menuisier. Après son retour à Königsbronn, il travaille dans l'entreprise familiale mise en péril par l'alcoolisme du père.
À partir de 1936, il travaille comme ouvrier dans une fabrique d'armatures métalliques de Heidenheim. Son emploi lui fait découvrir les efforts industriels demandés par les nazis pour doter l'Allemagne d'importants équipements militaires.
 
L'attentat contre Hitler
Préparation
 
Convaincu qu'il faut agir avant qu'il ne soit trop tard, il décide de passer à l'acte pour éviter que « plus de sang encore ne soit versé » et l'invasion de la Pologne confirme la justesse de son analyse. Il avait observé en 1938 que la Brasserie Bürgerbräukeller — cette brasserie munichoise où Hitler commémore tous les ans, le 8 novembre, son putsch manqué de 1923 — n'était pas surveillée. Avec l'objectif d'y dissimuler une bombe, Elser décide alors de creuser un trou dans un pilier à proximité du pupitre où Hitler prononce son discours annuel. Sur une durée de près d'un an, il prépare son attentat.
Ayant travaillé quatre ans dans une usine d'horlogerie, il dispose d'un précieux savoir-faire lui permettant de fabriquer le mécanisme de mise à feu de ses explosifs, ceux-ci ayant été patiemment subtilisés dans une carrière où il s'était fait embaucher à dessein. Au cours de l'été 1939, il déménage à Munich et y loue un petit atelier. Il se présente à ses voisins comme inventeur et peut à son aise bricoler son mécanisme de mise à feu à retardement.
Au cours des deux mois qui précèdent l'attentat, il va tous les soirs au Bürgerbräukeller prendre un « repas léger pour ouvrier » pour 60 pfennigs, attendant ensuite une occasion favorable pour se cacher dans un placard à balais. Il y reste parfois pendant des heures, attendant que la brasserie ferme et que les salariés partent. En trente-cinq nuits, muni d'outils rudimentaires, il parvient laborieusement à creuser dans un pilier la cache devant contenir la minuterie et la bombe, dissimulant les éclats et la poussière dans un tapis enroulé ; il les évacue consciencieusement et, pour masquer l'avancement de son travail, a même prévu de disposer une paroi fermant le trou, qu'il a construite lui-même avec une plaque métallique à l'intérieur pour parer, a-t-il pensé, le cas où un employé de la brasserie aurait voulu planter un clou en cet endroit. Il doit même s'interrompre quelques jours car, à force de travailler à genoux, ceux-ci ont commencé à suppurer
 
La bombe et son installation
 
Elser crée son mécanisme retardateur à partir de quatre ou cinq réveils et de deux pendules achetés chez un horloger. Il loue également les ateliers d'un serrurier, d'un mécanicien, d'un fabricant d'outils et d'un menuisier. Comme il l'explique ultérieurement, la difficulté à surmonter est l'obtention d'une précision suffisante car il doit programmer l'explosion cent-quarante heures à l'avance en utilisant uniquement un mouvement d'horlogerie, constitué de douze pivots, trois leviers et trois roues dentées...
Le 3 novembre, il place le mécanisme dans le pilier ; le 4, il installe les explosifs et les détonateurs et enfin, dans la nuit du 5 au 6, il règle le mécanisme pour que la bombe explose le 8 novembre entre 21 h 15 et 21 h 30. Il ne revient au Bürgerbräukeller que dans la nuit du 7 au 8 pour s'assurer que tout continue à fonctionner comme prévu.
 
Le 8 novembre 1939
 
Le soir de l'attentat, la sécurité est assurée par la 1re division SS « Leibstandarte Adolf Hitler »e sous le commandement du SS-Obersturmbannführerf Christian Weber. Mis à part Göring, tous les dirigeants nazis visés par Elser sont là, avec parmi les plus connus : Bormann, éminence grise du parti et secrétaire de Hitler, Goebbels, le ministre de la Propagande, Hess, le « dauphin » du Führer, Himmler, le chef de la SS et de la police allemande, l'un des plus hauts dignitaires du régime nazi, Ribbentrop, le ministre des Affaires étrangères, Rosenberg, théoricien du national-socialisme, Streicher, le directeur du journal antisémite Der Stürmer de 1923 à 1945, et Fritz Todt, le fondateur de l'organe industriel portant son nom.
Un peu avant 20 h, le Führer fait son entrée dans la salle comble, contenant trois à quatre mille partisans. Il monte à la tribune à 20 h 8 pour prendre la parole. Son discours se termine à 20 h 58, suivi du Horst-Wessel-Lied joué par l'orchestre. Hitler n'a parlé que cinquante minutes soit quarante minutes de moins qu'à l'ordinaire. Il semble pressé, sombre et préoccupé. Il quitte la salle à 21 h 7 et se rend à la gare où son train doit partir pour Berlin à 21 h 31. En effet ce soir-là, son pilote a annoncé qu'il refusait de prendre la responsabilité d'un vol retour, en raison d'un épais brouillard qui s'est installé sur la région. En conséquence et comme prévu en pareille circonstance, des wagons réservés pour Hitler et son état-major ont été rajoutés à un train dont le trajet a été soigneusement surveillé et protégé toute la journée. En raison de l'heure du départ du train, Hitler a ainsi raccourci son discours de moitié environ, ce qui va faire échouer le plan minutieux de Georg Elser.
De plus, Hitler est satisfait de rentrer plus tôt à Berlin en raison de l'intense activité militaire en cours ou en préparation, en cette fin d'année 1939. Auparavant, il avait même évoqué l'idée de ne pas venir du tout à la fête organisée annuellement à Munich.
Au Bürgerbräukeller, la salle s'est vidée en quelques minutes après le départ du Führer : il ne reste plus que quelques membres du parti nazi, des policiers et des SS.
Pendant ce temps, Elser est à Constance d'où il espère passer en Suisse en traversant à pied un parc public, mais malheureusement pour lui, entre 20 h 40 et 20 h 45, il attire l'attention de deux douaniers en faction qui l'arrêtent. Ils vont noter ultérieurement dans leur rapport : « On avait l'impression qu'Elser voulait fuir en Suisse au dernier moment ». Néanmoins, même si Elser avait réussi à franchir la frontière, il est probable qu'il aurait été refoulé vers l'Allemagne par les autorités helvétiques
L'explosion a lieu à 21 h 20 comme prévu par Elser et huit personnes (dont sept membres du parti nazi) trouvent la mort dans l'attentat qui blesse également soixante-trois personnes, dont seize grièvement.
D'après les douaniers qui ont arrêté Elser, il semble qu'il ait cherché à connaître les résultats de l'attentat de Munich, dont on commence à parler à la radio
 
L'enquête
Déroulement
 




 


Peu après, vers 22 h, l'adjoint de Himmler, Reinhard Heydrich, appelle le chef de la police criminelle Arthur Nebe, à Berlin, et lui ordonne de constituer une commission spéciale d'enquête et de venir à Munich. Himmler avertit le chef du contre-espionnage SS, Walter Schellenberg, car il suspecte les services secrets britanniques et plus précisément les agents Best et Stevens que Schellenberg tente de mettre en échec. Sous l'identité d'un antinazi, il rencontre les deux Britanniques le lendemain à Venlo aux Pays-Bas, où ils sont enlevés par des SS.
Nebe associe la Gestapo à son action en créant deux groupes d'enquête. Le premier sous son commandement enquête sur les circonstances de l'attentat ; le deuxième sous celui du chef de la Gestapo, Heinrich Müller, est chargé de retrouver les auteurs de l'attentat.
Les travaux dans le Bürgerbräukeller permettent de découvrir les restes d'une bombe artisanale dans une cavité creusée dans un pilier de la brasserie. Les explosifs sont ceux utilisés dans les mines et le mécanisme à retardement est celui d'une pendule. De plus, pour cacher la cavité dans la colonne, l'auteur du crime a utilisé des plaques de liège d'un modèle peu courant. Toutes ces informations facilitent les recherches et dans la journée du 9 novembre, tout est résolu.
La police interroge un horloger qui a vendu à un jeune Souabe deux pendules du type dont on s'est servi pour la bombe. Elle retrouve également le commerçant qui a vendu les plaques de liège. Finalement, elle découvre qu'un serrurier aurait prêté son atelier à un homme souabe qui travaillait à une invention. La description faite par les trois hommes sur le jeune Souabe est identique.
De plus, la police apprend qu'un jeune Souabe a été vu pendant de longues semaines au Bürgerbräukeller. Il a même été surpris dans les toilettes après la fermeture.
Par ailleurs, Müller reçoit un télégramme l'informant qu'on a capturé, le 8 novembre vers 20 h 45, un certain Georg Elser, Souabe qui correspond à la description faite par les commerçants et qui semble être impliqué dans l'attentat, car il portait sur lui un insigne du « Roter Frontkämpferbund », un fragment de détonateur et une carte postale représentant le Bürgerbräukeller avec une colonne marquée d'une croix rouge. Il a été intercepté au poste de frontière de Lörrach, alors qu'il allait passer clandestinement en Suisse. Nebe soupçonne Elser d'être un pion entre les mains d'une puissance étrangère, peut-être les Britanniques ; le suspect numéro 1 est donc transféré à Munich pour y être interrogé.
 
L'interrogatoire
 
Dans ses mémoires, Walter Schellenberg raconte que Reinhard Heydrich avait reçu les consignes suivantes de Hitler : « Je voudrais savoir quel genre de personne est ce Elser. On doit bien pouvoir le classer quelque part. Faites-moi votre compte rendu. Pour le reste, utilisez tous les moyens pour faire parler ce criminel. Faites-le hypnotiser, donnez-lui des drogues, employez tout ce que notre science actuelle a expérimenté dans cette direction. Je veux savoir qui sont les instigateurs, qui est là-derrière ». Oswald Bumke, psychiatre connu de l'époque, est chargé d'analyser la personnalité du détenu et ses motivations. Les déclarations d'Elser vont être tenues secrètes car Joseph Goebbels veut impliquer non seulement les services secrets britanniques mais aussi Otto Strasser, nazi historique réfugié en Suisse à cette époque.
Arthur Nebe décide de mener l'interrogatoire. Elser donne son alibi : le soir de l'attentat, il était à Constance. Il déclare qu'il a tenté de fuir en Suisse pour ne pas aller à l'armée, mais il est rapidement confondu : la cavité creusée se trouvait au pied de la colonne, donc le travail devait s'effectuer à genoux. Les policiers demandent à Elser de baisser son pantalon et ils constatent que ses genoux sont enflés et purulents. Il ne peut plus nier, il y a désormais trop de preuves contre lui, en tenant également compte de ce qu'il transportait sur lui au moment de son arrestation.
Sous la torture des hommes de la Gestapo de Müller, dans la nuit du 12 au 13 novembre, il finit par tout avouer. Il est le seul instigateur de l'attentat ; il s'est procuré des explosifs en travaillant dans la carrière de Georg Vollmer à Königsbronn-Itzelberg, où il a dérobé 105 cartouches de dynamite et 125 détonateurs. En dépit de la pression des policiers, Elser maintient à plusieurs reprises sa version selon laquelle il a pris seul la décision de commettre l'attentat.
On lui demande alors quelles ont été ses motivations. Il répond avec simplicité qu'il a une aversion pour les dictateurs, surtout pour Hitler qui n'a pas tenu ses promesses envers la masse ouvrière et à propos de la hausse du pouvoir d'achat. Il n'accepte pas non plus que Hitler plonge le pays dans la guerre.
 
Incarcération et exécution extra-judiciaire
 
Elser, capturé à Lörrach par les douaniers, portait sur lui des preuves accablantes (voir supra), car il avait l'intention de demander l'asile politique au gouvernement suisse et il lui fallait donc prouver sa responsabilité dans la mort du Führer. À Berlin, Nebe déclare à Hitler être incapable de se prononcer sur le soi-disant lien existant entre Elser et les officiers britanniques Best et Stevens. L'affaire est remise à Heinrich Müller. Mais tous les hommes à qui l'affaire est confiée finissent par affirmer que la version d'Elser est la bonne.
Georg Elser n'est traduit devant aucun tribunal et reste prisonnier à Berlin jusqu'en 1941. Après l'attaque de l'Allemagne contre l'URSS, il est transféré à la prison du camp de concentration de Sachsenhausen avec des hommes politiques comme les Français Édouard Herriot et Paul Reynaud. Paradoxalement, Elser est bien traité et on lui accorde ce qu'il demande, même à Dachau où il fait l'objet d'un nouveau transfert, en 1944.
Néanmoins mis à l'écart des autres détenus sous le nom de « Eller », Georg Elser est surveillé nuit et jour par les SS qui finissent par l'exécuter le 9 avril 1945 « sur ordre supérieur » : Ernst Kaltenbrunner, chef du RSHA ayant décrit à Hitler le 5 avril la situation désespérée dans laquelle se trouvait l'Allemagne, celui-ci aurait ordonné qu'on liquide le « prisonnier spécial » (ainsi que l'amiral Canaris). L'ordre, transmis le jour même au commandant de Dachau, Eduard Weiter, exige qu'on déguise l'exécution en un « accident mortel » qui serait survenu lors d'un bombardement.
 
Le « prisonnier spécial » d'Hitler
 
La propagande nazie le présente comme un agent des services britanniques, alors même que la Gestapo et la police criminelle du Reich ont bien vite acquis la certitude qu'il a agi en solitaire. Ceux qui disent déplorer son échec se retrouvent eux aussi devant les tribunaux spéciaux ou en camp de concentration. Sa famille, interrogée longuement, est relâchée à la condition de garder un silence absolu.
Plusieurs personnes se sont interrogées sur les raisons qui ont retardé jusqu'à 1945 l'exécution d'Elser. La thèse la plus communément retenue est qu'il était gardé « en réserve » dans l'attente d'un grand procès qui aurait dû se tenir après la guerre, et qui aurait permis à Goebbels et Hitler de démontrer la responsabilité des Britanniques dans l'attentat du 8 novembre 1939.
 
La mémoire
 
 


Il faut attendre les années 1990 pour que Königsbronn, sa ville natale, honore la mémoire de celui qui comme on peut le lire sur la plaque « voulait empêcher que plus de sang encore ne soit versé ». Le 11 avril 2010, une statue est installée et inaugurée sur le quai no 2 de la gare : il a fallu 800 heures de travail au sculpteur Friedrich Frankowitsch pour réaliser ce monument qui rappelle que le 8 août 1939, Elser prit le train pour Ulm, destination Munich. La sacoche avec un symbolique bâton de dynamite n'est pas destinée à représenter la réalité historique : Elser transportait en fait une grande malle à double fond avec outils et explosifs.
Cette reconnaissance est tardive, sans doute parce qu'Elser ayant agi seul, son acte n'était revendiqué par aucun camp. Cet acte rencontrait également un certain scepticisme : le pasteur Martin Niemöller, par exemple, était persuadé qu'il s'agissait d'un agent de la propagande nazie destiné à démontrer l'invincibilité du Führer.
L'historien Lothar Gruchmann a mis fin à ces spéculations en analysant et publiant dans les années 1960 les procès-verbaux des interrogatoires des policiers. La poste allemande a officialisé l'hommage national en éditant en 2003 un timbre à l'effigie de Georg Elser, pour le centenaire de sa naissance. Le dramaturge Rolf Hochhuth a lancé l'idée de construire un monument à Elser là où se dressait l'ancienne chancellerie à Berlin.
L'Allemagne lui rend peu à peu justice : ont ainsi été érigées une stèle à Heidenheim-Schnaitheim et une colonne à Fribourg-en-Brisgau, ont été inaugurés un buste à Berlin en 2008, dans la Straße der Erinnerung (« rue du Souvenir »), un autre à Constance le 8 novembre 2009, là où Elser fut arrêté, une salle de concert à Munich (Rosenheimerstraße), etc.
Lors de la commémoration du 13 avril 2008 à Heidenheim-Schnaitheim, Erhard Jöst (de) a déclaré que Johann Georg Elser était le « Guillaume Tell allemand » et que la meilleure façon d'honorer sa mémoire était de faire face aux problèmes actuels.
Le prix Georg-Elser est décerné depuis 2001 aux personnes qui se sont distinguées par leur courage citoyen.
Le réalisateur de La Chute, Oliver Hirschbiegel, a tourné en 2014 Elser, un héros ordinaire, un film sorti en Allemagne le 2 avril 2015 et en France le 21 octobre suivant, avec Christian Friedel dans le rôle de Georg Elser, et sur un scénario de Fred Breinersdorfer et Léonie-Claire Breinersdorfer (de). Le cinéma allemand honore ainsi à l'occasion du 70e anniversaire de son assassinat, la mémoire de celui qui voulait empêcher le bain de sang d'une autre guerre mondiale.

 

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Tags : Georg Elser, Georg, 4 janvier 1903, 4 janvier, 1903, Hermaringen, Décès, 9 avril 1945, 9 avril, 1945, Dachau, Resistant
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#Posté le mardi 04 janvier 2022 02:00

Modifié le samedi 09 avril 2022 10:09

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