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Ali baba et les Quarante Voleurs est un film français réalisé par Jacques Becker, sorti en 1954. Il est tiré du célèbre conte homonyme issu des Mille et Une Nuits.
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Fernandel : Ali Baba, serviteur de Cassim le riche marchand Dieter Borsche : Abdul, le chef des voleurs Henri Vilbert: Cassim, le riche marchand Édouard Delmont : Le père de Morgiane Julien Maffre: Un mendiant José Casa: Un mendiant Edmond Ardisson : Un mendiant Manuel Gary : Un mendiant Samia Gamal : Morgiane, la belle danseuse Gaston Orbal : Le mufti Bob Ingarao : Un bandit Yoko Tani Léopoldo Francès Fanfan Mirucci Piella Sorano Mohamed Gabsi Abdou Chraïbi Luc Martial : Un enfant
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Réalisation : Jacques Becker Scénario, adaptation : Jacques Becker, Marc Maurette, Cesare Zavattini, Maurice Griffe, Annette Wademant à partir des Mille et une nuits avec une collaboration momentanée de Roger Nimier et Antoine Blondin Dialogues : André Tabet Assistants réalisateurs : Marc Maurette, Jean-François Hauduroy, Jean Becker, Jacques Rivette et de langue arabe : Abdelkak Chraïbi et Mohamed Gabsi Images : Robert Lefebvre Opérateur : Roger Delpuech, assisté de Gilbert Sarthe, Gaston Muller Montage : Marguerite Renoir, assistée de Geneviève Vaury Son : Pierre Calvet Perchman : Maurice Dagonneau Recorder : Christian Gourmes, Jacques Gérardot Décors : Georges Wakhévitch, assisté de René Calviera, Jean Forestier, Pierre Thévenet et Savin Couëlle Script-girl : Charlotte Lefèvre Costumes : Jacqueline Moreau, Ferdinand Junker, Georges Wakhévitch Robes : Marcelle Desvignes Musique : Paul Misraki (Éditions Hortensia et Impéria) Orchestre sous la direction de Marc Lanjean Parolier : Jean Manse, pour la chanson Ali Baba Régie générale : Georges Testard, assisté de Louis Manella Régie extérieure : Robert Christidès Photographe de plateau : Gaston Thonnart Accessoiristes : René Albouze, Louis Charpeau Maquillage : Jean Ulysse, Lina Gallet Coiffure : Georges Stern Tapissier : André Guénier Habilleuses : Albertine Banquarel, Simone Gerber Production : Les Films du Cyclope Chef de production : Adry de Carbuccia et Ronald Girard Directeur de production : René-Gaston Vuattoux et Jean Goiran Administrateur de production : Yvonne Toumayeff Secrétaire de production : Micheline Robert Distribution : Cinédis Tournage du 12 avril au 14 juillet 1954 : extérieurs dans la vallée d'Agadir et à Taroudant, dans le sud marocain (notamment à Ouarzazate) et dans les studios de Billancourt Tirage : Laboratoire G.T.C de Joinville Pellicule 35 mm, couleur par Eastmancolor, développement Paris Studio Cinéma Système sonore : Western Electric 30 scènes du film sont éditées en relief et en couleur par les Stéréofilms Brugières Groupes électrogènes : Luxazur Genre : Comédie orientale Durée : 92 min Première présentation le 24/12/1954
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« Il était une fois, dans une petite ville d'Orient, un brave homme qui s'appelait Ali Baba ». C'est un brave homme, débrouillard et généreux, ami de tous les pauvres. Il est le serviteur de confiance d'un riche bourgeois, Cassim, dont il gère les affaires, la maison et le harem. Aujourd'hui, il a acheté la belle Morgiane, vendue par son propre père. Un amour protecteur naît chez Ali: un bon somnifère empêche Cassim de la posséder et puis comment faire disparaître chez cette nouvelle reclue la mélancolie. Le perroquet vert qu'on lui avait proposé au marché ferait un bon compagnon... Ali, pour retrouver le vendeur, doit se lancer à la poursuite d'une caravane, loin de la ville, dans une zone peu sûre. Mais il irait au bout du monde pour Morgiane. Une fois l'affaire conclue, la caravane est attaquée par une bande de quarante voleurs. Tous préfèrent fuir, quitte à abandonner les marchandises: le chef a l'air bien cruel. Mais Ali, empêtré dans une nacelle, est témoin de la prise du butin et de ce qui s'ensuit: tout est caché dans une cavité de la montagne dont l'entrée est protégée par des pierres mobiles qui s'ouvrent sur un magique Sésame ouvre-toi. Utilisant à son tour le formule magique, Ali pénètre dans la caverne: c'est un véritable amoncellement de richesses! Ali Baba, n'ayant pu résister à la tentation, remplit sa besace de pièces d'or. De retour à la maison, il offre le perroquet à Morgiane - qui le boude-, et interpelle Cassim: « Je suis riche, et je rachète Morgiane ». Cassim veut savoir d'où Ali tire cette richesse, quitte à l'enivrer avec un petit vin de Chypre. Et Ali mène Cassim à la grotte. Chacun puise dans les trésors. Des pensées meurtrières traversent l'esprit de Cassim: pourquoi partager!? Ali, sentant la menace, allègue qu'il a entendu du bruit et propose de déguerpir. Mais le chef des brigands est bien là, en haut de la colline et les voit s'enfuir. Sitôt à la maison, Ali prend Morgiane et la ramène chez son père. Celle-ci ne semble pas si ravie de ce retour au foyer paternel et demande à Ali de venir la revoir. En chemin, il rencontre quatre de ses anciens amis, quatre mendiants. Il les questionne sur ce qu'ils aimeraient avoir en cas de richesse et déclare : « Le Bon Dieu va vous le donner par mon intermédiaire, vous aurez le nécessaire et le superflu » et d'en faire ses majordomes. Le lendemain, Ali achète la plus belle maison de la ville. De la terrasse, il voit que Morgiane est de nouveau proposée à la vente; il se précipite, repousse un acquéreur et propose à Morgiane le mariage. La fête se prépare: toute la ville est invitée, le chef des brigands et Cassim aussi; chacun fait entrer ses hommes et une terrible bagarre s'ensuit. Ali s'en sort. Cassim et le chef des bandits sont enfermés dans des cages, mis au pilori. « Des pauvres il n'y en aura plus je m'en charge » et Ali conduit la horde des pauvres à la grotte. Celle-ci s'y engouffre, bousculant son bienfaiteur. La grotte est vidée en quelques instants. Ali y reste seul, abattu. Mais Morgiane vient l'y chercher pour le ramener à la maison.
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Ange (Angel) est un film américain réalisé par Ernst Lubitsch, interprété parMarlene Dietrich,Herbert Marshallet Melvyn Douglas, sorti en 1937.
Marlene Dietrich en ange (1937)
Une jeune femme (Marlene Dietrich) arrive à Paris incognito et se rend chez une amie avec laquelle elle entretient un passé obscur, la grande-duchesse Anna (Laura Hope Crews) qui entretient un salon de rendez-vous. Elle y rencontre un Américain, rentré des Indes, Tony Halton (Melvyn Douglas), qui la prenant pour la grande-duchesse l'invite à dîner à 20h45. Tony tombe vite amoureux de la jeune inconnue qu'il surnomme Ange (Angel en anglais) et ils passent une soirée très romantique, symbolisée par le thème musical qu'improvise un violoniste. Mais à la fin de la soirée, Ange s'enfuit en lui faisant promettre de l'oublier et de ne jamais chercher qui elle est. Ange est en réalité l'épouse du diplomate Frederick Barker qui est souvent à l'étranger, plus particulièrement à la Société des Nations, et la laisse seule la plupart du temps. Tous deux connaissant une union tranquille, si tranquille qu'ils ne parviennent à se disputer. Peu de temps après son retour de Genève, il revoit un ami rencontré pendant la première guerre mondiale, qui s'avère être Tony Halton. Frederick l'invite à déjeuner ce qui permet à Tony de retrouver Ange. Celle-ci tente de lui faire croire qu'elle ne l'a jamais rencontré mais, évidemment, il ne la croit pas. À la suite de quelques disputes entre Sir Frederick et son épouse, Ange part à Paris avec l'intention d'y retrouver Tony. Frederick est maintenant presque certain que son épouse l'a trompé et qu'elle est la jeune femme qu'Anthony cherche partout. Les trois personnages se retrouvent chez la grande duchesse où Frederick laisse à sa femme le choix suivant : ou elle épouse Tony ou elle part avec lui à Vienne, dans l'hôtel de leur voyage de noces. Ange choisit finalement son mari et tous deux partent pour Vienne.
Marlene Dietrich sur l'ensemble de Ange 1937
Fiche technnique Réalisation : Ernst Lubitsch Scénario : Samson Raphaelson, d'après la pièce de Melchior Lengyel (en), Angyal Adaptation : Melchior Lengyel, Guy Bolton Photographie : Charles Lang Montage : William Shea Son : Harry Mills, Louis Mesenkop Musique : Friedrich Hollaender et Werner R. Heymann (non crédité) Production : Ernst Lubitsch Société de production : Paramount Studios Durée : 98 minutes Format : Noir et blanc - Son : Mono Langue : Anglais Pays : États-Unis Date de sortie : 29 octobre 1937
Distribution Marlene Dietrich : Maria Angel Barker Herbert Marshall : Sir Frederick Barker Melvyn Douglas : Anthony Tony Halton Edward Everett Horton : Graham Ernest Cossart : Christopher Chris Wilton Laura Hope Crews : La grande duchesse Anna Dmitrievna Herbert Mundin : Greenwood Dennie Moore (en) : Emma MacGillicudy Wilton Ivan Lebedeff : Prince Vladimir Gregorovitch Lionel Pape : Lord Davington Michael Visaroff : Gregori, majordome de la grande duchesse Et, parmi les acteurs non-crédités : Leonard Carey : Serviteur des Barker Gino Corrado : Directeur-adjoint de l'hôtel
Commentaires Pris il y a encore peu pour une ½uvre mineure Ange est tenu désormais pour un des films les plus représentatifs de Lubitsch. Il illustre en effet parfaitement son art du double-sens et de l'ambiguïté : "Ange, ou comment, par l'élégance, contourner toutes les censures". « Les rapports sexuels extra-conjugaux, et particulièrement l'adultère (qui est le sujet même de Le ciel peut attendre), sont au centre de la plupart des films de Lubitsch. Mais s'il peut par là s'inclure dans cette suite ininterrompue qui, de Carmen à Lady in Ermine nous parle avant tout de désir sexuel, Angel y occupe pourtant une place unique : celle que lui ménage l'apparition, concomitante à celle du désir physique et l'éclipsant, du sentiment « amour » — apparition évidemment liée au fait qu'il s'agit ici d'adultère de la femme. L'adultère en devient platonique, l'amour s'éprouve sans se faire, et ce semi-renversement du sujet lubitschien type installe Angel, dès le niveau général de la thématique, dans le registre de la surprise. » Jacques Aumont, Cahiers du Cinéma n° 198, février 1968
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Angélique et le Roy est un film franco-italiano-allemand de Bernard Borderie, sorti en 1966
Réalisé par Eric Picard / dessinsagogo55
Angélique s'est mariée dans le précédent volet à son cousin Philippe de Plessis-Bellières. Le film s'ouvre sur la guerre que mène Louis XIV dans les Flandres, et où le mari d'Angélique a été gravement blessé. Sur son lit de mort, il demande au roi de ne pas lui prendre sa femme, seule chose sur laquelle il n'ait pas de pouvoir. Au terme de son deuil officiel, le monarque envoie François Desgrez tirer la belle veuve de ses robes noires pour lui confier une mission secrète dont elle ignore la teneur. Réticente, Angélique part pourtant pour Paris, où le roi dédaigne la pauvre Mme de Montespan pour retrouver sa nouvelle espionne, dont la beauté l'éblouit toujours autant. Sa mission : convaincre par ses charmes l'ambassadeur de Perse de se rendre à Versailles y signer un traité avec les Français plutôt que les Moscovites, comme il était alors prévu. Pour la convaincre tout à fait, Louis XIV lui rend le titre de propriété de l'hôtel particulier de Joffrey de Peyrac, dans lequel elle se rend. Des signes lui font bientôt battre le c½ur : repas frais, lumière, laboratoire, elle est persuadée que Joffrey est vivant et vit ici à l'insu de tous. Mais un vieillard brise ses espoirs : il s'appelle Savary, est alchimiste, vit ici, et avait une grande admiration pour son mari, mais affirme avoir vu de ses yeux son cadavre brûler en place de Grève comme tout le monde. Desgrez fait alors son apparition et lui apprend où trouver le bey, et commencer la mission que lui a confiée le roi. Le traducteur d'Angélique auprès de l'ambassadeur, Saint-Amon, est d'une inefficacité et d'une maladresse notoires, mais il est le seul homme de la Cour à parler le perse. Elle le retrouve à un supplice dont Zoukim Batchiary Bey se délecte, ce qui amène Angélique à proférer contre lui des insultes. Étonné, le bey demande à la marquise de le suivre chez lui, d'où il chasse Saint-Amon, pourtant chargé de ne jamais laisser seules les deux personnes. Le roi ne manquera pas de reprocher au traducteur son incompétence, le privant de pension et de titre, puis envisage même d'envoyer une armée chercher Angélique, dont le sort l'inquiète grandement : toutes les femmes blondes qu'on avait offertes à l'ambassadeur ont été repêchées gorge tranchée dans la Seine. Pendant ce temps, Angélique fait la farouche dans la chambre du bey. Une servante entre avec un plateau et le renverse sur un signe du maître des lieux sur la robe de la marquise, que l'ambassadeur contraint à se vêtir d'une robe de son pays, beaucoup plus légère et affriolante. Mais lorsqu'Angélique constate que cette même servante obéissante se fait fouetter pour avoir sali sa robe, son geôlier lui explique qu'en Perse le problème du choix ne se pose pas comme en Europe : pour lui en donner la preuve, il déchire sa robe de marquise, lui prouvant qu'elle est tout à fait sa prisonnière. Lorsqu'il essaie d'abuser d'elle, Angélique le menace d'un poignard, mais ne se résout pas à devenir une meurtrière, fondant en larmes. Leur entretien est alors interrompu par des ravisseurs qui tentent de tuer l'ambassadeur, mais la marquise arrête leur geste, avant de se faire enlever par eux. Son ravisseur se présente comme Vladimir Stanislas Racoczi, beau-frère du roi en disgrâce, mais pourtant secrètement mandaté par lui pour ôter des griffes de l'ambassadeur de Perse Angélique. Il lui fait aussitôt sa demande de mariage, que la belle rejette en riant. Pendant ce temps, l'ambassadeur est furieux, et demande la tête du ravisseur d'Angélique ; il s'apprête à aller la chercher avec du renfort, mais celle-ci arrive pour l'arrêter : elle le réprimande de ses manières, mais le bey conquis la supplie de lui indiquer où la retrouver. Elle l'invite donc à Versailles pour signer le traité. L'ambassadeur s'exécute et offre au monarque de nombreux cadeaux. Louis XIV souhaiterait lui en offrir un en retour, et l'ambassadeur réclame la marquise de Plessis-Bellières comme cadeau. Pour sauver Angélique, Colbert prétend devant le bey, Mme de Montespan et la Cour entière, qu'elle est la favorite en titre du roi, ce qui provoque un tollé général, et le triomphe de la marquise. Entre-temps, Racoczi en cavale se réfugie chez Angélique avec qui il partage la couche. Invitée à dormir à Versailles, Angélique occupe la chambre privilégiée, celle de Mme de Montespan, qui contient un couloir permettant d'accéder aux appartements du roi. Desgrez vient la mettre en garde : il a "malencontreusement" renversé le sorbet qui lui était destiné dans la cuisine, et le chien qui a léché le tout est mort en deux minutes. Quoiqu'il la conjure de partir avant de rendre l'âme, elle va rejoindre le roi qui l'a convoquée. Elle se refuse à lui, qui lui apprend que Joffrey n'est pas mort sur le bûcher mais noyé : il l'avait fait remplacer par le cadavre d'un autre condamné, et embarquer en bateau, mais le comte de Peyrac s'était enfui, puis avait été englouti par les eaux. Angélique ne croit pas que son grand amour ait pu être vaincu par les eaux, et décide de rentrer chez elle. Au moment de se coucher, elle manque d'être assassinée par sa robe de chambre imbibée d'un poison foudroyant ; interrogeant sa servante complice de cette tentative, elle lui arrache le nom du commanditaire : Mme des ¼illets. Elle charge le nain Barcarolle de mener enquête sur cette dame, dont il apprend qu'elle s'est rendue chez une dame dénommée La Voisin, réputée pour être le Diable en personne. Ils se rendent au rendez-vous suivant, le lendemain à minuit : ils assistent alors à une messe noire, où la favorite du roi pactise avec le Malin pour conserver l'amour du roi et son exclusivité. Au moment où un prêtre s'apprête à sacrifier un petit bébé, Angélique se manifeste et se fait poursuivre par la compagnie. Au cours de leur fuite, Barcarole est tué. La marquise se réfugie chez François Desgrez et lui révèle tout, mais celui-ci lui apprend que s'il n'est pas ignorant de ces pratiques, il n'en a pourtant aucune preuve, et se montre assez indifférent à la mort d'un enfant qu'on était allé chercher chez des gitans. Il lui révèle cependant qu'il a la preuve de la vie de Joffrey : il l'emmène au cimetière des Innocents, dans lequel un puits mène au jardin de la propriété de Joffrey, où il a trouvé un coffre ayant contenu l'argent du comte, que celui-ci serait venu chercher. Angélique dort dans la propriété. Pendant la nuit, Joffrey fait une apparition et vient contempler le sommeil calme de sa bien-aimée. Mais au moment de son départ, il surprend un homme se dirigeant vers la chambre d'Angélique couteau à la main : cet assassin est envoyé par La Voisin et le prêtre de la messe noire pour faire taire le témoin de leurs agissements sataniques. Joffrey se débarrasse de l'importun, mais le bruit réveille Angélique : elle voit Joffrey, qui pourtant s'enfuit dans le souterrain, qu'il condamne. Savary lui confie alors une lettre que lui a remis le comte, dont il est le complice depuis longtemps. Celle-ci explique à Angélique que son mari a fui pour la laisser vivre heureuse, loin d'un banni en fuite. Comme elle n'a jamais été raisonnable, et qu'elle ne l'est toujours pas, elle part sur le champ le retrouver en compagnie de Savary, en direction du Midi où il se rendait.
Fiche technique
Titre original : Angélique et le Roy Réalisation : Bernard Borderie Assistant réalisateur : Tony Aboyantz Scénario : Alain Decaux, Bernard Borderie, Francis Cosne, d'après le roman d'Anne et Serge Golon Dialogue : Pascal Jardin Décors : Robert Giordani Costumes : Rosine Delamare Photographie : Henri Persin Son : René Sarazin Musique : Michel Magne Montage : Christian Gaudin Production : Francis Cosne, Raymond Borderie Sociétés de production : Francos-Films, CICC Fonoroma Gloria-Film GmbH Pays d'origine : France, Italie et Allemagne Langue originale : français Format : couleur — 35 mm — 2,35:1 — son Mono Genre : film d'aventure, film historique Durée : 100 minutes Date de sortie : France : 31 janvier 1966 Affiche : Yves THOS
Angelica alla corte del re
Distribution
Michèle Mercier : Angélique Jean Rochefort : François Desgrez / voix du narrateur Jacques Toja : Louis XIV Sami Frey : Zoukim Batchiary Bey Estella Blain : Madame de Montespan Claude Giraud : Philippe de Plessis-Bellières Philippe Lemaire : De Vardes Fred Williams : Vladimir Stanislas Racoczi Pasquale Martino (V.F. : Georges Chamarat) : Savary Jean Parédès : Saint-Amon Le nain Roberto (it) : Barcarole Michel Galabru : Bontemps René Lefèvre : Colbert Carole Lebesque : Des ¼illets Ann Smyrner : Thérèse Joëlle Bernard : La Voisin Robert Hossein : Joffrey de Peyrac Jacques Hilling : M° Molines Robert Favart : Le chirurgien Michel Thomass : M. de Bonchef, bourreau. Claire Athana : la reine Marie-Thérèse d'Espagne Jean Lefebvre : L'apothicaire Jean Degrave : Le domestique d'Angélique Frederico Boïdo : Jean Pourri Dany Jacquet : Une dame de la cour Robert Berri : Le sorcier Dominique Zardi : Un homme de main Jean Gold : courtisan
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Angélique et le sultan est un film franco-germano-italien de Bernard Borderie sorti en 1968. Angélique a été enlevée, malgré les efforts de Peyrac. Elle doit être vendue comme esclave au roi du Maroc. Peyrac, après bien des aventures, échoue chez son ami l'ambassadeur de Turquie. Il propose au roi du Maroc l'échange d'un secret contre sa femme, mais celle-ci est déjà parvenue à prendre la fuite...
Réalisé par Eric Picard / dessinsagogo55
Fiche technique
Titre : Angélique et le sultan Réalisation : Bernard Borderie Scénariste : Bernard Borderie et Francis Cosne Producteurs : François Chavane, Francis Cosne et Raymond Borderie Compositeur : Michel Magne Dialoguiste : Pascal Jardin Directeur de la photographie : Henri Persin Costumes : Rosine Delamare Monteur : Christian Gaudin Pays : France, Allemagne, Italie et Tunisie Langue de tournage : Français Genre : Historique, Aventure Format : Couleur Durée : 105 minutes Date de sortie : France : 21 août 1968 Distribution Michèle Mercier : Angélique Robert Hossein : Joffrey de Peyrac "Le Rescator" Jean-Claude Pascal : Osman Ferradji Helmuth Schneider: Colin Paturel Aly Ben Ayed: Sultan Moulay-El-Raschid Roger Pigaut: Pierre-Marie D'Escrainville Jacques Santi: comte de Vateville Bruno Dietrich : Coriano Henri Cogan: Simon Bolbec Erno Crisa: ambassadeur turc Arturo Dominici: Mezzo Morte (non crédité) Wilma Lindamar : Leïla Aïcha Gaby Mess/Mesee : favorite du Sultan Ettore Manni: Jason Manja Golec : captive Emilio Massina : garde de l'ambassadeur (non crédité) Mohamed Kouka Claudio Previtera. Antoine Baud : un marin D'Escrainville Marc Cassot: voix d'Helmut Schneider Jean Topart: voix d'Arturo Dominici Michèle Montel : voix de Manja Golec
Autour du film
De nombreuses scènes du film sont tournées en Tunisie, par exemple dans la ville de Sidi Bou Saïd, entre autres dans le palais du baron Rodolphe d'Erlanger, autour du ribat de Monastir, dans l'amphithéâtre d'El Jem, avec une vue de la corbeille de Nefta, de la baie de La Marsa, etc.
Filmographie d'Angélique 1964 : Angélique Marquise des Anges de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Robert Hossein, Jean Rochefort 1964 : Merveilleuse Angélique de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Claude Giraud, Jean Rochefort 1965 : Angélique et le Roy de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Jean Rochefort 1967 : Indomptable Angélique de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Robert Hossein 1968 : Angélique et le sultan de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Robert Hossein, Jean-Claude Pascal
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Date de sortie : 1998 Réalisé par Ulu Grosbard Avec Treat Williams, Michelle Pfeiffer, Whoopi Goldberg Genre : Drame Nationalité : Américain
La vie de Beth Cappadora , mère aimante et dévouée , bascule dans une terrible angoisse le jour où Ben , son fils de trois ans , disparaît dans la bousculade du hall d'un hôtel où elle assistait à une réunion d'anciens camarades de lycée . Les recherches ne donnent rien . Pour Beth , son mari Pat et leurs deux autres enfants , les heures d'insoutenable attente deviennent des jours , des semaines puis des mois . Pendant près de dix ans , la vie s'écoule péniblement jusqu'à ce qu'un jeune garçon vienne frapper à la porte des Cappadora , Beth est convaincue qu'il s'agit de Ben ...
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Autant en emporte le vent (Gone with the Wind) est un film américain de Victor Fleming réalisé en 1939 et adapté du roman éponyme de Margaret Mitchell. Avec pour acteurs principaux Clark Gable et Vivien Leigh, il raconte l'histoire de la jeune Scarlett O'Hara et du cynique Rhett Butler sur fond de guerre de Sécession. Ce film met également en scène Leslie Howard et Olivia de Havilland. Écrit par le scénariste Sidney Howard, il a reçu huit Oscars dont celui du Meilleur film et du Meilleur réalisateur.
Il est considéré par l'American Film Institute comme le quatrième meilleur film américain de l'histoire du septième art et figure en quatrième position au palmarès historique des films les plus vus en France. Après correction de l'inflation, il est considéré comme le plus gros succès de l'histoire du cinéma avec 1 250 000 000 de dollars américains de recettes.
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