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Marina Vlady, au civil Catherine Marina de Poliakoff-Baïdaroff, est une actrice, chanteuse et écrivain française née le 10 mai 1938 à Clichy (Clichy-la-Garenne), dans la banlieue de Paris
Émigrés de Russie après la Révolution de 1917, ses parents se réfugient en France. Son père Vladimir de Poliakoff était chanteur d'opéra et sa mère Militza Envald, danseuse étoile. Ils ont eu quatre filles toutes vouées au spectacle : Olga (1928-2009) dite Olga Varen, réalisatrice à la télévision ; Tania (1930-1980) dite Odile Versois, actrice ; Militza (1932-1988) dite Hélène Vallier, actrice ; et Marina. Elle a été mariée au comédien et metteur en scène Robert Hossein avec qui elle a eu deux enfants : Pierre et Igor ; puis à Jean-Claude Brouillet, aviateur, ancien résistant et entrepreneur dans le transport aérien dont elle a un enfant : Vladimir. Elle se marie ensuite avec Vladimir Vissotsky, poète, acteur et chanteur russe avec lequel elle vivra douze années en URSS jusqu'à la mort prématurée de celui-ci en 1980 à l'âge de 42 ans. Elle vit ensuite pendant vingt-trois ans avec le cancérologue Léon Schwartzenberg. En 2006, Marina Vlady chante son amour pour Vladimir Vissotsky au théâtre des Bouffes du Nord, récital intitulé Vladimir ou le vol arrêté, titre éponyme de son livre paru en 1987. En 1973, Marina Vlady avait enregistré quelques chansons, notamment Le Voleur de chevaux qui connut un succès radio. Engagée à gauche et dans le féminisme, le 5 avril 1971, elle est l'une des 343 signataires du manifeste dit « des 343 salopes » paru dans le journal Le Nouvel Observateur. Selon Paris-Match du 11 juin 1955, l'initiale V, commune aux quatre pseudonymes choisis avec ses s½urs Varen, Versois, Vallier et Vlady, serait le V de la victoire.
Marina Vlady débute au cinéma en 1949 (dans le rôle de « Marie-Tempête » !) et perce dès 1954 dans Avant le déluge d'André Cayatte, remarquée notamment pour sa beauté spectaculaire. Elle devient aussitôt une des principales jeunes premières du cinéma français, aussi à l'aise dans la comédie (Sophie et le Crime de Pierre Gaspard-Huit) que dans le drame et le film noir, même si La Sorcière d'André Michel (l'un des films dont elle demeure très fière) ne rencontre pas un grand succès public. Elle tourne ensuite plusieurs films diversement accueillis sous la direction de Robert Hossein, avec qui elle forme l'un des couples les plus séduisants de l'hexagone, notamment Toi, le venin (1959, où Marina a pour partenaire sa s½ur Odile Versois). Selon le Dictionnaire du cinéma français paru chez Références Larousse (sous la direction de Jean-Loup Passek), le premier de ces films, Les Salauds vont en enfer, écrit par Frédéric Dard, « a au moins le mérite de la nouveauté » et un « climat étrange, violent, érotique » qui le caractérise. Le couple se retrouve aussi dans Crime et Châtiment de Georges Lampin, La Sentence de Jean Valère et Les Canailles de Maurice Labro d'après James Hadley Chase. Selon le Dictionnaire du cinéma français, les quatre films de Hossein « permettent [à Marina] de relancer une image de marque qui avait beaucoup de mal à convaincre le public. » Toujours selon cet ouvrage, La Princesse de Clèves met en évidence la « distinction » de Marina Vlady jusque-là plutôt considérée comme une sorte de bombe érotique dotée d'un tempérament dramatique. En 1960, La Princesse de Clèves de Jean Delannoy, adaptation luxueuse de l'½uvre de Madame de La Fayette, mais qu'une certaine critique française jugea « trop académique », réaffirme avec éclat son statut de star capable de porter un film sur ses seules épaules. Suivront Adorable Menteuse et On a volé la Joconde de Michel Deville, et le très cynique Les Bonnes Causes du vétéran Christian-Jaque. En Italie, la star s'illustre dans La Fille dans la vitrine de Luciano Emmer et surtout, avec Ugo Tognazzi, dans Le Lit conjugal de Marco Ferreri (sa composition dans ce dernier film lui vaut une large reconnaissance critique et un prix d'interprétation à Cannes), sous la direction de Steno dans Casanova et, plus tard, aux côtés d'Alberto Sordi dans Contestation générale de Luigi Zampa (1970) et dans Le Malade imaginaire de Tonino Cervi (1979) ; enfin son ami Orson Welles lui offre une apparition digne d'un ange dans Falstaff en 1965. L'année suivante, Atout c½ur à Tokyo de Michel Boisrond fait déjà figure d'exception dans une carrière essentiellement vouée aux films d'auteur. Au cours de sa carrière de star à l'écran, Marina Vlady interprétera notamment Caroline Esterhazy dans Symphonie inachevée (1954) et Marie-Antoinette dans La Nuit de l'été de Jean-Claude Brialy à la télévision en 1979. Au milieu des années 1960, Marina Vlady apparaît en tête d'affiche du film de Jean-Luc Godard, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, et fait montre d'une exigence rare en privilégiant des ½uvres confidentielles : Mona, l'étoile sans nom d'Henri Colpi, Le Temps de vivre de Bernard Paul, Lika, le grand amour de Tchekhov de Serguei Youtkhevitch, Sirocco d'hiver de Miklós Jancsó, La Nuit bulgare de Michel Mitrani... Dans les années 1970 et 1980, Marina alterne comédies populaires (Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil de Jean Yanne, Twist again à Moscou de Jean-Marie Poiré) et films d'auteur au succès moindre (Tangos, l'exil de Gardel de Fernando E. Solanas). En 1976, elle joue la maîtresse du Régent (Philippe Noiret) dans Que la fête commence de Bertrand Tavernier et en 1989 donne la réplique à Marcello Mastroianni (25 ans après Jours d'amour de Giuseppe De Santis) dans Splendor d'Ettore Scola. Son éclectisme la pousse aussi vers des entreprises atypiques à caution littéraire telles que Les Jeux de la comtesse Dolingen de Gratz de Catherine Binet (d'après Bram Stoker et Jules Verne) et l'adaptation libre du roman érotique d'Apollinaire, Les Exploits d'un jeune Don Juan, ou vers des films plus politiques — Le Complot de René Gainville ou Follow Me de Maria Knilli — , travaillant aussi bien en Russie qu'au Japon ou en Grèce... Le Dictionnaire du cinéma français évoque « les traits réguliers et lumineux, le visage botticellien, la grâce naturelle » de Marina Vlady, en s'interrogeant sur la responsabilité de sa beauté dans le déroulement d'une carrière en deçà des promesses. Peu de comédiennes se maintiennent dans les hauteurs atteintes par Vlady dans les années 1960, démontrant l'étendue de son talent aussi bien dans la gravité que dans la légèreté, dans des films souvent rares et à découvrir.
Marina Vlady n'est plus apparue au cinéma depuis 1998 et a considérablement ralenti son activité sur le petit écran qui lui a offert, depuis Les Petites Demoiselles de Michel Deville (1964), de très nombreuses opportunités. Ici encore l'actrice privilégie l'exigence, à travers la littérature et l'histoire. Elle paraît ainsi dans Le Roman du samedi : L'Agent secret de Marcel Camus (1981) d'après Joseph Conrad, Lorelei de Jacques Doniol-Valcroze (1982) d'après Maurice Genevoix, Les Secrets de la princesse de Cadignan de Jacques Deray, adaptation d'Honoré de Balzac par Jean-Claude Carrière, Fort comme la mort d'après Guy de Maupassant, La Chambre des dames de Yannick Andréi adapté du roman de Jeanne Bourin qui remporte un triomphe, Les Beaux Quartiers adapté de Louis Aragon, Condorcet écrit par Élisabeth Badinter, Victoire, ou la douleur des femmes de Nadine Trintignant, Résurrection de Paolo et Vittorio Taviani (2001) d'après Léon Tolstoï — à ce jour sa dernière apparition à l'écran. Ces dernières années, la comédienne se consacre à la scène et à l'écriture.
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Cinéma 1949 : Orage d'été de Jean Gehret : Marie-Tempête 1952 : Dans la vie tout s'arrange de Marcel Cravenne : Jacqueline 1954 : Avant le déluge d'André Cayatte : Liliane 1955 : Le Crâneur de Dimitri Kirsanoff : Juliette 1955 : Sophie et le Crime de Pierre Gaspard-Huit : Sophie 1955 : Symphonie inachevée (Sinfonia d'amore) de Glauco Pellegrini : la comtesse Caroline Esterhazy 1956 : La Sorcière d'André Michel : Ina 1956 : Les salauds vont en enfer de Robert Hossein : Éva 1956 : Pardonnez nos offenses de Robert Hossein : Dédée 1956 : Crime et châtiment de Georges Lampin : Lili Marcellin 1958 : La Liberté surveillée d'Henri Aisner et Vladimír Vlcek : Éva 1959 : Toi, le venin de Robert Hossein : Éva Lecain 1959 : La Sentence de Jean Valère : Catherine 1959 : La Nuit des espions de Robert Hossein : Elle 1960 : Les Canailles de Maurice Labro : Hélène Chalmers 1961 : La Princesse de Clèves de Jean Delannoy : La princesse de Clèves 1961 : La Fille dans la vitrine (La Ragazza in vetrina) de Luciano Emmer : Else 1962 : Adorable Menteuse de Michel Deville : Juliette 1962 : Climats de Stellio Lorenzi : Odile Marcenat 1962 : Les Bonnes Causes de Christian-Jaque : Catherine Dupré 1963 : Le Meurtrier de Claude Autant-Lara : Ellie 1963 : Le Lit conjugal (Una storia moderna: l'ape regina) de Marco Ferreri : Regina 1965 : Falstaff (Campanadas a medianoche) d'Orson Welles : Kate Percy 1966 : On a volé la Joconde (Il Ladro della Gioconda) de Michel Deville : Nicole 1966 : Atout c½ur à Tokyo de Michel Boisrond : Eva Wilson 1967 : 2 ou 3 choses que je sais d'elle de Jean-Luc Godard : Juliette Jeanson 1967 : Mona, l'étoile sans nom d'Henri Colpi : Mona 1969 : Le Temps de vivre de Bernard Paul : Marie 1969 : Lika, le grand amour de Tchekhov (Syuzhet dlya nebolshogo rasskaza) de Serguei Youtkhevitch : Lika 1969 : Sirocco d'hiver (Sirokkó) de Miklós Jancsó : Maria 1970 : Pour un sourire, de François Dupont-Midi 1971 : Sapho ou la Fureur d'aimer de Georges Farrel : Françoise Legrand dite « Sapho » 1972 : La Nuit bulgare de Michel Mitrani : Marthe Tarset 1972 : Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil de Jean Yanne : Madame Thulle 1973 : Le Complot de René Gainville : Christiane 1975 : Sept morts sur ordonnance de Jacques Rouffio : Muriel Losseray 1976 : Que la fête commence de Bertrand Tavernier : Madame de Parabère 1977 : Elles deux (Ök ketten) de Márta Mészáros : Mari 1980 : L'¼il du maître de Stéphane Kurc : Isabelle de Brabant 1982 : Les Jeux de la comtesse Dolingen de Gratz, de Catherine Binet : La mère de la fillette 1984 : Bordelo de Níkos Koúndouros 1985 : Tangos, l'exil de Gardel de Fernando E. Solanas : Florence 1985 : Un'isola de Carlo Lizzani 1986 : Twist again à Moscou de Jean-Marie Poiré : Natacha Tataïev 1987 : Les Exploits d'un jeune Don Juan (L'Iniziazione) de Gianfranco Mingozzi : Madame Muller 1989 : Splendor d'Ettore Scola : Chantal 1989 : Follow Me de Maria Knilli : Ljuba 1991 : Pyushchye krovy de Yevgeni Tatarsky 1992 : O-Roshiya-koku suimu-dan (The Dream of Russia) de Junya Sato : La princesse Ekaterina 1996 : Le Fils de Gascogne de Pascal Aubier : Elle-même 1996 : Anemos stin poli de Petros Sevastikoglou : Simone 1997 : Jeunesse de Noël Alpi : Miss Alice 2011 : Quelques jours de répit de d'Amor Hakkar
Télévision
1974 : Les charmes de l'été 1978 : Les Deux Berges de Patrick Antoine : Marcelline Dorval 1982 : Fort comme la mort, téléfilm de Gérard Chouchan : Any de Gilleroy 1982 : Les Secrets de la princesse de Cadignan téléfilm de Jacques Deray d'après Honoré de Balzac : la marquise d'Espard 1998 : Tous les papas ne font pas pipi debout de Dominique Baron : Grany 2000 : Victoire, ou la douleur des femmes de Nadine Trintignant : Victoire
Théâtre
1957 : Vous qui nous jugez de Robert Hossein, mise en scène de l'auteur, Théâtre de l'¼uvre 1957 : Jupiter de Robert Boissy, mise en scène Jacques-Henri Duval, Théâtre des Célestins 1966 : Les Trois S½urs d'Anton Tchekov, mise en scène André Barsacq, Théâtre Hébertot 1983 : Erendira et la grand-mère diabolique de Gabriel García Márquez, mise en scène Augusto Boal, Théâtre de l'Est parisien 1992 : Sarcophagus de Vladimir Gubariev, adaptation Éric-Emmanuel Schmitt, mise en scène Jean-Luc Tardieu, Maison de la Culture de Loire-Atlantique Nantes 1994 : La Source bleue de Pierre Laville, mise en scène Jean-Claude Brialy, Théâtre Daunou 1999 : La Cerisaie d'Anton Tchekov, mise en scène Georges Wilson, Espace Pierre Cardin 2006 et 2007 : Vladimir Vissotsky ou le vol arrêté, mise en scène Jean-Luc Tardieu, Théâtre des Bouffes du Nord 2009 : Vladimir Vissotsky ou le vol arrêté, mise en scène Jean-Luc Tardieu, Théâtre Meyerhold (Moscou), invité par le Théâtre de la Nation 2009 : Les Dames du jeudi de Loleh Bellon, mise en scène Christophe Lidon, Centre national de création d'Orléans 2010 : Les Dames du jeudi de Loleh Bellon, mise en scène Christophe Lidon, Théâtre de l'¼uvre
Discographie
1973 : Il est à moi, Le Voleur de chevaux, 45 tours (S 2 titres) CBS 1974 : Vlady Vissotsky, 33 tours 12 titres chantés avec Vladimir Vissotsky, réédité en 2007 CD Le Chant du Monde 1981 : Berceuse cosaque, La jeune fille se promenait dans les bois, Berceuse pour endormir l'orage, Petite berceuse, chantées en russe, Le Chant du Monde, réédition sur compilation Éternelle Russie, 3 CD Sélection du Reader's Digest 3058 (1995)
Bibliographie
Babouchka, récit, coécrit avec Hélène Vallier, Odile Versois et Olga Varen, Éditions Fayard, Paris, 1979 Vladimir ou le vol arrêté, récit, Éditions Fayard, Paris, 1987 Les Jeunes filles, roman de Vladimir Vissotsky, avant-propos de Marina Vlady, Éditions Alinea, 1989 Récits pour Militza, récit, Éditions Fayard, Paris, 1989 Le Collectionneur de Venise, roman, Éditions Fayard, Paris, 1990 Le Voyage de Sergueï Ivanovitch, roman, Éditions Fayard, Paris, 1993 Du c½ur au ventre, essai, Éditions Fayard, Paris, 1996 Ma Ceriseraie, roman, Éditions Fayard, Paris, 2001 Ballades, poésies, de Vladimir Vissotsky, préface de Marina Vlady, Les Éditions de Janus, Paris, 2003 24 images/seconde, mémoires, Éditions Fayard, Paris, 2005 Sur la plage, un homme en noir, roman, Éditions Fayard, Paris, 2006 Le Fol Enfant, récit, Éditions Fayard, Paris, 2009
Distinctions
1954 : Prix « Suzanne Bianchetti » pour Avant le déluge d'André Cayatte 1963 : Prix d'interprétation féminine au Festival de Cannes pour Le Lit conjugal (Una storia moderna: l'ape regina) de Marco Ferreri 2008 : Prix « Reconnaissance des cinéphiles » pour l'ensemble de sa carrière remis par l'association « Souvenance de cinéphiles » à Puget-Théniers (Alpes-Maritimes)
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