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Jean Alfred Villain-Marais, dit Jean Marais, est un acteur français, né le 11 décembre 1913 à Cherbourg, mort le 8 novembre 1998 à Cannes ; il est également metteur en scène, écrivain, peintre, sculpteur, potier et cascadeur. En 1993, Jean Marais reçoit un César d'honneur.
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Quand Jean Marais a quatre ans, sa mère alsacienne décide de partir pour Paris avec ses deux fils. Ils vivent jusque-là à Cherbourg avec son frère et son père vétérinaire dont sa mère a décidé de se séparer. Elle est souvent absente. Le petit Jean lui écrit des lettres mais c'est sa tante qui inscrit l'adresse sur l'enveloppe. Il comprend plus tard que c'est parce que sa mère, kleptomane, effectue des séjours en prison. Il est élève au lycée Condorcet. Jean Marais ne reverra son père que près de quarante ans plus tard, sans être sûr que ce soit bien lui.
Il a un fils adoptif, Serge. Dans l'émission L'Invité du jeudi présentée par Alain Cances diffusée le 26 avril 1979 sur Antenne 2, Jean Marais conteste cette information et annonce qu'il a reconnu cet enfant
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Il commence comme figurant en 1933 dans les films de Marcel L'Herbier qui ne lui donnait jamais sa chance. En 1937, il échoue au concours d'entrée au Conservatoire et étudie chez Charles Dullin, au théâtre de l'Atelier. Il y découvre les pièces classiques, où il tient des rôles de figuration qui lui permettent de financer ses cours.
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Sa rencontre avec Jean Cocteau en 1937, lors d'une audition pour la mise en scène de sa réécriture d'¼dipe Roi, marque le véritable lancement de sa carrière. Le cinéaste et dramaturge tombe amoureux du jeune acteur, qui est son amant, puis son ami jusqu'à sa mort en 1963. Cocteau donne à Jean Marais un rôle muet dans ¼dipe Roi : Jean Marais y joue le rôle du Ch½ur. Dans cette pièce Marais apparaît vêtu de bandelettes, costume créé par Coco Chanel, amie de Cocteau. Son rôle est muet car Marais ne maîtrise pas encore assez sa voix pour le théâtre, la cigarette l'aide à la transformer. Cocteau lui écrit rapidement une pièce sur mesure : Les Parents terribles (1938), qui lui donne la reconnaissance de la profession.
1942 le voit aux côtés de Viviane Romance dans l'adaptation par Christian-Jaque de Carmen.
En 1943, il joue un Tristan moderne dans L'Éternel Retour de Jean Delannoy. Il a une vive altercation avec le critique artistique Alain Laubreaux, du journal collaborationniste Je suis partout, qui l'a qualifié de "L'homme au Cocteau entre les dents" (cette altercation a d'ailleurs été reprise dans Le Dernier Métro de François Truffaut) et affirme qu'il ne doit son statut qu'aux hautes relations de Cocteau. Il devient l'idole de sa génération.
En 1944, il monte Renaud et Armide, mais la pièce est victime d'une cabale, semble-t-il menée par les collaborationnistes, et s'arrête très vite. Marais gagne encore en popularité et devient un symbole de résistance à l'occupant.
Après la libération de Paris, en août 1944, Jean Marais s'engage dans l'armée française et rejoint la 2e DB du général Leclerc.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Cocteau écrit pour lui La Belle et la Bête, un film très difficile à tourner, et auquel personne ne croit. Marais entre alors dans la légende. En 1946, il joue dans la pièce L'Aigle à deux têtes de Cocteau, puis en 1949, dans l'un des plus célèbres films de Jean Cocteau, Orphée.
À la fin des années 1940, il entre à la Comédie-Française. Il y est à la fois comédien, metteur en scène et décorateur. C'est la première fois qu'une telle fonction est donnée à un aussi jeune comédien (il a moins de 40 ans). Marais quitte la Comédie Française après une altercation avec le directeur.
Il tourne auprès des plus grandes vedettes féminines : Les Chouans avec Madeleine Robinson, Ruy Blas avec Danielle Darrieux, Aux yeux du souvenir où il retrouva Jean Delannoy avec Michèle Morgan.
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Il tourne pour de grands cinéastes dont Luchino Visconti, Jean Renoir, Sacha Guitry.
1954 est l'année de son plus grand succès en salle avec Le Comte de Monte Cristo seconde adaptation par Robert Vernay du roman d'Alexandre Dumas.
Il partage en 1956 avec Ingrid Bergman la vedette d'Elena et les Hommes de Jean Renoir.
Luchino Visconti l'engage en 1957 pour Nuits blanches.
En 1959, il tourne une dernière fois avec Jean Cocteau, Le Testament d'Orphée dans lequel il joue ¼dipe. Marais quitte Cocteau pour un danseur. Jean Cocteau décède en 1963.
En 1959, André Hunebelle lui propose de tourner Le Bossu avec Bourvil. C'est le début d'une nouvelle carrière. Il est déjà populaire, ces films moins intellectuels que les précédents lui amenent un nouveau public. Il tourne Le Capitan toujours avec Bourvil et André Hunebelle puis une série de films de cape et d'épée comme Le Capitaine Fracasse de Pierre Gaspard-Huit en 1961 ou encore Le Masque de Fer d'Henri Decoin en 1962.
Il connaît un nouveau succès avec la série des Fantômas (1964-1966) dans lesquels il joue le double rôle du journaliste Fandor et de Fantômas. Il y effectue ses propres cascades. Mais bien que le public afflue dans les salles et que le nombre d'entrées s'envole, Marais estime que ces films n'ont pas le prestige des précédents. De plus, après avoir dû partager la vedette avec Bourvil, le voilà désormais presque relégué au rang de premier second rôle par Louis de Funès, qui interprète le rôle du commissaire Juve. Il décide alors que le cinéma est fini pour lui, il se retire au théâtre.
En 1970, Jacques Demy lui offre son dernier grand rôle dans Peau d'âne dans lequel il donne la réplique à Catherine Deneuve.
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En 1973, il retrouve le succès pour sa dernière collaboration avec André Hunebelle dans Joseph Balsamo. En tout, il tourne huit fois sous la direction d'André Hunebelle. Il apparait dans Italiques pour parler de Cocteau - Moretti, l'âge du verseau de Louis Nucera
Jean Marais se retire dans les Alpes-Maritimes, d'abord à Cabris où il passe une quinzaine d'années (un boulevard de la commune près de la maison qu'il habita porte son nom) puis à Vallauris où il pratique la poterie, la sculpture et le théâtre. Il y ouvre un magasin et même une galerie d'art grâce à un couple d'amis potiers.
Vers 1980, il monte le spectacle Cocteau Marais et devient le gardien de l'½uvre de Cocteau, sans en avoir légalement les droits.
En 1988, il enregistre la chanson On oublie rien, de François Valéry et Gilbert Sinoué, chez Franceval.
Au cours des années 1980, il joue au théâtre (Don Diègue dans Le Cid, Le Roi Lear, Les Monstres sacrés) et quelques rôles au cinéma (dans Parking de Jacques Demy et dans Les Misérables du XXe siècle de Claude Lelouch). Il joue son dernier rôle au cinéma dans Beauté volée de Bernardo Bertolucci en 1995, et au théâtre en 1997, celui du berger Balthazar dans L'Arlésienne, aux Folies Bergère.
Dans une interview donnée à Bernard Pivot, Jean Marais précise n'avoir jamais fait de figuration dans Drôle de drame et avoir été remplacé à la dernière minute.
Il écrit quelques livres dont ses Mémoires, L'Inconcevable Jean Cocteau, des contes et des poèmes.
Comme sculpteur, il réalise, entre autres, une évocation du Passe-murailles qui est installée à Montmartre devant la maison où habitait Marcel Aymé, auteur de la nouvelle éponyme.
Jean Marais meurt à Cannes le 8 novembre 1998. Il est enterré dans le petit cimetière de Vallauris, la ville des potiers, où il a passé les dernières années de sa vie.
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À Montmartre, près de la basilique du Sacré-C½ur, une place Jean-Marais est inaugurée le 26 avril 2008. Une exposition « L'éternel retour » lui est consacrée à Montmartre pour les dix ans de sa mort.
Rue Norvins à Montmartre se trouve une sculpture de Jean Marais en hommage au Passe-muraille de Marcel Aymé.
Jean Marais reste l'un des rares acteurs à n'avoir jamais caché son homosexualité. Dans ses films, il est aussi l'un des rares, avec Jean-Paul Belmondo, à avoir presque toujours exécuté lui-même ses propres cascades.
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1933 : Dans les rues de Victor Trivas 1933 : Étienne de Jean Tarride 1933 : L'Épervier de Marcel L'Herbier 1934 : L'Aventurier de Marcel L'Herbier – Un jeune ouvrier 1934 : Le Scandale de Marcel L'Herbier – Le liftier 1934 : Le Bonheur de Marcel L'Herbier – Un journaliste 1936 : Les Hommes nouveaux de Marcel L'Herbier – Le secrétaire 1936 : Nuits de feu de Marcel L'Herbier 1937 : Abus de confiance d'Henri Decoin 1937 : Remontons les Champs-Élysées film de Sacha Guitry – L'abbé-précepteur 1937 : Le Patriote de Maurice Tourneur 1941 : Le pavillon brûle de Jacques de Baroncelli – Daniel 1942 : Carmen de Christian-Jaque – Don José, brigadier des dragons 1942 : Le Lit à colonnes de Roland Tual – Rémi Bonvent, compositeur 1943 : L'Éternel Retour de Jean Delannoy scénario et dialogues de Jean Cocteau – Patrice 1943 : Voyage sans espoir de Christian-Jaque – Alain Ginestier, le jeune fortuné 1946 : La Belle et la Bête de Jean Cocteau – Avenant, la bête et le prince 1947 : Les Chouans d'Henri Calef d'après Honoré de Balzac – Le marquis de Montauran 1947 : L'Aigle à deux têtes de Jean Cocteau – Stanislas 1948 : Ruy Blas de Pierre Billon – Ruy Blas et Don César de Bazan 1948 : Aux yeux du souvenir de Jean Delannoy – Jacques Forestier, pilote de ligne 1948 : Le Secret de Mayerling de Jean Delannoy – L'archiduc Rodolphe 1948 : Les Parents terribles de Jean Cocteau – Michel, amoureux de Madeleine 1948 : Ceux du Tchad ou Leclerc court métrage de Georges Régnier et Marcel Achard – Un jeune lieutenant 1949 : Orphée de Jean Cocteau – Orphée 1949 : Vedettes en liberté court métrage de Jean Guillon – Son propre rôle 1950 : Coriolan moyen métrage, inédit de Jean Cocteau 1950 : Le Château de verre de René Clément – René Marsay, l'amant d'Evelyne 1950 : L'amante di una notte version italienne du film précédent de René Clément – René Marsay 1950 : Les miracles n'ont lieu qu'une fois d'Yves Allégret – Jérôme 1951 : Nez de cuir d'Yves Allégret – Roger de Tainchebraye 1951 : L'Amour, Madame de Gilles Grangier – Son propre rôle 1951 : Le rendez-vous de Cannes court métrage de Eddie Pétrossian – Son propre rôle 1952 : La Maison du silence "La voce del silenzio" de Georg Wilhelm Pabst 1952 : L'Appel du destin de Georges Lacombe – Lorenzo Lombardi, père de Roberto 1953 : Dortoir des grandes d'Henri Decoin – L'inspecteur Désiré Marco 1953 : La Conciencia acusa 1953 : Julietta de Marc Allégret – André Landrecourt, avocat 1953 : Les Amants de minuit de Roger Richebé – Marcel Dulac, faussaire 1953 : Étoiles au soleil court métrage de Jacques Guillon – Son propre rôle 1953 : Boum sur Paris de Maurice de Canonge – J.Marais est une vedette invitée 1953 : Le Guérisseur d'Yves Ciampi – Pierre Lachaux-Laurent, ancien médecin 1954 : Le Comte de Monte Cristo première époque : La trahison et seconde époque : La vengeance, de Robert Vernay – Edmond Dantes 1954 : Si Versailles m'était conté... de Sacha Guitry – Louis XV 1955 : Futures Vedettes de Marc Allégret – Eric Walter, ténor et professeur 1955 : Goubbiah mon amour de Robert Darène – Goubbiah, pêcheur d'éponges 1955 : Napoléon de Sacha Guitry – Le comte de Montholon 1955 : Toute la ville accuse de Claude Boissol – François Nérac, écrivain 1956 : Elena et les Hommes de Jean Renoir – Le général François Rollan 1956 : Si Paris nous était conté de Sacha Guitry – François Ier 1957 : Amour de poche de Pierre Kast – Le professeur Jérôme Nordmann 1957 : La Tour, prends garde ! de Georges Lampin – Henri La Tour 1957 : La Vie à deux de Clément Duhour – Teddy Brooks, l'illusionniste 1957 : Nuits blanches (Le notti bianche) de Luchino Visconti – Tenant 1957 : S.O.S. Noronha de Georges Rouquier – Frédéric Coulibaud 1957 : Typhon sur Nagasaki d'Yves Ciampi – Pierre Marsac, ingénieur en mission 1958 : Chaque jour a son secret de Claude Boissol – Xavier Lezcano, ethnologue 1959 : Le Testament d'Orphée de Jean Cocteau – ¼dipe 1960 : Austerlitz d'Abel Gance – Carnot 1960 : Le Bossu d'André Hunebelle – Le chevalier Henri de Lagardère alias: Le Bossu 1960 : Le Capitan d'André Hunebelle – François de Capestan dit: Le Capitan 1961 : La Princesse de Clèves de Jean Delannoy – Le Prince de Clèves 1961 : Le Capitaine Fracasse de Pierre Gaspard-Huit – Le baron de Sigognac dit: Le capitaine Fracasse 1961 : Le Miracle des loups d'André Hunebelle – Robert de Neuville 1961 : L'Enlèvement des Sabines de Richard Pottier – Le dieu Mars 1961 : Napoléon II l'Aiglon de Claude Boissol – Montholon 1962 : Ponce Pilate "Ponzio Pilato" de Gian Paolo Callegari et Irving Rapper – Ponce Pilate 1962 : Le Masque de fer d'Henri Decoin – D'Artagnan 1962 : Les Mystères de Paris d'André Hunebelle – Rodolphe de Sombreuil 1963 : L'Honorable Stanislas, agent secret de Jean-Charles Dudrumet – Stanislas, directeur d'une agence de publicité 1963 : Cherchez l'idole de Michel Boisrond – Lui-même, en spectateur à l'Olympia 1964 : Fantômas d'André Hunebelle – Fantômas et Fandor, le journaliste 1964 : Patate de Robert Thomas – Noël Carradine 1965 : Le Gentleman de Cocody de Christian-Jaque – Jean-Luc Hervé de La Pommeraye 1965 : Thomas l'imposteur de Georges Franju – J. Marais assure le commentaire 1965 : Fantômas se déchaîne d'André Hunebelle – Fantômas, Fandor le journaliste et le professeur Lefèvre 1965 : Le Saint prend l'affût de Christian Jaque – Simon Templar, dit le Saint 1965 : Pleins feux sur Stanislas de Jean-Charles Dudrumet – Stanislas Dubois, agent secret 1965 : Train d'enfer de Gilles Grangier – Antoine Fabre un as du S.R Français 1966 : Sept hommes et une garce de Bernard Borderie – Dorgeval 1967 : Fantômas contre Scotland Yard d'André Hunebelle – Fantômas et Fandor; le journaliste 1968 : Le Paria "Jaque Mate" de Claude Carliez – Manu 1969 : La Provocation de André Charpak – Christian, professeur d'archéologie 1969 : Le Jouet criminel de Adolfo Arrieta 1970 : Peau d'Âne de Jacques Demy – Le premier roi 1976 : Jean Marais, artisan du rêve, documentaire, court métrage de Gérard Devillers – Lui même 1976 : Chantons sous l'Occupation documentaire d'André Halimi 1981 : Chirico par Cocteau court métrage documentaire de Pascal Kané – Une participation 1982 : Ombre et secret court métrage de Philippe Delarbre 1985 : Parking de Jacques Demy – Hadès, le maître des enfers 1986 : Lien de parenté de Willy Rameau – Victor Blaise, vieux paysan 1992 : Les Enfants du naufrageur de Jérôme Foulon – Marc-Antoine, le vieil ermite de l'île 1994 : Les Misérables de Claude Lelouch – Monseigneur Myriel 1995 : Beauté volée (Stealing Beauty) de Bernardo Bertolucci – Mr Guillaume 1995 : Projection au Majestic court métrage d'Yves Kovacs 1999 : Luchino Visconti documentaire de Carlo Lizzani – Témoignage de J.Marais
Télévision
1969 : Renaud et Armide de Marcel Cravenne d'après la pièce de Jean Cocteau – Le roi Renaud 1971 : Robert Macaire de Pierre Bureau d'après la pièce de Frédérick Lemaître – Robert Macaire 1973 : Joseph Balsamo d'André Hunebelle – Joseph Balsamo, alias Cagliostro (dans les 7 épisodes) 1973 : Karatekas and co feuilleton en 6 épisodes d'Edmond Tyborowski – L'Empereur, ancien agent diplomatique dans les épisodes suivants : La Couronne d'Attila, Le Club de l'eau plate, Mozart passe la mesure, La Nuit des parfaits, Deux millions de fusils, Quelque part en Méditerranée 1977 : Vaincre à Olympie de Michel Subiela – Ménesthée 1980 : Les Parents terribles de Yves-André Hubert d'après la pièce de Jean Cocteau – Georges 1982 : Cher menteur de Alexandre Tarta d'après la pièce de Jérôme Kilty 1983 : Du vent dans les branches de sassafras de Robert Valey d'après la pièce de René de Obaldia 1996 : Belmondo le magnifique – Documentaire – de Dominique Chammings – Témoignage de J.Marais
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1948 : Nommé au Bambi Awards du meilleur acteur dans un drame pour La Belle et la Bête (1946) 1950 : Nommé au Bambi Awards du meilleur acteur international dans un drame pour Ruy Blas (1948), L'aigle à deux têtes (1948) et Les Parents terribles (1948) 1953 : Nommé au Bambi Awards du meilleur acteur international dans un drame pour Nez de cuir (1952) 1954 : Lauréat du Bambi Awards du meilleur acteur international dans un drame pour Le comte de Monte-Cristo (1954) 1955 : Lauréat du Bambi Awards du meilleur acteur international dans un drame pour Si Versailles m'était conté (1954) 1956 : Lauréat du Bambi Awards du meilleur acteur international dans un drame pour Goubbiah, mon amour (1956) 1958 : Nommé au Bambi Awards du meilleur acteur international dans un drame romantique pour Nuits blanches (1957) 1960 : Nommé au Bambi Awards du meilleur acteur international dans un film d'aventure pour Le Bossu (1959) 1993 : Lauréat du César d'Honneur lors de la cérémonie des César
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