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La Fiat Ritmo est une voiture fabriquée par le constructeur italien Fiat à partir de 1978. Elle succède à la Fiat 128, la voiture qui a révolutionné les habitudes technologiques de Fiat en 1969 : c'était la première traction de la marque. Elle a été présentée au Salon de l'Automobile de Turin, en avril 1978.
La ligne de la carrosserie de la nouvelle voiture, à 3 et 5 portes, très innovante pour l'époque, a été initiée par Pierangelo Andreani et Sergio Sartorelli au Style Avancé Fiat, retravaillée ensuite au Centre Style sous la direction de Giampaolo Boano, est marquée par les angles, mais sans excès. L'habillage intérieur, de style très moderne et en totale rupture avec les modèles Fiat traditionnels, était confortable et fonctionnel à défaut d'afficher un niveau qualitatif suffisant. Deux niveaux de finition accompagnaient chaque type de carrosserie et motorisation.
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La Zizanie est un film français réalisé par Claude Zidi sorti en 1978.
Guillaume Daubray-Lacaze, maire conservateur d'une ville de province, est un industriel au bord de la faillite, quand son usine spécialisée dans la lutte anti-pollution obtient d'un groupe japonais une commande énorme qui peut sauver l'usine : 3 000 appareils de dépollution de l'air, les CX‑22, à livrer sous 90 jours. Mais il manque d'espace pour produire et stocker ces appareils car l'usine est sous-dimensionnée.
Le préfet refusant l'autorisation d'étendre l'usine sur les terrains voisins, Guillaume décide alors d'installer ses machines successivement : dans sa propre maison ; puis, une fois la maison saturée, dans le potager de sa femme, Bernadette, horticultrice, Guillaume simulant une fuite de pétrole qui détruit les cultures ; et enfin dans le jardin d'hiver de sa femme : il congèle la serre tandis que Bernadette y dormait. Furieuse, Bernadette quitte le domicile conjugal. Guillaume la retrouve à l'hôtel où elle est descendue, et déclenche une rixe dans un bal costumé en découvrant qu'elle danse au bras de son médecin, le docteur Landry.
Guillaume promet à Bernadette de remettre la maison en état immédiatement, il la ramène à la maison, les époux s'endorment, et sont réveillés au matin par le tintamarre des machines-outils : rien n'avait bougé le soir précédent, les ouvriers ayant seulement recouvert d'un drap lesdites machines. Bernadette quitte alors à nouveau la maison et se présente comme tête de la liste « Défense de la Nature » contre son propre époux à l'élection municipale, épaulée par le docteur Landry.
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Réalisation : Claude Zidi Scénario, adaptation : Claude Zidi avec la collaboration de Michel Fabre Dialogues : Pascal Jardin Assistant réalisateur : Jacques Santi Musique : Vladimir Cosma Images : Claude Renoir Décors : Théo Meurisse Montage : Robert Isnardon, Monique Insnardon Son : Bernard Aubouy, assisté de Jean-Louis Ughetto, Jean-Bernard Thomasson Stagiaire son : Sophie Chabaut Caméra : Patrick Wyers, Jean-Paul Meurisse Assistant opérateur : Eduardo Serra Régie générale : Patrick Delaneux Costumière : Paulette Breil Coiffures : Alice Schwartz Maquillage : Anatole Paris, Louis Bonnemaison Ensemblier : Roger Joint Script-girl : Many Barthod Casting : Margot Capelier Chef éléctricien : Jacques Touillard Mixeur : Claude Villand Effets spéciaux : Christian Bourqui, Henri Assola, Serge Ponvianne, assisté de Jean François Cousson et Patrick Torossian Cascades réglées par : Daniel Vérité - Doublure cascades "Louis de Funès" : Georges Fabre Accessoiristes : Marcel Laude Bruiteur : André Naudin Générique : Michel Saignes (Eurocitel) - Trucages : Euro-Titres Producteur délégué : Bernard Artigue Une production : les Films Christian Fechner Budget : [21 M.F] Format : 2.35 : 1, CinemaScope Langue : français Genre : comédie burlesque Durée : 93 minutes
Distribution
Louis de Funès : Guillaume Daubray-Lacaze Annie Girardot : Bernadette Daubray-Lacaze Maurice Risch : l'imbécile Julien Guiomar : le docteur Landry Jean-Jacques Moreau : le contremaître / l'adjoint au maire Geneviève Fontanel : madame Berger Jacques François : le préfet Georges Staquet : le délégué-ouvrier Mario David : le camionneur Daniel Boulanger : le directeur du Crédit Agricole Nicole Chollet : Léontine, la servante des Daubray-Lacaze Ibrahim Seck : Ibrahim, un ouvrier Van Duong : le président japonais Joséphine Fresson : la secrétaire de Guillaume Daubray-Lacaze Robert Destain : le directeur de l'hôtel Tanya Lopert : une amie de Bernadette Jacqueline Jefford : l'autre amie de Bernadette Patrice Melennec : un ouvrier Gabriel Marfaing : un ouvrier Jean Cherlian : un ouvrier Vincent Gardair : un ouvrier Henri Attal : un ouvrier Renaud Barbier : un ouvrier Farid Ben Dali : un ouvrier André Badin : M. Bernardin, un ouvrier Christine Hermann : une ouvrière Marcel Azzola : l'accordéoniste Philippe Brigaud : le notaire Hubert Deschamps : le réceptionniste de l'hôtel Pierre-Olivier Scotto : l'imitateur Luang Ham-Chau : Hitchumacho Takashi Kawahara : l'interprète de la délégation Éric Desmaretz : le nouveau chef du personnel Hubert Watrinet : le metteur en scène télé Éric Wasberg : un homme à la soirée costumée de l'hôtel
Autour du film
Le film attire 2 790 000 spectateurs en salles lors de sa sortie. Ce film met à l'affiche deux des plus grandes vedettes du cinéma comique français des années 1970 : Annie Girardot et Louis de Funès. Avant la sortie du film, Jean-Pierre Mocky attaque la production au tribunal pour plagiat parce qu'il avait auparavant proposé à Louis de Funès un projet baptisé Le Boucan dont le scénario ressemblait à celui de La Zizanie. Jean-Pierre Mocky gagne le procès et est indemnisé à hauteur de 250 000 francs, mais il y perd alors le soutien de la profession, l'industrie du cinéma n'acceptant pas qu'on aille devant les tribunaux1. Dans le film, pour se rendre incognito à une soirée, Guillaume (Louis de Funès) met un masque de... Louis de Funès et assiste alors à un concours d'imitation du maire (lui-même). La campagne municipale décrite dans le film (sorti le 22 mars 1978, trois jours après le second tour des élections législatives) rappelle le contexte politique de l'époque : le thème du plein emploi : le taux de chômage étant passé de 3 % en 1975 à 5 % en 1979; la place des femmes : Guillaume dit que celles-ci « n'ont rien à dire ». Il y aura 4,3 % de femmes au parlement en 1978; l'environnement : l'écologie faisait son entrée en politique dans les années 1970. Dans le film, Bernadette présente une liste en faveur de la « protection de la nature » (liste raillée par son époux) et emporte finalement l'élection. L'élection présidentielle de 1974 avait quant à elle vu la première candidature écologiste, incarnée par René Dumont qui réunit alors... 1,32 % des suffrages.
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Candidate représentée par l'Argentine, Silvana Rosa Súarez a été élue Miss Monde 1978 au Royal Albert Hall. Cette année là, 68 candidates ont participé à ce concours.
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