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Ksenia Vladimirovna Soukhinova - russe : Ксения Владимировна Сухинова et en anglais : Kseniya Sukhinova - (née le 26 août 1987) est Miss Russie 2007, élue Miss Monde 2008. Elle fut élue en décembre 2008 à Johannesburg, en Afrique du sud. Elle mesure 1,78m, est blonde, et a les yeux bleus.
Elle étudie à Tioumen, à l'Université du pétrole et du gaz.
Elle a déclaré lors d'une interview, que, comme toutes les Miss Monde, elle se lancera dans la fondation d'une association caritative.
Miss Monde 2008, après son sacre et acclamée par les autres Miss, à Johannesburg, en Afrique du sud, le soir de son élection. Miss Russie 2007 Miss Monde 2008
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De magnifiques créations signées Valeriya Kutsan. Cette artiste russe au don incroyable jongle avec la 2D et la 3D pour réaliser des peintures faciales à couper le souffle.
Dans ce projet intitulé " 2D or not 2D ", l'artiste use de maquillage et créée l'illusion parfaite en transformant des visages en 3D en réalisations plates, grâce à des techniques de body painting. Un travail d'une précision extrême pour un rendu époustoufflant,
Le photographe Alexander Khokhlov, ainsi que l'experte en retouche photo Veronica Ershova étaient également de la partie. L'intégralité de ces oeuvres sont à retrouver sur le site Internet et la page Tumblr de Valeriya Kutsan. N'hésitez pas !
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Près du village de Gergeti, en dehors de la ville de Stepantsminda, Géorgie, se trouve l'église de la Trinité Gergeti isolé. Aussi appelée la Holy Trinity Church, il se trouve au sommet d'une montagne près de Mount Kazbégui, l'un des sommets les plus hauts et les plus belles du Caucase, à une altitude de 2170 mètres. Le orthodoxe géorgienne du 14ème siècle et de l'église apostolique est un point de passage populaire pour les randonneurs de la région, et peut être atteint par une montée raide pendant 3 heures, ou dans une demi-heure par taxi local jusqu'à un sentier de montagne rugueuse.
L'église de la Trinité Gergeti a été construit au 14ème siècle et est la seule église à coupole dans la province Khevi. Lors de l'invasion par Tbilissi Perses dans le 18ème siècle, les précieuses reliques de Mtskheta, y compris la Croix de Saint Nino ont été amenés ici pour plus de sécurité. Pendant l'ère soviétique, tous les services religieux ont été interdits, mais l'église sont restés une destination touristique populaire. L'église est maintenant un établissement actif de l'Eglise orthodoxe géorgienne et l'Eglise apostolique.
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Les poupées russes ou matriochkas (russe : матрёшка, pluriel матрёшки matriochki) sont des séries de poupées de tailles décroissantes placées les unes à l'intérieur des autres. Le mot matriochka est dérivé du prénom féminin russe matriona, traditionnellement associé à une femme russe de la campagne, corpulente et robuste. On parle aussi parfois de poupée gigogne, en référence à la marionnette de la Mère Gigogne, qui représente une grande et forte femme entourée d'enfants.
Une poupée russe est une figurine creuse en bois qui s'ouvre en deux horizontalement, révélant ainsi à l'intérieur une figurine similaire mais de taille plus petite. Cette seconde figurine renferme elle-même une autre figurine, et ainsi de suite. Une série comporte 3 à 10 poupées ou plus. Elles sont presque exclusivement tournées, de forme ovale épaulée, arrondie vers le haut pour la tête et fuselée vers le bas. Elles ne possèdent pas de mains, exceptées celles qui sont peintes. La poupée la plus grande est traditionnellement une femme vêtue d'un sarafan (robe traditionnelle russe) et tenant un nid. Les autres poupées peuvent être des deux sexes, la plus petite étant habituellement un bébé qui ne s'ouvre pas. Le côté artistique réside dans les peintures de chaque poupée, qui peuvent être extrêmement élaborées. Les plus prisées sont en tilleul, mais la plupart sont en bouleau.
Une série de poupées russes suit souvent un thème particulier. Il peut s'agir par exemple de jeunes paysannes en robes traditionnelles, mais le choix du thème reste très libre, les poupées pouvant représenter des personnages de contes de fée tout comme des dirigeants soviétiques. Ces poupées sont un symbole de fertilité.
D'après Le Trésor des Paradoxes (Philippe Boulanger & Alain Cohen, Éd. Belin, 2007) : « Le terme gigogne est lié au personnage du théâtre de marionnettes, « la Mère Gigogne », représentée avec de nombreux enfants. Symbole de fécondité, ce personnage de « Dame (ou Mère) Gigogne » est attesté dès 1602. On rapproche aussi « gigogne » du latin « gigas » (géant), à l'origine du préfixe « giga » et de « gigantesque ». En Russie, le concept de structure gigogne (à trois dimensions) a donné naissance à un artisanat spécifique, les poupées russes ou matriochkas. Selon l'agence de presse Novosti, on aurait conservé la première matriochka, façonnée à la charnière du xixe siècle et du xxe siècle : une paysanne tenant un coq. La poupée « mère » fut appelée « matriona » et ses « filles » reçurent le diminutif de « matriochka ». Le coq était jadis un symbole de fécondité, en Russie et dans toute l'Europe, notamment en France : gage de prospérité et de fécondité, son effigie caracole en girouette sur les clochers. »
Les matriochkas sont une forme d'artisanat russe relativement récente. Les premières poupées datent de 1890, et on raconte qu'elles ont été inspirées de poupées-souvenirs venant du Japon. Toutefois, le concept d'objet emboîté était déjà présent en Russie, ayant été appliqué aux pommes en bois et aux œufs de Pâques. On peut notamment citer le premier œuf de Fabergé, datant de 1885, qui renfermait un jaune, contenant une poule, renfermant à son tour un pendentif de rubis et une réplique miniature de la couronne impériale. On raconte que Serguei Malioutine, peintre dans une boutique d'artisanat populaire de la propriété d'Abramtsevo, appartenant au célèbre industrialiste et mécène russe Savva Mamontov, aperçut une série de poupées de bois japonaises représentant Shichi-fuku-jin, les Sept Divinités du Bonheur. La plus grande poupée représentait Fukurokuju, un dieu chauve à l'air heureux et au menton particulièrement haut, et à l'intérieur étaient emboîtées les six autres déités. Inspiré, Malioutine dessina le croquis d'une version russe du jouet. Ce dernier fut sculpté par Vasiliy Zvezdochkin dans une boutique de jouets de Serguiev Possad et peint par Serguei Malioutine. Il était composé de huit poupées: la plus grande était une fille portant un tablier, et les autres alternaient ensuite un garçon et une fille, pour finir avec un bébé.
En 1900, M.A. Mamontova, la femme de Savva Mamontov, présenta les poupées à l'Exposition Universelle de Paris et le jouet remporta une médaille de bronze. Peu de temps après, de nombreuses autres régions de la Russie se mirent à élaborer divers styles de matriochkas. On distingue aujourd'hui plusieurs régions possédant un style notable : Serguiev Possad, Semionovo, Polkholvsky Maidan et Kirov.
Pendant la Perestroïka, les matriochkas représentant les dirigeants de l'Union des républiques socialistes soviétiques devinrent une variété courante. Les poupées représentaient, par ordre décroissant, Mikhaïl Gorbatchev, Léonid Brejnev, Nikita Khrouchtchev, Staline et enfin Lénine. Iouri Andropov et Konstantin Tchernenko n'apparaissent presque jamais à cause de la brièveté de leurs mandats. Des versions plus récentes commencent avec Vladimir Poutine puis continuent avec Boris Eltsine, Gorbatchev, Staline et Lénine.
Les matriochkas sont utilisées métaphoriquement comme exemple-type de conception (design paradigm) dans ce qu'on appelle le principe des poupées russes. On parle de ce principe lorsqu'on observe une relation de type « objet à l'intérieur d'un objet similaire », que l'on retrouve aussi bien dans la nature que dans des objets créés par l'homme. On peut citer entre autres le matrioshka brain, une mégastructure basée sur la sphère de Dyson.
Cette métaphore se rapproche de celle de l'oignon. Lorsqu'on épluche la couche extérieure de l'oignon, on trouve un oignon similaire à l'intérieur. Ce genre de structure est par exemple employée par les stylistes. En informatique, par les concepteurs de base de données, lorsqu'une table est incluse dans une table plus grande et contient elle-même une table plus petite ou dans une procédure qui peut s'invoquer elle-même, on dit aussi procédure réentrante voir réentrance.
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Il n'y a encore que quelques semaines, le monde entier s'était donné rendez-vous à Sotchi, ville russe qui a accueilli les derniers Jeux Olympiques d'hiver, et aussi les plus chers de l'Histoire.
Partie de pas grand chose, Sotchi est vite devenue plus ou moins une vraie ville, après des investissements à hauteur de 36 milliards d'euros pour pouvoir être le carrefour du monde entier, le temps de quelques jours. Mais que reste t'il aujourd'hui de Sotchi, maintenant que chacun a retrouvé son pays et que l'engouement autour de cette ville est retombé ?
Rien ! La ville est devenue déserte, fantôme, vide à en croire les photos prises par Alexander Valov. Un beau gâchis aux allures de caprice de riche pour un certain président. N'est-ce-pas Vlad ?
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