Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Connecte-toi
  • Crée ton blog

dessinsagogo55

Masquer Voir son profil
Photo de dessinsagogo55
  • Suivre
  • Envoyer un messageMessage
  • Voir son profil
  • Plus d'actions ▼
  • Blog secret
  • Partager
  • Offrir un cadeau
  • Devenir VIP
  • Bloquer
  • S'abonner à mon blog
  • 40 honneurs
  • 14 998 articles
  • 260 769 kiffs
  • 66 320 commentaires
  • 498 tags
  • 408 444 visites
Jouer

Skyrock Les n°1 sont Rap & RnB

Ajouter Skyrock.fm

Création : 01/10/2007 à 23:30 Mise à jour : 15/04/2022 à 14:13

Retour au blog de dessinsagogo55

4 articles taggés Massacre

Rechercher tous les articles taggés Massacre

Massacre de Ludlow (1914)

Le 20 avril 1914

La grève des mines de charbon du Colorado, commencé en septembre 1913, culmine avec le massacre de Ludlow : le campement de grévistes de Ludlow est attaqué au fusil-mitrailleur par la garde nationale. Treize personnes sont abattues dans leur fuite. Les cadavres carbonisés de onze enfants et de deux femmes sont retrouvés dans une fosse le lendemain. La nouvelle provoque une grande agitation dans tout le pays et les mineurs prennent les armes. Les troupes fédérales sont prêtes à intervenir quand la grève s'essouffle. Malgré la mort de 66 personnes, aucun milicien ou surveillant des mines ne sera inculpé pour meurtre.

Massacre de Ludlow (1914)

Funérailles des grévistes de Ludlow
Tags : Massacre de Ludlow, Actualité, 20 avril 1914, 20 avril, 1914, (1), Massacre, Mine, Ludlow
​ 9 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.180.255) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le vendredi 07 décembre 2012 04:00

Massacre des mineurs à Marikana (2012)

La grève des mineurs à Marikana désigne une grève sauvage survenue en août 2012 près d'une mine de platine, propriété de Lonmin, dans la région de Marikana, près de Rustenburg, en Afrique du Sud.

Massacre des mineurs à Marikana (2012)
Marikana en Afrique du Sud


Le 16 août 2012, trente-quatre ouvriers sont tués par la police. Ces agissements sont décrits sous le terme de « massacre » par l'ensemble des médias internationaux et comparés aux événements qui se sont déroulés à Sharpeville en 1960.
La chef de la police sud-africaine Riah Phiyega a assuré lors d'une conférence de presse que les policiers avaient agi en état de légitime défense face à une émeute armée et agressive. « Les policiers ont dû faire usage de la force pour se défendre contre le groupe qui les chargeait »


Le 10 août 2012, les mineurs, qui sont payés en moyenne 4 000 rands (environ 400 euros) par mois, manifestent en réclamant 12 500 rands (environ 1 250 euros), soit plus de trois fois leur salaire actuel.
Des affrontements entre partisans de deux syndicats, le National Union of Mineworkers (NUM) et l'Association of Mineworkers and Construction Union (ACMU), avaient fait dix morts en quelques jours dont deux policiers et deux agents de sécurité, ces derniers brûlés vif.


Le 16 août 2012, les mineurs en grève se dirigent à Nkaneng Hill armés de lances, de machettes et de bâtons. Un groupe important de femmes, épouses des mineurs et non employées à la mine, dont certaines étaient armées de knobkierries, se joint à eux. La société Lonmin avait imposé un ultimatum aux mineurs leur donnant l'ordre de reprendre le travail sous peine de licenciement. Les mineurs grévistes ont rejeté cet ultimatum et refusé de se disperser.

Plus tard dans l'après-midi, la police ouvre le feu sans sommation sur un groupe de grévistes. Les rapports officiels montrent que trente quatre mineurs ont été tués et soixante dix huit d'entre eux ont été blessés10.
Les services de police sud-africains ont expliqué que les manifestants refusaient de déposer leurs armes et qu'ils ont attaqué les policiers à l'aide de toutes sortes d'armes y compris des armes à feu volées à deux policiers qu'ils avaient tués une semaine avant.

Le Congress of South African Trade Unions (COSATU), fédération sud-africaine des syndicats à laquelle les grévistes sont opposés, a confirmé le rapport de police lequel disait avoir d'abord fait usage de gaz lacrymogène et de canons à eau contre les mineurs, lesquels ont riposté en faisant usage de balles réelles. Cependant des journalistes présents sur place ont affirmé que les grévistes n'avaient pas tiré en premier. Les femmes des grévistes et l'AMCU ont vigoureusement contesté l'affirmation de la police selon laquelle les grévistes avaient tiré en premier.

Le lendemain, 17 août 2012, la police locale a communiqué que le bilan de la journée du 16 août est de trente-quatre morts, soixante-dix-huit blessés et deux cent cinquante-neuf arrestations.


L'AMCU a blâmé la NUM et la police et par ailleurs insisté sur le fait que contrairement à des rumeurs, le syndicat n'est pas affilié à un parti politique. Une enquête interne à la police est ouverte et le président sud-africain Jacob Zuma a annoncé la mise sur pied d'une commission d'enquête plus large sur la fusillade de Marikana. Selon le New York Times, Frans Baleni, secrétaire général de l'Union nationale des mineurs, a défendu l'action de la police sur les ondes de la station radio Kaya FM disant : « La police était patiente, mais ces gens étaient extrêmement armés avec des armes dangereuses ». Le Parti communiste sud-africain soutient le Congrès national africain (ANC) et le COSATU auquel NUM est affilié ont demandé que les leaders de AMCU soient arrêtés pour avoir manipulé les mineurs.

Le président de Lonmin, Roger Phillimore, a rejeté la responsabilité de ces affrontements meurtriers sur les forces de l'ordre en déclarant que « la police sud-africaine était chargée de l'ordre et de la sécurité sur le terrain depuis le début des violences entre syndicats rivaux ce week-end. » La police des polices sud-africaine a envoyé sur place une délégation d'experts le samedi 18 août 2012 afin d'enquêter sur les circonstances de la fusillade et de déterminer les responsabilités

Massacre des mineurs à Marikana (2012)


Le 19 août, Lonmin menace de licencier les grévistes qui ne reprendraient pas le travail le 20 août au matin, mais la majorité des mineurs a rejeté cet ultimatum et entend poursuivre le mouvement.


Le président Jacob Zuma annonce une semaine de deuil national en mémoire des quarante quatre personnes tuées en l'espace de huit jours à la mine de Marikana, dont les trente-quatre grévistes abattus par la police. Zuma annonce à cette occasion la nomination d'une commission interministérielle chargée d'enquêter sur la tragédie, présidée par le ministre auprès de la Présidence, Collins Chabane


Le lendemain du massacre, un groupe de femmes de mineurs a manifesté et chanté des slogans et des chants de lutte contre l'apartheid. Elles ont démenti que les mineurs avaient tiré les premiers et insisté sur le fait que la grève concernait les salaires. Elles exigeaient que les policiers responsables des tirs soient exécutés. Une manifestation a eu lieu au Cap près du Parlement le lendemain du massacre.
À Auckland, en Nouvelle-Zélande, des manifestants ont attaqué l'ambassade d'Afrique du Sud avec des bombes de peinture


Les blessés sont en état d'arrestation, tandis qu'un tribunal de la banlieue de Pretoria, inculpe de meurtre les 270 personnes interpellées après la fusillade. Le parquet annonce finalement le 2 septembre que cette inculpation controversée est provisoirement suspendue.

Le 6 septembre, la justice sud-africaine remet en liberté tous les mineurs qui avaient été arrêtés le 16 août. le juge Esau Bodigelo annonce aux mineurs que « Les poursuites contre vous pour meurtre et tentative de meurtre ont été retirées », mais ils restent poursuivis pour violence publique et rassemblement interdit.


Le 10 septembre 2012, 15 000 mineurs sud-africains ont à nouveau débrayé dans une mine d'or exploitée à plus de 3 000 mètres de profondeur par le groupe Gold Fields dans la banlieue de Johannesburg dans un climat social toujours tendu par le bras de fer qui se poursuit à la mine de Marikana.

Le 12 septembre, la tension persiste sur le front social, où des mineurs du géant Anglo American Platinum (Amplats) ont commencé à bloquer les routes de la « ceinture de platine » autour de Rustenburg (nord), alors que Julius Malema veut s'adresser à l'armée.


Le 5 septembre 2012, plus de 3 000 mineurs en grève manifestent devant la mine de Marikana. Ils ont rejoint le site après une marche de plusieurs kilomètres alors que des négociations devaient reprendre à la mi-journée à Rustenburg. Le 6 septembre 2012, les représentants des grévistes non syndiqués et l'AMCU à l'origine du conflit meurtrier de Marikana ont refusé de s'associer à un accord direction-syndicats majoritaires prévoyant la reprise du travail dans la mine sud-africaine


Tags : Grève des mineurs à Marikana, Marikana, 16 août 2012, 16 août, 2012, Actualité, Mine, Afrique du Sud, Grève, Massacre, (2)
​ 6 | 1 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.180.255) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mercredi 05 décembre 2012 21:31

Modifié le jeudi 06 décembre 2012 04:39

Massacre de la vallée de la Saulx


Massacre de la vallée de la Saulx



Monument à Robert-Espagne.
 
 
Le massacre de la vallée de la Saulx est le meurtre, le 29 août 1944, pendant la Seconde Guerre mondiale, de 86 habitants des communes de Couvonges, Robert-Espagne, Beurey-sur-Saulx, Mognéville, et Trémont-sur-Saulx dans le département de la Meuse.
 
La tuerie de la vallée de la Saulx figure parmi les six grands massacres commis en France par des soldats allemands en 1944. Alors que les massacres d'Oradour-sur-Glane, du Vercors, de Maillé, Tulle et Ascq sont l'œuvre des SS, celui de la vallée de la Saulx a été commis par des militaires de la Wehrmacht.
 
 
L'arrivée en Lorraine de troupes venues d'Italie
 
Au début août 1944, Hitler décide de faire venir en France la 3e division de Panzergrenadiers qui est alors en Italie, dans la région de Florence. L'un de ses régiments, le 29e régiment de Panzergrenadiers, arrive ainsi au sud-ouest de Bar-le-Duc  (Meuse) le 28 août. Il répartit ses différentes unités dans plusieurs villages situés entre Bar-le-Duc et Saint-Dizier (Haute-Marne), notamment dans la vallée de la Saulx. Compte tenu de l'avance alliée, la mission de ce régiment n'est plus d'engager le combat contre les Américains mais de couvrir la retraite d'autres unités allemandes. Il s'agit de leurrer les Alliés en faisant croire à une présence ennemie plus importante qu'elle n'est en réalité.
 
Dès le 29 août au matin, plusieurs unités de ce régiment, équipées de véhicules blindés légers, se préparent à remplir leur mission. Elles quittent leur cantonnement pour faire mouvement vers l'ouest, en direction de Vitry-le-François. Un de leurs convois circule dans la forêt à proximité de Robert-Espagne mais il est attaqué par un petit groupe de résistants locaux. Cela est attesté par des procès-verbaux de gendarmerie dressés quelques jours plus tard  Un officier allemand est sans doute blessé. Il donne aussitôt l'ordre de bloquer l'accès aux villages qu'il allait traverser, tous dans la Meuse et dans la vallée de la Saulx.
 
 
La tuerie de la vallée de la Saulx
 
Quatre villages sont particulièrement visés : Robert-Espagne, Beurey-sur-Saulx, Couvonges et Mognéville. À chaque fois, les soldats empêchent toute personne d'en sortir ou d'y pénétrer. À midi, ils raflent les hommes rentrés manger chez eux. Ils fouillent systématiquement les maisons et mettent le feu aux maisons en lançant des plaquettes incendiaires. Les femmes et les enfants fuient sur les hauteurs dominant la vallée. À Robert-Espagne, Couvonges et Mognéville, les hommes raflés sont rassemblés sous bonne garde. Dans les deux premières localités, ils seront abattus vers 15 heures à l'aide de mitrailleuses. À Mognéville, un notaire qui parle allemand parvient à négocier la libération des otages mais une femme et deux hommes perdront néanmoins la vie dans ce village. À Beurey-sur-Saulx, plusieurs Malgré-nous parviennent discrètement à dire aux villageois de fuir. Dans ce village, les 6 victimes du 29 août seront 5 vieillards et une jeune fille, abattus devant leur maison en flammes ou tués dans une tranchée-abri. À Robert-Espagne, on dénombre 51 victimes, 49 hommes sont fusillés près de la gare, un autre est abattu dans une ferme, puis la 51eme victime est abattue le 31 août dans les bois. À Couvonges, 26 hommes sont fusillés. À Trémont-sur-Saulx, une localité voisine de Robert-Espagne, une jeune fille de 16 ans a eu la malchance d'être aperçue par des soldats du 29e qui l'abattent.
 
Dans la seule vallée de la Saulx meusienne (Trémont-sur-Saulx, Robert-Espagne, Beurey-sur-Saulx, Convonges, Mognéville), cette journée du 29 août, le bilan est lourd : 88 morts et plusieurs centaines de maisons brûlées (54 maisons sur 60 détruites à Couvonges, 200 sur 300 à Robert-Espagne).
 
À noter qu'à Robert-Espagne, trois gendarmes de la brigade locale ont été fusillés : le maréchal des logis-chef Robert Delahaye (commandant de la brigade) et les gendarmes Raymont Bilot et Gaston Dagonnet. Les deux autres gendarmes (Albrecht et Hubert) ont réussi à s'enfuir et à se réfugier dans la forêt voisine.
 
 
Un régiment qui multiplie les exactions lors de son repli vers l'est
 
Ces exactions ne se limitent pas à ces seuls villages. Dans la vallée de la Saulx, en aval de Mognéville, les soldats du 29. Pz. Gr. Régiment sèment aussi la terreur. À Andernay (Meuse), ils prennent par exemple des hommes en otages en les enfermant dans la mairie. À Sermaize-les-Bains, ils traversent la localité en mitraillant les maisons et en abattant des personnes qui étaient dans la rue, dont le chef de la résistance locale, le Dr Fritsch. 13 morts sont dénombrés dans cette localité. Et le 30 août, lorsqu'ils se décident à se replier, le même dispositif de terreur est employé : prise d'otages, hommes enfermés, maisons brûlées. Des maquisards faits prisonniers près de Vitry-le-François sont aussi fusillés à Naives-devant-Bar, près de Bar-le-Duc .
 
Le 29. Pz. Gr. Regiment multiplie les exactions sur son parcours en direction de Saint-Mihiel et de Pont-à-Mousson. Il met ainsi à feu et à sang les villages de Mamey et de Martincourt (Meurthe-et-Moselle) où 17 personnes perdent la vie, abattues ou mortes dans l'incendie de leur maison.
 
Commémorations
 
Le Général de Gaulle est venu se recueillir, le 28 juillet 1946, sur le lieu d'exécution, sur invitation du Comité du Souvenir de la vallée de la Saulx et par la ville de Bar-le-Duc 
 
Monuments
 
Robert-Espagne : le tertre des fusillés, annexe du cimetière, est dominé par une croix faite de poutres calcinées récupérées dans les ruines du village.
 
Robert-Espagne : Le 28 juillet 1946, à la sortie de Robert-Espagne vers Beurey-sur-Saulx, le général de Gaulle a posé la première pierre d'un monument qui devait rendre hommage aux victimes des quatre villages meusiens martyres de la vallée de la Saulx (Robert-Espagne, Beurey-sur-Saulx, Couvonges et Mognéville). Ce monument n'a jamais été construit, chaque village privilégiant son propre monument.
 
Couvonges : un monument commémoratif, également avec une croix calcinée, a été inauguré, le 29 août 1949, par le général Zeller, commandant de la 6e région militaire. Ce monument se situe en direction de la commune de Beurey-sur-Saulx
 
 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_la_vall%C3%A9e_de_la_Saulx
Tags : Massacre, Vallée de la Saulx, Seconde guerre mondiale, 29 août, 29 août 1944, 1944, Guerre, Bar-le-Duc, Meuse
​ 47 | 4 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.180.255) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le samedi 29 août 2020 03:00

Le massacre de Lidice

 
Le massacre de Lidice
 
Le 10 juin 1942, un détachement de la septième division SS « Prince Eugène », commandé par le Hauptsturmführer Rostock (de), cerne le village.
Les 184 hommes âgés de plus de 16 ans qui y habitent et une partie des femmes sont fusillés. Les autres femmes sont déportées à Ravensbrück, d'où une bonne partie d'entre elles reviendra.
Quant aux 105 enfants du village, leur sort est différent. Une dizaine d'entre eux, dont le type physique correspond aux critères nazis de la « race aryenne », sont placés dans des familles allemandes pour être rééduqués, selon le programme du Lebensborn. Les autres sont d'abord déportés à Łódź, puis envoyés au camp d'extermination de Chełmno, où ils périssent dans les camions à gaz. Seuls 17 survivront.
Le lendemain du massacre, les nazis font venir 30 déportés juifs du camp de concentration de Theresienstadt, situé à une quarantaine de kilomètres au nord, et leur font creuser une fosse commune pour y enterrer les cadavres des victimes6.
Après le massacre et les déportations, les nazis font en sorte d'éliminer toute trace de l'existence même du village, qui est d'abord incendié. Puis en quelques mois de travaux, le terrain est nivelé à la dynamite, les pierres enlevées, l'étang comblé, la route et la rivière détournées, tandis que le cimetière est vidé de ses morts7.
Pour justifier le massacre, les nazis accusent les habitants d'avoir soutenu les auteurs de l'attentat contre Reinhard Heydrich. En réalité, les liens entre Lidice et la Résistance sont assez flous : deux officiers originaires du village se seraient enfuis à l'étranger ; une lettre saisie par les nazis indiquerait que son auteur, venu de Lidice, avait décidé de rejoindre la Résistance. Les nazis ne surent jamais s'il y avait eu un lien entre l'auteur de la lettre et les assassins de Reinhard Heydrich. Lidice servit de bouc émissaire.
 
Reconstruction du « Nouveau Lidice »

En 1945, trois ans après le massacre, le gouvernement tchécoslovaque s'engage à reconstruire le village lors des cérémonies de commémoration. La première pierre est posée en 1947, et la construction des premières maisons commence en mai 1948, grâce à l'aide de volontaires venus de toute la Tchécoslovaquie. La vie finit par y reprendre son cours en 1949
 
 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lidice
 



A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z, 0-9,
 
Tags : Lidice, Tchéquie, 10 juin 1942, 10 juin, 1942, Massacre, Seconde guerre mondiale, Guerre
​ 3 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.180.255) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le vendredi 11 mars 2022 05:00

Design by dessinsagogo55

Signaler un abus

Abonne-toi à mon blog ! (83 abonnés)

RSS

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
    • Signaler un abus
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Politique de confidentialité
    • Gestion de la publicité
    • Aide
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tasanté
    • Zipalo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile