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La Citroën Ami 6 (populairement appelée la « 3 CV » ) est une berline et un break produits par le constructeur automobile français Citroën de 1961 à 1969. L'Ami 8 prendra le relais jusqu'en 1978. L'objectif premier était de proposer à la clientèle un compromis entre deux modèles, la DS en haut de gamme, et la 2 CV qui constituait un minimum automobile.
Il en a dérivé une gamme de véhicules très populaire déclinée sous plusieurs formes.
Les Citroën Ami construites sur la plateforme des 2 CV furent fabriquées provisoirement dans l'usine Panhard de Paris puis très rapidement à Rennes-la-Janais (Ille-et-Vilaine) nouvellement créée et à Forest en Belgique. Elle est la voiture la plus vendue en France en 1966, prenant, pour une année, la première place à la Renault 4 parce que les versions 5 CV de celle-ci étaient comptabilisées à part.
Depuis les années 1930, au milieu des années 1950 Citroën n'a pas développé de milieu de gamme automobile entre les 2CV 375 et 425 cc d'une part et les ID19 et DS 19 de 1911 cc d'autre part. En 1956, il ne dispose donc au catalogue que de la DS et de la 2 CV. À cette époque, les bureaux d'étude travaillaient sur un projet de véhicule intermédiaire, le projet AM (M pour milieu de gamme), mais les contraintes techniques et économiques dirigent le projet vers la réalisation d'une « super 2 CV ».
Le cahier des charges impose un véhicule confortable à quatre places ne devant pas excéder 4 mètres. Très vite, la décision est prise d'adapter une nouvelle carrosserie sur la plateforme des « Type A ». En conséquence, l'empattement fut limité et, comme le patron de l'époque, Pierre Bercot, ne voulait pas d'une ligne utilitaire (donc avec hayon), il était impératif d'aboutir à une voiture à trois volumes. Or dans une 2 CV, la descente de toit est telle que la lunette arrière oblige les passagers à pencher la tête en avant pour prendre place. Flaminio Bertoni, créateur des Traction Avant, 2 CV et DS, trouve une solution : il propose d'inverser la pente de la lunette pour offrir aux passagers plus de confort. La lunette arrière inversée, aussi présente sur les Ford Anglia dès septembre 1959 puis Ford Consul 315 anglaises en mai 1961, entraîne un profil en « Z » plutôt controversé. Cependant, elle permet l'accès facile à l'imposante malle arrière ; elle est aussi appréciée par temps de neige, celle-ci ne se déposant pas sur la lunette. Présente pour la première fois sur le prototype Packard Balboa X de 1953, on retrouve cette ligne dans les années 1990 sur la Toyota Will Vi diffusée au Japon.
Le « moteur boxer bicylindre » de 425 cm3 de la 2 CV n'étant pas assez puissant pour le poids de la carrosserie envisagée, on augmente sa cylindrée par l'alésage en conservant la base moteur. Elle sera établie à 602 cm3 pour rester dans la limite administrative des 3 CV fiscaux (610 cm3).
L'Ami 6 innove sur le plan sociologique en se présentant sur les documents publicitaires comme la deuxième voiture idéale pour madame. Quant au nom « Ami », il serait né de l'association de l'appellation AM, suite du projet M, du chiffre 6 correspondant à sa cylindrée et certains avancent l'hypothèse de la proximité avec le mot « amici » (« amis » en italien, langue natale de Flaminio Bertoni). En réalité, selon les archives Citroën, le I a été ajouté à l'appellation AM pour Automobile de MIlieu de gamme.
Mme Yvonne de Gaulle, alors première dame de France, conduisait une berline Ami 6 de couleur blanc carrare (AC144).
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Rosemarie Frankland, née le 1er février 1943 et décédée le 2 décembre 2000, est une top model galloise.
Née à Rhosllannerchrugog, Wrexham, dans le nord-est du Pays de Galles en 1943, Frankland déménage à Lancashire, en Angleterre, encore enfant. Elle a participé à de nombreux concours de beauté et remporte le titre de Miss pays de Galles et, en 1961 à Londres, elle devient (comme Miss Royaume-Uni) la première femme britannique et la septième européenne à remporter le concours de Miss Monde. Elle fut également la première dauphine de Miss Univers 1961. Quand Bob Hope la couronna Miss Monde, il déclara qu'elle était la plus belle fille qu'il ait jamais vue.
Après son titre, Frankland a entrepris une courte carrière d'actrice. Son rôle le plus important (et le dernier) est celui du film I'll Take Sweden (1965) avec Bob Hope et elle fit une apparition dans A Hard Day's Night des Beatles. En 1970, elle épouse le chanteur/guitariste des The Grass Roots (en), Warren Entner (en) et va vivre à Los Angeles. En 1976, elle a donné naissance à une fille, Jessica, et a divorcé en 1981.
Elle meurt d'une overdose à Marina Del Rey. Ses cendres ont été ramenées au cimetière de Rhosllannerchrugog en février 2001
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Léon Morin, prêtre est un film franco-italien sorti le 15 septembre 1961, adapté du roman Léon Morin, prêtre (1952) de Béatrice Beck, et réalisé par Jean-Pierre Melville.
Durant l'occupation, dans une ville de province, la jeune veuve de guerre d'un juif communiste, mère d'une fillette, défie un prêtre sur le terrain de la religion. Certaine de sa rhétorique, elle est pourtant déconcertée par les réponses du prêtre. Peu à peu, elle perd pied. Chaque nouvelle rencontre avec ce prêtre la rapprochera de la conversion. Sa résistance cédera devant le travail de la grâce. Une amie lui ouvrira involontairement les yeux sur l'une des raisons de sa conversion : l'Abbé Morin est beau.
Fiche technique
Titre : Léon Morin, prêtre Réalisation : Jean-Pierre Melville Scénario : Jean-Pierre Melville d'après le roman homonyme de Béatrix Beck. Producteur : Carlo Ponti et Georges de Beauregard Société de production : Rome-Paris Films, Compania Cinetografica Champion (Rome) et Lux Compagnie Cinématographique de France (Paris) Musique : Martial Solal Son : Jacques Maumont Photographie : Henri Decaë Montage : Jacqueline Meppiel, Nadine Trintignant et Marie-Josèphe Yoyotte Décors : Daniel Guéret Pays d'origine : France - Italie Format : 1 × 1,65 noir et blanc - Son mono Genre : Comédie dramatique Durée : 130 minutes (2 h 10) Date de sortie : 15 septembre 1961 (France)
Distribution
Jean-Paul Belmondo : Léon Morin Emmanuelle Riva: Barny Irène Tunc : Christine Sangredin Nicole Mirel : Sabine Levy Gisèle Grimm : Lucienne Marco Behar : Edelman Monique Bertho : Marion Marc Eyraud Nina Grégoire Monique Hennessy : Arlette Edith Loria : Danielle Micheline Schererre Renee Liques Simone Vannier Lucienne Le Marchand : Une secrétaire Nelly Pitorre Ernest Varial Volker Schlöndorff : La sentinelle armée Chantal Gozzi Cedric Grant : soldat américain George Lambert : soldat américain Marielle Gozzi Patricia Gozzi Gérard Buhr : Gunther Howard Vernon : le Colonel Charles Boda : le jeune cycliste
À la sortie du film les critiques sont partagés. Certains reconnaissent la qualité du travail de J-P. Melville et de ses acteurs : le cinéaste (également adaptateur), à coup de menus détails, de légères ellipses, d'infimes retouches, est parvenu à restituer les lumières du livre tout en estompant ses ombres. Du très beau travail. - Jean Rochereau, La Croix du 03/10/1961 Film probe, émouvant, beau − comme le roman qu'il reproduit si fidèlement. Nous sommes étonnés d'êtres émus, troublés, de sentir passer le surnaturel - Claude Mauriac, Le Figaro du 30/09/1961 La grâce s'imite donc, me disais-je. Qu'un bon acteur [Belmondo] puisse devenir n'importe quelle créature, entrer dans toutes les peaux, je le savais. Mais ici il fallait devenir ce saint qui ne sait pas qu'il est un saint et qu'il fût en même temps ce garçon aimé d'une jeune femme et qui sait qu'il est aimé. - François Mauriac, Le Figaro littéraire du 18/11/1961 L'interprétation est ici primordiale. En témoigne, s'il était besoin, l'effacement presque total de la technique. Les scènes qui ouvrent le film (ces scènes qui se réduisent souvent à des plans uniques) constituent, par leur concision, un modèle d'exposition. - André S. Labarthe, France Observateur du 21/09/1961 Jean-Pierre Melville a réalisé là, sans bruit, un travail d'une honnêteté et d'une intelligence remarquables. Il y a été bien aidé par deux interprètes tout à fait exceptionnels : Jean-Paul Belmondo [et] Emmanuelle Riva. - Jacqueline Michel, Le Parisien libéré du 27/09/1961 D'autres sont moins flatteurs : Aussi le film est-il bavard, très bavard, trop bavard. (...) les arguments pour ou contre la croyance, déversés par les protagonistes tout au long de la projection, n'ont pas le relief souhaité. Claude Garson, L'Aurore du 25/09/1961 Et ce pourrait être du Delannoy, en plus soigné. Pas un instant on ne sent la griffe d'un créateur. - Pierre Marcabru, Combat du 25/09/1961 Melville a un vrai talent de cinéaste. Mais peut-être a-t-il été trop fidèle parfois, à la lettre de l'œuvre originale. Le film n'est pas construit. Il se déroule chapitre par chapitre. Certains sont remarquables, d'autres sonnent plus creux. - France Roche, France-Soir du 27/09/1961 Le film, bien que magistralement interprété par deux grands acteurs (...), risque fort de n'emporter l'adhésion d'aucun public et même de lasser certains spectateurs par sa longueur et la passivité monotone de la récitante. - Armand Monjo,
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