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Très loin , au plus profond du secret de notre âme , un cheval caracole ... un cheval , le cheval ! Symbole de force déferlante , de la puissance du mouvement , de l’action
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Galope à perdre haleine dans l'écrin de verdure Brise vit' les chaînes qui gâchent l'aventure. Libère la poésie et son chant mélodieux , Monture de ma vie , emmène-moi jusqu'aux cieux ...
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L'utilisation du cheval dans les mines est indissociable de l'ère industrielle, et en particulier de la seconde moitié du XIXe aux années 1950, dans tous les pays qui pratiquèrent l'extraction du charbon. Aux XVIe et XVIIe, les chevaux n'étaient utilisés qu'en surface par les compagnies minières, ils actionnaient alors plusieurs mécanismes. Dès le XIXe, ils furent descendus aux fond des mines, chevaux et poneys devinrent alors les auxiliaires des mineurs en tirant des wagonnets. Ces animaux n'étaient remontés des galeries souterraines qu'après être devenus trop vieux ou trop faibles pour y travailler. Ils étaient généralement bien traités par les mineurs, mais les rudes conditions de travail les exposaient, tout comme les hommes, à des blessures et à de nombreux dangers.
Hommes transportant le charbon de leurs mines avec l'aide d'un équidé.
Les derniers chevaux des mines furent remplacés par des locomotives électriques durant les années 1960 en France, et les derniers poneys de mine disparurent d'Angleterre dans les années 1980.
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Les chevaux (et poneys) de fond furent essentiellement utilisés dans les pays qui exploitèrent le charbon, tels que la France, la Belgique, l'Allemagne, la Grande-Bretagne et les États-Unis. En effet, l'utilisation de la machine à vapeur était impossible dans un environnement confiné, et la présence du grisou rendait les machines à vapeur et le moteur à explosion très dangereux dans les galeries. Dans les pays anglo-saxons, les poneys étaient préférés et portaient alors le nom de « pit-ponies ».
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Durant toute l'ère pré-industrielle, notamment au XVIe siècle, les chevaux n'étaient utilisés qu'en surface, en particulier dans les gisements de sel et de fer. Au XVIIe, ils sont employés dans les mines de charbon du Nord de la France, où on les attelait à un manège, lui-même relié à un tambour sur lequel étaient enroulées des cordes de chanvre qui remontaient les tonneaux de charbon. Au fond des galeries, seule la force musculaire de l'homme était mise à profits, à travers le portage à dos, le traînage, et le roulage à bras. La machine à vapeur est importée d'Angleterre vers 1800 et parallèlement, la demande en charbon s'accentue. Les compagnies minières décident alors du recours à la traction animale dans les puits, à partir de 1820, et le premier cheval de fond français est descendu dans les galeries en 1821, dans la Loire.
Les chevaux de fond furent utilisés plus longtemps que pour le transport en surface, et restèrent un élément moteur important du travail minier ainsi que le seul moyen d'augmenter le rendement jusqu'aux années 1920, où l'usage des locomotives électriques se développe et où le recours au cheval commence à se limiter aux galeries moins accessibles tandis que les convoyeurs à bande se développent1. En 1920, en France, chaque compagnie minière possédait environ 500 chevaux et en 1926, il y avait environ 10 000 chevaux dans les mines au total. En 1936, les premiers congés payés furent étendus à ces animaux qui bénéficièrent d'une semaine de vacances par an, où ils étaient remis au pré. Après la Seconde Guerre mondiale, la locomotive électrique remplaça encore davantage le cheval et en 1960, les compagnies minières françaises n'employaient plus que 130 de ces animaux.
En 1969, le dernier d'entre eux fut remonté des galeries, et le cheval cessa définitivement d'être employé. Dans la région du Nord-Pas-de-Calais, l'homme chargé de conduire les chevaux dans les galeries se faisait appeler l'meneux d'quéviaux ou l'meneux d'bidets.
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L'exploitation houillère Léonard de France, dans la ville de Liège, possédait aussi des chevaux pour les travaux de fond. Une chronique datée de 1836 décrit des chevaux vivant à mille pieds de profondeur, dont certains n'ont plus vu la lumière du jour depuis 1823 :
« Ce qu'il y a de particulier, c'est que non-seulement ils ne souffrent point dans ce séjour ténébreux, mais encore la température chaude et constamment égale dans laquelle ils vivent, leur a donné un poil qui ressemble à la fourrure veloutée de la taupe, et qui surpasse en éclat, en douceur, en beauté, celui des chevaux de course les mieux entretenus. La manière dont on descend ces animaux dans la mine est tout-à-fait singulière; comme ils ne pourraient avoir assez de place, la bouche du puits formant une sorte de parallélogramme inégal, on est obligé de les placer de travers sur l'ouverture ; et pour les maintenir dans la position convenable, on les selle, on les bride, et un cavalier les monte afin de les diriger dans l'étroit passage, en même temps que les cordes auxquelles ces animaux sont suspendus les descendent lentement dans la mine; voilà très certainement la plus étrange cavalcade qu'on puisse imaginer, et si j'en avais eu le temps je crois que j'aurais voulu l'essayer. » — Hermann Ludwig Heinrich Pückler-Muskau, Chroniques, lettres et journal de voyage, extraits des papiers d'un défunt : Première partie; Europe, Paris, 1836.
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