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dessinsagogo55

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266 articles taggés Film

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Alain Delon : Le clan des siciliens


Alain Delon : Le clan des siciliens
Tags : Cinéma, Alain, Alain Delon, Le clan des siciliens, Film
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#Posté le samedi 03 mars 2012 10:38

Modifié le jeudi 16 octobre 2014 16:33

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)

Ali baba et les Quarante Voleurs est un film français réalisé par Jacques Becker, sorti en 1954. Il est tiré du célèbre conte homonyme issu des Mille et Une Nuits.

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)

Tags : Ali Baba et les Quarante Voleurs, (2), Jacques Becker, 1954, Cinéma, Cinéma A, Fernandel, Dieter Borsche, Henri Vilbert, Édouard Delmont, Julien Maffre, José Casa, Edmond Ardisson, Manuel Gary, Samia Gamal, Gaston Orbal, Bob Ingarao, Yoko Tani, Léopoldo Francès, Fanfan Mirucci, Piella Sorano, Mohamed Gabsi, Abdou Chraïbi, Luc Martial, Film
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#Posté le mercredi 17 octobre 2012 03:00

Modifié le samedi 01 décembre 2012 17:50

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)


Distribution

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)

Fernandel : Ali Baba, serviteur de Cassim le riche marchand
Dieter Borsche : Abdul, le chef des voleurs
Henri Vilbert: Cassim, le riche marchand
Édouard Delmont : Le père de Morgiane
Julien Maffre: Un mendiant
José Casa: Un mendiant
Edmond Ardisson : Un mendiant
Manuel Gary : Un mendiant
Samia Gamal : Morgiane, la belle danseuse
Gaston Orbal : Le mufti
Bob Ingarao : Un bandit
Yoko Tani
Léopoldo Francès
Fanfan Mirucci
Piella Sorano
Mohamed Gabsi
Abdou Chraïbi
Luc Martial : Un enfant

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)
Tags : Ali Baba et les Quarante Voleurs, (5), Fernandel, Jacques Becker, 1954, Cinéma, Cinéma A, Dieter Borsche, Henri Vilbert, Édouard Delmont, Julien Maffre, José Casa, Edmond Ardisson, Manuel Gary, Samia Gamal, Gaston Orbal, Bob Ingarao, Yoko Tani, Léopoldo Francès, Fanfan Mirucci, Piella Sorano, Mohamed Gabsi, Abdou Chraïbi, Luc Martial, Film
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#Posté le samedi 20 octobre 2012 09:00

Modifié le samedi 01 décembre 2012 17:53

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)

Fiche technique

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)


Réalisation : Jacques Becker
Scénario, adaptation : Jacques Becker, Marc Maurette, Cesare Zavattini, Maurice Griffe, Annette Wademant à partir des Mille et une nuits avec une collaboration momentanée de Roger Nimier et Antoine Blondin
Dialogues : André Tabet
Assistants réalisateurs : Marc Maurette, Jean-François Hauduroy, Jean Becker, Jacques Rivette et de langue arabe : Abdelkak Chraïbi et Mohamed Gabsi
Images : Robert Lefebvre
Opérateur : Roger Delpuech, assisté de Gilbert Sarthe, Gaston Muller
Montage : Marguerite Renoir, assistée de Geneviève Vaury
Son : Pierre Calvet
Perchman : Maurice Dagonneau
Recorder : Christian Gourmes, Jacques Gérardot
Décors : Georges Wakhévitch, assisté de René Calviera, Jean Forestier, Pierre Thévenet et Savin Couëlle
Script-girl : Charlotte Lefèvre
Costumes : Jacqueline Moreau, Ferdinand Junker, Georges Wakhévitch
Robes : Marcelle Desvignes
Musique : Paul Misraki (Éditions Hortensia et Impéria)
Orchestre sous la direction de Marc Lanjean
Parolier : Jean Manse, pour la chanson Ali Baba
Régie générale : Georges Testard, assisté de Louis Manella
Régie extérieure : Robert Christidès
Photographe de plateau : Gaston Thonnart
Accessoiristes : René Albouze, Louis Charpeau
Maquillage : Jean Ulysse, Lina Gallet
Coiffure : Georges Stern
Tapissier : André Guénier
Habilleuses : Albertine Banquarel, Simone Gerber
Production : Les Films du Cyclope
Chef de production : Adry de Carbuccia et Ronald Girard
Directeur de production : René-Gaston Vuattoux et Jean Goiran
Administrateur de production : Yvonne Toumayeff
Secrétaire de production : Micheline Robert
Distribution : Cinédis
Tournage du 12 avril au 14 juillet 1954 : extérieurs dans la vallée d'Agadir et à Taroudant, dans le sud marocain (notamment à Ouarzazate) et dans les studios de Billancourt
Tirage : Laboratoire G.T.C de Joinville
Pellicule 35 mm, couleur par Eastmancolor, développement Paris Studio Cinéma
Système sonore : Western Electric
30 scènes du film sont éditées en relief et en couleur par les Stéréofilms Brugières
Groupes électrogènes : Luxazur
Genre : Comédie orientale
Durée : 92 min
Première présentation le 24/12/1954
Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)

Tags : Ali Baba et les Quarante Voleurs, (2), Fernandel, Jacques Becker, 1954, Cinéma, Cinéma A, Dieter Borsche, Henri Vilbert, Édouard Delmont, Julien Maffre, José Casa, Edmond Ardisson, Manuel Gary, Samia Gamal, Gaston Orbal, Bob Ingarao, Yoko Tani, Léopoldo Francès, Fanfan Mirucci, Piella Sorano, Mohamed Gabsi, Abdou Chraïbi, Luc Martial, Film
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#Posté le vendredi 19 octobre 2012 08:00

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)

« Il était une fois, dans une petite ville d'Orient, un brave homme qui s'appelait Ali Baba ». C'est un brave homme, débrouillard et généreux, ami de tous les pauvres. Il est le serviteur de confiance d'un riche bourgeois, Cassim, dont il gère les affaires, la maison et le harem. Aujourd'hui, il a acheté la belle Morgiane, vendue par son propre père. Un amour protecteur naît chez Ali: un bon somnifère empêche Cassim de la posséder et puis comment faire disparaître chez cette nouvelle reclue la mélancolie. Le perroquet vert qu'on lui avait proposé au marché ferait un bon compagnon... Ali, pour retrouver le vendeur, doit se lancer à la poursuite d'une caravane, loin de la ville, dans une zone peu sûre. Mais il irait au bout du monde pour Morgiane. Une fois l'affaire conclue, la caravane est attaquée par une bande de quarante voleurs. Tous préfèrent fuir, quitte à abandonner les marchandises: le chef a l'air bien cruel. Mais Ali, empêtré dans une nacelle, est témoin de la prise du butin et de ce qui s'ensuit: tout est caché dans une cavité de la montagne dont l'entrée est protégée par des pierres mobiles qui s'ouvrent sur un magique Sésame ouvre-toi. Utilisant à son tour le formule magique, Ali pénètre dans la caverne: c'est un véritable amoncellement de richesses! Ali Baba, n'ayant pu résister à la tentation, remplit sa besace de pièces d'or. De retour à la maison, il offre le perroquet à Morgiane - qui le boude-, et interpelle Cassim: « Je suis riche, et je rachète Morgiane ». Cassim veut savoir d'où Ali tire cette richesse, quitte à l'enivrer avec un petit vin de Chypre. Et Ali mène Cassim à la grotte. Chacun puise dans les trésors. Des pensées meurtrières traversent l'esprit de Cassim: pourquoi partager!? Ali, sentant la menace, allègue qu'il a entendu du bruit et propose de déguerpir. Mais le chef des brigands est bien là, en haut de la colline et les voit s'enfuir. Sitôt à la maison, Ali prend Morgiane et la ramène chez son père. Celle-ci ne semble pas si ravie de ce retour au foyer paternel et demande à Ali de venir la revoir. En chemin, il rencontre quatre de ses anciens amis, quatre mendiants. Il les questionne sur ce qu'ils aimeraient avoir en cas de richesse et déclare : « Le Bon Dieu va vous le donner par mon intermédiaire, vous aurez le nécessaire et le superflu » et d'en faire ses majordomes. Le lendemain, Ali achète la plus belle maison de la ville. De la terrasse, il voit que Morgiane est de nouveau proposée à la vente; il se précipite, repousse un acquéreur et propose à Morgiane le mariage.
La fête se prépare: toute la ville est invitée, le chef des brigands et Cassim aussi; chacun fait entrer ses hommes et une terrible bagarre s'ensuit. Ali s'en sort. Cassim et le chef des bandits sont enfermés dans des cages, mis au pilori. « Des pauvres il n'y en aura plus je m'en charge » et Ali conduit la horde des pauvres à la grotte. Celle-ci s'y engouffre, bousculant son bienfaiteur. La grotte est vidée en quelques instants. Ali y reste seul, abattu. Mais Morgiane vient l'y chercher pour le ramener à la maison.

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)

Ali Baba et les Quarante Voleurs (film)
Tags : Ali Baba et les Quarante Voleurs, (4), Jacques Becker, 1954, Cinéma, Cinéma A, Fernandel, Dieter Borsche, Henri Vilbert, Édouard Delmont, Julien Maffre, José Casa, Edmond Ardisson, Manuel Gary, Samia Gamal, Gaston Orbal, Bob Ingarao, Yoko Tani, Léopoldo Francès, Fanfan Mirucci, Piella Sorano, Mohamed Gabsi, Abdou Chraïbi, Luc Martial, Film
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#Posté le mardi 16 octobre 2012 20:32

Modifié le samedi 01 décembre 2012 17:50

Ange (film) 1937


Ange (Angel) est un film américain réalisé par Ernst Lubitsch, interprété parMarlene Dietrich,Herbert Marshallet Melvyn Douglas, sorti en 1937.



Ange (film) 1937
Marlene Dietrich en ange (1937)

Une jeune femme (Marlene Dietrich) arrive à Paris incognito et se rend chez une amie avec laquelle elle entretient un passé obscur, la grande-duchesse Anna (Laura Hope Crews) qui entretient un salon de rendez-vous. Elle y rencontre un Américain, rentré des Indes, Tony Halton (Melvyn Douglas), qui la prenant pour la grande-duchesse l'invite à dîner à 20h45. Tony tombe vite amoureux de la jeune inconnue qu'il surnomme Ange (Angel en anglais) et ils passent une soirée très romantique, symbolisée par le thème musical qu'improvise un violoniste. Mais à la fin de la soirée, Ange s'enfuit en lui faisant promettre de l'oublier et de ne jamais chercher qui elle est. Ange est en réalité l'épouse du diplomate Frederick Barker qui est souvent à l'étranger, plus particulièrement à la Société des Nations, et la laisse seule la plupart du temps. Tous deux connaissant une union tranquille, si tranquille qu'ils ne parviennent à se disputer. Peu de temps après son retour de Genève, il revoit un ami rencontré pendant la première guerre mondiale, qui s'avère être Tony Halton. Frederick l'invite à déjeuner ce qui permet à Tony de retrouver Ange. Celle-ci tente de lui faire croire qu'elle ne l'a jamais rencontré mais, évidemment, il ne la croit pas. À la suite de quelques disputes entre Sir Frederick et son épouse, Ange part à Paris avec l'intention d'y retrouver Tony. Frederick est maintenant presque certain que son épouse l'a trompé et qu'elle est la jeune femme qu'Anthony cherche partout. Les trois personnages se retrouvent chez la grande duchesse où Frederick laisse à sa femme le choix suivant : ou elle épouse Tony ou elle part avec lui à Vienne, dans l'hôtel de leur voyage de noces. Ange choisit finalement son mari et tous deux partent pour Vienne.


Ange (film) 1937
Marlene Dietrich sur l'ensemble de Ange 1937

Fiche technnique
Réalisation : Ernst Lubitsch
Scénario : Samson Raphaelson, d'après la pièce de Melchior Lengyel (en), Angyal
Adaptation : Melchior Lengyel, Guy Bolton
Photographie : Charles Lang
Montage : William Shea
Son : Harry Mills, Louis Mesenkop
Musique : Friedrich Hollaender et Werner R. Heymann (non crédité)
Production : Ernst Lubitsch
Société de production : Paramount Studios
Durée : 98 minutes
Format : Noir et blanc - Son : Mono
Langue : Anglais
Pays : États-Unis
Date de sortie : 29 octobre 1937

Distribution
Marlene Dietrich : Maria Angel Barker
Herbert Marshall : Sir Frederick Barker
Melvyn Douglas : Anthony Tony Halton
Edward Everett Horton : Graham
Ernest Cossart : Christopher Chris Wilton
Laura Hope Crews : La grande duchesse Anna Dmitrievna
Herbert Mundin : Greenwood
Dennie Moore (en) : Emma MacGillicudy Wilton
Ivan Lebedeff : Prince Vladimir Gregorovitch
Lionel Pape : Lord Davington
Michael Visaroff : Gregori, majordome de la grande duchesse
Et, parmi les acteurs non-crédités :
Leonard Carey : Serviteur des Barker
Gino Corrado : Directeur-adjoint de l'hôtel


Commentaires
Pris il y a encore peu pour une ½uvre mineure Ange est tenu désormais pour un des films les plus représentatifs de Lubitsch. Il illustre en effet parfaitement son art du double-sens et de l'ambiguïté : "Ange, ou comment, par l'élégance, contourner toutes les censures".
« Les rapports sexuels extra-conjugaux, et particulièrement l'adultère (qui est le sujet même de Le ciel peut attendre), sont au centre de la plupart des films de Lubitsch. Mais s'il peut par là s'inclure dans cette suite ininterrompue qui, de Carmen à Lady in Ermine nous parle avant tout de désir sexuel, Angel y occupe pourtant une place unique : celle que lui ménage l'apparition, concomitante à celle du désir physique et l'éclipsant, du sentiment « amour » — apparition évidemment liée au fait qu'il s'agit ici d'adultère de la femme. L'adultère en devient platonique, l'amour s'éprouve sans se faire, et ce semi-renversement du sujet lubitschien type installe Angel, dès le niveau général de la thématique, dans le registre de la surprise. »
Jacques Aumont, Cahiers du Cinéma n° 198, février 1968



Tags : Ange, Cinéma, Film, Cinéma A, Marlène Dietrich, 1937, Ernst Lubitsch, Herbert Marshall, Melvyn Douglas, Edward Everett Horton, Ernest Cossart, Laura Hope Crews
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#Posté le mercredi 19 juin 2013 14:00

Modifié le jeudi 15 août 2013 05:35

Angelique et le roi

Angelique et le roi

Angélique et le Roy est un film franco-italiano-allemand de Bernard Borderie, sorti en 1966

Angelique et le roi
Réalisé par Eric Picard / dessinsagogo55

Angélique s'est mariée dans le précédent volet à son cousin Philippe de Plessis-Bellières. Le film s'ouvre sur la guerre que mène Louis XIV dans les Flandres, et où le mari d'Angélique a été gravement blessé. Sur son lit de mort, il demande au roi de ne pas lui prendre sa femme, seule chose sur laquelle il n'ait pas de pouvoir.
Au terme de son deuil officiel, le monarque envoie François Desgrez tirer la belle veuve de ses robes noires pour lui confier une mission secrète dont elle ignore la teneur. Réticente, Angélique part pourtant pour Paris, où le roi dédaigne la pauvre Mme de Montespan pour retrouver sa nouvelle espionne, dont la beauté l'éblouit toujours autant.
Sa mission : convaincre par ses charmes l'ambassadeur de Perse de se rendre à Versailles y signer un traité avec les Français plutôt que les Moscovites, comme il était alors prévu. Pour la convaincre tout à fait, Louis XIV lui rend le titre de propriété de l'hôtel particulier de Joffrey de Peyrac, dans lequel elle se rend. Des signes lui font bientôt battre le c½ur : repas frais, lumière, laboratoire, elle est persuadée que Joffrey est vivant et vit ici à l'insu de tous. Mais un vieillard brise ses espoirs : il s'appelle Savary, est alchimiste, vit ici, et avait une grande admiration pour son mari, mais affirme avoir vu de ses yeux son cadavre brûler en place de Grève comme tout le monde. Desgrez fait alors son apparition et lui apprend où trouver le bey, et commencer la mission que lui a confiée le roi.
Le traducteur d'Angélique auprès de l'ambassadeur, Saint-Amon, est d'une inefficacité et d'une maladresse notoires, mais il est le seul homme de la Cour à parler le perse. Elle le retrouve à un supplice dont Zoukim Batchiary Bey se délecte, ce qui amène Angélique à proférer contre lui des insultes. Étonné, le bey demande à la marquise de le suivre chez lui, d'où il chasse Saint-Amon, pourtant chargé de ne jamais laisser seules les deux personnes. Le roi ne manquera pas de reprocher au traducteur son incompétence, le privant de pension et de titre, puis envisage même d'envoyer une armée chercher Angélique, dont le sort l'inquiète grandement : toutes les femmes blondes qu'on avait offertes à l'ambassadeur ont été repêchées gorge tranchée dans la Seine.
Pendant ce temps, Angélique fait la farouche dans la chambre du bey. Une servante entre avec un plateau et le renverse sur un signe du maître des lieux sur la robe de la marquise, que l'ambassadeur contraint à se vêtir d'une robe de son pays, beaucoup plus légère et affriolante. Mais lorsqu'Angélique constate que cette même servante obéissante se fait fouetter pour avoir sali sa robe, son geôlier lui explique qu'en Perse le problème du choix ne se pose pas comme en Europe : pour lui en donner la preuve, il déchire sa robe de marquise, lui prouvant qu'elle est tout à fait sa prisonnière.
Lorsqu'il essaie d'abuser d'elle, Angélique le menace d'un poignard, mais ne se résout pas à devenir une meurtrière, fondant en larmes. Leur entretien est alors interrompu par des ravisseurs qui tentent de tuer l'ambassadeur, mais la marquise arrête leur geste, avant de se faire enlever par eux. Son ravisseur se présente comme Vladimir Stanislas Racoczi, beau-frère du roi en disgrâce, mais pourtant secrètement mandaté par lui pour ôter des griffes de l'ambassadeur de Perse Angélique. Il lui fait aussitôt sa demande de mariage, que la belle rejette en riant.
Pendant ce temps, l'ambassadeur est furieux, et demande la tête du ravisseur d'Angélique ; il s'apprête à aller la chercher avec du renfort, mais celle-ci arrive pour l'arrêter : elle le réprimande de ses manières, mais le bey conquis la supplie de lui indiquer où la retrouver. Elle l'invite donc à Versailles pour signer le traité.
L'ambassadeur s'exécute et offre au monarque de nombreux cadeaux. Louis XIV souhaiterait lui en offrir un en retour, et l'ambassadeur réclame la marquise de Plessis-Bellières comme cadeau. Pour sauver Angélique, Colbert prétend devant le bey, Mme de Montespan et la Cour entière, qu'elle est la favorite en titre du roi, ce qui provoque un tollé général, et le triomphe de la marquise.
Entre-temps, Racoczi en cavale se réfugie chez Angélique avec qui il partage la couche. Invitée à dormir à Versailles, Angélique occupe la chambre privilégiée, celle de Mme de Montespan, qui contient un couloir permettant d'accéder aux appartements du roi. Desgrez vient la mettre en garde : il a "malencontreusement" renversé le sorbet qui lui était destiné dans la cuisine, et le chien qui a léché le tout est mort en deux minutes. Quoiqu'il la conjure de partir avant de rendre l'âme, elle va rejoindre le roi qui l'a convoquée. Elle se refuse à lui, qui lui apprend que Joffrey n'est pas mort sur le bûcher mais noyé : il l'avait fait remplacer par le cadavre d'un autre condamné, et embarquer en bateau, mais le comte de Peyrac s'était enfui, puis avait été englouti par les eaux. Angélique ne croit pas que son grand amour ait pu être vaincu par les eaux, et décide de rentrer chez elle. Au moment de se coucher, elle manque d'être assassinée par sa robe de chambre imbibée d'un poison foudroyant ; interrogeant sa servante complice de cette tentative, elle lui arrache le nom du commanditaire : Mme des ¼illets.
Elle charge le nain Barcarolle de mener enquête sur cette dame, dont il apprend qu'elle s'est rendue chez une dame dénommée La Voisin, réputée pour être le Diable en personne. Ils se rendent au rendez-vous suivant, le lendemain à minuit : ils assistent alors à une messe noire, où la favorite du roi pactise avec le Malin pour conserver l'amour du roi et son exclusivité. Au moment où un prêtre s'apprête à sacrifier un petit bébé, Angélique se manifeste et se fait poursuivre par la compagnie. Au cours de leur fuite, Barcarole est tué.
La marquise se réfugie chez François Desgrez et lui révèle tout, mais celui-ci lui apprend que s'il n'est pas ignorant de ces pratiques, il n'en a pourtant aucune preuve, et se montre assez indifférent à la mort d'un enfant qu'on était allé chercher chez des gitans. Il lui révèle cependant qu'il a la preuve de la vie de Joffrey : il l'emmène au cimetière des Innocents, dans lequel un puits mène au jardin de la propriété de Joffrey, où il a trouvé un coffre ayant contenu l'argent du comte, que celui-ci serait venu chercher.
Angélique dort dans la propriété. Pendant la nuit, Joffrey fait une apparition et vient contempler le sommeil calme de sa bien-aimée. Mais au moment de son départ, il surprend un homme se dirigeant vers la chambre d'Angélique couteau à la main : cet assassin est envoyé par La Voisin et le prêtre de la messe noire pour faire taire le témoin de leurs agissements sataniques. Joffrey se débarrasse de l'importun, mais le bruit réveille Angélique : elle voit Joffrey, qui pourtant s'enfuit dans le souterrain, qu'il condamne.
Savary lui confie alors une lettre que lui a remis le comte, dont il est le complice depuis longtemps. Celle-ci explique à Angélique que son mari a fui pour la laisser vivre heureuse, loin d'un banni en fuite. Comme elle n'a jamais été raisonnable, et qu'elle ne l'est toujours pas, elle part sur le champ le retrouver en compagnie de Savary, en direction du Midi où il se rendait.

Angelique et le roiAngelique et le roi


Fiche technique

Titre original : Angélique et le Roy
Réalisation : Bernard Borderie
Assistant réalisateur : Tony Aboyantz
Scénario : Alain Decaux, Bernard Borderie, Francis Cosne, d'après le roman d'Anne et Serge Golon
Dialogue : Pascal Jardin
Décors : Robert Giordani
Costumes : Rosine Delamare
Photographie : Henri Persin
Son : René Sarazin
Musique : Michel Magne
Montage : Christian Gaudin
Production : Francis Cosne, Raymond Borderie
Sociétés de production :
Francos-Films, CICC
Fonoroma
Gloria-Film GmbH
Pays d'origine : France, Italie et Allemagne
Langue originale : français
Format : couleur — 35 mm — 2,35:1 — son Mono
Genre : film d'aventure, film historique
Durée : 100 minutes
Date de sortie : France : 31 janvier 1966
Affiche : Yves THOS

Angelique et le roi
Angelica alla corte del re


Distribution

Michèle Mercier : Angélique
Jean Rochefort : François Desgrez / voix du narrateur
Jacques Toja : Louis XIV
Sami Frey : Zoukim Batchiary Bey
Estella Blain : Madame de Montespan
Claude Giraud : Philippe de Plessis-Bellières
Philippe Lemaire : De Vardes
Fred Williams : Vladimir Stanislas Racoczi
Pasquale Martino (V.F. : Georges Chamarat) : Savary
Jean Parédès : Saint-Amon
Le nain Roberto (it) : Barcarole
Michel Galabru : Bontemps
René Lefèvre : Colbert
Carole Lebesque : Des ¼illets
Ann Smyrner : Thérèse
Joëlle Bernard : La Voisin
Robert Hossein : Joffrey de Peyrac
Jacques Hilling : M° Molines
Robert Favart : Le chirurgien
Michel Thomass : M. de Bonchef, bourreau.
Claire Athana : la reine Marie-Thérèse d'Espagne
Jean Lefebvre : L'apothicaire
Jean Degrave : Le domestique d'Angélique
Frederico Boïdo : Jean Pourri
Dany Jacquet : Une dame de la cour
Robert Berri : Le sorcier
Dominique Zardi : Un homme de main
Jean Gold : courtisan

Tags : Angelique et le roi, Cinéma, Angelique, Angélique, Michèle Mercier, Robert Hossein, Jean Rochefort, Historique, Aventure, Bernard Borderie, Film
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#Posté le dimanche 29 avril 2012 12:30

Modifié le dimanche 21 avril 2013 19:19

Angélique et le Sultan



Angélique et le sultan est un film franco-germano-italien de Bernard Borderie sorti en 1968.
Angélique et le Sultan
Angélique a été enlevée, malgré les efforts de Peyrac. Elle doit être vendue comme esclave au roi du Maroc. Peyrac, après bien des aventures, échoue chez son ami l'ambassadeur de Turquie. Il propose au roi du Maroc l'échange d'un secret contre sa femme, mais celle-ci est déjà parvenue à prendre la fuite...

Angélique et le Sultan
Réalisé par Eric Picard / dessinsagogo55

Fiche technique

Titre : Angélique et le sultan
Réalisation : Bernard Borderie
Scénariste : Bernard Borderie et Francis Cosne
Producteurs : François Chavane, Francis Cosne et Raymond Borderie
Compositeur : Michel Magne
Dialoguiste : Pascal Jardin
Directeur de la photographie : Henri Persin
Costumes : Rosine Delamare
Monteur : Christian Gaudin
Pays : France, Allemagne, Italie et Tunisie
Langue de tournage : Français
Genre : Historique, Aventure
Format : Couleur
Durée : 105 minutes
Date de sortie : France : 21 août 1968
Distribution
Michèle Mercier : Angélique
Robert Hossein : Joffrey de Peyrac "Le Rescator"
Jean-Claude Pascal : Osman Ferradji
Helmuth Schneider: Colin Paturel
Aly Ben Ayed: Sultan Moulay-El-Raschid
Roger Pigaut: Pierre-Marie D'Escrainville
Jacques Santi: comte de Vateville
Bruno Dietrich : Coriano
Henri Cogan: Simon Bolbec
Erno Crisa: ambassadeur turc
Arturo Dominici: Mezzo Morte (non crédité)
Wilma Lindamar : Leïla Aïcha
Gaby Mess/Mesee : favorite du Sultan
Ettore Manni: Jason
Manja Golec : captive
Emilio Massina : garde de l'ambassadeur (non crédité)
Mohamed Kouka
Claudio Previtera.
Antoine Baud : un marin D'Escrainville
Marc Cassot: voix d'Helmut Schneider
Jean Topart: voix d'Arturo Dominici
Michèle Montel : voix de Manja Golec

Angélique et le Sultan

Autour du film

De nombreuses scènes du film sont tournées en Tunisie, par exemple dans la ville de Sidi Bou Saïd, entre autres dans le palais du baron Rodolphe d'Erlanger, autour du ribat de Monastir, dans l'amphithéâtre d'El Jem, avec une vue de la corbeille de Nefta, de la baie de La Marsa, etc.


Angélique et le Sultan

Filmographie d'Angélique
1964 : Angélique Marquise des Anges de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Robert Hossein, Jean Rochefort
1964 : Merveilleuse Angélique de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Claude Giraud, Jean Rochefort
1965 : Angélique et le Roy de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Jean Rochefort
1967 : Indomptable Angélique de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Robert Hossein
1968 : Angélique et le sultan de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Robert Hossein, Jean-Claude Pascal

Tags : Angélique et le Sultan, Angélique, 1968, Film, Cinéma, Michèle Mercier, Robert Hossein, Jean Rochefort, Historique, Aventure, Bernard Borderie
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#Posté le samedi 09 février 2013 07:00

Modifié le dimanche 21 avril 2013 18:56

Aussi profond que l'océan ...

Aussi profond que l'océan ...
Date de sortie : 1998
Réalisé par Ulu Grosbard
Avec Treat Williams, Michelle Pfeiffer, Whoopi Goldberg
Genre : Drame
Nationalité : Américain

La vie de Beth Cappadora , mère aimante et dévouée , bascule dans une terrible angoisse le jour où Ben , son fils de trois ans , disparaît dans la bousculade du hall d'un hôtel où elle assistait à une réunion d'anciens camarades de lycée . Les recherches ne donnent rien . Pour Beth , son mari Pat et leurs deux autres enfants , les heures d'insoutenable attente deviennent des jours , des semaines puis des mois . Pendant près de dix ans , la vie s'écoule péniblement jusqu'à ce qu'un jeune garçon vienne frapper à la porte des Cappadora , Beth est convaincue qu'il s'agit de Ben ...

Aussi profond que l'océan ...Aussi profond que l'océan ...


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Tags : Aussi profond que l'océan, Cinéma, Drame, 1998, Film, Treat Williams, Michelle Pfeiffer, Whoopi Goldberg, Ulu Grosbard
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#Posté le mardi 07 août 2012 08:00

Modifié le dimanche 16 septembre 2012 05:25

Autant en emporte le vent (Gone with the Wind)

Autant en emporte le vent (Gone with the Wind)

Autant en emporte le vent (Gone with the Wind) est un film américain de Victor Fleming réalisé en 1939 et adapté du roman éponyme de Margaret Mitchell. Avec pour acteurs principaux Clark Gable et Vivien Leigh, il raconte l'histoire de la jeune Scarlett O'Hara et du cynique Rhett Butler sur fond de guerre de Sécession. Ce film met également en scène Leslie Howard et Olivia de Havilland. Écrit par le scénariste Sidney Howard, il a reçu huit Oscars dont celui du Meilleur film et du Meilleur réalisateur.

Autant en emporte le vent (Gone with the Wind)

Il est considéré par l'American Film Institute comme le quatrième meilleur film américain de l'histoire du septième art et figure en quatrième position au palmarès historique des films les plus vus en France. Après correction de l'inflation, il est considéré comme le plus gros succès de l'histoire du cinéma avec 1 250 000 000 de dollars américains de recettes.

Autant en emporte le vent (Gone with the Wind)
Tags : Autant en emporte le vent, Gone with the Wind, 1939, Film, Cinéma, Cinéma A
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#Posté le mercredi 21 novembre 2012 11:00

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