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dessinsagogo55

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10 articles taggés Policier

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Du rififi à Paname

Du rififi à Paname est un film de Denys de La Patellière, sorti en 1966.

Du rififi à Paname

Paulo les Diams, son ami Walter, Jack de Londres et un Munichois pratiquent allègrement le trafic d'or. Un jour une bande rivale, celle de Mario, les attaque. Les correspondants deLondres et de Munich disparaissent. Paulo est sauvé par un faux journaliste mais vrai policier américain, qui se trouve promu garde du corps du gangster. Lorsque le dernier associé est mitraillé à mort, Paulo se fâche. À ce moment un délégué du syndicat propose une transaction. Paulo s'incline, prépare sa vengeance mais est coiffé au poteau par celui qu'il ne soupçonnait pas.


Fiche technique

Réalisation : Denys de La Patellière
Scénario : d'après le roman d'Auguste Le Breton (Éditions Plon)
Adaptation : Denys de La Patellière, Alphonse Boudard
Dialogue : Alphonse Boudard
Assistants réalisateur : Roberto Bodegas, Franco Contini, Jean-Claude Guiliani, Ludwig Krewinkel
Images : Walter Wottitz
Opérateur : Charles-Henri Montel, assisté de Jean Castagnier, Jean-Claude Gaillard
Conseiller couleurs : Jacques Fonteray
Son : Jean Rieul, assisté de Vartan Karakusian
Perchiste : Marcel Corvaisier
Décors : Robert Clavel, assisté de Marc Desages, Jacques Bernaccio
Montage : Claude Durand, assisté de Florence Renard, Vincenzo Tomassi
Musique : Georges Garvarentz (Nouvelles Éditions Eddie Barclay)
Orchestration : Maurice J. Helison et Mario Bua
Costumes, habilleuses : Nanda Belloni, Micheline Bonnet, Jeanne Vergne
Coiffures : Marc Blanchard
Photographe de plateau : Marcel Dole
Maître d'armes : Benito Stefanelli
Bijoux : Van Cleef & Arpels
Fourrures : Chombert
Script-girl : Colette Crochot
Régisseur général : Paul Dufour, Marc Goldstaub, assistés de Pierre Darcay
Régisseur extérieur : Jean Nossereau
Accessoiriste : Maurice Terrasse, Jean Vergne
Administrateur : Maurice Otte
Ensemblier : Pierre Charron
Maquillage : Jacky Bourban, Roger Chanteau, Yvonne Fortuna, Yvonne Gasperina
Pellicule : 35mm, Franscope, procédé Eastmancolor
Enregistrement : Westrex, société S.O.R
Tirage : Laboratoire Éclair à Epinay-sur-Seine
Production : Les Films Copernic (Paris), Gloria Films (Berlin), Fida Cinematografica (Rome) -Franco Germano Italienne
Distribution : Comacico
Chef de production : Maurice Jacquin
Directeur de production : Ralph Baum
Producteur délégué : Raymond Danon
Générique : Jean Fouchet
Affichiste : Clément Hurel
Genre : Policier
Sortie : 2 mars 1966
Durée : 100mn


Distribution

Du rififi à Paname
Jean Gabin : (Paul Berger, dit : Paulo les diams)
Gert Fröbe : (Walter, l'antiquaire)
Nadja Tiller : (Irène, la femme de Walter)

Du rififi à Paname
Mireille Darc : (Lili Princesse, une entraîneuse)
Claude Brasseur : (Giulio)
Daniel Ceccaldi : (Le commissaire Noël)
Claudio Brook : (Mike Coppolano, le faux journaliste)
Marcel Bozzuffi : (Marque Mal)
George Raft : (Binnagio)
Jean-Claude Bercq : (Jo le Pâle)
Dany Dauberson : (Léa)
Claude Cerval : (René)
Carlo Nell : (Sergio)
Mino Doro : (Tony Ballesta)
Franco Ressel : (Mario Capergna)
Olivier Mathot : (Félix)
Anthony Stuart : (Jacques de Londres)
Lutz Gabor : (Terence de Londres)
Christa Lang : (La fille avec Mario)
Katia Christina : (La secrétaire de l'ambassade)
Yves Barsacq : (Le quinquagénaire)
Philippe Clair : (Le blessé)
Maurice Jacquin Jr : (Le jeune voyou)
Pierre Leproux : (Un inspecteur à Orly)
Alain Bouvette : (Le chasseur de la boîte de nuit)
César Torrès : (Mahmous de Beyrouth)
Daniel Croheim : (Hermann de Munich)
Fernand Berset : (Le client mécontent)
Jo Warfield : (Le contact de Tokyo)
Benito Stefanelli : (Le truand au Royal Monceau)
Jo Dalat : (Le chauffeur de Paulo)
Maurice Auzel : (Un truand)
Marc Arian : (Un client du cabaret)
Marius Gaidon : (Un agent de police)
Roger Rudel : (Le docteur)
Yvon Sarray : (Le réceptionniste)
Lucien Desagneaux
Pierre Paulet
Alexander Allerson
Pierre Parel
Bob Smart
Charles Aïche
Claude Laugier
Anne-Marie Blot
Eric Saint-Clair
Félicitas Ferber
Franco Balducci
Tomasso Alveri


 

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Tags : Du rififi à Paname, 2 mars 1966, 2 mars, 1966, Policier, Denys de La Patellière, Film, Cinéma
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#Posté le mercredi 02 mars 2022 08:00

Le Marginal

Marginal est un film français réalisé par Jacques Deray avec Jean-Paul Belmondo, sorti en 1983.

Le Marginal
Les premières images du film

Le commissaire Philippe Jordan est un flic aux méthodes expéditives et encombrant pour ses supérieurs comme pour ceux qu'il traque. Notamment pour ses méthodes peu en rapport avec la légalité, mais ne manquant pas d'efficacité. Récemment muté à Marseille, il veut mettre hors d'état de nuire Sauveur Meccaci, un trafiquant de drogue pour qui Jordan éprouve de la ranc½ur. Pour cela, après une poursuite en hélicoptère puis en sautant sur un bateau, il saisit deux cents kilos d'héroïne et les jette à la mer. Mais Jordan est renvoyé suite à la découverte du cadavre d'un indicateur dans son living pour le faire tomber. Jordan se retrouve dans un commissariat de police parisien, un « placard à balais », où il fait équipe avec l'inspecteur Rojinski, l'un de ses amis dans le commissariat.
Mais Jordan s'est toujours fixé un objectif : coincer Meccaci. Et il ne néglige aucune piste pour obtenir des témoignages contre lui. Il fréquente donc les lieux les plus mal famés de la capitale, se liant au passage avec Livia Maria Dolores, une prostituée qu'il défend contre ceux qui lui reprochent de parler à un flic. Il compte aussi sur ses vieilles connaissances : Francis Pierron, patron d'une salle de boxe qui s'occupe aussi de machines à sous ; « Tonton », qu'il a mis à l'ombre, mais qui le renseigne à condition qu'il arrache sa fille au squat des Antillais. Ainsi Jordan arrive-t-il à « Freddy le chimiste », ancien complice de Meccaci. Contre une somme rondelette, Freddy accepte de témoigner, mais un sbire de Meccaci le tue. Jordan rattrape le tueur, qui ne dit rien. Puis Meccaci fait abattre Francis car il a refusé sa « protection ». Jordan se venge en neutralisant les tueurs lors d'une course-poursuite en voiture.
Contacté par un certain Baldi, Jordan doit arriver jusqu'au caïd, mais il déjoue un piège en neutralisant les tireurs, qui tuent Baldi sur leur passage. Avec l'arme de Baldi, Jordan va à la rencontre de Meccaci et le tue. Plus tard, Rojinski annonce à Jordan l'assassinat de Meccaci. Le commissaire prend un air étonné.


Le Marginal
Les premières images du film

Trois ans après la mort de Steve McQueen, Belmondo réédite les cascades en Ford Mustang avec l'aide de Rémy Julienne.

Tags : Le Marginal, Film, 26 octobre 1983, 1983, Policier, Jacques Deray, Cinéma, Cinéma L, Jean Paul Belmondo, Gif, Gif dessinsagogo55, Eric Picard
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#Posté le mercredi 10 juillet 2013 10:00

Le Marginal : Fiche technique



Le Marginal : Fiche technique

Titre : Le Marginal
Réalisation : Jacques Deray
Scénario : Jacques Deray et Jean Herman
Dialogues : Michel Audiard
Musique : Ennio Morricone
Images : Xaver Schwarzenberger
Son : Alain Sempé
Cascades réglées par : Rémy Julienne, Claude Carliez, exécutées par : Jean-Paul Belmondo, Dominique Gilles (pilote hélicoptére)
Effets sonores : Daniel Couteau
Générique : Eurocitel
Casting : Marguerite Capelier
Producteur : Alain Belmondo
Durée : 100 minutes
Genre : Policier
Pays : France
Date de sortie en salle : 26 octobre 1983.


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#Posté le jeudi 11 juillet 2013 10:00

Le Marginal : Distribution


Le Marginal : Distribution
Jean-Paul Belmondo : Commissaire Philippe Jordan



Le Marginal : Distribution
Henry Silva (VF : Jacques Deschamps) : Sauveur Mecacci


Le Marginal : Distribution
Carlos Sotto Mayor : Livia Maria Dolores


Le Marginal : Distribution
Pierre Vernier : Inspecteur Rojinski


Le Marginal : Distribution
Maurice Barrier : Tonton


Claude Brosset : Antonio Baldi

Le Marginal : Distribution
Tchéky Karyo : Francis Pierron


Le Marginal : Distribution
Jean-Claude Dreyfus : un travesti

Ysabelle Lacamp : une prostituée
Jean-Louis Richard : Antoine

Le Marginal : Distribution
Michel Robin : Alfred Gonet, dit Freddy le chimiste
Jacques Maury : Maître Cappa
Didier Sauvegrain : Assassin d'Alfred
Stéphane Ferrara : L'indic assassiné
Roger Dumas : Inspecteur Simon
Maurice Auzel : Rosenberg
Jean-Roger Milo : Gardien du squatt
Gabriel Cattand : Contrôleur Dumas
Henri Attal : Georges, le serveur
Jacques David : Garnier
Laetitia Gabrielli : Catherine, la fille (camée) de Tonton
Jean-Hugues Lime : Speed
Michel Berreur : Un des frères Tourian
Fatiha Chriette : La pakistanaise.
Tags : Le Marginal, Film, 26 octobre 1983, 1983, Policier, Jacques Deray, Cinéma, Cinéma L, Jean Paul Belmondo
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#Posté le vendredi 12 juillet 2013 10:00

Le Marginal : Autour du film



Le Marginal : Autour du film


Le Marginal marque les retrouvailles entre Jean-Paul Belmondo et le réalisateur Jacques Deray treize ans après Borsalino. Ils se retrouveront trois ans plus tard pour Le Solitaire.
La scène de la poursuite entre les bandits qui roulent dans une Plymouth Volare 1976 et le commissaire Jordan dans sa Ford Mustang 1967 survitaminée se veut un hommage à la scène de poursuite de Bullitt et à Steve Mac Queen (décédé trois ans plus tôt). Elle a été tournée à Aubervilliers mais aussi dans le 19e arrondissement, le long du bassin de la Villette et dans le 13e arrondissement sur le boulevard Auguste Blanqui, Entre les Stations de Métro Corvisart et Glacière. Deux Ford Mustang ont été utilisées pour la poursuite. L'une des deux Mustang a été préparée par Joe Cote à Villepinte. Elle est dotée de pneus plus larges et disposait d'environ 400 chevaux, elle a été rachetée par un collectionneur, elle a servi pour les plans fixes. La deuxième Mustang, qui a été endommagée par Jordan lors de la poursuite, est une Mustang classique avec les pneus d'origine ; elle fut longtemps entreposée à La Ferté Alais dans le parking de Rémi Julienne avant d'être détruite car elle a été endommagée durant la scène de la poursuite; elle fut ferraillée il y a une quinzaine d'années.
Jacques David (ici dans le rôle de Garnier, le supérieur du commissaire Jordan) avait déjà tourné aux côtés de Belmondo dans le film Le Corps de mon ennemi (1976) où il tenait le rôle de l'avocat général.

Le Marginal : Autour du film

Voitures du film

Philippe Jordan : Renault 18 break (Millésime 83), Talbot Horizon (Millésime 81).
Inspecteur Rojinski : Renault 18 break (Millésime 83).
Inspecteur Simon : Peugeot 504 (1977).
Francis Pierron : Ford Mustang Luxury (1967). Voiture utilisée lors de la poursuite.
Sauveur Mecacci : Cadillac Fleetwood Limousine (1977).
Hommes de main de Mecacci : Chrysler 180 (1973),Plymouth Volare(1976)(Voiture utilisée lors de la poursuite).
Maitre Cappa: BMW Série 7 (type E23)(1979) .
Antonio Baldi: Citroën CX (Millésime 83).



Tags : Le Marginal, Film, 26 octobre 1983, 1983, Policier, Jacques Deray, Cinéma, Jean Paul Belmondo
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#Posté le samedi 13 juillet 2013 10:00

Modifié le dimanche 05 avril 2015 17:36

Nikita

Nikita

Date de sortie 1990
Réalisé par Luc Besson
Avec : Anne Parillaud , Tchéky Karyo , Jean-Hugues Anglade
Genre : Policier , Thriller , Action
Nationalité : Italien , français

Le braquage d'une pharmacie par une bande de junkies en manque de drogue tourne mal :
une fusillade cause la mort de plusieurs personnes dont un policier ,
abbatu par la jeune Nikit a. Condamnée à la prison à perpétuité ,
celle-ci fait bientôt la rencontre de Bob , un homme mystérieux qui contraint la jeune femme
à travailler secrètement pour le gouvernement.
Après quelques rébellions lors d'un entraînement intensif de plusieurs années ,
Nikita devient un agent hautement qualifié des services secrets , capable désormais
selon Bob d'évoluer seule à l'extérieur . Celui-ci espère d'ailleurs s'en assurer
lors d'une terrible mise à l'épreuve , dans laquelle Nikita doit éliminer un pilier
de la mafia asiatique au beau milieu d'un restaurant bondé ...

Nikita
Nikita

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Tags : Nikita, Luc Besson, Anne Parillaud, Tchéky Karyo, Jean-Hugues Anglade, 1990, Cinéma N, Cinéma, Policier, Thriller, Action
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#Posté le samedi 23 juin 2012 12:00

Modifié le lundi 17 septembre 2012 14:57

Retour en enfer : Die Hard 4

Retour en enfer : Die Hard 4

Retour en enfer : Die Hard 4

Des pirates informatiques s'attaquent aux différentes infrastructures des États-Unis dans le but d'entamer une liquidation des biens américains. Elle débute par la coupure des communications, et le piratage du système informatique du FBI. Ensuite, c'est au tour du marché économique de sombrer et enfin aux diverses installations électriques et de gaz.

Retour en enfer : Die Hard 4

Comme pour le 3e volet de la saga, ce gigantesque plan n'est qu'un camouflage de leurs véritables intentions. John McClane et Matt Farrell, un jeune hacker (et cryptographe), vont tenter d'apporter leur aide au gouvernement, mais cela ne tourne pas comme prévu et ils doivent prendre la fuite.

Retour en enfer : Die Hard 4

Fiche technique

Titre original : Live Free or Die Hard (Die Hard 4.0 pour la distribution internationale)
Titre français : Die Hard 4 : Retour en enfer
Titre québécois : Vis libre ou crève
Réalisation : Len Wiseman
Scénario : Mark Bomback et Roderick Thorp (collaboration), d'après l'½uvre de John Carlin et sur une idée de Mark Bomback et de David Marconi
Musique : Marco Beltrami
Direction artistique : Beat Frutiger, Troy Sizemore
Décors : Patrick Tatopoulos
Costumes : Denise Wingate
Photographie : Simon Duggan
Montage : Nicolas De Toth
Producteurs :
Arnold Rifkin, Bruce Willis, John McTiernan, Michael Fottrell
Stephen J. Eads (co-producteur)
William Wisher Jr., Arnold Rifkin (exécutif)
Sociétés de production : 20th Century Fox, Cheyenne Enterprises, Dune Entertainment
Distribution :
Twentieth Century Fox Film Corp
Twentieth Century Fox France
Budget : 110 000 000 $
Pays d'origine : États-Unis
Genre : Action, policier
Durée : 130 minutes

Dates de sortie :

12 juin 2007, première à Tokyo
22 juin 2007, première à New York


Box-office

Mondial 383 277 179 USD - 101e au total
États-Unis / Canada 134 529 403 USD - 205e au total
France 2 252 199 entrées 9 sem. 15e (2007) au 04/09/07
Suisse 258 455 entrées - 183e au total

Retour en enfer : Die Hard 4

Distribution

Bruce Willis (VF : Patrick Poivey) : John McClane
Justin Long (VF : Patrick Mancini) : Matt Farrell
Timothy Olyphant (VF : Jean-Pierre Michaël) : Thomas Gabriel
Cyril Raffaelli (VF : Cyril Raffaelli) : Rand
Maggie Q (VF : Yumi Fujimori) : Mai Lihn
Mary Elizabeth Winstead (VF : Alexandra Garijo) : Lucy McClane
Kevin Smith (VF : Sylvain Lemarie) : The Warlock (le Sorcier)
Cliff Curtis (VF : Joël Zaffarano) : Bowman
Yancey Arias (VF : ?) : Agent Johnson
Allen Maldonado (VF : ?) : Barbiche
Yorgo Constantine (VF : ?) : Russo
Chris O'Brocki (VF : ?) : Civil furieux
Chris Palermo (VF : ?) : Del
Tim Russ (VF : Thierry Desroses) : Agent Chuck Summer
Jonathan Sadowski (VF : Éric Herson-Macarel) : Trey
Jack Van Landingham (VF : ?) : Membre du S.W.A.T.
Andrew Friedman (VF : ?) : Casper
Sung Kang (VF : ?) : Raj
Zeljko Ivanek (VF : Daniel Lafourcade) : Molina
Christina Chang (VF : ?) : Taylor
Jake McDorman (VF : ?) : Jim
Rosemary Knower (VF : ?) : Mme Kaludis
Gerald Downey (VF : ?) : Agent Hoover
Jim Cantafio (VF : ?) : Propriétaire du restaurant
Chris Ellis (VF : ?) : Scalvino
Regina McKee Redwing (VF : ?) : Agent tout proche
Tony Colitti (VF : ?) : Agent chef Hazmat
Tim deZarn (VF : ?) : Sergent de police
Kurt David Anderson (VF : ?) : Miller
Matt O'Leary (VF : ?) : Clay
Nadine Ellis (VF : ?) : Teller
Ethan Flower (VF : ?) : Le trader
Nick Jaine (VF : ?) : L'homme au téléphone
Joe Gerety (VF : Patrick Bethune) : Jack Parry
David Walrod (VF : ?) : Client du restaurant
Edoardo Costa (VF : ?) : Emerson
John Reha (VF : ?) : Gamin fainéant
Rick Cramer (VF : ?) : Rodriguez
Vito Pietanza (VF : ?) : Inspecteur
Dennis Depew (VF : ?) : Inspecteur
Howard Tyrone Ferguson (VF : ?) : Inspecteur
Diana Gettinger (VF : ?) : Dispatcher FBI
Melissa Knowles (VF : ?) : Journaliste sur l'autoroute

Retour en enfer : Die Hard 4

Autour du film
Le nom original est une référence à la devise nationale de l'État américain du New Hampshire, « Live Free or Die ».
Le tournage a commencé le 30 septembre 2006.
Beaucoup de changements sont intervenus dans le script, mais peu d'informations circulent. Pour interpréter le rôle de la fille de John McLane, les noms de Britney Spears et Jessica Simpson avaient circulé, mais c'est finalement Mary Elizabeth Winstead qui l'a obtenu.
Le mercredi 24 janvier 2007 à Los Angeles, Bruce Willis a reçu un coup à la tête alors qu'il tournait une des scènes de combat du film. L'acteur s'en est apparemment sorti avec une entaille au-dessus de l'½il droit. Il était de nouveau au travail dès le lendemain matin.
Le réalisateur français Florent Emilio Siri avait été un temps pressenti pour la réalisation du film, avant que ne soit engagé Len Wiseman.
Dans la version originale, les méchants parlent un français parfait sans accent.
L'avion de chasse visible dans une scène de poursuite sur l'autoroute est un Lockheed F-35 Lightning II.
Le film a été officiellement projeté la première fois le 4 juillet, jour anniversaire de l'indépendance des États-Unis
On peut y voir l'acteur-cascadeur français Cyril Raffaelli, qui joue le rôle de l'un des sbires de Gabriel]

Retour en enfer : Die Hard 4

La saga

1988 Piège de cristal Die Hard John McTiernan
1990 58 Minutes pour vivre Die Hard 2 Renny Harlin
1995 Une journée en enfer Die Hard with a Vengeance John McTiernan
2007 Die Hard 4 : Retour en enfer Live Free or Die Hard Len Wiseman

Tags : Retour en enfer, Die Hard, 2007, Cinéma, Cinéma R, (7), Bruce Willis, Timothy Olyphant, Maggie Q, Justin Long, Cyril Raffaelli, Mary Elizabeth Winstead, Action, Policier
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#Posté le vendredi 13 avril 2012 09:23

Modifié le mercredi 21 novembre 2012 09:36

Die hard : Une journée en enfer

Die hard : Une journée en enferUne journée en enfer ou Marche ou crève : Vengeance définitive au Québec (Die Hard with a Vengeance) est un film d'action américain réalisé par John McTiernan, sorti en 1995. C'est le troisième opus de la saga Die Hard.
En 1995, il a été le plus gros succès mondial au box-office, avec des recettes cumulées dépassant les 366 millions de dollars
 
New York, 1995. Un magasin est soufflé par l'explosion d'une bombe. L'attentat est revendiqué par un inconnu se faisant appeler Simon. Celui-ci exige que le lieutenant John McClane, alors suspendu de ses fonctions, se livre à un périlleux « Jacques a dit » à travers toute la ville. S'il n'obéit pas aux directives de Simon, d'autres bombes exploseront. Zeus Carver, un électricien et antiquaire afro-américain que McClane a rencontré à Harlem, est embarqué contre sa volonté dans cette journée infernale.
 
Fiche technique
 
Titre original : Die Hard with a Vengeance
Titre français : Une journée en enfer
Titre québécois : Marche ou crève : Vengeance définitive
Titre de travail : Die Hard: New York
Réalisation : John McTiernan
Scénario : Jonathan Hensleigh, d'après certains personnages créés par Roderick Thorp
Musique : Michael Kamen
Photographie : Peter Menzies Jr.
Montage : John Wright
Décors : Jackson DeGovia
Production : Debbie Allen, John McTiernan et Michael Tadross
Production déléguée : Buzz Feitshans, Joe Gareri, Andrew G. Vajna et Robert Lawrence
Sociétés de production : 20th Century Fox et Cinergi Pictures
Distribution : Gaumont Buena Vista International (France), 20th Century Fox (États-Unis)
Format : Couleurs (Technicolor) - DTS / Dolby Digital / SDDS - 2,35:1 - 35 mm
Budget : 90 millions de dollars
Pays d'origine :  États-Unis
Langue originale : anglais
Genre : action, policier
Durée : 128 minutes
Dates de sortie :
 États-Unis : 15 mai 1995 (première à New York), 19 mai 1995 (sortie nationale)
 France : 2 août 1995
Film classé Tous publics lors de sa sortie en salles, mais déconseillé aux moins de 12 ans à la télévision
 
 
Distribution
 
Bruce Willis : le lieutenant John McClane
Jeremy Irons : Simon Peter Gruber
Samuel L. Jackson : Zeus Carver
Larry Bryggman : l'inspecteur Walter Cobb
Graham Greene : le détective Joe Lambert
Colleen Camp : le détective Connie Kowalski
Anthony Peck : l'inspecteur Ricky Walsh
Nick Wyman : Mathias Targo
Sam Phillips  : Katya, la compagne de Simon
Kevin Chamberlin : Charles « Charlie » Weiss
Sharon Washington  : l'officier Jane
Stephen Pearlman : Dr. Fred Schiller
Michael Alexander Jackson : Dexter, le neveu de Carver
Aldis Hodge : Raymond, le neveu de Carver
Mischa Hausserman : Mischa
Edwin Hodge : l'ami de Dexter
Robert Sedgwick : Rolf
Tony Halme : Roman
Bill Christ : Ivan
Charles Dumas : Andy Cross
Michael Cristofer : Bill Jarvis
John Doman : le contremaître du chantier
Richard E. Council : Otto
Damien Demento : Erik 
Ivan Skoric : l'homme de Targo
Richard Russell Ramos : le chef du FBI
Antonia Rey : Mme Stella
 
Genèse et développement
 
Deux scénarios ont d'abord été envisagés avant celui utilisé ici. Le premier, écrit par James Haggin est titré Troubleshooter, voyait John McClane en croisière aux Caraïbes avec sa famille aux prises avec de nouveaux terroristes. L'idée est abandonnée quand Piège en haute mer avec Steven Seagal entre en préproduction en 1992. Le second script, écrit par Doug Richardson (scénariste du précédent volet) et John Fasano, avait pour toile de fond la prise de contrôle du métro de Los Angeles. Mais Bruce Willis s'y opposa, jugeant que l'action était trop proche de celle du film précédent, 58 minutes pour vivre, voulant un lieu plus vaste pour l'action principale. Le script utilisé est préalablement nommé Simon Says. Le personnage qui sera plus tard Zeus est alors un personnage féminin. Le producteur Joel Silver a un temps voulu utiliser l'intrigue pour L'arme fatale 3. Le script est ensuite réadapté au style de la série Die Hard. Jonathan Hensleigh déclare cependant que toute la première heure est quasiment mot pour mot ce qu'il avait écrit à l'origine. Une journée en enfer est alors le premier film de la saga basé sur une script original et non d'après un roman.
Après avoir finalisé le script, Jonathan Hensleigh est longuement interrogé par le FBI, inquiet des précisions présentes dans le scénario concernant la vulnérabilité de la réserve fédérale d'or, la proximité du métro ou l'utilisation de l'aqueduc par les camions, toutes bien trop véridiques à leur goût.
Le poste de réalisateur est proposé à Danny Cannon, mais il préfère se consacrer à Judge Dredd (1995). John McTiernan, réalisateur du premier film, revient finalement pour ce troisième volet. Il refuse quant à lui de mettre en scène Batman Forever pour faire ce film.
 
 
Distribution des rôles
 
 
Sean Connery est pressenti pour incarner le méchant Simon Gruber mais l'acteur décline l'offre, trouvant la cruauté du personnage trop élevée. Les scénaristes se sont par la suite tournés vers un autre acteur britannique, David Thewlis, avant que le rôle ne soit finalement décroché par Jeremy Irons. L'acteur Anthony Peck, qui tient ici le rôle de Ricky Walsh, était déjà présent dans le premier volet, Piège de cristal où il incarnait un policier (on le voit notamment aux côtés d'Al Powell et Dwayne Robinson pendant les négociations). Il joue ici aussi le rôle d'un policier, peut-être le même, mais rappelons que dans Piège de cristal il incarnait un policier de Los Angeles, or ici, il incarne un policier de New York.
L'acteur Laurence Fishburne est le premier choix pour incarner Zeus. Le rôle revient finalement à Samuel L. Jackson. Il est suggéré par Bruce Willis, avec lequel il vient de tourner Pulp Fiction (1994). Le scénariste Jonathan Hensleigh avait écrit le rôle en pensant à Brandon Lee.
Bonnie Bedelia, qui incarne Holly la femme de John McClane dans les deux précédents films, a refusé d'apparaître dans ce troisième film.
La chanteuse Sam Phillips (en) est choisie pour incarner Katya après qu'un producteur ait vu l'une de ses pochettes d'album.
Anthony Peck, qui incarne ici Ricky Walsh, jouait un tout autre rôle dans le premier film.
John McTiernan Sr., le père du réalisateur, incarne ici un pêcheur.
 
 
Tournage
 
 
Le film a été tourné du 30 juillet au 21 décembre 1994. Il se déroule principalement à New York, notamment à Manhattan (Central Park, Federal Reserve Bank of New York, Broadway, East Village, Tompkins Square Park), dans le Bronx (Yankee Stadium) et à Brooklyn. Des scènes sont également tournées dans d'autres États : dans le Connecticut (Comté de Fairfield), dans le Maryland (Jessup) et en Caroline du Sud (Beaufort, comté de Berkeley, Charleston, Dorchester).
Durant le tournage, le panneau sandwich que porte Bruce Willis vers le début du film était vierge. Cette décision avait été prise par la production afin de n'offenser personne et de ne pas rencontrer d'obstacle lors de sa diffusion télévisée. Puis, une inscription a finalement été inscrite « I hate every body » (« je hais tout le monde »). Cette première inscription a servi durant la version initiale du tournage. Finalement, en postproduction, l'inscription a été transformée en « I hate niggers » (« je hais les nègres »). Cette dernière inscription a été définitive puisque c'est celle qui est visible dans la version finale du film. La Fox voulait supprimer cette scène du scénario mais est finalement revenue sur sa décision lorsque le scénariste Jonathan Hensleigh menaça de vendre le scénario à un autre studio
 
.
Musique
 
 
Michael Kamen revient pour la 3e fois (et dernière) comme compositeur. En plus de ses compositions, la bande originale comprend également des symphonies de Ludwig van Beethoven, ainsi que Les Fonderies d'acier d'Alexandre Mossolov. Dans le film, on peut entendre à plusieurs reprises When Johnny Comes Marching Home, issue du folklore américain, notamment lors de l'attaque de la banque.
En décembre 2012, La-La Land Records réédite une version limitée double album
 
 
Liste des titres
Summer in the City – The Lovin' Spoonful (2:44)
Goodbye Bonwits (6:28)
Got it Covered – Fu-Schnickens (4:13)
John and Zeus (3:19)
In Front of Kids – Extra Prolific (2:44)
Papaya King (5:20)
Take A-nother Train (2:55)
The Iron Foundry – Alexandre Mossolov (3:08)
Waltz of the Bankers (4:13)
Gold Vault (march of the ants) (3:45)
Surfing in the Aqueduct (2:30)
Symphony No. 1 (4th Mvmt., Excerpts) – Johannes Brahms (15:00)
Symphony No. 8 (4th Mvmt., Excerpts) – Ludwig van Beethoven (9:46)
 
 
Accueil
Sortie
John McTiernan voulait repousser la sortie du film car il pensait que le public américain pourrait être sensible à certaines scènes d'action à la suite de l'Attentat d'Oklahoma City survenu en avril 1995, environ un mois seulement avant la sortie américaine du film.
En France, Une journée en enfer est sorti pendant la vague d'attentats sanglants à Paris courant juillet 1995. Cela n'a pas annulé ou reporté sa sortie, malgré toutes les affiches présentes pour l'occasion à Paris et montrant Bruce Willis devant une explosion avec le sous-titre « Un été explosif ! »
 
Critique
 
Lors de sa sortie en salles, Une journée en enfer obtient un accueil mitigé des critiques : dans les pays anglophones, il obtient 51 % d'avis favorables sur le site Rotten Tomatoes, pour 45 critiques et une moyenne de 5,7⁄1010 et un score de 58⁄100 sur le site Metacritic, pour 19 critiques.
 
Box-office
 
Le film n'est pas un immense succès sur le sol américain (100 millions de dollars pour 90 millions de budget). Cependant, le film est un succès total à l'international : il est le meilleur film de l'année 1995 dans le monde en termes de recettes
 
 
Pays ou régionBox-office Total mondial 366 236 538 $--
 
 
 
Fin alternative
 
Ce troisième volet de la série dispose d'une fin alternative, disponible sur le DVD. Elle n'a pas été ajoutée à la version finale du film car John McTiernan jugeait que McClane était présenté sous un angle trop cruel et menaçant ce qui ne correspond pas à sa personnalité. Dans celle-ci, Simon Gruber est parvenu à échapper aux autorités et coule désormais une retraite tranquille dans un pays d'Europe de l'Est. John McClane, au chômage, le retrouve et, après une discussion, le force à jouer à un jeu d'énigmes avec un M72 LAW dépourvu d'organes de visée : s'il ne trouve pas la réponse, il doit actionner la détente. Sans la visée, il est impossible de distinguer l'avant de l'arrière. Après quelques tours, Simon finit par échouer et retourne l'arme contre McClane. Croyait-il.
 
 
 
Clins d'oeil
 
Le nom du Dr. Fred Schiller est une allusion à Friedrich von Schiller, qui a écrit le poème utilisé dans Ode à la joie de Ludwig van Beethoven, présent à plusieurs reprises dans Piège de cristal.
Un clin d'½il y est fait à Predator 2 lorsque McClane téléphone à une ambulance qui dit qu'il y a deux policiers à terre, un peu plus tard on y entend brièvement la musique du film.
Un clin d'½il est fait au film Les Dents de la mer de Steven Spielberg : une affiche montre un requin quand McClane est dans le métro quand il voit la bombe.
Une référence faite lors du signe de croix "nord, sud, est, ouest" est à s'y méprendre au film Le Bon, la Brute et le Truand quand Tuco, incarné par Eli Wallach, fait exactement le même signe de croix en rapidité.
 
 
 
Tags : Die hard, Une journée en enfer, Film, Cinéma, Gif dessinsagogo55, Policier
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#Posté le jeudi 30 juillet 2020 06:00

Un capitaine de police arrêté pour outrage et rébellion sur les Champs-Élysées

Un capitaine de police arrêté pour outrage et rébellion sur les Champs-Élysées

Manifestations à Paris. Un capitaine de police arrêté pour outrage et rébellion sur les Champs-Élysées
 
 
 
Une centaine de personnes ont terminé la journée de manifestations en garde à vue, samedi 21 septembre, à Paris. Parmi elles, un capitaine de police en poste au ministère de l'Intérieur. Hors service et se présentant comme un Gilet jaune, il a été arrêté pour outrage et rébellion sur les Champs-Élysées.
 
 
Un capitaine de police arrêté pour outrage et rébellion sur les Champs-Élysées
 
 
Des membres des forces de l'ordre sur les Champs-Élysées, pendant les manifestations à Paris,
samedi 21 septembre 2019. | YOAN VALAT / EPA/MAXPPP 
 
 
 
Acte 45 des Gilets jaunes, marche pour le climat, manifestation contre la réforme des retraites... Le menu des rassemblements à encadrer était copieux, samedi, à Paris, pour les quelque 7 500 membres des forces de l'ordre mobilisées. De nombreux contrôles ont été réalisés, qui ont conduit à une centaine de gardes à vue. Parmi elles, le profil d'un homme a retenu l'attention : un capitaine de police en poste au ministère de l'Intérieur, arrêté pour outrage et rébellion.
 
Insultes et doigts d'honneur
Son arrestation, d'abord annoncée par Le Point, a été confirmée dans la soirée par une source judiciaire à l'Agence France Presse (AFP). Le journal Le Parisien a ensuite donné plus de détails sur l'affaire. D'après le quotidien francilien, ce policier figurait dans un groupe qui n'était pas spécifiquement identifié mais présent au point de rendez-vous des Gilets jaunes, en haut des Champs-Élysées. Il s'est fait remarquer en insultant des agents d'un escadron motorisé de la police.
Interpellé par la Brigade anti-criminalité (BAC), il brandit alors sa carte de police. Tout en continuant de proférer des insultes et de multiplier les doigts d'honneur. Capitaine au sein du Service des technologies et systèmes d'information de la Sécurité intérieure, l'homme âgé d'une cinquantaine d'années et a été conduit au commissariat du XVIe arrondissement. Là, il s'est présenté comme membre des Gilets jaunes. Déroutés par son attitude, les policiers ont finalement demandé un examen psychiatrique, précise Le Parisien.
Tags : Policier, Policie, Arrestation, Gilets jaunes, Champs-Élysées
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#Posté le dimanche 22 septembre 2019 06:14

Garde à vue


Garde à vue


Garde à vue est un film français de Claude Miller, sorti en 1981.
Il obtient huit nominations lors de la 7e cérémonie des César et décroche quatre récompenses (dont celui du meilleur acteur pour Michel Serrault et pour le meilleur scénario).
Synopsis

Le corps d'une fillette violée et étranglée a été retrouvé dans les dunes. Huit jours plus tôt, on avait trouvé dans la même région une autre fillette ayant subi le même sort.
Cherbourg, six semaines plus tard, le soir de la Saint-Sylvestre : l'inspecteur Antoine Gallien (Lino Ventura), secondé par son adjoint Belmont (Guy Marchand), reçoit au commissariat le notaire Martinaud (Michel Serrault), notable local. Martinaud connaissait bien l'une des fillettes, et un certain mystère plane sur sa vie privée. Le huis clos oppressant et implacable commence...
L'inspecteur Gallien croit d'abord ne pas avoir affaire au meurtrier mais l'attitude ambiguë de Martinaud, dont la colère monte au fur et à mesure que des indices s'accumulent contre lui, le fait changer d'avis : de témoin, le notaire devient suspect et Gallien le met en garde à vue pour l'empêcher de quitter le commissariat. L'inspecteur demeure cependant gêné par l'absence de preuves, et en fait part à son supérieur. Il retrouve Martinaud passé à tabac par son adjoint mais refuse de dénoncer son collègue. L'arrivée de la femme de Martinaud (Romy Schneider) va semer le trouble : selon elle, son mari (envers lequel les rapports conjugaux sont au point mort) a fait preuve d'un penchant inconvenant vis-à-vis de sa nièce, une fillette nommée Camille. L'épouse du notaire fournit à l'inspecteur un indice accablant son mari pour un des meurtres. Informé, poussé à bout par l'interrogatoire et le témoignage à charge de sa femme, Martinaud craque et passe aux aveux.
Mais le cadavre d'une enfant est retrouvé fortuitement dans le coffre d'une voiture volée la veille et remorquée au commissariat durant la nuit. Gallien et Madame Martinaud assistent à la découverte de la petite victime. Venu récupérer son bien, le propriétaire du véhicule est arrêté et avoue être le meurtrier.
Libéré, Martinaud demande à Gallien s'il aurait éventuellement fini par solliciter le témoignage de la petite Camille. L'inspecteur fait mine de ne pas comprendre la question et le notaire s'en va rejoindre son épouse assise dans sa voiture. Il s'aperçoit alors qu'elle s'est suicidée en se tirant une balle dans la tête. Martinaud appelle Galien en hurlant. Le film se clôt sur le visage accablé de l'inspecteur.
 

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Fiche technique
 
Réalisation : Claude Miller
Scénario : Claude Miller et Jean Herman, d'après le roman Brainwash (À table !) de John Wainwright
Dialogues : Michel Audiard
Production : Alexandre Mnouchkine et Georges Dancigers
Photographie : Bruno Nuytten
Cadreur : Gilbert Duhalde
Scripte : Martine Revert
Régisseur général : Michel Bernede
Musique : Georges Delerue
Montage : Albert Jurgenson
Premier assistant réalisateur : Jean-Pierre Vergne
Casting : Margot Capelier
Cascadeur : Claude Carliez
Storyboard : Lam Lê
Sociétés de production : Les Films Ariane et TF1 Productions
Visa de contrôle cinématographique : no 53.711
Studio et Laboratoires Éclair, Auditorium Paris Studios Cinéma, pellicule Kodak Eastmancolor, pellicule son Pyral
Format : 35 mm - Ratio : 1,66:1 - Mono
Durée : 84 minutes
Pays d'origine : France
Langue originale : français
Genre : policier
Dates de sortie :
France : 23 septembre 1981
États-Unis : 16 avril 1982 (sortie limitée : New York)
 
 
Distribution
 
Lino Ventura : inspecteur Antoine Gallien
Michel Serrault : Jérôme Martinaud
Romy Schneider : Chantal Martinaud
Guy Marchand : inspecteur Marcel Belmont
Pierre Maguelon : inspecteur Adami
Jean-Claude Penchenat : commissaire divisionnaire
Elsa Lunghini : Camille
Annie Miller : la mère de Camille
Michel Such : Jean-Marie Jabelain
Didier Agostini : jeune policier
Patrick Depeyrrat : policier
Yves Pignot : policier
Mathieu Schiffman : le fils Berthier
Serge Malik : le mécanicien
 
Production
Genèse et développement

Claude Miller a tourné peu avant deux longs-métrages de première importance, La Meilleure Façon de marcher et Dites-lui que je l'aime. Si le premier est bien reçu par la critique et le public1, le second connaît un échec commercial1. De plus, son nouveau et ambitieux projet, La Java, qui aurait mis en vedette Patrick Dewaere et Miou-Miou, n'aboutit pas en raison du financement. D'autres perspectives, dont une collaboration avec Jean-Paul Belmondo, avortent également. Miller se tourne alors vers la publicité. Un jour, le réalisateur reçoit un appel de la société de production indépendante Les Films Ariane, qui lui propose de mettre en scène l'adaptation du roman À table ! de John Wainwright, publié dans la collection Série noire1.
Miller découvre le livre, qu'il apprécie et trouve des similitudes avec La Meilleure Façon de marcher notamment la question de l'intolérance vis-à-vis des pratiques sexuelles « déviantes »1. Le scénario doit être écrit par Michel Audiard, qui a présenté le livre à la société productrice, bien que Miller n'a pas d'affinités culturelles avec le cinéma d'Audiard. Depuis quelques années, Audiard n'écrit quasiment plus de scénarios, commandant des trames narratives à d'autres auteurs, puis réécrivant intégralement les dialogues à sa manière. Yves Montand fut le premier choix pour incarner l'inspecteur Gallien, qui décline la proposition. Lino Ventura rencontre Miller et, séduit par le réalisateur et le scénario, accepte le rôle. Sur France Inter, en juin 1981, l'acteur dira que « c'est une gageure, ce film, un pari, en quelque sorte ».
Pour le rôle de l'ambigu maître Martinaud, c'est Michel Serrault qui est pris pour l'incarner. Depuis L'Ibis rouge, Serrault réussit à casser son image de comique pour incarner des personnages troubles, bien qu'ayant du mal à se défaire de cette image de trublion. L'autre rôle central, celui de l'épouse de Martinaud, est confié à Romy Schneider par le réalisateur.
Avec Jean Herman, Miller envoie pendant plusieurs mois des pages de scénario à Audiard, tout en sachant qu'il va les remanier. Toutefois, Miller se permet de refuser certaines tirades du célèbre dialoguiste, qu'il juge sur-écrites, ce qui provoque une certaine tension entre Miller et Audiard1. Mais Miller tient bon et reçoit le soutien de Ventura. Odette Ventura, l'épouse de l'acteur, révèle que son mari poussa Audiard, alors engagé sur un autre film - Le professionnel - et tardant à terminer les dialogues de Garde à vue, à finir le travail. La ténacité de Miller inspirera le respect d'Audiard, qui va finalement se lier d'amitié avec le réalisateur.
À la lecture du roman, Serrault avait eu le sentiment que le personnage accusé, un quidam un peu quelconque, manquait de superbe. Il suggère que son face-à-face avec l'inspecteur de police chargé de l'interroger serait plus marquant s'il avait d'emblée une position à défendre. Son personnage devint alors un notaire arrogant, vêtu d'un élégant smoking, ce qui allait conférer au film une perspective sociale singulière.
Une autre différence notable entre le roman et l'adaptation est que le film a recours à cette spécificité policière française qu'est la garde à vue. Des dispositifs similaires existent dans d'autres pays, mais aux États-Unis, la présence continue d'un avocat est autorisée lors des confrontations — à tel point que le suspect y est encouragé à se taire.
 
Tournage

Le tournage de Garde à vue sur près de deux mois, du 27 janvier au 13 mars 19816. Selon Miller, le tournage fut très difficile, comme il le dira dans le livre Serrer sa chance en 2007, il avait « l'impression de monter sur un ring chaque matin, d'enjamber des cordes pour arbitrer un match de boxe entre Lino Ventura et Serrault », mais ajoute qu'il pouvait compter sur « la bienveillance et l'affection de Lino et Romy Schneider ».
Serrault précisera que ses relations avec Ventura, pourtant réputé aussi pour sa chaleur et sa cordialité, étaient restées assez froides tout au long du tournage, comme si la distance maintenue entre eux servait l'opposition entre leurs personnages. Odette Ventura notera dans son livre Lino, que les deux acteurs ne se parlaient pas en dehors des prises, car Ventura « tenait à éviter toute forme de complicité, qui, à son avis, eût pu altérer la violence de leur tête à tête ».
 
Sortie et accueil

Garde à vue sort dans les salles françaises le 23 septembre 1981. Salué par la critique, notamment par Jean de Baroncelli du journal Le Monde, qui écrit que le long-métrage est « une réussite, une gageure brillamment tenue, dont le succès prévisible sera dû à l'intérêt du sujet et à la qualité de la mise en scène tout autant qu'à la réputation des interprètes et à la verve du dialoguiste », Garde à vue rencontre également un succès public grâce à un bon bouche-à-oreille, puisqu'il prend la deuxième place du box-office parisien pendant trois semaines avec plus de 388 000 entrées derrière Les Aventuriers de l'arche perdue8,. Dans Paris et sa banlieue, le film réunit 726 359 entrées en fin d'exploitation. Le succès se confirme en province, qui lui permet d'enregistrer un total de 2 098 038 entrées sur le territoire français.
Le succès de Garde à vue permet à Claude Miller d'obtenir son meilleur résultat au box-office et son premier film millionnaire (La Meilleure façon de marcher avait frôlé les 600 000 entrées en 1976 et Dites-lui que je l'aime seulement plus de 531 000 entrées l'année suivante) avant d'être dépassé par L'Effrontée en 1985 (près de 2,8 millions d'entrées). De plus, le bon accueil public permet à Lino Ventura de renouer avec le succès, qui n'avait plus connu de film ayant atteint le seuil du million d'entrées depuis le milieu des années 1970 avec Adieu poulet (1,9 million d'entrées en 1975) et Cadavres exquis (1 million d'entrées en 1976).
 
 
Autour du film

afficherCette section ne cite pas suffisamment ses sources (juillet 2017).
Le film, très bien accueilli par la critique au moment de sa sortie, a également séduit le public puisqu'il totalise un peu plus de 2,1 millions d'entrées en salles.
C'est le célèbre dialoguiste Michel Audiard qui a découvert le livre de John Wainwright, À table ! (Brainwash), sur lequel est basé le scénario. Il en parle alors au producteur Georges Dancigers.
Les réalisateurs Yves Boisset et Costa-Gavras furent le premier choix du producteur, mais ils refusèrent le projet. Georges Dancigers proposa alors le projet à Claude Miller qui, à ce moment-là, ne tournait plus que des publicités, à la suite du cuisant échec de son précédent film Dites-lui que je l'aime, sorti quatre ans plus tôt. Claude Miller, au tout début de sa carrière de réalisateur, avait été l'assistant de Robert Bresson, Jean-Luc Godard et Jacques Demy, puis le directeur de production de François Truffaut, tous figures emblématiques de la Nouvelle Vague. Le succès de Garde à vue relance complètement la carrière du réalisateur, et reste son second meilleur score au Box-office français de sa carrière derrière L'Effrontée.
La future chanteuse Elsa Lunghini apparaît brièvement ici pour la première fois au cinéma, dans le rôle de Camille, la petite fille sous le charme de laquelle tombe Jérôme Martinaud, déclenchant ainsi l'ire de son épouse.
Ici, Michel Audiard, réputé pour ses dialogues comiques et son sens détonant de la formule, abandonne quelque peu sa verve habituelle pour privilégier une approche plus profonde et plus subtile des personnages, ce qui lui vaudra le seul et unique César venu récompenser sa pléthorique filmographie.
Réminiscence fortuite, certaines scènes de la garde à vue rappellent Quai des Orfèvres... y compris l'homonymie du nom Martinaud (Maurice Martineau interprété par Bernard Blier)
Garde à vue est l'avant-dernier film de la carrière de Romy Schneider. Elle mourra soudainement huit mois après la sortie de Garde à vue.
Le film est sorti en salles le 23 septembre 1981, jour des 43 ans de Romy Schneider, mais également le jour de son dernier anniversaire : elle meurt le 29 mai 1982.
Adaptations
 
Une nouvelle adaptation – américaine – du roman Brainwash a été réalisé en 2000 par Stephen Hopkins sous le titre Suspicion, avec Gene Hackman, Morgan Freeman et Monica Bellucci, reprenant les rôles respectifs de Michel Serrault, Lino Ventura et Romy Schneider.


Récompenses
 
1981 :
Grand prix du cinéma français Louis Lumière
Prix Méliès
Prix du meilleur scénario au Festival de Montréal : Claude Miller, Jean Herman et Michel Audiard
1982 :
César du meilleur scénario : Claude Miller, Jean Herman et Michel Audiard
César du meilleur acteur : Michel Serrault
César du meilleur second rôle masculin : Guy Marchand
César du meilleur montage : Albert Jurgenson

Nominations
 
1982 :
César du meilleur film
César du meilleur réalisateur : Claude Miller
César de la meilleure photographie : Bruno Nuytten
César du meilleur son : Paul Lainé
 
 
 



A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z, 0-9,
 
 
 
Tags : Garde à vue, Cinéma, Film, Claude Miller, 23 septembre 1981, 23 septembre, 1981, Policier, Lino Ventura, Michel Serrault, Romy Schneider, Guy Marchand, Pierre Maguelon, Jean-Claude Penchenat, Elsa Lunghini, Annie Miller, Michel Such, Didier Agostini, Patrick Depeyrrat, Yves Pignot, Mathieu Schiffman, Serge Malik
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#Posté le dimanche 20 mars 2022 06:30

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