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5 articles taggés Philosophe

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Elena Cornaro Piscopia

Elena Lucrezia Cornaro Piscopia (née le 5 juin 1646 à Venise et morte le 28 juillet 1684 à Padoue) est une philosophe et mathématicienne italienne, membre de la famille Cornaro, qui donna quatre doges à la République de Venise.

Elle fut la première femme à obtenir un doctorat de philosophie, et est passée à la postérité comme ayant été la première femme à obtenir un diplôme universitaire

Elena Cornaro Piscopia

Elena était la cinquième des sept enfants de Giovan Battista Cornaro et de Zanetta Boni. Son père, qui appartenait à l'une des plus importantes familles vénitiennes, était procurateur de la basilique Saint-Marc. Il eut avec Zanetta, une femme de très humble origine, une longue relation au cours de laquelle naquirent tous leurs enfants : tous furent légitimés à leur naissance, mais le couple ne se maria qu'en 1654. En raison de l'origine de la mère, les deux jeunes garçons, Francesco et Girolamo ne purent être inscrits au Livre d'Or de la noblesse avant 1664, quand leur père obtint cette reconnaissance qu'il désirait tant en versant 105 000 ducats.
Cette famille ancienne avait été pendant des siècles exclue des plus hautes magistratures de la République, mais il lui restait le prestige que lui donnaient son nom, son patrimoine et sa culture : le grand-père maternel de Giovan Battista, Giacomo Alvise Cornaro, avait été comme scientifique un des amis de Galilée, son père, Girolamo, érudit en physique, avait constitué une grande bibliothèque ainsi qu'une collection de peintures et d'instruments scientifiques.

Il est probable que Giovan Battista, quand il s'aperçut des qualités de sa fille, favorisa autant qu'il put son enrichissement culturel et son succès auprès du public : il était en fait tout à fait extraordinaire qu'une femme s'imposât dans le domaine des études et un exemple aussi exceptionnel ne pouvait que contribuer au prestige du nom de famille. Elena elle-même semblait bien consciente de cette complaisance un peu vaine de son père, mais ne voulut pas le décevoir, quoiqu'elle n'eût aucune intention d'acquérir de l'érudition pour en faire étalage dans les salons et les académies.

De fait, la preuve de son penchant pour une vie retirée est bien montrée par le fait qu'en 1665 Elena se fit oblate bénédictine, un choix qui apparaît comme un compromis avec sa vocation religieuse : de cette manière, tout en observant la règle de l'Ordre, elle pouvait échapper à la réclusion monastique et fréquenter le monde extérieur où il lui était possible de trouver la liberté et les moyens de poursuivre les études de son choix.
Quoi qu'il en soit, le père d'Elena tint à lui assurer la meilleure instruction : ses professeurs de grec furent jusqu'en 1668 Giovan Battista Fabris, curé de l'église de San Luca, puis Alvise Gradenigo, bibliothécaire de la Marciana qui avait longtemps vécu à Candie tandis que Giovanni Valier, chanoine de San Marco, lui donnait des leçons de latin. C'est peut-être le jésuite Carlo Maurizio Vota qui lui inculqua des notions de science tandis que Carlo Renaldini, professeur à Pise puis à Padoue, lui enseigna la philosophie. Elena apprit également l'hébreu et l'espagnol grâce au rabbin Shemel Aboaf et la théologie grâce à Felice Rotondi, qui enseigna par la suite à l'université de Padoue

Désormais réputée pour ses connaissances parmi les spécialistes italiens, elle fut accueillie en 1669 à l'Académie des Ricovrati de Padoue, et ensuite à l'Accademia degli Infecondi de Rome dans l'Accademia degli Intronati de Sienne, à l'Accademia degli Erranti de Brescia et les Académies des Dodonei et des Pacifici de Venise. Sa renommée s'étendit à l'étranger : le cardinal Frédéric de Hesse-Darmstadt la consulta en 1670 sur des problèmes de géométrie dans l'espace ; de Genève, Louise de Frotté, nièce du célèbre médecin Théodore de Mayerne, invita en 1675 Gregorio Leti à faire entrer Elena Cornaro dans son recueil de biographies de personnages célèbres, L'Italia regnante, et en 1677 le cardinal Emmanuel de Bouillon la fit interroger par deux érudits, Charles Caton de Court et Ludovic Espinay de Saint-Luc, qui en restèrent admiratifs

Après qu'Elena eut soutenu en public à Venise une discussion de philosophie en grec et en latin, son père, Giovan Battista, aurait souhaité que l'université de Padoue accordât à sa fille un doctorat en théologie, mais il se heurta à l'opposition de l'évêque de Padoue, le cardinal Gregorio Barbarigo, dont l'autorisation était indispensable puisqu'il était chancelier de l'université. Il soutint qu'il était « hors de question d'accorder le titre de docteur à une femme » et que ce serait quelque chose « à nous rendre ridicules à tout le monde. » Il s'ensuivit un conflit entre le cardinal et Cornero, qui se termina par un compromis selon lequel Elena obtiendrait un doctorat en philosophie : le 25 juin 1678 elle soutint sa thèse et fut accueillie dans le Collège des médecins et des philosophes des savants padouans, bien qu'il lui fût impossible d'enseigner de toutes façons puisqu'elle était une femme. Elle devint ainsi la première femme au monde à être diplômée d'un titre universitaire

Établie à Padoue, déjà gravement malade, elle mourut à trente-huit ans seulement, le 26 juillet 1684, et fut enterrée dans l'église de Santa Giustina. Elle avait ordonné que tous ses manuscrits seraient détruits, et le peu qu'il en restait, consistant en discours et argumentations morales et religieuses, avec quelques poèmes, fut publié à titre posthume: Benedetto Croce trouve « très faible, voire nulle, la valeur de toute cette littérature ascétique et de ces rimailleries spirituelles. » Au cours de sa vie, elle a publié seulement, en 1669, une traduction de l'espagnol d'un opuscule spirituel de Johannes Justus von Landsberg (de), Alloquia Jesu Christi ad animam fidelem
Tags : Elena Cornaro Piscopia, 5 juin 1646, 5 juin, 1646, Décès, 28 juillet 1684, 28 juillet, 1684, Philosophe, Mathématicienne
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#Posté le mardi 14 mai 2013 03:30

Léonard de Vinci

Léonard de Vinci (Leonardo di ser Piero da Vinci écouter, dit Leonardo da Vinci), né à Vinci le 15 avril 1452 et mort à Amboise le 2 mai 1519, est un peintre italien et un homme d'esprit universel, à la fois artiste, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, peintre, sculpteur, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, poète, philosophe et écrivain.

Léonard de Vinci
Autoportrait de Léonard de Vinci réalisé entre 1512 et 1515, 33 × 21,6 cm, bibliothèque royale de Turin.

Après son enfance à Vinci, Léonard est élève auprès du célèbre peintre et sculpteur florentin Andrea del Verrocchio. Ses premiers travaux importants sont réalisés au service du duc Ludovic Sforza à Milan. Il ½uvre ensuite à Rome, Bologne et Venise et passe les dernières années de sa vie en France, à l'invitation du roi François Ier.

Léonard de Vinci est souvent décrit comme l'archétype et le symbole de l'homme de la Renaissance, un génie universel et un philosophe humaniste dont la curiosité infinie est seulement égalée par la force d'invention. Nombre d'auteurs et historiens le considèrent comme un des plus grands peintres de tous les temps et certains comme la personne la plus talentueuse dans le plus grand nombre de domaines différents ayant jamais vécu.

C'est d'abord comme peintre que Léonard de Vinci est reconnu. Deux de ses ½uvres, La Joconde et La Cène, sont des peintures très célèbres, souvent copiées et parodiées, et son dessin de l'Homme de Vitruve est également repris dans de nombreux travaux dérivés. Seules une quinzaine d'½uvres sont parvenues jusqu'à nous ; ce petit nombre est dû à ses expérimentations constantes et parfois désastreuses de nouvelles techniques et à sa procrastination chronique. Néanmoins, ces quelques ½uvres, jointes à ses carnets, qui contiennent des dessins, des diagrammes scientifiques et des réflexions sur la nature de la peinture, sont un legs aux générations suivantes d'artistes seulement égalé par Michel-Ange.

Comme ingénieur et inventeur, Léonard développe des idées très en avance sur son temps, comme l'avion, l'hélicoptère, le char de combat, le sous-marin jusqu'à l'automobile. Très peu de ses projets sont construits, ou même seulement réalisables de son vivant, mais certaines de ses plus petites inventions comme une machine pour mesurer la limite élastique d'un câble entrent dans le monde de la manufacture. En tant que scientifique, Léonard de Vinci a beaucoup fait progresser la connaissance dans les domaines de l'anatomie, du génie civil, de l'optique et de l'hydrodynamique.



Tags : Léonard de Vinci, 15 avril 1452, 15 avril, 1452, Décès, 2 mai 1519, 2 mai, 1519, Scientifique, Ingénieur, Inventeur, Anatomiste, Peintre, Scupteur, Architecte, Urbaniste, Botaniste, Musicien, Poète, Philosophe, Ecrivain
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#Posté le dimanche 22 juillet 2012 11:49

Modifié le dimanche 22 juillet 2012 12:23

Léonard de Vinci : Gian Giacomo Caprotti da Oreno

Gian Giacomo Caprotti da Oreno, dit « il Salaino » (« le petit diable ») ou Salai, a été décrit par Giorgio Vasari comme « un gracieux et beau jeune homme avec des cheveux fins et bouclés, en lequel Léonard était grandement ravi ». Salai entre au service de Léonard en 1490 à l'âge de 10 ans. Leur relation n'est pas facile. Un an plus tard, Léonard fait une liste des délits du garçon, le qualifiant de « voleur », « menteur », « têtu » et « glouton ». Le « petit diable » avait volé de l'argent et des objets de valeur au moins à cinq reprises, et avait dépensé une fortune en vêtements, dont vingt-quatre paires de chaussures. Néanmoins, les carnets de Léonard des premières années de leur relation contiennent beaucoup d'images de l'adolescent. Salai est resté son serviteur et son assistant durant les trente années suivantes.

Léonard de Vinci : Gian Giacomo Caprotti da Oreno
Salai servit de modèle pour Saint Jean Baptiste, 1513-1516 (69 x 57 cm), Paris, Musée du Louvre.

En 1506, Léonard prend comme élève Francesco Melzi, âgé de 15 ans, fils d'un aristocrate lombard. Melzi devient le compagnon de vie de Léonard et il est considéré comme son élève favori. Il se rend en France avec Léonard et Salai, et reste avec lui jusqu'à sa mort. Salai quitte cependant la France en 1518 pour retourner à Milan. Il y construit une maison dans le vignoble de la propriété de Léonard qu'il s'est finalement vu léguer. En 1525, Salai meurt d'une mort violente, soit assassiné, soit à la suite d'un duel.

Salai exécute un certain nombre de tableaux sous le nom d'« Andrea Salai », mais, bien que Giorgio Vasari prétende que Léonard « lui a appris beaucoup de choses sur la peinture », son travail est généralement considéré comme étant de moindre valeur artistique que celui des autres élèves de Léonard, comme Marco d'Oggiono ou Giovanni Antonio Boltraffio. En 1515, il peint une version nue de La Joconde, dite « Monna Vanna ». À sa mort en 1525, la Joconde appartenant à Salai a été évaluée à cinq cent cinq lires, ce qui est une valeur exceptionnellement élevée pour un portrait de petite taille.

Giovanni Antonio Boltraffio et Marco d'Oggiono rejoignent l'atelier de Léonard lorsqu'il est de retour à Milan, mais de nombreux autres élèves moins connus tels que Giovanni Ambrogio de Predis, Bernardino de Conti, Francesco Napoletano ou encore Andrea Solario sont aussi présents.


Tags : Léonard de Vinci, 15 avril 1452, 15 avril, 1452, Décès, 2 mai 1519, 2 mai, 1519, Scientifique, Ingénieur, Inventeur, Anatomiste, Peintre, Scupteur, Architecte, Urbaniste, Botaniste, Musicien, Poète, Philosophe, Ecrivain, Gian Giacomo Caprotti da Oreno
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#Posté le mardi 07 août 2012 11:00

Léonard de Vinci : Enfance

Léonard de Vinci est né le samedi 15 avril 1452 « à la troisième heure de la nuit », c'est-à-dire trois heures après l'Ave Maria, soit 22 h 30, d'une relation amoureuse illégitime entre son père, Messer Piero Fruosino di Antonio da Vinci (it), notaire, chancelier et ambassadeur de la République florentine et descendant d'une riche famille de notables italiens, et sa mère, Caterina, une humble fille de paysans, dans le petit village toscan d'Anchiano, un village situé à deux kilomètres de Vinci, sur le territoire de Florence en Italie. Une étude dactyloscopique en 2006 note que Caterina pourrait être une esclave venue du Moyen-Orient.


Léonard de Vinci : Enfance
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Léonard, ou plutôt Lionardo selon son nom de baptême, est baptisé puis passe ses cinq premières années chez son père à Vinci, où il est traité comme un enfant légitime. Il a cinq marraines et cinq parrains, tous habitant le village. Il reçoit une instruction et acquiert ainsi la lecture, l'écriture et l'arithmétique. Néanmoins, il n'étudie pas sérieusement le latin, base de l'enseignement traditionnel, et une orthographe chaotique montre que cette instruction n'est pas sans lacune : en tout cas, elle ne fut pas celle d'un universitaire.

À cette époque, les conventions d'appellation modernes ne se sont pas encore développées en Europe. Seules les grandes familles font usage du nom de leur appartenance patronymique. L'homme du peuple est désigné par son prénom auquel on adjoint toute précision utile : le nom du père, le lieu d'origine, un surnom, le nom du maître pour un artisan, etc. Par conséquent, le nom de l'artiste est Leonardo di ser Piero Da Vinci, ce qui signifie Leonardo, fils de maître Piero De Vinci ; néanmoins le « Da » porte une majuscule afin de distinguer qu'il s'agit d'un patronyme. Léonard lui-même signe simplement ses travaux Leonardo ou Io, Leonardo (« Moi, Léonard »). La plupart des autorités rapportent donc ses travaux à Leonardo sans le da Vinci. Vraisemblablement, il n'emploie pas le nom de son père parce qu'il est un enfant illégitime. « Vinci » provient du nom des « vinchi », plantes assimilables à des joncs, utilisées dans l'artisanat toscan et poussant près du ruisseau Vincio.

En 1457, il a 5 ans quand sa mère se marie avec Antonio di Piero Buti del Vacca da Vinci, un paysan de la ville, avec lequel elle aura cinq enfants. Il est alors admis dans la maison de la famille de son père, du village de Vinci, qui, entre-temps, a épousé une jeune fille d'une riche famille de Florence, âgée de 16 ans, Albiera degli Amadori. Celle-ci, sans enfants, reporte toute son affection sur Léonard, mais elle meurt très jeune en couches en 1464. Considéré dès sa naissance comme un fils à part entière par son père, il ne fut cependant jamais légitimé. Son père se maria quatre fois et lui donna dix frères et deux s½urs légitimes venus après Léonard. Il aura de bons rapports avec la dernière femme de son père, Lucrezia Guglielmo Cortigiani, et laissera une note l'appelant « chère et douce mère ». Il est également élevé par son oncle Francesco qui joue un rôle important dans sa formation et son grand-père Antonio da Vinci qui lui apprend le don d'observation de la nature, lui répétant constamment « Po l'occhio ! » (ouvre l'½il !).

Sa grand-mère paternelle, Lucia di ser Piero di Zoso, céramiste et proche de Léonard, est peut-être la personne qui l'initia aux arts. Un présage connu rapporte qu'un milan venu du ciel aurait fait un vol stationnaire au-dessus de son berceau, la queue de l'oiseau le touchant au visage.

Giorgio Vasari, le biographe du xvie siècle des peintres de la Renaissance, raconte, dans Le Vite (1568), l'histoire d'un paysan local qui demanda à ser Piero que son talentueux fils peigne une image sur une plaque. Léonard peignit une image représentant un dragon crachant du feu, si réussie que ser Piero la vendit à un marchand d'art florentin, qui lui-même la revendit au duc de Milan. Entre-temps, après avoir réalisé un bénéfice, ser Piero acheta une plaque décorée d'un c½ur transpercé d'une flèche, qu'il donna au paysan. Cette anecdote est cependant à prendre avec précaution car, selon Paul Barolsky, de nombreux récits des Vite constituent de pures inventions poétiques.
Tags : Léonard de Vinci, 15 avril 1452, 15 avril, 1452, Décès, 2 mai 1519, 2 mai, 1519, Scientifique, Ingénieur, Inventeur, Anatomiste, Peintre, Scupteur, Architecte, Urbaniste, Botaniste, Musicien, Poète, Philosophe, Ecrivain
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#Posté le dimanche 22 juillet 2012 12:02

Modifié le mardi 16 octobre 2018 20:37

Leonardo de Vinci (La joconde / Mona Lisa)

Leonardo de Vinci (La joconde / Mona Lisa)

Tags : Art, Peinture, Toile, Peintre, Leonardo de Vinci, La Joconde, Léonard de Vinci, 15 avril 1452, 15 avril, 1452, Décès, 2 mai 1519, 2 mai, 1519, Scientifique, Ingénieur, Inventeur, Anatomiste, Scupteur, Architecte, Urbaniste, Botaniste, Musicien, Poète, Philosophe, Ecrivain
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#Posté le samedi 17 mars 2012 15:50

Modifié le vendredi 13 avril 2012 15:16

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