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Lucy Kate Hale (née Karen Lucille Hale, le 14 juin 1989 à Memphis dans le Tennessee) est une actrice, chanteuse et mannequin américaine. Elle est surtout connue pour avoir joué le rôle de Becca Sommers dans Bionic Woman (2007), le rôle de Miranda Hampson dans Les Sorciers de Waverly Place (2007-2008), le rôle de Rose Baker dans Privileged (2008-2009), le rôle de Katie Parker dans De mères en filles (2009), le rôle de Sherrie dans Scream 4 (2011) et le rôle de Katie Gibbs dans A Cinderella Story: Once Upon a Song (2011). Depuis le 8 juin 2010, elle joue le rôle de Aria Montgomery dans la série dramatique/mystère/thriller/romance, Pretty Little Liars.
Née à Memphis au Tennessee, Lucy y grandit avec ses parents Julie et Richard Hale qui ont divorcé alors qu'elle était très jeune. Elle a une s½ur aînée, Maggie et un demi-frère aîné, Wes Gossan. Dès l'âge de 8 ans, elle a pris des cours de chant. Tout en suivant des cours par correspondance, Lucy suivait des cours de comédie afin de combiner ses deux passions, la comédie et la chanson.
En 2005, Lucy est apparue dans un épisode de Ned ou Comment survivre aux études. En 2006, elle joue dans le premier épisode d'une nouvelle série sur ABC, Secrets of a Small Town. Mais la série a été annulée. La même année (2006), Lucy est apparue dans la série Drake et Josh, ainsi que dans Newport Beach. En 2007, elle a joué dans le premier épisode de la série American Family, sur la chaîne américaine CBS. Mais la série a également été annulée. Elle a, par la suite, joué dans un épisode de la série How I Met Your Mother. Cette même année (2007), Lucy est apparue dans deux épisodes de la célèbre série Disney Channel, Les Sorciers de Waverly Place, où elle incarne Miranda la petite amie gothique de Justin Russo. Suite à ses apparitions dans American Family, How I Met Your Mother et Les Sorciers de Waverly Place, Lucy eu le rôle de Becca Sommers, la petite s½ur de Bionic Woman dans la série Bionic Woman sur la chaîne américaine NBC. Lucy a tourné dans huit épisodes de la série avant que la série ne soit annulée pour manque d'audience. En 2008, Lucy a joué le rôle de Effie la petite s½ur de Lena dans le film Quatre filles et un jean 2 aux côtés de America Ferrera et Blake Lively. Toujours en 2008, Lucy a eu le rôle de Rose Baker dans la série Privileged. Lucy est d'ailleurs restée très proche de l'actrice Ashley Newbrough qui jouait Sage Baker, sa s½ur jumelle dans la série. Entre 2009 et 2010, Lucy est apparue dans Les Experts : Miami, Ruby & The Rockits et Private Practice. En décembre 2009, Lucy auditionne pour la nouvelle série dramatique/mystère/thriller, Pretty Little Liars (tiré du roman Les Menteuses, de Sara Shepard). Depuis le 8 juin 2010, Lucy incarne Aria Montgomery dans la série Pretty Little Liars, sur la chaîne américaine ABC Family. Le 15 avril 2011, Lucy a joué dans le film d'horreur Scream 4 aux côtés de Hayden Panettiere, Shenae Grimes, Anna Paquin, Kristen Bell, Aimee Teegarden, Brittany Robertson, Courteney Cox et Emma Roberts. Le 6 septembre 2011, on l'a vu dans le téléfilm, A Cinderella Story: Once Upon a Song, où elle tient le rôle principal. En 2012, elle obtient un rôle dans le thriller, Downers Grove, aux côtés de Nikki Reed et Hayden Panettiere mais le film ne sera jamais tourné.
En 2003, à l'âge de 13 ans, Lucy a participé à la seule saison de l'émission de télé réalité, American Juniors, une version junior de American Idol et c'est grâce à cette émission qu'elle a rencontré une de ses meilleures amies Katelyn Tarver. En compétition contre des milliers d'autres qui ont auditionné pour réaliser leurs rêves. Grâce à sa performance avec la célèbre chanson des années 1980, "Call Me", Lucy termine dans les cinq finalistes. Avec les cinq finalistes, Lucy forme un groupe qui est apparu dans diverses émissions de télévision telle que : An American Idol Christmas, Entertainment Tonight et Slime Time Live sur Nickelodeon et sorti un album. Après que le groupe se soit séparé, Lucy décide de se concentrer sur sa carrière d'actrice. Lucy décrit la musique comme étant "son premier amour". Ses plus grandes influences musicales sont Shania Twain et Faith Hill mais ce qui lui a donné envie de se lancer dans la musique c'est la chanson Baby One More Time de Britney Spears. Le 12 juin 2012, il a été déclaré que Lucy a signé un contrat avec le label Hollywood Records. L'enregistrement de son premier album devrait commencer en fin d'année 2012 et la sortie est prévue pour courant 2013. L'album sera un album de musique country.
En octobre 2007, Lucy commence à fréquenter l'acteur David Henrie qu'elle a rencontré sur le tournage des Sorciers de Waverly Place la même année. Après plus de deux ans de relation, ils se sont séparés en mars 2010 après qu'il lui ait été infidèle. Elle est sortie avec le musicien, Alex Marshall, de octobre 2010 à décembre 2011. Elle a ensuite fréquenté l'acteur Chris Zylka de janvier 2012 à septembre 2012. En juin 2013, il a été annoncé que Lucy est en couple avec l'acteur Graham Rogers.
Filmographie
Films
2008 The Apostles 2008 Quatre filles et un jean 2 2009 Fear Island 2009 De mères en filles 2011 The Banshee 2011 Scream 4 2011 A Cinderella Story: Once Upon a Song 2012 Downers Grove 2012 Clochette et le secret des fées
Séries télévisées
2003 American Juniors 2005 Ned ou Comment survivre aux études 2006 Secrets of a Small Town 2006 Drake et Josh 2006 Newport Beach 2007 American Family 2007 How I Met Your Mother 2007 Les Sorciers de Waverly Place 2007 Bionic Woman 2008-2009 Privileged 2009 Ruby & The Rockits 2009 Private Practice 2010 Les Experts : Miami 2010 Pretty Little Liars 2012 Punk'd : Stars piégées
Discographie
Bandes Originales
2003 Kids In America 2011 A Cinderella Story: Once Upon a Song
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Odile Versois est une comédienne française, née Tania de Poliakoff-Baïdaroff le 14 juin 1930 à Paris, où elle est morte le 23 juin 1980.
Émigrés de Russie après la Révolution de 1917, ses parents se réfugient en France. Son père Vladimir de Poliakoff est chanteur d'opéra, et sa mère Militza Envald, danseuse étoile. Tania est très tôt intéressée par le théâtre et le cinéma. Elle tourne son premier film à 18 ans avec le réalisateur Roger Leenhardt, immédiatement subjugué par sa beauté. Elle entraîne sa s½ur Marina dans le monde du spectacle, et tourne avec elle le film Orage d'été réalisé par Jean Gehret alors que Marina n'a que 12 ans.
Après avoir divorcé de l'acteur Jacques Dacqmine, Odile Versois épouse en 1953 le comte François Pozzo di Borgo avec qui elle a quatre enfants. Odile Versois meurt à cinquante ans d'un cancer. Elle est inhumée au cimetière russe de Sainte-Geneviève-des-Bois. Elle a eu trois s½urs, elles aussi vouées au spectacle : Olga (1928-2009) : réalisatrice de télévision sous le nom de Olga Varen ; Militza (1932-1988) : actrice sous le nom de Hélène Vallier ; Catherine (née en 1938) : actrice sous le nom de Marina Vlady. Selon Paris-Match du 11 juin 1955, l'initiale « V » commune aux quatre pseudonymes serait le V de la victoire.
Filmographie Cinéma 1948 : Les Dernières vacances de Roger Leenhardt : Juliette 1949 : Orage d'été de Jean Gehret : Mari-Lou 1949 : Fantômas contre Fantômas de Robert Vernay : La jeune fille 1949 : Paolo e Francesca de Raffaello Matarazzo : Francesca da Rimini 1949 : La mariée ne peut attendre (La sposa non può attendere) de Gianni Franciolini : Maria 1949 : Désordre de Jacques Baratier (court métrage documentaire) : Elle-même 1950 : Into the Blue ( Man in the Dinghy) de Herbert Wilcox : Jackie 1950 : Les Anciens de Saint-Loup de Georges Lampin : Catherine Jacquelin 1951 : Bel Amour de François Campaux : Gilda Jorgegsen 1951 : Mademoiselle Josette ma femme de André Berthomieu : Josette Dupré 1952 : Domenica de Maurice Cloche : Domenica Léandri 1952 : La Répétition manquée de Pierre Neurisse (court métrage) 1953 : Grand gala de François Campaux : Anna 1953 : Les Crimes de l'amour de Maurice Clavel et Maurice Barry : Mina, dans le sketch : Mina de Vanghel 1953 : A Day to Remember de Ralph Thomas : Martine Berthier 1953 : Mina de Vanghel de Maurice Clavel : Mina de Vanghel 1954 : Évasion (The Young Lovers) de Anthony Asquith : Anna Szobek 1955 : Sophie et le crime de Pierre Gaspard-Huit 1955 : Deux Anglais à Paris (To Paris with Love) de Robert Hamer : Lizette Marconne 1956 : Les Insoumises de René Gaveau : Hélène 1956 : A tombeau ouvert (Checkpoint) de Ralph Thomas : Francesca 1957 : Pour l'amour d'une reine (Herrscher ohne Krone) de Harald Braun : Reine Mathilde 1958 : Passeport pour la honte (Passport to Shame) d'Alvin Rakoff : Marie Louise (Malou) 1959 : Toi, le venin de Robert Hossein : Hélène Lecain
1960 : La Dragée haute de Jean Kerchner : Evelyne Barsac 1960 : Le Trésor des hommes bleus de Edmond Agabra : Suzanne 1960 : Estoril y sus fiestas de Juan Manuel de La Chica et Vicente Minaya - simple apparition dans ce documentaire 1961 : Le Rendez-vous de Jean Delannoy : Edith 1962 : Cartouche de Philippe de Broca : Isabelle de Ferrussac 1962 : Transit à Saïgon de Jean Leduc 1963 : À cause, à cause d'une femme de Michel Deville : Nathalie 1964 : Le Dernier Tiercé de Richard Pottier : Jacqueline 1965 : La Pharmacienne de Jany Holt et Serge Hanin (court métrage) 1965 : Le Désordre à vingt ans de Jacques Baratier - participation dans ce documentaire - 1968 : Benjamin ou les mémoires d'un puceau de Michel Deville : La femme mariée 1972 : Églantine de Jean-Claude Brialy : Marguerite 1975 : Stationschef Fallmerayer de Walter Davy : Walewska 1977 : Le Crabe-tambour de Pierre Schoendoerffer Télévision[modifier] 1963 : L'inspecteur Leclerc enquête (série télévisée) dans l'épisode Obsession 1966 : Le train bleu s'arrête 13 fois (série télévisée) dans l'épisode Monte-Carlo : un mari dangereux : Nathalie 1973 : L'Hiver d'un gentilhomme (série télévisée) : Christine de Sagne 1973 : Un monsieur bien rangé (série télévisée) : Viviane 1974 : La Juive du Château-Trompette (série télévisée) : La marquise de Beauséjour 1975 : Pas de frontières pour l'inspecteur (série télévisée) dans l'épiosde Le bouc émissaire : Mlle Lindberg 1976 : Le Milliardaire (téléfilm) : Françoise 1977 : Richelieu (série télévisée) 1977 : Le Confessionnal des pénitents noirs (série télévisée) : La marquise Vivaldi 1980 : Julien Fontanes, magistrat (série télévisée) dans l'épisode Les Mauvais Chiens : Inge Wolfrum 1980 : Les Enquêtes du commissaire Maigret (série télévisée) dans l'épisode Maigret et l'ambassadeur : Hélène Mazeron
Théâtre 1950 : Ami-Ami de Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy, mise en scène Jean Wall, avec Maria Mauban, Jacques Dacqmine, Théâtre Daunou. 1959 : Hamlet de William Shakespeare, mise en scène Jean Darnel, Arènes de Saintes 1963 : Pour Lucrèce de Jean Giraudoux, mise en scène Raymond Gérôme, Festival de Bellac 1966 : Les Trois S½urs d'Anton Tchekov, mise en scène André Barsacq, Théâtre Hébertot 1970 : Ciel, où sont passées les dattes de tes oasis ? de Roger Hanin, mise en scène Jacques Ardouin, Théâtre de la Potinière 1979 : Ciel, où sont passées les dates de tes oasis ?
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Ernesto Guevara, plus connu comme « Che Guevara » ou « le Che », né le 14 juin 1928 à Rosario en Argentine et mort exécuté le 9 octobre 1967 à La Higuera en Bolivie, à l'âge de 39 ans, est un révolutionnaire marxiste-léniniste et internationaliste argentin ainsi qu'un homme politique d'Amérique latine. Il a notamment été un dirigeant de la révolution cubaine, qu'il a théorisée et tenté d'exporter, sans succès, vers le Congo puis la Bolivie où il trouve la mort.
Alors qu'il est jeune étudiant en médecine, Guevara voyage à travers l'Amérique latine, ce qui le met en contact direct avec la pauvreté dans laquelle vit une grande partie de la population. Son expérience et ses observations l'amènent à la conclusion que les inégalités socioéconomiques ne peuvent être abolies que par la révolution. Il décide alors d'intensifier son étude du marxisme et de voyager au Guatemala afin d'apprendre des réformes entreprises par le président Jacobo Arbenz Guzmán, renversé quelques mois plus tard par un coup d'État appuyé par la CIA. Peu après, Guevara rejoint le mouvement du 26 juillet, un groupe révolutionnaire dirigé par Fidel Castro. Après plus de deux ans de guérilla durant laquelle Guevara devient commandant, ce groupe prend le pouvoir à Cuba en renversant le dictateur Fulgencio Batista en 1959.
Dans les mois qui suivent, Guevara est commandant en chef de la prison de La Cabaña. Il est désigné procureur d'un tribunal révolutionnaire qui exécute les opposants. Puis il crée des camps de « travail et de rééducation ». Il occupe ensuite plusieurs postes importants dans le gouvernement cubain qui écarte les démocrates, réussissant à influencer le passage de Cuba à une économie du même type que celle de l'URSS, et à un rapprochement politique avec le Bloc de l'Est, mais échouant dans l'industrialisation du pays en tant que ministre. Guevara écrit pendant ce temps plusieurs ouvrages théoriques sur la révolution et la guérilla.
En 1965, après avoir dénoncé l'exploitation du tiers monde par les deux blocs de la guerre froide, il disparaît de la vie politique et quitte Cuba avec l'intention d'étendre la révolution et de propager ses convictions marxistes communistes. Il se rend d'abord au Congo-Léopoldville, sans succès, puis en Bolivie où il est capturé et exécuté sommairement par l'armée bolivienne entraînée et guidée par la CIA. Il existe des doutes et de nombreuses versions sur le degré d'influence de la CIA et des États-Unis dans cette décision.
Après sa mort, Che Guevara devient une icône pour des mouvements révolutionnaires et fait l'objet d'un culte de la personnalité, mais demeure toujours l'objet de controverses entre historiens, à cause de témoignages sur des exécutions d'innocents avancées par certains de ses biographes. Un portrait de Che Guevara réalisé par Alberto Korda est considéré comme l'une des photographies les plus célèbres au monde
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Claudine Beccarie, née le 14 juin 1945 à Créteil (France), est une actrice française de films érotiques et pornographiques ayant exercé de 1972 à 1978.
Claudine Beccarie obtient un CAP d'employée de bureau avant de fuguer à l'âge de quinze ans du domicile familial. Elle passe ensuite quatre années dans une maison de redressement, puis se marie en 1965 et divorce deux ans plus tard. Elle part alors pour l'Espagne où elle devient entraîneuse dans une boîte de nuit et prostituée. Elle revient en France en 1972 et obtient des rôles de figuration dans Le Grand Blond avec une chaussure noire d'Yves Robert, L'Héritier de Philippe Labro ou Le Concierge de Jean Girault. Elle apparaît également dans une vingtaine de films érotiques, Le Journal érotique d'un bûcheron (1973) de Jean-Marie Pallardy ou Le Pied (1974) de Pierre Unia.
En 1975, le réalisateur Jean-François Davy en fait la vedette du fameux Exhibition, documentaire sur la vie publique et privée d'une porno-star. Sorti le 25 juin, le film remporte un énorme succès en salle notamment grâce à une scène de masturbation qui vaudra à Claudine Beccarie la célébrité. Elle devient ainsi la première star du cinéma pornographique français, jusqu'en 1978, date à laquelle elle arrête sa carrière pour aller élever des oies en Bretagne et d'être aussi une gentle-woman farmer dans le Sud sarthois.
Filmographie sélective
1972 : Cake Orgy de Lasse Braun 1972 : Un homme libre de Roberto Muller 1973 : Un ange au paradis, de Jean-Pierre Blanc 1973 : Francesociété anonyme d'Alain Corneau 1973 : Les Gourmandises de Guy Pérol 1974 : Black Love de José Benazeraf 1974 : L'Amour aux trousses de Jean-Marie Pallardy 1974 : L'important c'est d'aimer d'Andrzej ?u?awski 1974 : Club privé pour couples avertis de Max Pécas 1974 : Le Journal érotique d'un bûcheron de Jean-Marie Pallardy 1974 : Les Couples du bois de Boulogne de Christian Gion (réalisé sous le pseudonyme de Bernard Legrand) 1974 : Les Charnelles de Claude Mulot 1974 : Les Tripoteuses de Lucien Hustaix 1974 : Lèvres de sang, ou Suce moi Vampire de Jean Rollin 1974 : La Gueule de l'emploi de Jacques Rouland 1974 : La Bonzesse de François Jouffa 1974 : L'Amour pas comme les autres ou "Les enjambées" de Jeanne Varoni ou Jeanne Chaix 1974 : L'Amour à la bouche de Gérard Kikoïne 1974 : Q (alias Au plaisir des dames) de Jean-François Davy 1974 : La Fille à l'envers de Serge Roullet 1974 : La Kermesse érotique de Raoul André (sous le pseudonyme de Jean Le Vitte) 1974 : Tamara ou Comment j'ai enterré ma vie de jeune fille de Michel Berkowitch 1975 : Le Pied de Pierre Unia 1975 : Les Deux Gouines ou Victoire & Isabelle, José Bénazéraf 1975 : Draguse ou le Manoir infernal de Patrice Rhomm 1975 : L'Amour aux trousses de Jean-Marie Pallardy 1975 : Change pas de main, Paul Vecchiali 1975 : Femmes impudiques de Claude Pierson 1975 : Exhibition, Jean-François Davy 1975 : Les Jouisseuses de Lucien Hustaix 1975 : Les Liaisons perverses ou Le Désir satisfait / Objectivement Votre de Jean-Paul Savignac 1975 : Les Joyeuses de Jacques Otmezguine 1975 : Les Théâtres érotiques de Paris de Robert Hughe (Robert de Nesle) 1975 : La Bête à plaisir d'Eddy Matalon 1975 : Couche-moi dans le sable et fais jaillir ton pétrole, de Norbert Terry 1975 : Godefinger ou certaines chattes n'aiment pas le mou de Jean-Pierre Fougéa 1975 : Les Chevaliers de la croupe d'Eddy Naka alias Francis Ledoyen 1975 : L'Archisexe de Patrice Rhomm 1975 : Émilienne de Guy Casaril 1975 : Spasms of the Opera / Spasme Opéra de Noël Simsolo (sous le pseudonyme de "Max Eaton") 1975 : La Fureur sexuelle de Daniel Daërt 1975 : Hard Love ou La Vie sentimentale de Walter Petit de Serge Korber 1975 : Prostitution clandestine d'Alain Payet 1975 : Les Acharnées du sexe de Joseph van Houten 1976 : Les Pornocrates ou Plainte contre X de Jean-François Davy 1976 : Calmos de Bertrand Blier 1976 : Soupirs profonds de Michel Caputo 1976 : Et si tu n'en veux pas de Jacques Besnard 1976 : Les Bijoux de famille ou Les Membres de la famille de Lasse Braun 1976 : Inhibition de Paolo Poeti 1976 : Maîtresse à tout faire (Calde labbra) de Demofilo Fidani (comme Danilo Dani) 1976 : La Grande Extase de Patrice Rhomm 1976 : L'Hippoptamours de Christian Fuin 1976 : L'Essayeuse de Serge Korber 1976 : La Grande Culbute d'Yves Prigent ou Le Festival du Plaisir/Le Feu au Cul 1977 : Nathalie d'Alain Payet 1977 : Erotiki Yperentasi d'Illias Mylonakas 1977 : Train spécial pour Hitler d'Alain Payet 1977 : Elsa Fräulein SS de Patrice Rhomm 1978 : Nathalie rescapée de l'Enfer d'Alain Payet 1979 : Exhibition 2 de Jean-François Davy 1979 : Amoureuse volcanique de Jean-Marie Pallardy 1980 : La Petite Caroline aime des Grandes Sucettes de Michel Caputo 1982 : Les Bachelières en chaleur de Jean Luret
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Défilé de Panzers à Paris sur les Champs-Élysées en 1941. Les chars sont des Somua S-35 et Hotchkiss H-35/39 (2e rang) français capturés, que l'armée allemande a réutilisés en les réimmatriculant.
Les troupes allemandes entrent dans Paris le 14 juin 1940. Le drapeau à croix gammée flotte sur la tour Eiffel. Von Bock descend les Champs Élysées avec ses troupes.
Dès leur arrivée, les Allemands marquent leur empreinte dans une ville déclarée ville ouverte et qui n'est dès lors plus défendue, et amputée des deux tiers de sa population (il ne reste qu'un million de personnes) et de son gouvernement (installé en Touraine puis à Bordeaux). L'historienne Christine Levisse-Touzé dit, à propos des nouveaux occupants : « ils marquent leur territoire symboliquement en remplaçant les drapeaux tricolores par l'oriflamme nazie sur les édifices publics, les sièges de la République, comme l'Assemblée nationale et le Sénat, qu'ils investissent. La Wehrmacht défile sur les Champs-Élysées. D'entrée de jeu, il y a cette force affichée de puissance occupante », bien qu'un des soucis de l'occupant allemand soit de maintenir la paix civile. Les habitants sont interdits de sortir. Les soldats allemands ont de leur côté ordre de bien se comporter sous peine de sanctions ; des affiches vantent, pour la population, les mérites de ces derniers (« Faites confiance au soldat allemand »).
Panneau en allemand.
Peu à peu, de nouveaux panneaux voient le jour, écrits en allemand pour aider l'occupant à se diriger, les horloges principales sont réglées à l'heure de l'Allemagne, un nouveau cours monétaire entre le franc et le mark est imposé. Quatre cents millions de francs sont demandés quotidiennement à titre de frais d'occupation. L'écrivaine Cécile Desprairies note que l'occupation de Paris par les Allemands, si elle est plus rapide que prévu, ne montre « aucune improvisation, ils préparaient ce jour depuis trois ans, en s'appuyant sur les plans du cadastre, et avaient établi un recensement scrupuleux des immeubles à réquisitionner selon deux critères : haussmanniens - parce que confortables - et possédant une double entrée, en cas d'attaque ». Ces immeubles étaient
hôtel Majestic, avenue Kléber : siège du « haut commandement militaire allemand en France » (MBF, Militärbefehlshaber in Frankreich).
hôtel Lutetia, 43, boulevard Raspail : siège de l'Abwehr
hôtel Ritz : siège de la Luftwaffe
hôtel Meurice : commandement du Gross Paris (où siègent les différents gouverneurs militaires de Paris).
angle de la rue du 4-Septembre et de l'avenue de l'Opéra : siège de la Kommandantur.
52, avenue des Champs-Élysées : Propagandastaffel.
hôtel de Beauharnais, 78, rue de Lille : ambassade d'Allemagne (Otto Abetz est l'ambassadeur).
hôtel Continental, 3 rue de Castiglione et rue de Rivoli : tribunal d'exception.
72, avenue Foch : Sipo-SD (Police de sûreté allemande, aussi appelée Gestapo) pour la France.
hôtel Crillon (place de la Concorde) : siège du gouverneur militaire de Paris, de la Feldgendarmerie et logement d'officiers du tribunal militaire de la Kommandantur
180, rue de la Pompe : bureaux de la Gestapo (dite de la rue de la Pompe et dirigée par Friedrich Berger). Travaillait en lien avec la Gestapo de l'avenue Foch.
93, rue Lauriston : bureaux de la Gestapo française ou La Carlingue (dirigée par Henri Chamberlain dit Lafont et Pierre Bonny. Aussi appelée la bande Bonny et Lafont). Il y a une annexe au 3 bis place des États-Unis.
11, rue des Saussaies : autre siège de la Sipo-SD (Police de sûreté allemande) à Paris. Appelé KDS Paris (Kommando des Sipo-SD). Il s'agit aujourd'hui du ministère de l'Intérieur.
rue d'Anjou : Un des bureaux de la Feldgendarmerie (Police aux armées de la Wehrmacht) et au n°51 l'Armeefeldpostmeister
hôtel Ambassador, 16, boulevard Haussmann : siège du commandement du secteur est du Gross Paris
hôtel d'Orsay, 93 rue de Lille : siège du commandement du secteur sud du Gross Paris
hôtel Vernet, 23-25 rue Vernet : siège du commandement du secteur nord-ouest du Gross Paris
palais Bourbon, quai d'Orsay : administration du Gross Paris
palais du Luxembourg : État-Major de la Luftwaffe-ouest
hôtel des Invalides : service de l'État major
12, rue de Varenne : tribunal militaire allemand de la Wehrmacht
rond-point des Champs-Élysées : siège de l'Oberkommando der Wehrmacht (OKW)
École militaire, caserne du Château-d'Eau (actuelle caserne Vérines, 17 place de la République), caserne de Clignancourt : casernes
hôpital de la Salpêtrière et hôpital Lariboisière : hôpitaux allemands
27 et 57, boulevard Lannes : domicile de Carl Oberg (pour le 57) et bureaux du Sicherheitsdienst (Service de sécurité, SD) et de (Sicherheitspolizei) (SIPO, Police de Sûreté)
41-49, rue de la Faisanderie : une partie de l'état-major du Befehlshaber der Ordnungspolizei (BdO) y est logée.
palais Rose (avenue Foch), villa Coty (avenue Raphaël), hôtel Ritz (place Vendôme) : domiciles des hautes personnalités allemandes (palais Rose : le commandant en chef des troupes d'occupation allemandes en France, d'abord le général Otto von Stülpnagel, puis à partir de 1942, son cousin, le général Carl-Heinrich von Stülpnagel, et enfin pendant un mois, à partir de fin juillet 1944, le général Karl Kitzinger (de)c).
hôtel de la Marine (place de la Concorde) : lieux occupés par la Kriegsmarine
institut dentaire George-Eastman : hôpital militaire pour les soldats allemands
lycée Claude-Bernard : caserne SS (un bunker est construit dans ses sous-sols).
lycée Jean-de-La-Fontaine : services administratifs de la Kriegsmarine.
Grand Palais : des véhicules militaires allemands y sont stationnés. En août 1944, la nef est bombardée et un incendie se déclare, sans grandes conséquences, dans une partie de l'édifice ; les pompiers sont toutefois gênés dans leur travail par le sauvetage des animaux d'un cirque qui a élu domicile sous la grande verrière. Ils doivent aussi protéger les ½uvres envoyées pour une exposition par des artistes mobilisés ou prisonniers.
Des bunkers sont également construits dans la capitale, notamment dans la gare Saint-Lazare, au premier sous-sol face aux voies 4 et 5 à l'arrière de l'ancienne galerie marchande ; il est détruit en 2009 lors du réaménagement de la gare.
Le siège de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme (LVF) se trouve 19 rue Saint-Georges (9e arrondissement de Paris) et le ministère de l'Information du régime de Vichy 10 rue de Solférino (7e arrondissement).
Les autorités d'occupation imposent leurs conseillers à la direction du métropolitain et les agents sont mobilisés pour y assurer le maintien de l'ordre ; certains, au contraire, rejoignent la Résistance. Les militaires allemands ont accès gratuitement au réseau et les civils de même nationalité de certains avantages, comme la première classe. Le métro devient ainsi l'un des lieux de cohabitation les plus marqués entre Français et Allemands, ce qui peut occasionner des conflits. Entre 1941 et 1944, 325 incidents sont recensés dans le métro (rixes, coups de feu, rafles, resquilles, etc.), souvent près des lieux où l'Occupant est installé. Les longs couloirs et les quais sont des endroits privilégiés pour des actes de résistance individuels (lacérer des affiches de Vichy, découper des V de la victoire dans des tickets de métro et les jeter sur les quais, déposer des journaux clandestins, etc.). Des actions plus violentes ont aussi lieu (bombes, pannes) ; le 21 août 1941, le colonel Fabien assassine un militaire allemand à la station Barbès - Rochechouart
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L'opération Vado est le nom donné à une opération navale de la Marine nationale française visant à bombarder les ports de Gênes et de Savone en Italie le 14 juin 1940 durant la campagne de France lors de la Seconde Guerre mondiale.
Le 10 juin 1940, l'Italie fasciste dirigée par Mussolini déclare la guerre à la France, qui est alors en pleine déroute militaire à la suite de l'invasion du territoire par les Allemands (voir bataille de France). La bataille des Alpes commence alors ; les troupes françaises de l'Armée des Alpes résistent victorieusement face aux unités italiennes. Le 14 juin 1940, l'opération Vado est lancée afin de tenter de détruire la logistique italienne, les ports les plus bombardés seront ceux de Gênes et de Savone.
Ordre de bataille
France
France :
4 croiseurs lourds :
L'Algérie (unique navire de sa classe) ;
Le Colbert (appartenant à la 2e division de croiseurs) ;
Le Dupleix (appartenant à la 2e division de croiseurs) ;
Le Foch (de la classe Suffren).
11 contre-torpilleurs.
Italie
Italie :
Défenses côtières de Gênes et de Savone ;
13e flottille de vedettes lance-torpilles.
Déroulement
Le 14 juin 1940, la flotte française commandée par l'amiral Duplat appareille du port de Toulon dans la nuit du 13 au 14 juin 1940. À 4 h 30 du matin, les navires commencent à pilonner les ports italiens, sans réponse de leur part au début de l'engagement.
Durant l'opération, seul l'Albatros, un contre-torpilleur, est touché par l'obus d'une batterie côtière italienne, 12 marins sont tués. L'Algérie et l'Aigle (contre-torpilleur) sont également pris à partie par des vedettes lance-torpilles (appartenant à la 13e flottille) et par des batteries italiennes. Aux environs de midi, les navires français rentrent finalement au port de Toulon.
L'escadre française provoqua des dégâts mineurs aux ports italiens, mais cette opération souligne surtout la faiblesse de la défense des côtes italiennes. En février 1941, la ville de Gênes sera à nouveau bombardée (l'opération Grog) par la Force H de la Royal Navy britannique, qui sera un véritable succès.
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