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dessinsagogo55

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502 articles taggés Décès

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Lino VENTURA

Lino VENTURA


Lino Ventura , de son vrai nom Angiolino Giuseppe Pasquale Ventura
né le 14 juillet 1919 à Parme en Italie , décédé le 22 octobre 1987
à Saint-Cloud , est un acteur italien du cinéma français ,
ayant débuté dans la lutte professionnelle chez les poids moyens
champion d'Europe poids moyens de lutte gréco-romaine en 1950)


Tags : Lino Ventura, 2007, dessinsagogo55, Dessin, Eric Picard, Acteur, 14 juillet 1919, 14 juillet, 1919, Décès, 22 octobre 1987, 22 octobre, 1987, Angiolino Giuseppe Pasquale Ventura, Angiolino
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#Posté le jeudi 22 octobre 2020 01:00

Stendhal : Serait-elle timide ?

Stendhal : Serait-elle timide ?




Le regard est la grande arme de la coquetterie vertueuse
On peut tout dire avec un regard, et cependant on peut toujours nier un regard ...

" Stendhal "

Stendhal : Serait-elle timide ?

Tags : Croquis, Dessin, dessinsagogo55, Visage de femme, Citation ., Stendha, Eric Picard, Henri Beyle, Grenoble, 23 janvier 1783, 23 janvier, 1783, Décès, 23 mars 1842, 23 mars, 1842, Paris
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#Posté le samedi 03 novembre 2007 17:06

Modifié le lundi 17 août 2020 18:52

Abebe Bikila

Abebe Bikila (Ge'ez: አበበ ቢቂላ ; né le 7 août 1932 à Jato et mort le 25 octobre 1973 à Addis-Abeba) est un athlète éthiopien, spécialiste des courses de fond et vainqueur du marathon des Jeux olympiques de 1960 et de 1964.
Abebe Bikila
Né à Jato, un village de bergers, non loin de Mendida (Mirab Shewa, Oromia), il s'engage dans la garde impériale de Haile Selassie pour pourvoir aux besoins de sa famille.

Il s'entraîne seul pendant deux ans avant d'être repéré en 1959 par les instances éthiopiennes d'athlétisme et Onni Niskanen, Suédois d'origine finlandaise, membre de la Croix-Rouge et passionné d'athlétisme. Abebe Bikila devient alors moniteur d'éducation physique de la garde impériale et suit un entraînement plus encadré sous la conduite de Niskanen. Ce dernier lui fait aussi pratiquer le tennis et le basket-ball pour travailler sa coordination. Dès 1959, sa réputation franchit les frontières de l'Éthiopie. Il aurait couvert le marathon en 2 h 21 min 23 s, mais certains mettent alors en doute cette performance hors normes.

Il est tout naturellement sélectionné pour participer aux Jeux olympiques de Rome en 1960 dans l'épreuve du marathon.

Lors du passage de la visite médicale d'avant course, les pieds d'Abebe Bikila sont l'objet de nombreuses interrogations. Il s'entraînait toujours pieds nus et avait développé une épaisse corne. Lors des entraînements, il avait essayé de mettre des chaussures, mais ses performances étaient alors moins bonnes. Il tente bien de trouver des chaussures à Rome, mais aucune ne convient; il développe même des ampoules.
Abebe Bikila
En nocturne, il remporte la course pieds nus en 2 h 15 min 16 s (record du monde) devant le favori marocain, Rhadi ben Abdesselam, qui est définitivement décroché au 41e kilomètre. Rhadi termine à 25 secondes d'Abebe Bikila. Juste après la course, il refuse de s'asseoir et de boire, repoussant même la couverture qu'on lui tend pour se protéger du froid. Niskanen l'oblige quand même à boire un verre de Coca-Cola. Modeste, il déclare alors : « Dans la Garde Impériale, il y a beaucoup d'autres coureurs qui auraient pu gagner à ma place ».
Cette victoire le consacre comme un héros national éthiopien. Son arrivée à l'Arc de Constantin est aussi un symbole politique, un quart de siècle après l'invasion de l'Éthiopie par l'Italie. Il reçoit une voiture et un appartement en récompense de sa victoire.

Impliqué presque malgré lui dans un coup d'État manqué contre l'empereur juste après les Jeux, il est gracié. Il se consacre alors à son sport et remporte trois marathons. Il termine cinquième à Boston en 1963; c'est le seul échec de sa carrière durant laquelle il franchit la ligne d'arrivée de 13 marathons.



Tags : Abebe Bikila, 7 août 1932, 7 août, 1932, Décès, 25 octobre 1973, 25 octobre, 1973, Athlétisme, Jeux Olympiques, Abebe, Sport
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#Posté le dimanche 25 octobre 2020 01:30

Alessandro Volta

Le comte Alessandro Giuseppe Antonio Anastasio Volta, né à Côme le 18 février 1745 et mort à Côme le 5 mars 1827, est un physicien italien. Il est connu pour ses travaux sur l'électricité et pour l'invention de la première pile électrique, appelée pile voltaïque

Alessandro Volta
Alessandro Giuseppe Antonio Anastasio Volta

Alessandro Volta fait ses études à Rome, et devient professeur de physique à l'école royale de Côme en 1774 ; il y met au point l'électrophore, première machine électrique à influence. Il étudie par ailleurs la composition du gaz des marais et isole, en 1778, le méthane. De 1780 à 1783, il visite la France, l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Angleterre et collabore avec Antoine Lavoisier et Pierre-Simon de Laplace à une étude de l'électricité atmosphérique.

La découverte de l'électricité animale (par Luigi Galvani) amène Volta à étudier dès 1792 les conditions d'excitation des muscles d'une grenouille. Il peut alors rejeter la théorie de Galvani qui privilégiait la présence de tissu animal et mettre l'accent sur la nécessité d'un circuit électrique fermé constitué de métaux. Au début de l'année 1800, Volta publie dans une lettre en français datée du 20 mars au président de la Royal Society l'invention de la pile voltaïque qu'il a mise au point le 17 mars 1800 : un empilement de couples de disques zinc-cuivre en contact direct, chaque couple étant séparé du suivant par un morceau de tissu imbibé de saumure (H20+NaCl). Il y souligne le fait que, lorsqu'on les sépare, la lame de cuivre prend une charge négative, et celle de zinc une charge positive. Le 2 mai 1800, deux chimistes britanniques, William Nicholson (1753 - 1815) et Sir Anthony Carlisle (1768-1840) réalisent la première électrolyse (électrolyse de l'eau) en utilisant la pile de Volta comme générateur. Le 7 novembre 1801, Volta présente sa pile devant l'Institut de France et y énonce la loi des tensions, ainsi que la valeur des tensions de contact des métaux classés par ordre d'électropositivité décroissante, du zinc à l'argent.

Napoléon Bonaparte, qui assiste à cette séance, lui fait décerner une médaille d'or, lui accorde une pension et, le nomme comte et sénateur du Royaume d'Italie (1805-1814).

Volta étudia également la dilatation des gaz et inventa l'eudiomètre, instrument servant à l'analyse volumétrique des mélanges gazeux, avec lequel il réalisa la première synthèse de l'eau (H2O).
En 1819, Volta se retire dans sa ville natale de Côme où il meurt le 5 mars 1827.
L'étude de l'électricité fut toujours sa passion et, encore jeune étudiant, il écrivit un poème directement en latin, De vi attractiva ignis electrici ac phaenomenis inde pendentibus, sur ce phénomène fascinant et nouveau. C'est son premier écrit scientifique.

Alessandro Volta est devenu membre de la Royal Society le 5 mai 1791. Celle-ci lui décerna la médaille Copley en 1794.
Napoléon Bonaparte lui décerna le titre de comte du Royaume en 1810 ; en 1815, l'empereur d'Autriche le nomma professeur de philosophie à Padoue.
Volta est enterré dans la ville de Côme, en Italie ; le temple Volta, près du lac de Côme est consacré à son travail ; ses instruments et papiers originaux y sont présentés. Le bâtiment est apparu, ainsi que son portrait sur la devise italienne, avant la mise en place de l'euro.
En 1881, l'unité de tension électrique, le volt, est ainsi nommée en son honneur.

Alessandro Volta
Exemple de pile voltaïque.

Plusieurs chercheurs ont étudié le phénomène de la pile de Volta et ont essayé de l'améliorer. Certains ont découvert l'illumination à arc qui démontre que l'électricité provoque une sorte d'éclair. Ils ont démontré le phénomène en reliant les deux bornes de la pile à un morceau de charbon. Mais la découverte la plus importante fut la première électrolyse de l'eau qui permit d'identifier les deux composants de l'eau, soit l'oxygène et l'hydrogène. Cette importante découverte fut l'œuvre de Anthony Carlisle et de William Nicholson. L'électrolyse de l'eau avait été réalisée auparavant mais elle ne donnait pas le même résultat qu'avec la pile de Volta. En effet, les autres tentatives ont été réalisées avec une source de courant non continu, le résultat de l'électrolyse était toujours un mélange et non de l'oxygène et de l'hydrogène purs. Avec cette découverte, on ouvrit la porte à toutes sortes d'électrolyses dont celle de l'aluminium et du cuivre.
Ensuite, les premières batteries firent leur apparition. Elles étaient composées de plusieurs piles voltaïques réunies. Ces batteries furent les premières à être mises sur le marché. De nos jours, les piles sont de meilleure qualité et sont composées de métal plus performant. Un des principaux défauts de la pile de Volta était son manque d'étanchéité; la saumure dans laquelle étaient plongés les morceaux de carton coulait de la pile. Ce problème est maintenant résolu car on remplace la saumure par un gel plus consistant. En 1820, Hans Christian Ørsted découvrit que les phénomènes électriques étaient de près reliés aux phénomènes magnétiques. Il remarqua que l'aiguille de sa boussole changeait de direction lorsqu'il la déplaçait autour d'un fil relié à la pile de Volta ; tout dépendant de sa position, la boussole n'indiquait pas la même direction.
En 1836, Daniell mit au point la première pile impolarisable.


Tags : Alessandro Giuseppe Antonio Anastasio Volta, Alessandro Volta, Alessandro, 18 février 1745, 18 février, 1745, Décès, 5 mars 1827, 5 mars, 1827, Pile, Pile voltaïque
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#Posté le jeudi 18 février 2021 02:00

Antonio Canova



Antonio Canova (né le 1er novembre 1757 à Possagno (province de Trévise) dans l'État vénitien, mort le 13 octobre 1822 à Venise) est un sculpteur italien.

Antonio Canova
Autoportrait de 1792


Né dans une famille de tailleurs de pierres depuis des générations, il apprit dès son plus jeune âge l'art de la taille du marbre. En 1768, sur la recommandation du sénateur Giovanni Falieri, il est placé comme apprenti chez le sculpteur Giuseppe Bernardi Torretti, à Pagnano d'Asolo (province de Trévise), puis intègrera plus tard l'école Santa Marina à Venise.
Après avoir remporté plusieurs prix à l'Académie des beaux-arts de Venise, il y donna successivement plusieurs ouvrages qui le mirent bientôt au premier rang des sculpteurs modernes, et dans lesquels il sut allier l'imitation de la nature avec les beautés idéales de l'antique. Il étudia l'art antique et sculpta, tout au long de sa vie, diverses statues inspirées des mythologies grecque et romaine, ainsi que des cénotaphes, des bustes et des statues en pied de divers personnages célèbres de l'époque. Il est renommé pour la délicatesse de ses sculptures sur marbre. Son œuvre est considérée comme l'archétype de la sculpture néoclassique et a fait l'objet de plusieurs études de Mario Praz.
Il consacra une bonne partie de sa fortune que lui valait son art à des activités de bienfaisance ou de soutien à de jeunes artistes ou d'artistes dans le besoin.

Il pratiqua également la peinture avec succès. Canova avait été appelé plusieurs fois à Paris par Napoléon Bonaparte : il revint en 1815, chargé par le pape de présider à la reconnaissance et à la translation des monuments enlevés à l'Italie et que réclamait le gouvernement pontifical en application des clauses du Congrès de Vienne. Il fut chargé de négocier avec Dominique Vivant Denon la restitution, par la France, des œuvres d'art italien volées par l'armée napoléonienne. Il fut anobli et reçut un certain nombre de distinctions honorifiques. Sa dépouille fut transférée dans sa ville natale.
Ses principaux ouvrages sont : Thésée assis sur le Minotaure vaincu au Kunsthistorisches Museum de Vienne ; le mausolée de Clément XIII, dans la Basilique Saint-Pierre, le mausolée de Clément XIV, en marbre, dans la Basilique des Saints-Apôtres, ; Psyché enfant, debout, tenant par les ailes un papillon posé dans sa main ; le mausolée d'Alfieri, dans l'église de Santa Croce à Florence ; Washington, pour le sénat de la Caroline, la Madeleine, Orphée et Eurydice, Dédale et Icare, Adonis et Vénus, Endymion, Vénus Victrix (Pauline Bonaparte), Polymnie (Élisa Bonaparte), etc.


Cet artiste se distingue par la pureté des contours, l'élégance des formes, la sagesse de la composition, l'expression des physionomies, l'habileté à donner au marbre le poli et le moelleux de la nature vivante ; quelques-uns lui refusent la vigueur et l'originalité. Il était associé étranger de l'Institut de France.

Son Œuvre a été publiée en 1824 par Étienne Achille Réveil et Henri de Latouche. Antoine Quatremère de Quincy a donné une Étude sur Canova et ses ouvrages, et le comte Leopoldo Cicognara sa Biographie, Venise, 1825.
À sa mort en 1822, son cœur est entreposé à l'Église Santa Maria Gloriosa dei Frari à Venise. Le monument funéraire où il est entreposé est de sa propre création, bien qu'il le dédiait originalement au peintre Titien. Le reste de sa dépouille a été déposé à Possagno, dans le Tempio Canoviano où est enterré également son frère.


Portraits sculptés et nus féminins

Il fit de nombreux portraits sculptés, soit en buste (Domenico Cimarosa, 1808 ou le pape Pie VII entre 1804 et 1807), mais également en pied où il combine le visage, modelé sur nature, à un corps idéalisé, parfois dénudé et inspiré de l'Antiquité. Son portrait de Napoléon en Mars désarmé et pacificateur, achevé en 1806 où l'empereur figure nu, rappelle effectivement un marbre antique. Il n'a jamais été accepté par son récipiendaire, malgré un entretien qu'eut Canova avec ce dernier en 1810 où il tenta d'expliquer sa démarche esthétique. L'artiste fit cependant plusieurs autres sculptures des proches de Napoléon, dont celui de sa mère (Madame Mère, 1807), dans une posture assise proche de celle de l'Agrippine assise du musée du Capitole.
L'une de ses œuvres les plus célèbres reste son Pauline Borghèse en Vénus Victrix (1804-1808) où cette dernière est représentée allongée sur un sofa, recouverte juste d'un voile léger ne masquant rien du relief de son torse. La Galatea, pour laquelle aurait aussi posé Pauline, est une statue qui se trouve dans le musée Demidoff à San Martino et une copie dans le jardin des Mulini (Ile d'Elbe). L'intérêt pour le nu féminin aux poses abandonnées est d'ailleurs une constante de son art. Préoccupé par le rendu des chairs et de la carnation, il n'hésitait pas à enduire le marbre d'une fine couche de cire rosée. Il sculptait le corps féminin avec un modelé fin et un souci de délicatesse qui se retrouve dans le drapé, aussi bien de face que de dos.


Se considérant comme un peintre amateur peignant pour son seul plaisir, il s'adonne à cette activité principalement entre 1780 et 1799. Selon l'un de ses biographes, Giuseppe Pavanello, ses peintures de nus féminins lui servaient à mettre au point ses propres canons de la beauté féminine. L'une d'elle, la Vénus au miroir peinte dans le style du Quattrocento vénitien fut vendue par Canova comme une œuvre authentique de la Renaissance. Une série de vingt-deux toiles monochromes, traitant le thème d'Hercule lançant des flèches sur ses propres enfants, se trouve rassemblée dans sa maison natale à Possagno. Une autre toile traitant le même sujet et conservée au Muséo civico de Bassano fait preuve d'une facture fougueuse et d'un puissant sens dramatique pour traiter le thème de la mort qui tranche avec sa production habituelle, élégiaque et mélancolique


Si Canova refusait d'avoir des élèves, il fut souvent imité de son vivant et après sa mort. Cependant, en tant qu'artiste officiel, il a connu une certaine désaffection liée à l'entreprise de glorification des Napoléonides. Ainsi, contrairement au jugement de Quatremère de Quincy, David d'Angers qui subit son influence dans sa jeunesse, critique la mollesse de ses œuvres et refuse de voir en lui le continuateur des Grecs. David d'Angers, Rude, Barye ou Daumier n'ont pas suivi Canova, ils en ont pris le contre-pied.

Antonio Canova
Napoléon en Mars désarmé et pacificateur, Apsley House, London.


Œuvres dont les dates restent à préciser :
Hercule et Lichas, sculpture sur marbre. Gipsoteca Canoviana, Possagno.
Thésée vainqueur du Minotaure, groupe sculpté sur marbre, 145,5 x 158,7 cm. 1781-1783. Victoria and Albert Museum, Londres.
Buste de Napoléon. Château de Fontainebleau.
Buste du cardinal Fesch. Musée Napoléonien de l'Hôtel de Ville, Ajaccio.
la Paix, sculpture sur marbre. Conservée jusqu'en 1953 à Saint-Pétersbourg. Désormais installée au Musée d'art occidental et oriental à Kiev.
Danseuse avec le doigt sur son menton, (1809/1823), statue de marbre, 177 cm, National Gallery of Art, Washington D.C.
Naiade, (1815/1823), marbre, 80 x 190 cm, National Gallery of Art, Washington D.C.

Œuvres datées

1773-1776 : Orphée et Eurydice. Museo Correr, Venise.
1778 : Dédale et Icare. Museo Correr, Venise.
1781 : Apollon se couronnant lui-même, J. Paul Getty Museum, Los Angeles : voir la statue sur le site du musée (getty.edu/art).
787 : Monument du pape Clément XIV, Basilique des Saints-Apôtres, Rome.
1787-1793 : Psyché ranimée par le baiser de l'Amour. Musée du Louvre, Paris.
1793- : Psyché. Kunsthalle, Brême.
1793- : Cupidon et Psyché. Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg.
1795 : Vénus et Adonis. Musée d'art et d'histoire (dépôt de la Ville de Genève), Genève.
1795 : Monument Angelo Emo. Museo Storico Navale, Venise.
1798-1800 : Monument de l'archiduchesse Marie-Christine. Église des Augustins, Vienne.
1800 : Persée triomphant. Musei Vaticani, Rome.
1800 : Kreugantes. Musei Vaticani, Rome.
1800-1806 : Damoxène. Musei Vaticani, Rome.
1802-1806- : Napoléon en Mars désarmé et pacificateur. Aspley House (London), une copie à l'Accademia di Brera, Milan.
1803-1806 : Victoire ailée, bronze, National Gallery of Art, Washington D.C.
1804 : Portrait de Pie VII. Musée d'Histoire, Versailles.
1804-1806 : Persée tenant la tête de Méduse, musée Pio-Clementino, Vatican
1804-1810 : Monument de Vittorio Alfieri. Basilica di Santa Croce, Florence.
1804-1812 : Vénus Italique. Galleria Palatina, Florence.
1806- : Monument du sénateur Giovanni Falier. Église San Stefano, Venise.
1806- : Monument du comte Alessandro de Souza Holstein. Église Sant'Antonio dei Portoghesi, Rome.
1806- : Danseuse, sculpture sur marbre (hauteur : 176 cm). Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg.
1807 : Monument Giovanni Volpato.


Psyché ranimée par le baiser de l'Amour 1793
1808 : Vénus Victrix (Pauline Borghèse). Villa Borghèse, Rome. Basilique des saints apôtres, Rome.
-1808 : Portrait de Domenico Cimarosa. Protomoteca Capitolina, Rome.
-1808 : Portrait de Letizia Ramolino Bonaparte. Devonshire Collection, Chatsworth.
1808-1812 : Terpsichore. Fondazione Magnani Rocca, Mamiano di Parma.
1812 : Autoportrait, sculpture sur marbre. Temple, Possagno.
1812 : Tête d'Hélène. Palazzo Albrizzi, Venise.
1812 : Polymnia. Kunsthistorisches Museum, Vienne.
1813 : Juliette Récamier en Béatrice. musée des beaux-arts, Lyon.
1815 : Hercule et Lycas. Galerie nationale d'art moderne, Rome.
1815-1822 : Mars et Venus. Palais de Buckingham, Londres.
1816 : Hébé. Pinacoteca Comunale, Forlì.
1817-1822 : les Grâces. Victoria and Albert Museum, Londres.
1819 : Cénoptaphe des Stuart. Basilique Saint-Pierre, Rome.
1821 : George Washington. Raleigh (Caroline du Nord).
1822 : Ferdinand IV en Minerve. Museo Nazionale, Naples.


Certains attribuent également à Antonio Canova une peinture (huile sur toile) intitulée l'Enlèvement d'Europe (d'après Véronèse), conservée au Musée régional de Rimouski (Québec), sur la base d'une signature restant à authentifier.



Hommages

Canova joue un rôle dans le roman de Frédéric Vitoux Sérénissime (1990).
Tags : Antonio Canova, Antonio, 1 novembre 1757, 1 novembre, 1757, Possagno, Décès, 13 octobre 1822, 13 octobre, 1822, Scupteur, Art
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#Posté le samedi 14 septembre 2013 09:00

Modifié le mardi 13 octobre 2020 03:27

Antonio Canova : Les trois grâces

Antonio Canova : Les trois grâces

Les trois grâces, Antonio Canova, Hermitage
Tags : Antonio Canova, Antonio, 1 novembre 1757, 1 novembre, 1757, Possagno, Décès, 13 octobre 1822, 13 octobre, 1822, Scupteur, Art, Art A, 1817
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#Posté le mardi 24 septembre 2013 06:00

Antonio Canova : Psyché ranimée par le baiser de l'Amour, 1793

Antonio Canova : Psyché ranimée par le baiser de l'Amour, 1793


Psyché ranimée par le baiser de l'Amour, 1793, Antonio Canova, Louvre
Tags : Antonio Canova, Antonio, 1 novembre 1757, 1 novembre, 1757, Possagno, Décès, 13 octobre 1822, 13 octobre, 1822, Scupteur, Art, 1793
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#Posté le mercredi 25 septembre 2013 06:00

Modifié le mardi 13 octobre 2020 03:29

Antonio Canova : Vénus Victrix

La Vénus Victrix est une sculpture d'Antonio Canova surnommée la Vénus Borghèse car la princesse Pauline Bonaparte Borghèse avait servi de modèle pour la statue. Elle est exposée Galerie Borghèse à Rome.

Antonio Canova : Vénus Victrix

Commandée par Camille Borghèse, le second mari de Pauline Bonaparte, elle fut sculptée de 1805 à 1808. Caractéristique du style néoclassique du sculpteur, l'œuvre fit scandale à cause de la rumeur que la princesse avait posé nue pour la sculpture. Il était de toutes façons inhabituel pour une personnalité de haut rang de n'être pas représentée revêtue de belles draperies ou cachée par des rideaux. La position particulière de la Vénus, un nu entier allongé, rappelle un type de statuaire dit inclinable connu, par exemple l'Hermaphrodite endormi de la collection Borghèse, aujourd'hui au Louvre, et sa posture allongée sur un klinai, accoudée sur un coussin, la pose semisdraiata de la statuaire antique.
Elle évoque l'Aphrodite (Vénus) victorieuse (Vénus Victrix) de la mythologie et une pomme de Pâris a été disposée dans la main gauche de la statue à cet effet pour évoquer la victoire de Vénus lors du Jugement de Pâris sur le Mont Ida, pour rendre hommage à la beauté triomphante de la princesse Borghèse, elle qui comptait parmi les plus belles femmes de son temps.
La statue est en marbre ciré. La base est en bois laqué, drapé comme un catafalque. Elle comporte un mécanisme qui, autrefois, faisait tourner la sculpture (comme cela fut le cas d'autres œuvres de Canova). L'ensemble a été restauré en 1996.
Exécutée à Rome, la statue a ensuite déménagé à la maison Camillo à Turin, puis à Gênes avant d'arriver dans sa résidence actuelle vers 1838. La chambre dans laquelle la sculpture est exposée à la Galleria Borghese dispose également d'un plafond peint représentant la scène du Mont Ida, peint par Domenico de Angelis en 1779 et inspiré par un célèbre relief sur la façade de la Villa Médicis.
Pauline Borghèse aurait également posé pour la Galatea dont A. Canova est aussi l'auteur, une statue qui se trouve dans le musée Demidoff à San Martino (au nord de Florence) et une copie dans le jardin des Mulini (Ile d'Elbe).




Tags : Antonio Canova, Antonio, 1 novembre 1757, 1 novembre, 1757, Possagno, Décès, 13 octobre 1822, 13 octobre, 1822, Scupteur, Art, Art A
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#Posté le lundi 23 septembre 2013 06:00

Arletty



Arletty, nom de scène de Léonie Bathiat, née le 15 mai 1898 à Courbevoie (Seine, aujourd'hui Hauts-de-Seine) et morte le 23 juillet 1992 à Paris, est une actrice française.
Elle est inhumée au cimetière de Courbevoie.

Arletty

Elle est la fille de Michel Bathiat, chef du dépôt des tramways de Courbevoie, et de Marie Dautreix, blanchisseuse. Elle a un frère cadet, Pierre. Elle fait de bonnes études dans une institution privée dénommée Sainte-Thérèse, à Clermont-Ferrand, puis entreprend d'étudier la sténographie chez Pigier. La guerre de 1914 fauche sur le champ de bataille son premier amour, qu'elle surnommait « Ciel » à cause de la couleur de ses yeux. En 1916, son père meurt, écrasé par un tramway. Arletty, son frère et sa mère sont expulsés du dépôt.

Arletty

Elle se laisse alors séduire par un banquier, Jacques-Georges Lévy. Ils ont le même âge. Il l'amène dans sa villa 18, avenue Alphonse-de-Neuville, à Garches. Ils ont pour voisins Coco Chanel et André Brulé. Jacques-Georges lui fait connaître le théâtre, les grands couturiers, les bons restaurants et la haute société parisienne. Lorsqu'elle le quitte, elle rencontre Paul Guillaume, le marchand de tableaux qui révéla Picasso, Modigliani et Soutine, qui épousera Marie-Thérèse Walter. Arletty est recommandée à Armand Berthez, directeur du petit théâtre des Capucines. Elle était mannequin chez Poiret sous le pseudonyme d'Arlette, elle devient donc Arletty pour jouer dans des revues de Rip, où la fantaisie et le luxe sont de mise.

Elle débute au cinéma en 1930, dans La Douceur d'aimer, auprès de Victor Boucher. Dès 1931, elle se distingue dans un premier rôle dans le ravissant film de Jean Choux, Un chien qui rapporte. Elle inspire les peintres Marie Laurencin, Kees van Dongen, Moïse Kisling, Fujita et Jean-Gabriel Domergue, qui la prennent comme modèle. Elle a pour ami Pierre de Régnier, fils de Marie et Henri de Régnier, mais enfant naturel de Pierre Louÿs. En 1928, elle rencontre Jean-Pierre Dubost, qui restera son fidèle compagnon.

Sa carrière sur scène prend un tournant décisif dans l'opérette de Raoul Moretti, Un soir de réveillon, en 1932 aux Bouffes-Parisiens, avec Henry Garat, Dranem et Koval. Elle joue ensuite dans Ô mon bel inconnu, une opérette de Reynaldo Hahn, sur un livret de Sacha Guitry. Puis c'est Au Bonheur des dames avec Michel Simon, joué près de 500 fois sans interruption, malgré leurs désaccords successifs. Elle fait la connaissance de Louis-Ferdinand Céline. Elle tourne La Guerre des valses de Ludwig Berger avec Fernand Gravey, Dranem et Madeleine Ozeray. C'est dans Pension Mimosas de Jacques Feyder, avec Françoise Rosay, qu'elle fait la connaissance de Marcel Carné.

Arletty

Jacques Prévert et Marcel Carné lui offriront au cinéma ses plus beaux rôles, dont un film de Carné-Jeanson, Hôtel du Nord, qui la rend célèbre et la fait entrer de son vivant dans la légende du Paris populaire. « Atmosphère, atmosphère ! Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ? », lance-t-elle à Louis Jouvet, sur une passerelle qui enjambe le canal Saint-Martin.
Dans un même registre, elle incarne Marie qu'a-d'ça dans Circonstances atténuantes de Jean Boyer, auprès de Michel Simon. Elle lance, gouailleuse : « Pas folle, la guêpe ! » Elle enregistre la chanson de ce film Comme de bien entendu et de nombreuses ritournelles de ses revues ainsi que La Java et Mon Homme, pour rendre hommage à sa grande amie Mistinguett.
Sous l'Occupation, elle a l'occasion d'interpréter ses plus beaux rôles : Madame sans gêne, de Roger Richebé, et surtout Dominique dans le film Les Visiteurs du soir, avec Alain Cuny, Jules Berry, Marie Déa, et Garance des Enfants du paradis de Marcel Carné, avec Jean-Louis Barrault, Pierre Brasseur et Maria Casarès. Le scénario est signé Jacques Prévert.
Au théâtre des Bouffes-Parisiens, elle est Isabelle dans Voulez-vous jouer avec moa, une comédie de Marcel Achard, avec Pierre Brasseur.
Après la Libération, Arletty est arrêtée, non pour faits de collaboration, mais en raison d'une liaison avec Hans Jürgen Soehring (1908-1960), un officier allemand. Ils s'étaient connus à Paris, le 25 mars 1941. Soehring lui avait été présenté ce jour-là par Josée de Chambrun, épouse de René de Chambrun et fille de Pierre Laval. Soehring était à l'époque assesseur au conseil de guerre de la Luftwaffe à Paris. Elle aurait dit à Michèle Alfa et Mireille Balin, qui avaient aussi comme amants des officiers allemands : « On devrait former un syndicat. » Elle est internée quelques jours à Drancy, puis à Fresnes. Libérée, on lui conseille de quitter la capitale. Elle trouve refuge pour 18 mois au château de La Houssaye-en-Brie, chez des amis résistants. Prise à partie par l'un des FFI à son arrestation, elle a cette réponse : « Si mon cœur est français, mon cul, lui, est international ! », phrase qui lui avait été suggérée par Henri Jeanson. Elle répond à une détenue qui lui demandait des nouvelles de sa santé : « Pas très résistante. » Après la guerre, Hans Soehring se mariera et deviendra consul de la République fédérale d'Allemagne à Léopoldville (aujourd'hui Kinshasa) en République démocratique du Congo où il mourra, tué par un crocodile.

Arletty

Au théâtre, elle joue Un tramway nommé désir de Tennessee Williams, avec Daniel Ivernel et un débutant nommé Louis de Funès, puis La Descente d'Orphée avec Jean Babilée. Elle paraît aussi dans Un otage de Brendan Behan avec Georges Wilson. Au cinéma, elle joue dans des films tels que Portrait d'un assassin avec Erich von Stroheim, Gibier de potence avec Georges Marchal, L'Amour Madame, aux côtés de François Périer, Le Grand Jeu avec Jean-Claude Pascal et Gina Lollobrigida, Maxime d'Henri Verneuil avec Michèle Morgan et Charles Boyer. En tournant Et ta sœur, elle fait la connaissance de Jean-Claude Brialy qui débute. Plus tard, elle retrouve Marie Déa et Hélène Perdrière, des amies qui lui resteront fidèles.
En 1966, elle perd son frère et Jean-Pierre, son ami intime et unique compagnon de route, malgré des « hauts et des bas ». Elle perd aussi partiellement la vue et doit interrompre Les Monstres sacrés de Jean Cocteau, au théâtre des Ambassadeurs. Elle disparaît de la scène et de l'écran, mais prête sa voix pour différents reportages.
À partir de 1984, elle soutient activement l'Association des Artistes Aveugles et sa Présidente fondatrice Marguerite Turlure (qu'elle surnomme « ma Marguerite du Faubourg St-Martin » en ajoutant toujours « moi aussi je suis une fleur des faubourgs » - témoignage de Didier Guelfucci, habitué des après-midi de la rue de Rémusat et bras droit de Mme Turlure), amie de longue date rencontrée par l'entremise de la chanteuse Renée Lebas... Jusqu'à sa mort, Arletty restera fidèle à l'Association des Artistes Aveugles dont elle est pour toujours la Présidente d'Honneur...




Tags : Arletty, 15 mai 1898, 15 mai, 1898, Léonie Bathiat, Léonie, Décès, 23 juillet 1992, 23 juillet, 1992, Actrice, Cinéma
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#Posté le vendredi 15 mai 2020 04:00

Ava Gardner




Ava Gardner

Ava Lavinia Gardner (née le 24 décembre 1922 à Grabtown en Caroline du Nord et décédée le 25 janvier 1990 à Londres) est une actrice américaine. Elle fut surnommée « le plus bel animal du monde ».


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Tags : Ava Gardner, 24 décembre 1922, 24 décembre, 1922, Décès, Actrice, Cinéma, Cinéma A, Ava, Gif
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#Posté le lundi 27 mai 2013 11:00

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