Cherchez l'idole est un film franco-italien réalisé par Michel Boisrond et sorti en 1964.

La grande vedette de cinéma Mylène Demongeot emménage dans une nouvelle et belle demeure à côté du bois de Boulogne. Sa maison en travaux est envahie par une armée d'ouvriers. Mylène est invitée par le Général (de Gaulle donc !) pour assister dans 3 jours à une réception qui aura lieu au Palais de l'Élysée. Elle demande à sa femme de chambre Gisèle de préparer sa tenue de gala pour ce jour-là et de veiller sur le petit c½ur en diamant qu'elle voudrait porter à cette occasion (une bagatelle de 500 000 francs de l'époque, soit quelque 76 000 euros). Entre-temps, elle doit s'absenter pour se rendre à Cannes pour un événement cinématographique. Richard, un gentil ouvrier carreleur ½uvrant dans la maison de la star, exaspéré par Corinne, son ambitieuse et casse-pieds de petite amie, a incidemment appris par Gisèle l'existence du fameux bijou... Il dérobe le petit c½ur, mais Gisèle s'aperçoit immédiatement de sa disparition et, quand la police fait irruption, Richard n'a que le temps de se réfugier dans l'entrepôt le plus proche, celui d'un magasin de musique, et de cacher le bijou en le collant avec un chewing-gum à l'intérieur d'une guitare électrique Ericson. Dès le lendemain, quand la coriace Corinne se rend à la boutique pour acheter la guitare, les cinq exemplaires Ericson du stock viennent juste d'être vendus à cinq idoles de la chanson. Corinne rend Richard responsable de cette bévue et rompt avec lui. Elle se met sur la piste des idoles avec sa copine Vonny tandis que Richard, repentant, part aussi à la chasse au trésor, mais avec l'aide de Gisèle dans le but de remettre le bijou à sa place avant le retour de Mylène. Ils vont devoir approcher les idoles lors de leurs prestations artistiques pour retrouver celle parmi les cinq qui détient la fameuse guitare au trésor : est-ce Charles Aznavour, Sylvie Vartan, Frank Alamo, Nancy Holloway ou Johnny Hallyday ?
Fiche technique
Titre original : Cherchez l'idole
Titre italien : Sciarada alla francese
Réalisation : Michel Boisrond
Assistants-réalisation : Jacques Corbel, Marc Simenon
Scénario : Annette Wademant, Richard Balducci
Dialogues : Annette Wademant
Musique : Georges Garvarentz (voir la BOF Cherchez l'idole)
Chansons : paroles de Charles Aznavour et musique de Georges Garvarentz, interprétées par :
Frank Alamo : L'ange que j'attendais
Charles Aznavour : Et pourtant
Les Chaussettes Noires et Eddy Mitchell : Crois-moi mon coeur
Jean-Jacques Debout : Si tu voulais m'aimer
Johnny Hallyday : Bonne chance
Nancy Holloway : Prends garde à toi
Les Médiators : Il faut saisir sa chance
Sophie : Je n'y peux rien
Les Surfs : Ça n'a pas d'importance
Sylvie Vartan : La plus belle pour aller danser
Photographie : Raymond Lemoigne
Son : Julien Coutelier
Montage : Geneviève Vaury
Direction artistique : Jacques Gut
Décors : Jacques Gut, Raymond Gabutti
Costumes : Tanine Autré
Pays d'origine : France, Italie
Tournage :
Langue : français
Période : 8 octobre au 5 décembre 1963
Extérieurs : Paris
Producteurs : Mario Chabert, Michel Boisrond, Lucien Masson
Sociétés de production : France Cinéma Productions, Mannic Films (France), Sirius Films (France), UGC (France), Adelphia Compagnia Cinematographica (Italie)
Sociétés de distribution : UGC, Connaissance du Cinéma /Tamasa
Format : noir et blanc — 35 mm — 2.35:1 Franscope — son monophonique
Genre : comédie, film musical
Durée : 85 minutes
Date de sortie : France 26 février 1964
Distribution
Mylène Demongeot : elle-même
Franck Fernandel : Richard
Berthe Granval : Gisèle
Dany Saval : Corinne
Dominique Boschero : Vonny
Marcel Achard : lui-même
Pierre Bellemare : lui-même
Harold Kay : lui-même
Hector : lui-même
Les Médiators : eux-mêmes
Claude Piéplu : lui-même
Daniel Gélin : lui-même
Les Frères ennemis : eux-mêmes
Bruno Coquatrix : lui-même, le directeur de l'Olympia
Johnny Hallyday : lui-même
Frank Alamo : lui-même
Charles Aznavour : lui-même
Sylvie Vartan : elle-même
Eddie Vartan : lui-même
Nancy Holloway : elle-même
Jean-Jacques Debout : lui-même
Eddy Mitchell : lui-même
Les Chaussettes Noires : eux-mêmes
Les Surfs : eux-mêmes
Sophie : elle-même
André Dionnet : Léon
Max Montavon : Loulou
Teddy Vrignault : Édouard
Max Amyl : un peintre
François Cadet : un plombier
Roger Trapp : un plombier
Franco Califano : le metteur en scène
Henri Coutet : le préposé à l'audition
Paul Bisciglia : l'assistant du tailleur
Michel Dacquin : le 1er contrôleur
Charles Bouillaud : le 2e contrôleur
Pierre Doris : le disquaire
Jacques Dynam : le routier
André Gaillard : le régisseur à l'audition
Guy Grosso : le visiteur à Europe 1
Christian Marin : un pompier
Laure Paillette : la caissière
Alexandre Randall : un présentateur
Parmi les spectateurs à l'Olympia :
Maurice Biraud : lui-même
Juliette Gréco : elle-même
Françoise Sagan : elle-même
Marie Laforêt : elle-même
Jean Marais : lui-même

La grande vedette de cinéma Mylène Demongeot emménage dans une nouvelle et belle demeure à côté du bois de Boulogne. Sa maison en travaux est envahie par une armée d'ouvriers. Mylène est invitée par le Général (de Gaulle donc !) pour assister dans 3 jours à une réception qui aura lieu au Palais de l'Élysée. Elle demande à sa femme de chambre Gisèle de préparer sa tenue de gala pour ce jour-là et de veiller sur le petit c½ur en diamant qu'elle voudrait porter à cette occasion (une bagatelle de 500 000 francs de l'époque, soit quelque 76 000 euros). Entre-temps, elle doit s'absenter pour se rendre à Cannes pour un événement cinématographique. Richard, un gentil ouvrier carreleur ½uvrant dans la maison de la star, exaspéré par Corinne, son ambitieuse et casse-pieds de petite amie, a incidemment appris par Gisèle l'existence du fameux bijou... Il dérobe le petit c½ur, mais Gisèle s'aperçoit immédiatement de sa disparition et, quand la police fait irruption, Richard n'a que le temps de se réfugier dans l'entrepôt le plus proche, celui d'un magasin de musique, et de cacher le bijou en le collant avec un chewing-gum à l'intérieur d'une guitare électrique Ericson. Dès le lendemain, quand la coriace Corinne se rend à la boutique pour acheter la guitare, les cinq exemplaires Ericson du stock viennent juste d'être vendus à cinq idoles de la chanson. Corinne rend Richard responsable de cette bévue et rompt avec lui. Elle se met sur la piste des idoles avec sa copine Vonny tandis que Richard, repentant, part aussi à la chasse au trésor, mais avec l'aide de Gisèle dans le but de remettre le bijou à sa place avant le retour de Mylène. Ils vont devoir approcher les idoles lors de leurs prestations artistiques pour retrouver celle parmi les cinq qui détient la fameuse guitare au trésor : est-ce Charles Aznavour, Sylvie Vartan, Frank Alamo, Nancy Holloway ou Johnny Hallyday ?
Fiche technique
Titre original : Cherchez l'idole
Titre italien : Sciarada alla francese
Réalisation : Michel Boisrond
Assistants-réalisation : Jacques Corbel, Marc Simenon
Scénario : Annette Wademant, Richard Balducci
Dialogues : Annette Wademant
Musique : Georges Garvarentz (voir la BOF Cherchez l'idole)
Chansons : paroles de Charles Aznavour et musique de Georges Garvarentz, interprétées par :
Frank Alamo : L'ange que j'attendais
Charles Aznavour : Et pourtant
Les Chaussettes Noires et Eddy Mitchell : Crois-moi mon coeur
Jean-Jacques Debout : Si tu voulais m'aimer
Johnny Hallyday : Bonne chance
Nancy Holloway : Prends garde à toi
Les Médiators : Il faut saisir sa chance
Sophie : Je n'y peux rien
Les Surfs : Ça n'a pas d'importance
Sylvie Vartan : La plus belle pour aller danser
Photographie : Raymond Lemoigne
Son : Julien Coutelier
Montage : Geneviève Vaury
Direction artistique : Jacques Gut
Décors : Jacques Gut, Raymond Gabutti
Costumes : Tanine Autré
Pays d'origine : France, Italie
Tournage :
Langue : français
Période : 8 octobre au 5 décembre 1963
Extérieurs : Paris
Producteurs : Mario Chabert, Michel Boisrond, Lucien Masson
Sociétés de production : France Cinéma Productions, Mannic Films (France), Sirius Films (France), UGC (France), Adelphia Compagnia Cinematographica (Italie)
Sociétés de distribution : UGC, Connaissance du Cinéma /Tamasa
Format : noir et blanc — 35 mm — 2.35:1 Franscope — son monophonique
Genre : comédie, film musical
Durée : 85 minutes
Date de sortie : France 26 février 1964
Distribution
Mylène Demongeot : elle-même
Franck Fernandel : Richard
Berthe Granval : Gisèle
Dany Saval : Corinne
Dominique Boschero : Vonny
Marcel Achard : lui-même
Pierre Bellemare : lui-même
Harold Kay : lui-même
Hector : lui-même
Les Médiators : eux-mêmes
Claude Piéplu : lui-même
Daniel Gélin : lui-même
Les Frères ennemis : eux-mêmes
Bruno Coquatrix : lui-même, le directeur de l'Olympia
Johnny Hallyday : lui-même
Frank Alamo : lui-même
Charles Aznavour : lui-même
Sylvie Vartan : elle-même
Eddie Vartan : lui-même
Nancy Holloway : elle-même
Jean-Jacques Debout : lui-même
Eddy Mitchell : lui-même
Les Chaussettes Noires : eux-mêmes
Les Surfs : eux-mêmes
Sophie : elle-même
André Dionnet : Léon
Max Montavon : Loulou
Teddy Vrignault : Édouard
Max Amyl : un peintre
François Cadet : un plombier
Roger Trapp : un plombier
Franco Califano : le metteur en scène
Henri Coutet : le préposé à l'audition
Paul Bisciglia : l'assistant du tailleur
Michel Dacquin : le 1er contrôleur
Charles Bouillaud : le 2e contrôleur
Pierre Doris : le disquaire
Jacques Dynam : le routier
André Gaillard : le régisseur à l'audition
Guy Grosso : le visiteur à Europe 1
Christian Marin : un pompier
Laure Paillette : la caissière
Alexandre Randall : un présentateur
Parmi les spectateurs à l'Olympia :
Maurice Biraud : lui-même
Juliette Gréco : elle-même
Françoise Sagan : elle-même
Marie Laforêt : elle-même
Jean Marais : lui-même