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Création : 01/10/2007 à 23:30 Mise à jour : 01/03/2021 à 15:24

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2 articles taggés 1837

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François Gérard

François Gérard

Antoine-Jean Gros, Portrait de François Gérard, âgé de 20 ans (1790), New York, Metropolitan Museum of Art.
 
 
François Gérard, né à Rome le 4 mai 1770 et mort à Paris le 11 janvier 1837, est un peintre d'histoire, portraitiste et illustrateur néo-classique français.
Élève de Jacques-Louis David, il fut l'un des principaux peintres du premier Empire et de la Restauration. Peintre de cour sous Napoléon Ier, puis Premier peintre des rois Louis XVIII et Charles X, Gérard bénéficia d'une grande renommée, non seulement française, mais aussi européenne. Surnommé « le peintre des rois, le roi des peintres », il fut en effet le portraitiste de toutes les familles souveraines européennes. Son salon, un des plus réputés de son temps, accueillit les plus grandes personnalités.
 
 
François Gérard naît à Rome, en 1770 . Fils de Jean Simon, baron Gérard, intendant du cardinal François-Joachim de Pierre de Bernis, et de l'Italienne Cléria Mattei, il passe les dix premières années de sa vie dans « la ville éternelle ». Il y montre très vite de réelles dispositions pour le dessin.


 

En 1782, son père, revenu à Paris avec sa femme et ses trois fils, passe au service de Louis Auguste Le Tonnelier de Breteuil, ministre de la maison du roi, qui fait admettre le jeune François à la Pension du Roi : établissement pour jeunes artistes talentueux. Deux ans plus tard il devient élève d'Augustin Pajou, sculpteur alors très vogue, puis de Nicolas Guy Brenet, artiste peintre. Fasciné par l'art développé par Jacques-Louis David, le jeune François Gérard rejoint son atelier à partir de 1786, où il a pour camarades Anne-Louis Girodet, Antoine-Jean Gros ou encore François-Xavier Fabre. En 1789, il obtient le second prix de Rome, derrière Anne-Louis Girodet, son ami de jeunesse. Il se représente au concours l'année suivante, mais la mort de son père le contraint à abandonner l'épreuve.
 


 
 

Sa mère désirant retourner vivre à Rome, Gérard part avec toute sa famille dont il a désormais la charge, dans le courant de l'été 1790. Le séjour romain n'est pas long, bientôt la famille Gérard est contrainte de retourner à Paris, pour éviter l'inscription sur la liste des émigrés, et ainsi préserver leur modeste patrimoine.
Sur place, les principaux commanditaires des œuvres artistiques sont mis à mal par la révolution ; les peintres se retrouvent bientôt sans commandes. C'est le cas de Gérard. Il perd sa mère en 1793 et doit subvenir aux besoins de ses deux frères et de sa jeune tante, Marguerite Mattei, qu'il a ramenée d'Italie. « Par commodité et afin d'éviter l'éclatement familial, il épouse cette dernière en 1795. »
Grâce à la protection de son maître David, Gérard obtient un logement et un atelier au Louvre, plus la commande d'une série d'illustrations (La Fontaine, Virgile) pour l'éditeur Didot. Pour éviter la conscription militaire, il obtient, toujours par l'intermédiaire de David[réf. souhaitée], un poste de juré au Tribunal révolutionnaire, où il rejoint son collègue le peintre paysagiste Claude-Louis Châtelet Il y siégera peu, prétextant une maladie. Bien que n'ayant que peu participé aux évènements révolutionnaires, ce passé lui sera notamment reproché au moment de la Restauration, et Gérard devra se défendre des attaques de ses détracteurs, en prouvant qu'il ne faisait pas partie des jurés lors du procès de Marie-Antoinette.
 
 
Réunion d'artistes dans l'atelier d'Isabey (1798) par Boilly, où l'on distingue F. Gérard, assis face au chevalet, examinant de près un tableau aux côtés d'Isabey, debout.
 
 
 

Au sortir de la Révolution, le succès vient rapidement. Au Salon de 1795, Gérard expose un Bélisaire, se plaçant ainsi dans la continuité de son maître David. Mais c'est surtout avec son œuvre Psyché et l'Amour, exposée au Salon de 1798 que Gérard atteint un début de célébrité. Dès lors, les nombreux portraits de la bonne société qu'il réalise lui assurent une réputation plus qu'établie. C'est ainsi à partir des environs de 1800 que l'artiste commence à réunir autour de lui un salon littéraire où la bonne société parisienne aime à venir discuter et jouer. Grâce à l'intervention de Chaptal, François Gérard reçoit un logement au Collège des Quatre Nations, futur Institut de France, alors que les artistes sont priés par le premier consul Napoléon Bonaparte de quitter le Louvre pour aménager le musée Napoléon. En 1801, Girodet et Gérard reçoivent la commande de deux tableaux illustrant les légendes du barde Ossian pour le salon des Bonaparte à la Malmaison. Le peintre bénéficie alors de la protection de la famille Bonaparte et devient la même année le « Premier peintre » de Joséphine de Beauharnais, puis se voit décerner la Légion d'honneur en 1803, soit peu après sa création. L'élève de Jacques-Louis David est alors le peintre de la future cour impériale française et l'un des peintres les plus recherchés. Son succès dépasse désormais les frontières et ce sont bientôt les grandes familles régnantes d'Europe qui voudront être immortalisées sous les pinceaux de Gérard
 
 
François Gérard se voit attribuer la commande de la représentation de la Bataille d'Austerlitz par l'administration impériale, pour le Salon de 1808. L'œuvre monumentale n'est pas achevée à temps et ne sera exposée que pour le Salon de 1810. L'ouvrage rencontre alors un accueil chaleureux. Par le biais de cette grande peinture d'histoire, Gérard entend bien confronter son talent à celui de son confrère Antoine-Jean Gros, peintre attitré des scènes de batailles napoléoniennes. Longtemps attaché au Louvre, le 5 avril 1811 il est nommé professeur de l'École des beaux-arts de Paris en remplacement de Jean Simon Berthélemy et sera remplacé par Michel Martin Drolling en 1837.
 
L'année suivante (7 mars 1812) il est élu à l'Institut au fauteuil no 8, succédant ainsi au peintre d'histoire Jean Simon Berthélemy. Il est alors le premier élève de David à y faire son entrée. Girodet et Gros seront quant à eux élus en 1816. En tant que peintre de la cour impériale, Gérard peindra le portrait de l'impératrice Marie-Louise après son mariage avec Napoléon, puis celui de leur unique enfant, le roi de Rome.
Sous la Restauration il est nommé Premier peintre du roi en 1817, fonction qu'il exercera sous les règnes de Louis XVIII, et de Charles X. La reconnaissance royale lui vaudra d'être créé baron en 1819. Professeur à l'École des beaux-arts, Gérard n'a formé que peu d'élèves, en comparaison avec son confrère Antoine-Jean Gros. Pour autant, il soutient la nouvelle génération, et notamment les débuts d'Eugène Delacroix. Son œuvre, son salon, ses relations, en feront l'un des personnages les plus influents des milieux intellectuels et artistiques de l'époque.
Vers 1835, sa santé chancelante se détériore rapidement ; fragilisé, il s'éteint à Paris, d'une maladie qui l'emporte en quelques jours, au début de 1837, à l'âge de 66 ans. Sa sépulture se trouve au cimetière du Montparnasse à Paris







https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_G%C3%A9rard






 
Tags : François Gérard, François, 4 mai 1770, 4 mai, 1770, Rome, Décès, 11 janvier 1837, 11 janvier, 1837, Paris, Peintre
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#Posté le lundi 11 janvier 2021 02:00

Hippolyte Boulenger

Hippolyte Boulenger Emmanuel (3 décembre 1837, Tournai - 4 juillet 1874, Bruxelles) était un peintre paysagiste belge influencé par le français école de Barbizon , considéré comme "le Belge Corot ". Il a fondé l' École de Tervueren.


Hippolyte Boulenger
Hippolyte Boulenger, esquissant à Tervuren, par Camille Van Camp

Hippolyte Boulenger est né de parents français à Tournai en 1837. Il a passé sa jeunesse à Tournai et a vécu à Paris entre 1850 et 1853, où il a étudié le dessin. En 1853, après qu'il soit devenu un orphelin, il est allé à Bruxelles pour travailler à un atelier de conception de Hubert Colleye. Dans la soirée, il a étudié à l' Académie Royale des Beaux-Arts avec Joseph Quinaux , un peintre de paysage.

Il a rencontré portrait peintre Camille Van Camp en 1863, qui est devenu un mentor et mécène. Il a montré son premier tableau au Salon de Bruxelles la même année. Boulenger est allé à Tervuren en 1864, et a appelé autour de lui un groupe de peintres ayant les mêmes idées rassemblés là, l' école van Tervuren , une version belge de l'école de Barbizon, dont il est devenu l'artiste de premier plan. À l'époque, son modèle phare était Jean-François Millet , bien que son travail plus tard, était plus proche de celle de Corot. En 1866, il était célèbre dans les milieux artistiques belges.

Il s'est marié en 1868 et a déménagé à Zaventem , mais il revient à Tervuren en 1870. Ces années ont été sa meilleure et la plus fructueuse période, avec par exemple la peinture De oude Haagbeukdreef. Tervuren , ce qui lui a valu la médaille d'or du Salon de 1869 de Bruxelles. Dans cette période, il a voyagé en Belgique et à l'étranger, la peinture le long de la rivière Meuse . C'était sa suggestion qui a conduit à la création de la Société libre des Beaux-Arts , un cercle d'art de jeunes artistes belges, y compris Alfred VERWEE , Félicien Rops , et Constantin Meunier , avec des membres d'honneur de l'étranger comme Corot et Millet, mais aussi Honoré Daumier , Gustave Courbet et Willem Maris .

En 1869, il a commencé à souffrir d' épilepsie . Couplé avec l'abus d'alcool, ce qui a conduit à une mort précoce, en 1874, dans un hôtel à Bruxelles.


Dans la seconde moitié du XIXe siècle se forma autour de lui un groupe de peintres qui allaient à l'encontre de la peinture académique. Ils se réunirent régulièrement dans l'auberge In den Vos sur la place du Marché de Tervuren et s'appelèrent l'école de Tervuren.
Joseph Coosemans (1818-1904) fut secrétaire communal de Tervueren avant de s'engager dans la peinture. Joseph Coosemans apprit beaucoup des peintres qui œuvraient au village, dont Théodore Fourmois (1814-1871). La venue d'Hippolyte Boulenger (1837-1874), qui rejoignit Alphonse Asselbergs (1839-1916), Jules Raeymaekers (1833-1904) et Jules Montigny (1840-1899) et ensuite Edouard Huberti (1818-1880) et Louise Héger (1839-1933) augmenta le renom artistique de la commune.
Il participe au Salon de Bruxelles de 1866 avec Jules Raeymaekers et donne l'appellation École de Tervueren. Bien qu'on ironisa sur l' École de Tervueren, on reconnut jusque dans les Salons que là était la modernité picturale.

Hippolyte Boulenger
Paysage Mosan
M.R.B.A. ,Bruxelles



Josaphat à Schaerbeek Valley , 1868, Musée royal des Beaux-Arts, Anvers
Après la tempête du soir , 1869, Musée des Beaux-Arts de Gand
L'inondation , 1871, Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique , Bruxelles (ce musée possède une importante collection d'œuvres de Boulenger, y compris de 1871 Messe de Saint-Hubert )

Tags : Hippolyte Boulenger, Hippolyte Boulenger Emmanuel, Hippolyte, 3 décembre 1837, 3 décembre, 1837, Tournai, Décès, 4 juillet 1874, 4 juillet, 1874, Art, Art H, Peintre
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#Posté le vendredi 27 septembre 2013 12:00

Modifié le mercredi 13 novembre 2013 15:18

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