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5 articles taggés 1847

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Marie Louise, duchesse de Parme

Marie Louise, duchesse de Parme


 
Portrait par François Gérard
 
 
 
 
 
Marie Louise (Maria Ludovica Leopoldina Franziska Therese Josepha Lucia; Italien : Maria Luisa Leopoldina Francesca Teresa Giuseppa Lucia ; 12 décembre 1791-17 décembre 1847) était une archiduchesse autrichienne qui régna en tant que duchesse de Parme de 1814 jusqu'à sa mort. Elle fut la seconde épouse de Napoléon et, à ce titre, l' impératrice des Français de 1810 à 1814.
 
En tant qu'enfant aîné de l' empereur des Habsbourg François II d'Autriche et de sa seconde épouse, Marie-Thérèse de Naples et de Sicile , Marie Louise a grandi pendant une période de conflit continu entre l' Autriche et la France révolutionnaire . Une série de défaites militaires aux mains de Napoléon Bonaparte avait infligé un lourd tribut humain à l'Autriche et conduit François à dissoudre le Saint Empire romain . La fin de la guerre de la Cinquième Coalition aboutit au mariage de Napoléon et de Marie Louise en 1810, qui inaugure une brève période de paix et d'amitié entre l'Autriche et l' Empire français. Marie Louise a accepté le mariage bien qu'elle ait été élevée pour mépriser la France. Elle était adorée par Napoléon, qui avait hâte d'épouser un membre de l'une des principales maisons royales d'Europe pour cimenter son Empire relativement jeune. Avec Napoléon, elle enfanta un fils, appelé le roi de Rome à la naissance, plus tard duc de Reichstadt, qui lui succéda brièvement sous le nom de Napoléon II .
 
La fortune de Napoléon a radicalement changé en 1812 après son invasion ratée de la Russie . Les puissances européennes, y compris l'Autriche, ont repris les hostilités contre la France dans la guerre de la sixième coalition , qui s'est terminée par l'abdication de Napoléon et son exil à l' île d' Elbe . Le traité de Fontainebleau de 1814 remit les duchés de Parme, Plaisance et Guastalla à l'impératrice Marie Louise. Elle a dirigé les duchés jusqu'à sa mort.
 
Marie Louise s'est mariée morganatiquement deux fois après la mort de Napoléon en 1821. Son second mari était le comte Adam Albert von Neipperg (marié en 1821), un écuyer qu'elle rencontra en 1814. Elle et Neipperg eurent trois enfants. Après la mort de Neipperg, elle épousa le comte Charles-René de Bombelles , son chambellan, en 1834. Marie Louise mourut à Parme en 1847.
 
 
https://en.wikipedia.org/wiki/Marie_Louise,_Duchess_of_Parma
 


 


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Tags : Marie Louise, duchesse de Parme, 12 décembre 1791, 12 décembre, 1791, Décès, 17 décembre 1847, 17 décembre, 1847, François Gérard
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#Posté le vendredi 17 décembre 2021 02:00

Achille Murat

 Achille Murat
 
 
 
 
 
Achille Murat en uniforme avec son frère, ses s½urs et sa mère Caroline Bonaparte, vers 1808. Tableau de François Gérard



.
 
Achille Charles Louis Napoléon Murat (en italien : Achille Carlo Luigi Napoleone Murat), prince héritier de Berg et de Clèves (1806-1808) puis prince royal de Naples (1808-1815) et enfin 2e prince Murat (1815-1847), est né à l'Hôtel de Brienne, à Paris, le 21 janvier 1801, et est décédé dans sa résidence "Lipona", une plantation près de Waukeenah, aujourd'hui située dans le comté de Jefferson, en Floride, le 15 avril 1847. C'est une personnalité du Premier Empire.
 
 
Le prince Achille est le fils aîné du maréchal Joachim Murat (1767-1815), grand-duc de Berg et de Clèves (1806-1808) puis roi de Naples (1808-1815), et de son épouse la princesse française Caroline Bonaparte (1782-1839).
 
Par sa mère, le prince Achille est donc le neveu de l'empereur des Français Napoléon Ier (1769-1821) et le cousin germain de l'empereur Napoléon III (1808-1873). Enfin, par son père, il est le cousin de Marie-Antoinette Murat (1793-1847), princesse de Sigmaringen par son mariage avec le prince Charles de Hohenzollern (1785-1853).
 
Le 12 juillet 1826, le prince Achille épouse, à Tallahassee, en Floride, Catherine Willis Gray (1803-1867), arrière-petite-nièce du président américain George Washington (1732-1799). Mais le mariage reste sans postérité et les titres du prince Achille sont transmis à son frère cadet, Lucien Murat (1803-1878).
 
 
Biographie
 
Fils aîné du maréchal-roi Joachim Murat et de son épouse Caroline Bonaparte, il est éduqué par le précepteur peintre et graveur Claude-François Fortier. Il est emprisonné pendant plusieurs années en Autriche, d'abord près de Trieste puis au château de Frohsdorf, après la chute et l'exécution de son père, en 1815. En 1821, il quitte l'Europe pour les États-Unis et s'établit en Floride, comme propriétaire d'une plantation dans le comté de Tallahassee qu'il baptisa Lipona Plantation (en), anagramme de « Napoli » (en français, Naples)2. Devenu citoyen américain et demeurant à Tallahassee, il intègre la milice locale puis s'engage dans l'armée lorsque éclatent les guerres séminoles, ce qui lui vaut d'être nommé colonel.
 
Dans les mêmes moments, il rencontre une arrière-petite-nièce du président George Washington, Catherine Willis Gray (17 août 1803 - 6 août 1867) qu'il épouse le 12 juillet 1826. Le couple part alors pour La Nouvelle-Orléans, où le prince travaille comme avocat.
 
Après la Révolution de juillet 1830, le prince Achille revient en Europe dans l'espoir de retrouver une partie de la fortune de ses parents. Il participe alors à la guerre d'indépendance belge et sert comme colonel aux côtés des insurgés. Mais, incapable de faire valoir ses droits sur l'héritage des Murat, il rentre aux États-Unis et revient vivre sur ses terres de Floride.
 
Le prince Murat trouve la mort en 1847, un an avant l'élection de son cousin Louis-Napoléon Bonaparte à la présidence de la République française. Il est enterré dans le cimetière de l'église épiscopalienne St. Johns de Tallahassee. N'ayant jamais eu d'enfant, le prince transmet ses titres à son frère cadet, le prince Lucien Murat.
 
Quelques années plus tard, la France étant redevenue un Empire, la veuve du prince Achille reçoit de Napoléon III une somme de 40 000 dollars ainsi qu'une confortable pension annuelle jusqu'à sa mort, en 1867.
 
 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Achille_Murat
 
 

 
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Tags : Achille Charles Louis Napoléon Murat, Achille, 21 janvier 1801, 21 janvier, 1801, Paris, 15 avril 1847, 15 avril, 1847, Waukeenah, François Gérard
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#Posté le jeudi 21 janvier 2021 02:00

Modifié le vendredi 15 avril 2022 14:07

Nicolas Charles Oudinot

Nicolas Charles Oudinot, né le 25 avril 1767 à Bar-le-Duc, mort le 13 septembre 1847, duc de Reggio et maréchal d'Empire.

Nicolas Charles Oudinot

Nicolas-Charles Oudinot est issu de la petite bourgeoisie meusienne. Après des études dans sa ville natale puis à Toul, il s'engagea en 1784, à l'âge de dix-sept ans, dans le régiment de Médoc-infanterie, son caractère ne l'inclinant guère à participer aux affaires de la brasserie paternelle. Revenu dans sa région trois ans plus tard avec le grade de sergent, il y épousa Françoise-Charlotte Derlin en septembre 1789, année où les premiers événements de la Révolution lui fournirent l'occasion de se révéler.
Le 14 juillet 1789, une compagnie soldée, formée à Bar, plaça à sa tête l'ancien soldat du Médoc-infanterie avec le grade de capitaine. Ayant montré sa fermeté et son esprit de décision lors de quelques troubles qui agitèrent cette ville, Oudinot fut désigné en 1790 comme chef de légion, commandant la Garde nationale du département, puis, le 6 septembre 1791, élu à la majorité des suffrages lieutenant-colonel du 3e bataillon des volontaires de la Meuse, avec lequel il partit pour la frontière du Nord-Est.


À la suite de sa remarquable défense de Bitche, il fut promu chef de brigade (colonel) le 5 novembre 1793 et se vit attribuer le commandement de la 4e demi-brigade, qui venait d'être constituée avec l'un des plus brillants éléments de l'armée monarchique, le régiment de Picardie. En décembre de la même année, à l'affaire d'Haguenau il reçut la première d'une longue série de blessures qui firent de lui le maréchal le plus blessé de l'Empire. Quelques mois plus tard, sa conduite à Kaiserslautern, où il se fraya un passage à la baïonnette dans les rangs prussiens, lui valut le grade de général de brigade (14 juin 1794). Il avait alors vingt-sept ans et, comme la plupart des futurs maréchaux de l'Empire, était parvenu à ce grade bien avant le 18 Brumaire. En octobre 1795, victime de cinq coups de sabre à Neckerau et laissé sur le terrain, il fut fait prisonnier par les Autrichiens. Libéré l'année suivante à la suite d'un échange d'officiers supérieurs, il rejoignit les armées du Rhin et de la Moselle commandées par le général Moreau. En 1799, pendant la campagne d'Helvétie, il se distingua à la prise de Zurich et à celle de Constance, étant alors chef d'état-major de Masséna qui le fit nommer général de division (12 avril 1799).

Oudinot prit ensuite part à toutes les grandes campagnes du Consulat et de l'Empire, à l'exception de celles d'Espagne et du Portugal. Auprès de Masséna, il soutint avec l'armée de Ligurie le siège de Gênes, place qui fut évacuée avec les honneurs de la guerre après avoir permis à Bonaparte de franchir les Alpes. Lors des dernières opérations en Italie, il s'illustra, notamment par un fait d'armes personnel en s'emparant avec son état-major d'une batterie autrichienne gardant le passage du Mincio (décembre 1800). En février 1805, à la veille de la formation de la troisième coalition, il reçut le commandement en chef des grenadiers réunis, soldats d'élite qui ne furent bientôt plus connus que sous le nom de « Grenadiers d'Oudinot » : il remporta l'année même une série de succès à Wertingen, Amstetten. Vienne et Hollabrünn, puis contribua à la victoire d'Austerlitz. Il rendit de précieux services en 1806 durant la campagne de Prusse, enleva Ostrolenka par une brillante charge de cavalerie Tannée suivante (février 1807) et se couvrit de gloire face aux Russes à Friedland (juin 1807). Le 25 juillet 1808. l'Empereur lui accorda le titre de comte de l'Empire avec pour dotation le domaine d'Inowaclo (Pologne). A la tête de sa troupe — surnommée « la colonne infernale » tant elle inspirait de crainte dans les rangs ennemis —, il se signala durant la campagne d'Autriche (1809) à Ebersberg puis Essling. Quand Lannes fut mis hors de combat, l'Empereur donna « le commandement du 2ecorps au comte Oudinot, général éprouvé dans cent combats, où il a montré autant d'intrépidité que de savoir» (23 mai, 10e Bulletin de la Grande Armée). Peu après, il fit des prodiges de valeur à Wagram, où il força la victoire en outrepassant les ordres de Napoléon, qui lui donna son bâton de maréchal le 12 juillet 1809 et le titre de duc de Reggio.

S'il semble bien que l'Empereur voyait, depuis plusieurs années déjà, en lui l'un de ses futurs maréchaux, divers facteurs ont pu venir retarder son élévation à cette dignité : Oudinot était de l'armée du Rhin el n'avait rencontré Bonaparte pour la première fois qu'après l'instauration du Consulat; républicain affiché, il fit longtemps partie du groupe des généraux « d'opposition »; s'il était un meneur d'hommes d'une bravoure exceptionnelle, il n'était toutefois pas un grand stratège ; ses multiples blessures, enfin, le tinrent trop souvent écarté aux moments où se distribuaient les distinctions. À l'intrépidité Oudinot joignait un esprit chevaleresque reconnu de ses adversaires et, dernière la rudesse extérieure de son caractère, un indéniable savoir-faire qui contribuèrent sans doute à lui faire attribuer certaines missions plus diplomatiques que militaires avant comme après son accession au maréchalat.

Chargé, en 1806, de prendre possession au nom de Berthier de la principauté de Neuchâtel (Suisse) cédée à la France par la Prusse, il s'attira, par son équité et son désintéressement, la reconnaissance des habitants qui, à son départ, lui offrirent une épée d'honneur et la citoyenneté de Neuchâtel. Gouverneur d'Erfurt, il eut la tâche délicate de veiller au bon déroulement d'un congrès (septembre 1808) où étaient conviés nombre de souverains et princes d'Europe autour de Napoléon et du tsar, auquel l'Empereur le présenta comme « le Bayard de l'armée française ». Lors de l'abdication de Louis Bonaparte du trône de Hollande, Napoléon, ayant décidé d'annexer ce pays à l'Empire, en confia l'occupation à Oudinot, qui sut concilier dans cette opération (1810) la fermeté qu'exigeait l'application des ordres reçus, le respect que demandait le sort d'un peuple éprouvé et les égards qu'appelait la situation du frère de l'Empereur.

C'est durant son séjour en Hollande qu'Oudinot apprit le décès de sa femme dont il avait eu sept enfants. Quelque temps plus tard, le 19 janvier 1812, il épousa Marie-Charlotte-Eugénie de Coucy, jeune femme de l'aristocratie de l'Ancien Régime, qui lui donna quatre autres descendants venant agrandir une famille où le métier des armes fut largement représenté. Tous ses fils embrassèrent la carrière militaire : l'aîné, Victor, lieutenant des hussards en 1809, chef d'escadron à la fin de l'Empire, reçut en 1849, une fois devenu général, le commandement en chef du corps expéditionnaire français contre la République romaine ; le deuxième, Auguste, colonel des chasseurs d'Afrique, trouva la mort durant la conquête de l'Algérie ; le troisième, Charles, fut lieutenant-colonel d'infanterie et le quatrième, Henri, général de brigade. Deux de ses gendres, Claude Pajol et Guillaume de Lorencez, étaient de brillants généraux de division qui, comme le maréchal, firent les dernières campagnes de l'Empire.

Chef du 2e corps pendant la campagne de Russie, Oudinot remporta plusieurs succès autour de Pulutsk (août 1812) et montra le plus admirable courage en ouvrant à l'armée le passage de la Bérézina (novembre 1812).
Commandant le 12e corps, le 4e, puis le 7e et 12e corps réunis durant la campagne d'Allemagne, il se battit comme un lion à Bautzen (mai 1813), mais fut refoulé par Bernadotte à Gross-Beeren (août 1813) ; il conduisit ensuite avec héroïsme deux divisions de la Jeune Garde à Wachau puis à Freiburg (octobre 1813) et, lors de la campagne de France, fit preuve d'une remarquable bravoure à La Rolhière (février 1814) et à Arcis-sur-Aube (mars 1814), où il reçut sa trente-deuxième blessure. Oudinot fut enfin de ceux qui, étant encore à Fontainebleau le 4 avril 1814, incitèrent alors l'Empereur à l'abdication,

Rallié au gouvernement provisoire après l'abdication de Napoléon, le 20 mai 1814 le maréchal Oudinot se vit remettre par Louis XVIII le commandement en chef du corps royal des grenadiers et chasseurs à pied (ex-Garde impériale), puis fut nommé ministre d'Etat, pair de France et gouverneur de la 3e division militaire. Durant les Cent-Jours, dégagé de ses serments envers l'Empereur mais non de ceux qu'il avait prêtés aux Bourbons, il fit savoir à Davout, alors ministre de la Guerre, qu'il n'entendait pas « jouer un double rôle ni servir deux maîtres » et souhaitait rester dans ses terres, ce qu'il confirma ensuite directement à l'Empereur qui l'avait appelé à Paris (avril 1815) : « Je ne servirai personne, Sire, puisque je ne vous servirai pas. » Conduite loyale à laquelle Napoléon rendit hommage à Sainte-Hélène.

Au retour de Louis XVIII, Oudinot devint major général de la Garde royale (8 septembre 1815), puis reçut le commandement en chef de la Garde nationale de Paris qu'il conserva jusqu'à la dissolution de ce corps (1827), tandis que sa femme se voyait confier la charge de dame d'honneur de la duchesse de Berry.
Oudinot, qui bénéficia vraiment de la confiance des gouvernements de la Restauration, fut mis à la tête du 1er corps de l'armée des Pyrénées conduite par le duc d'Angoulême lors de la guerre d'Espagne (1823) et mena ses troupes à Madrid dans une campagne à caractère plus politique que guerrier.

Resté d'abord à l'écart du gouvernement de Juillet, le maréchal vieillissant accepta ensuite les fonctions de grand chancelier de la Légion d'honneur (1839), puis, trois ans plus tard, de gouverneur de l'hôtel des Invalides, où il s'éteignit le 13 septembre 1847.


Nicolas Charles Oudinot

Nicolas Charles Oudinot, by Robert Lefèvre


Nicolas Charles Oudinot
Tags : Nicolas Charles Oudinot, Meuse, Personnalité née en Meuse, Bar-le-Duc, 25 avril 1767, 25 avril, 1767, Décès, 13 septembre 1847, 13 septembre, 1847, Maréchal d'Empire, Nicolas
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#Posté le dimanche 13 septembre 2020 01:30

Thomas Edison


Thomas Edison





Thomas Alva Edison, né le 11 février 1847 à Milan dans l'Ohio et mort le 18 octobre 1931 à West Orange dans le New Jersey, est un inventeur, un scientifique et un industriel américain.
Fondateur de la General Electric, l'une des premières puissances industrielles mondiales, il fut un inventeur prolifique (plus de 1 000 brevets). Pionnier de l'électricité, diffuseur, vulgarisateur, il fut également l'un des principaux inventeurs du cinéma (aux côtés, entre autres, de William Kennedy Laurie Dickson, Émile Reynaud, Louis Lumière, Jules Carpentier) et de l'enregistrement du son. Il est parfois surnommé « le sorcier de Menlo Park », ville du New Jersey rebaptisée « Edison » en son honneur en 1954.
 
Enfance autodidacte
 
 

 

Thomas Alva Edison est le septième et dernier enfant de Samuel Edison (1804-1896), Canadien d'origine néerlandaise, qui dut fuir le Canada pour avoir participé aux rébellions de 1837-1838 et qui fut tour à tour brocanteur, épicier, agent immobilier, charpentier. Sa mère, Nancy Elliot (1810-1871), ancienne institutrice, était également Canadienne mais d'origine écossaise. Le père de Nancy était un héros de la guerre d'indépendance des États-Unis. Thomas Alva Edison est le cadet d'une famille modeste qui le stimule intellectuellement et politiquement.
 
En 1854, alors qu'il est âgé de 7 ans, sa famille s'installe à Port Huron dans le Michigan où son père obtient un emploi de charpentier. Son professeur, le révérend Engle, le considère comme un hyperactif stupide car il se montre trop curieux, pose trop de questions et n'apprend pas assez rapidement. Après trois mois de cours, il est renvoyé de son établissement scolaire. Aidé par sa mère qui lui donne des cours à la maison, il complète alors sa formation de base en parfait autodidacte, lisant des grands auteurs comme Charles Dickens ou Shakespeare, et dévorant tous les livres de science que sa mère lui apporte, notamment l'ouvrage de physique expérimentale School of Natural Philosophy de Richard Green Parker. Il fréquente assidûment la bibliothèque de Détroit : « Si mes souvenirs sont exacts, je commençai par le premier livre du rayon du bas pour dévorer ensuite tout le reste, l'un après l'autre. Je n'ai pas lu quelques livres ; j'ai lu la bibliothèque entière ».
 
En 1857, âgé de 10 ans, Thomas possède déjà un vrai petit laboratoire de chimie dans le sous-sol de la maison de ses parents pour développer son intelligence et ses capacités, en reproduisant les expériences de School of Natural Philosophy.
 
En 1859, âgé de 12 ans, Thomas obtient la concession exclusive de vendeur de journaux, boissons, cigares, cigarettes, bonbons, dans le train de la « Grand Trunk Railway » qui fait l'aller-retour quotidien Port Huron-Detroit, en utilisant ses premières économies pour acheter des produits chimiques à la pharmacie locale. Il en profite pour vendre dans les gares des fruits et légumes. Avec l'argent gagné et l'aide de quatre assistants, il s'achète vers 1862 une presse d'imprimerie d'occasion qu'il installe dans un wagon à bagages pour la rédaction et l'impression (durant les trajets) de son propre mini-journal hebdomadaire le Weekly Herald, premier à paraître à bord d'un train, tiré à 400 exemplaires. Le 6 avril 1862, Edison annonce à ses voyageurs lecteurs, grâce à un ami télégraphiste de Détroit, les nouvelles de la bataille de Shiloh. La même année, il s'intéresse également au télégraphe du train, inventé en 1838 par Samuel Morse. Il est autorisé à aménager son laboratoire de chimie dans son wagon à bagages-imprimerie. Il poursuit ses expériences durant les haltes de 5 heures à Détroit. Une embardée du train renverse un flacon de phosphore et provoque un incendie, ce qui lui vaut son renvoi immédiat avec cependant ses premiers 2 000 dollars de gain commercial, fièrement gagnés.
 
Âgé de 13 ans, il attrape la scarlatine dont il ressort pratiquement sourd, même si Edison forge sa légende en racontant qu'il eut une surdité partielle de l'oreille gauche après qu'un cheminot l'eut empoigné par les oreilles (autre version qu'il donne : l'eut giflé) alors que son laboratoire de chimie prenait feu. Dès lors, ce handicap influence fortement son caractère, comme il l'explique lui-même : « J'étais exclu de cette forme particulière des relations sociales qu'on appelle le bavardage. Et j'en suis fort heureux... Comme ma surdité me dispensait de participer à ces bavardages, j'avais le temps et la possibilité de réfléchir aux problèmes qui me préoccupaient ». Ce comportement renfermé sur la pensée et la réflexion influence aussi l'orientation de ses recherches. Son désir d'améliorer le sort de l'humanité décuple son avidité pour la lecture, en particulier pour les ouvrages de chimie, d'électricité, de physique et de mécanique. « Ma surdité m'avait appris que presque n'importe quel livre peut être agréable ou instructif ».
 
Employé télégraphiste
 
 

 

Toujours en 1862, Thomas Edison sauve héroïquement Jimmie MacKenzie, un enfant de trois ans qui était sur le point d'être écrasé par un train. Le père de l'enfant, J.U. MacKenzie, chef de gare à Port Huron, accepte d'apprendre à Thomas, pour le remercier, l'alphabet morse et l'utilisation de son télégraphe. Cette nouvelle compétence-passion lui permet de trouver un emploi de télégraphiste à Memphis. Son directeur remarque qu'Edison lit ou dort pendant son travail, il lui ordonne d'envoyer toutes les demi-heures un message morse pour attester qu'il travaille. Un jour, ce directeur se présente à la cabine de télégraphie pour constater qu'Edison l'a dupé en automatisant le transmetteur.
 
En 1866, âgé de 19 ans, il emménage à Toronto au Canada et trouve un emploi d'assistant-télégraphiste à la Western Union Company. Son travail consiste à transmettre par télégraphe les messages reçus à chaque heure. Il réalise alors sa première invention : il transforme son télégraphe en « transmetteur-récepteur duplex automatique de code Morse », capable de transmettre sur un même câble deux dépêches en sens inverse, automatiquement sans intervention humaine, et dépose ainsi son premier brevet. Continuant ses expériences pendant son travail, il laisse échapper de l'acide sulfurique d'une batterie au plomb, acide qui traverse le plancher et atterrit dans le bureau du directeur de la compagnie qui le licencie sur le champ. Puis, il devient opérateur télégraphiste, itinérant de ville en ville dans tout l'Est des États-Unis.
 
 
Télégraphe Stock Ticker d'Edison, pour la bourse de New York Henry Ford Museum, Dearborn, Michigan
 

En 1868, âgé de 21 ans, expert en télégraphie, Thomas est embauché comme opérateur-télégraphiste de nuit à la Western Union Company de Boston et travaille en parallèle sur plusieurs projets d'inventions dont une machine de comptage automatique de vote qui n'est pas retenue par le Congrès des États-Unis car jugée trop rapide... Il en déduit un de ses futurs grands principes de base : « Never invent something that people don't want » (ne jamais inventer quelque chose dont les gens ne veulent pas).
 
En 1869, il tente sa chance à New York, où il trouve une chambre de bonne dans les sous-sols de la chaufferie de la Bourse de New York à Wall Street. Il dort à côté du téléscripteur qui transmet les cours de l'or sur les marchés financiers, et étudie cette machine de près. Il aide un jour le télégraphiste de la Western Union à résoudre une panne importante et se voit proposer une confortable place d'assistant de l'ingénieur en chef de la Western Union de New York, aux appointements de 300 dollars, avec pour mission d'améliorer le téléscripteur de la Bourse de New York. Parallèlement, il étudie à la Cooper Union qui lui permet, grâce à des cours gratuits, d'augmenter ses connaissances en chimie.
Patron d'entreprise

 
En 1874 avec les 40 000 dollars récoltés de son télégraphe multiplexé, il fonde son entreprise industrielle de « Menlo Park », avec des laboratoires de recherche à Newark dans le New Jersey près de New York. Il est précurseur de la recherche industrielle moderne appliquée, avec deux associés et une équipe de 60 chercheurs salariés (au lieu de chercheurs isolés). Il supervise jusqu'à 40 projets en même temps, et se voit accorder un total de 1 093 brevets américains. Thomas Edison vit dans son laboratoire et ne dort que quatre heures. Il dit être capable de travailler 48 heures, voire 72 heures d'affilée.
 
En 1887, Edison s'installe à West Orange dans le New Jersey près de New York, pour multiplier par neuf la taille de ses laboratoires de recherche, sur un immense complexe industriel comportant 14 bâtiments, dont 6 consacrés à la recherche et au développement, une usine de fabrique d'ampoules, une centrale de production électrique, une bibliothèque et plus de 5 000 employés sur le site.
 
Dernières années
 
Lors de la Première Guerre mondiale, Edison conçoit et fait fonctionner des usines chimiques et il est nommé président du comité consultatif de la marine américaine.
 
En 1930, âgé de 83 ans, il mène encore des tests sur 17 000 plantes pour produire de la gomme synthétique. La même année, il dépose son dernier brevet.
 
En 1931, à l'âge de 84 ans, alors qu'il poursuit inlassablement ses travaux, il meurt sur son site de West Orange.
 
Vie de famille
 
Le 25 décembre 1871, il épouse Mary Stilwell (6 septembre 1855 - 9 août 1884), une des employées de son laboratoire, âgée de quinze ans, qui décède prématurément à l'âge de 28 ans, laissant Thomas veuf avec trois enfants : Marion Estelle Edison (18 février 1872 – 16 avril 1965, à 93 ans), Thomas Alva Edison Jr. (10 janvier 1876 – 25 août 1935, à 59 ans) et William Leslie Edison (26 octobre 1878 – 10 janvier 1935, à 57 ans).
 
Il se remarie à Mina Miller (1866-1947) en 1886, avec qui il aura trois autres enfants : Madeleine Edison (31 mai 1888–1979), Charles Edison (3 août 1890-1969), 42e gouverneur du New Jersey (1941-1944), et Theodore Miller Edison (10 juillet 1898 – 25 novembre 1992, à 94 ans).
 
Dans les dernières années de sa vie, il fait la connaissance d'Aimée de Heeren, jeune Brésilienne de grande beauté, à qui il offre de somptueux bijoux.
 
Travailleur acharné, Edison se concentre tellement sur ses travaux qu'il ne passe que peu de temps auprès de sa famille. Il évite la plupart des situations sociales, d'autant que sa surdité lui évite les bavardages. Sa détermination et son esprit procédurier sont souvent vécus comme tyranniques par ses employés et son entourage

 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Edison

 
 
 
 
 

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Tags : Thomas Edison, Thomas Alva Edison, Thomas, 11 février 1847, 11 février, 1847, Milan, Décès, 18 octobre 1931, 18 octobre, 1931, New Jersey, Inventeur
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#Posté le vendredi 11 février 2022 01:30

Thomas Edison : 1 093 brevets

Thomas Edison : 1 093 brevets
 
 
En 1878
 
En tout, Thomas Edison dépose de 1868 à 1930, soit pendant 62 ans, 1 093 brevets qui lui sont accordés. De plus, entre 500 et 600 demandes ont été refusées ou abandonnées. Au plus fort de son activité créatrice en 1882, 106 brevets lui sont accordés, dans le domaine de l'électricité ou de la lumière. Sa société emploie plus de 35 000 personnes dans un « empire industriel » qui est fondé sur l'utilisation de l'électricité dans le monde entier.
 
Brevets et inventions notables de la firme Edison
 




 

1866 : un télégraphe « transmetteur-receveur duplex automatique de code morse »
1868 : une machine de comptage automatique de vote (non retenue par le Congrès des États-Unis)
1869 : un télégraphe multiplexé automatique (Stock Ticker)
1874 : un téléscripteur qui imprime à haute-vitesse
1876 : un microphone pour les téléphones sur lesquels le brevet a été déposé par Alexandre Graham Bell peu avant la demande personnelle d'Édison
1877 : le phonographe, premier lecteur commercialisé de cylindres puis de disques
1879 : une lampe à incandescence (amélioration de l'invention de Joseph Swan). Par exemple : dans le commerce une lampe de type E 27 fait référence à Edison, le culot est de 27 mm de diamètre
1879 : l'effet Edison qui est la mise en évidence de l'émission d'électrons redécouverte à partir d'un filament chauffé (prémices de l'électronique à lampes)
1882 : une centrale électrique à courant continu pour 1 200 lampes, distribution en réseau à (très) faible portée et à faible danger pour l'homme
1891 : la première caméra de prise de vues cinématographique, le kinétographe, utilisant d'abord une pellicule au format de 19 mm de large à défilement horizontal et photogrammes circulaires (Dickson Greeting)
1891 : le format 35 mm à défilement vertical et photogrammes rectangulaires, doté de 2 jeux de 4 perforations par photogramme, pour remplacer le format précédent, devenu en 1906 le format standard mondial encore utilisé de nos jours
1893 : le premier studio de production de films, surnommé la Black Maria (le mot anglais film est utilisé dans ce sens la première fois par Edison)
1893 : les « Kinetoscope Parlors » (premières salles où l'on peut visionner des films différents contenus dans des coffres équipés d'un ½illeton qui permet de voir en transparence la pellicule animée éclairée par une ampoule, grossie par un jeu de loupes)
1895 : une lampe fluorescente à partir d'un tube à rayon X
1903 : le Home Projecting Kinetoscope (un appareil de projection de films destiné aux amateurs, utilisant une pellicule de 22 mm de large comportant par économie 3 films côte à côte
1915 : un accumulateur nickel-fer alcalin
 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Edison
 
 

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