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3 articles taggés Charles Aznavour

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Tags : couple, iL était une fois . . . elle + lui = ♥ part III, Pied, Charles Aznavour, Woody Allen, Citation ., Citation C, Citation W, dessinsagogo55, Dessin, Eric Picard, (2 croquis)
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#Posté le mercredi 04 janvier 2012 10:44

Modifié le dimanche 19 juillet 2015 05:13

Cherchez l'idole

Cherchez l'idole est un film franco-italien réalisé par Michel Boisrond et sorti en 1964.

Cherchez l'idole

La grande vedette de cinéma Mylène Demongeot emménage dans une nouvelle et belle demeure à côté du bois de Boulogne. Sa maison en travaux est envahie par une armée d'ouvriers. Mylène est invitée par le Général (de Gaulle donc !) pour assister dans 3 jours à une réception qui aura lieu au Palais de l'Élysée. Elle demande à sa femme de chambre Gisèle de préparer sa tenue de gala pour ce jour-là et de veiller sur le petit c½ur en diamant qu'elle voudrait porter à cette occasion (une bagatelle de 500 000 francs de l'époque, soit quelque 76 000 euros). Entre-temps, elle doit s'absenter pour se rendre à Cannes pour un événement cinématographique. Richard, un gentil ouvrier carreleur ½uvrant dans la maison de la star, exaspéré par Corinne, son ambitieuse et casse-pieds de petite amie, a incidemment appris par Gisèle l'existence du fameux bijou... Il dérobe le petit c½ur, mais Gisèle s'aperçoit immédiatement de sa disparition et, quand la police fait irruption, Richard n'a que le temps de se réfugier dans l'entrepôt le plus proche, celui d'un magasin de musique, et de cacher le bijou en le collant avec un chewing-gum à l'intérieur d'une guitare électrique Ericson. Dès le lendemain, quand la coriace Corinne se rend à la boutique pour acheter la guitare, les cinq exemplaires Ericson du stock viennent juste d'être vendus à cinq idoles de la chanson. Corinne rend Richard responsable de cette bévue et rompt avec lui. Elle se met sur la piste des idoles avec sa copine Vonny tandis que Richard, repentant, part aussi à la chasse au trésor, mais avec l'aide de Gisèle dans le but de remettre le bijou à sa place avant le retour de Mylène. Ils vont devoir approcher les idoles lors de leurs prestations artistiques pour retrouver celle parmi les cinq qui détient la fameuse guitare au trésor : est-ce Charles Aznavour, Sylvie Vartan, Frank Alamo, Nancy Holloway ou Johnny Hallyday ?


Fiche technique

Titre original : Cherchez l'idole
Titre italien : Sciarada alla francese
Réalisation : Michel Boisrond
Assistants-réalisation : Jacques Corbel, Marc Simenon
Scénario : Annette Wademant, Richard Balducci
Dialogues : Annette Wademant
Musique : Georges Garvarentz (voir la BOF Cherchez l'idole)
Chansons : paroles de Charles Aznavour et musique de Georges Garvarentz, interprétées par :
Frank Alamo : L'ange que j'attendais
Charles Aznavour : Et pourtant
Les Chaussettes Noires et Eddy Mitchell : Crois-moi mon coeur
Jean-Jacques Debout : Si tu voulais m'aimer
Johnny Hallyday : Bonne chance
Nancy Holloway : Prends garde à toi
Les Médiators : Il faut saisir sa chance
Sophie : Je n'y peux rien
Les Surfs : Ça n'a pas d'importance
Sylvie Vartan : La plus belle pour aller danser
Photographie : Raymond Lemoigne
Son : Julien Coutelier
Montage : Geneviève Vaury
Direction artistique : Jacques Gut
Décors : Jacques Gut, Raymond Gabutti
Costumes : Tanine Autré
Pays d'origine : France, Italie
Tournage :
Langue : français
Période : 8 octobre au 5 décembre 1963
Extérieurs : Paris
Producteurs : Mario Chabert, Michel Boisrond, Lucien Masson
Sociétés de production : France Cinéma Productions, Mannic Films (France), Sirius Films (France), UGC (France), Adelphia Compagnia Cinematographica (Italie)
Sociétés de distribution : UGC, Connaissance du Cinéma /Tamasa
Format : noir et blanc — 35 mm — 2.35:1 Franscope — son monophonique
Genre : comédie, film musical
Durée : 85 minutes
Date de sortie : France 26 février 1964


Distribution


Mylène Demongeot : elle-même
Franck Fernandel : Richard
Berthe Granval : Gisèle
Dany Saval : Corinne
Dominique Boschero : Vonny
Marcel Achard : lui-même
Pierre Bellemare : lui-même
Harold Kay : lui-même
Hector : lui-même
Les Médiators : eux-mêmes
Claude Piéplu : lui-même
Daniel Gélin : lui-même
Les Frères ennemis : eux-mêmes
Bruno Coquatrix : lui-même, le directeur de l'Olympia
Johnny Hallyday : lui-même
Frank Alamo : lui-même
Charles Aznavour : lui-même
Sylvie Vartan : elle-même
Eddie Vartan : lui-même
Nancy Holloway : elle-même
Jean-Jacques Debout : lui-même
Eddy Mitchell : lui-même
Les Chaussettes Noires : eux-mêmes
Les Surfs : eux-mêmes
Sophie : elle-même
André Dionnet : Léon
Max Montavon : Loulou
Teddy Vrignault : Édouard
Max Amyl : un peintre
François Cadet : un plombier
Roger Trapp : un plombier
Franco Califano : le metteur en scène
Henri Coutet : le préposé à l'audition
Paul Bisciglia : l'assistant du tailleur
Michel Dacquin : le 1er contrôleur
Charles Bouillaud : le 2e contrôleur
Pierre Doris : le disquaire
Jacques Dynam : le routier
André Gaillard : le régisseur à l'audition
Guy Grosso : le visiteur à Europe 1
Christian Marin : un pompier
Laure Paillette : la caissière
Alexandre Randall : un présentateur
Parmi les spectateurs à l'Olympia :
Maurice Biraud : lui-même
Juliette Gréco : elle-même
Françoise Sagan : elle-même
Marie Laforêt : elle-même
Jean Marais : lui-même

Tags : Cherchez l'idole, Film, Michel Boisrond, 1964, Cinéma, Cinéma C, Mylène Demongeot, Franck Fernandel, Berthe Granval, Dany Saval, Dominique Boschero, Pierre Bellemare, Harold Kay, Hector, Les Médiators, Daniel Gélin, Les Frères ennemis, Bruno Coquatrix, Johnny Hallyday, Frank Alamo, Charles Aznavour, Sylvie Vartan, Eddie Vartan, Jean-Jacques Debout, Eddy Mitchell, Les Chaussettes Noires, Les Surfs, Sophie, André Dionnet, Max Montavon, Teddy Vrignault, Max Amyl, François Cadet, Roger Trapp, Franco Califano, Henri Coutet, Paul Bisciglia, Michel Dacquin, Charles Bouillaud, Pierre Doris, Jacques Dynam, André Gaillard, Guy Grosso, Christian Marin, Laure Paillette, Alexandre Randall, Maurice Biraud, Juliette Gréco, Françoise Sagan, Marie Laforêt, Jean Marais, Nancy Holloway, Claude Piéplu, Marcel Achard
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#Posté le mardi 23 octobre 2012 05:00

Modifié le vendredi 14 décembre 2012 07:48

Un taxi pour Tobrouk

 
 
 
 
 
 
 
 
 Un taxi pour Tobrouk
 
 
 
Un taxi pour Tobrouk est un film français réalisé par Denys de La Patellière, sorti en 1961.
Le film commence par une présentation de la nuit du réveillon de Noël 1941 et comment les divers personnages du film la fêtent :
le capitaine Ludwig von Stegel quitte sa famille dans son château de Poméranie ;
le brigadier Théo Dumas est accueilli par une famille anglaise à Londres tout en pensant à son bistrot du faubourg Montmartre ;
François Jonsac quitte sa grand-mère à Ablis pour rejoindre Londres après « s'être toujours ennuyé » ;
Samuel Goldmann quitte la France à bord d'un bateau pour éviter les persécutions antisémites ;
Paolo Ramirez, condamné à mort, prépare son évasion de prison.

Un taxi pour Tobrouk
 
Le film se poursuit en octobre 1942 à Tobrouk dans la Libye occupée par les Allemands. On retrouve un commando du LRDG des FFL qui vient de perpétrer une attaque contre une position allemande. Le lieutenant qui les commandait a été tué : les quatre hommes restants se retrouvent livrés à eux-mêmes.
 
À bord de leur véhicule, le commando se dégage de Tobrouk en direction d'El-Alamein, mais se perd dans le désert. Il est survolé par un avion allemand et décide de masquer sa nationalité, sachant que les Allemands ont capturé beaucoup de véhicules anglais. L'appareil, pourtant allemand, n'attaque pas le véhicule et ses occupants. C'est alors que Ramirez tire sur l'avion à la mitrailleuse. Il le touche, mais l'avion a le temps d'incendier le véhicule. Le commando essaie de sauver « la radio, la flotte », mais en vain.
 
Dès lors, c'est la fin. Sans vivres, ni eau, ni radio. Le commando se sépare : les durs (Dumas et Ramirez) décidés à marcher pour tout tenter ; les intellectuels (Jonsac et Goldmann) décidés à attendre la mort sur place. Finalement, ils partent tous les quatre sans but précis à la recherche de ce qui pourrait les sauver.
 
Après une longue marche, ils découvrent les traces d'un véhicule. Ils les suivent et surprennent une patrouille allemande. Bien embusqués, ils abattent les quatre soldats allemands, se dirigent vers la voiture. C'est alors qu'ils découvrent un officier allemand (von Stegel) qui a échappé au massacre. Après avoir enterré les soldats allemands, ils partent pour rallier les lignes anglaises avec leur prisonnier.
 
Le capitaine von Stegel prévient le commando qu'ils se dirigent vers une zone de sables mouvants,; ceux-ci ne l'écoutent pas et s'ensablent. À court d'essence, ils se rapprochent des lignes allemandes. Réussissant à s'intégrer à un convoi ennemi pour se ravitailler et ayant au préalable assommé von Stegel, ils échappent à la menace d'un prisonnier français qui, reconnaissant Goldmann, crie instinctivement son nom.
 
Les Français quittent la colonne allemande et poursuivent leur route. Lors d'un nouvel ensablement, le capitaine von Stegel s'empare du véhicule, fait prisonniers les quatre Français et retourne vers Tobrouk. À présent au volant, le brigadier ensable volontairement le véhicule et les quatre Français refusent de le dégager. Il s'ensuit une très longue période d'observation. Le capitaine seul contre quatre finit par s'endormir et les quatre Français reprennent le contrôle de la situation.
 
Par hasard, ils se retrouvent à devoir traverser un champ de mines et de barbelés en plein désert. Une fois engagés, ils hésitent à poursuivre et reculent sur leurs traces. Descendus tous deux du véhicule, l'Allemand évite alors à Dumas de sauter lui aussi sur une mine, puis Jonsac, descendu à son tour pour aider Dumas, est victime de l'explosion de l'un de ces engins, se trouvant de la sorte grièvement blessé.
 
À proximité d'El Alamein, ils s'arrêtent pour faire une piqûre à François. Le brigadier en arrive à ne plus vouloir remettre l'officier allemand aux autorités et réfléchit un peu à l'écart du groupe aux moyens de le laisser s'enfuir. Pendant ce temps, non loin, un blindé allié repère le véhicule allemand, qu'il détruit par un coup au but, tuant les quatre rescapés. Dumas est seul survivant.
 
Le film se termine avec le défilé de la victoire, où le brigadier Dumas, ému au souvenir de l'équipée, se fait vertement reprendre par un spectateur pour avoir gardé sa casquette au passage des troupes. « Excusez-moi, je pensais à autre chose », répond-il.
 
 
 

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Fiche technique

Titre : Un taxi pour Tobrouk
Réalisation : Denys de La Patellière
Scénario : Denys de La Patellière et René Havard, adapté du roman de ce dernier
Dialogues : Michel Audiard
Assistant réalisateur: Pierre Granier-Deferre
Photographie : Marcel Grignon
Décors : Paul-Louis Boutié
Montage : Jacqueline Thiédot
Musique : Georges Garvarentz et Charles Aznavour (pour « La Marche des Anges » sur la mélodie de Les Anges dans nos campagnes)
Affichiste : Clément Hurel
Société de production : Gaumont
Pays d'origine : France, Grande-Bretagne, Allemagne, Espagne
Langue : français, anglais, allemand
Format : noir et blanc procédé Dialyscope - Format 35 mm - 2,35:1 - mono
Genre : drame
Durée : 95 minutes
Lieu de tournage : désert de Tabernas, Province d'Almería (Andalousie, Espagne)
Date de sortie :
 France : 10 mai 1961
 
Distribution

Lino Ventura: brigadier Théo Dumas
Charles Aznavour: Samuel Goldmann
Hardy Krüger : capitaine Ludwig von Stegel
Maurice Biraud : François Jonsac
Germán Cobos : Paolo Ramirez
Roland Ménard : le narrateur
 
Autour du film
Commentaires

Dialogué par Michel Audiard, ce film montre l'absurdité des situations qui se créent pendant une guerre dès que les soldats discutent, et que la guerre ne règle évidemment pas. Pour certains critiques, l'antimilitarisme est le fil conducteur du film.
Les échanges entre l'officier et les hommes du rang, entre l'Allemand et les Français, se teintent finalement d'une camaraderie sincère. Cette dernière est facilitée par leur commune étoffe de soldats et par un destin commun. Elle les place à égalité face aux risques de la guerre, comme le montre le dénouement de l'histoire.
Lino Ventura et Charles Aznavour sont entourés de trois seconds rôles aussi bons acteurs. Savoir qui va finalement l'emporter, de l'Allemand ou des Français, reste délicieux à voir : ce huis clos en plein désert sera vraiment une révélation pour ces hommes.
L'½uvre, qualifiée d'antimilitariste, est en partie inspirée par une histoire vraie : celle vécue par deux soldats allemands et danois, ennemis s'associant pour survivre en 1943 au c½ur du Groenland où ils s'étaient égarés
 
Sources d'inspiration
 
Le film est une adaptation du roman éponyme de René Havard, qui s'est sans doute inspiré de plusieurs éléments réels de la guerre du désert :
Après une mission réussie contre le fort italien de Mourzouk, des patrouilles du Long Range Desert Group sont prises en embuscade. Quatre soldats britanniques, leur véhicule ayant été détruit, décident de rejoindre une base française située au sud de leur position, à plus de 320 km. Ils passent dix journées à pieds dans le désert
D'après Pierre Bellemare, Un taxi pour Tobrouk serait la version fortement modifiée d'une histoire réelle de deux soldats danois et allemand s'étant perdus lors d'une poursuite au Groenland en 1943 puis ayant fait le chemin de retour, à demi-morts, ensemble
Les actions des parachutistes des forces françaises libres incorporés dans le Special Air Service britannique (Bataillons d'Infanterie de l'Air) qui furent chargés d'effectuer des sabotages sur les arrières de l'Afrika Korps, commandé par le général Rommel jusqu'en août 1942 (le film se déroule en octobre 1942), durant la dernière phase de la guerre du désert en 1942-1943. Ils neutralisèrent notamment des bases aériennes allemandes en détruisant des avions au sol ; ces raids de commandos se faisaient en parcourant des centaines de kilomètres en jeeps à travers le désert.
Théo Dumas, le personnage joué par Lino Ventura informe ses trois compagnons que le v½u du lieutenant qui vient d'être tué au combat était d'aller à Ploërmel, Morbihan, il ajoute : « On n'y est pas encore ! » Un hommage probable au parachutage, en juin 1944, d'un bataillon de SAS français sur le maquis de Saint-Marcel près de Ploërmel, dans le cadre du débarquement en Normandie

Tournage

Le film n'a pas pu être tourné en Afrique du Nord en raison du refus des compagnies d'assurance face à l'instabilité qui régnait avant l'indépendance algérienne. Il a donc été réalisé dans une région désertique du sud-est de l'Espagne près d'Almeria.
Dans l'impossibilité de disposer de matériel militaire, les camions allemands ont été reconstitués à partir de transporteurs de légumes. Quant aux chars, il s'agit de tracteurs recouverts de décors en placoplâtre.

Remarque

Le personnage de Lino Ventura est appelé par le grade de « brigadier » alors qu'en tant que fusilier marin il devrait être normalement appelé « quartier-maître ». Cette confusion pourrait provenir du fait que ses trois autres camarades viennent de l'Armée de terre, notamment Jonsac, issu des Hussards, qui utilisent cette appellation de grade comme le font les soldats des armes dites « à cheval ».
Lors d'une séquence, Jonsac, le personnage joué par Maurice Biraud, parle à Goldmann, celui joué par Charles Aznavour, de la rue Monsieur-le-Prince à Paris, faisant ainsi référence à la rue où le chanteur français a vu le jour le 22 mai 1924.

Distinction

Le film a été vu par 4 946 000 spectateurs, et a reçu le Grand prix du cinéma français 1961.
 

 https://fr.wikipedia.org/wiki/Un_taxi_pour_Tobrouk
 https://youtu.be/i5I2m5NiIE4
   
 
 


A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z, 0-9,
 
 
Tags : Un taxi pour Tobrouk, Cinéma, Film, Drame, Guerre, 10 mai 1961, 10 mai, 1961, Lino Ventura, Charles Aznavour, Hardy Krüger, Maurice Biraud, Germán Cobos, Roland Ménard
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