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Paris brûle-t-il ? est un film franco-américain de 1966, réalisé par René Clément à la demande du producteur Paul Graetz et adapté du livre best-seller éponyme de Larry Collins et Dominique Lapierre.
Paris brûle-t-il ? est une fresque historique qui décrit les dernières semaines de la Seconde Guerre mondiale à Paris, jusqu'à la libération de la capitale en août 1944.
L'action est centrée sur les faits de résistance qui ont contribué à la reddition de l'armée allemande, et sur les personnages principaux de cette période : le général américain Patton, le général allemand von Choltitz, Jacques Chaban-Delmas, alors l'un des chefs de la Résistance, le général Leclerc, etc.
La fin du film insiste sur l'ordre donné par Adolf Hitler à l'armée d'occupation de raser Paris avant de capituler, en faisant sauter les ponts et les monuments. Le général Dietrich von Choltitz désobéira finalement à cet ordre et se rendra sans condition aux alliés, préservant ainsi Paris de la destruction.
Avec une distribution de superproduction (20 000 figurants), Paris brûle-t-il ? n'est pourtant pas un film de stars, mais retrace de façon précise et quasiment documentaire cette période tourmentée et hautement importante dans l'histoire de la France et de Paris.
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Fiche technique Titre : Paris brûle-t-il ? Réalisation : René Clément Scénario : Gore Vidal, Francis Ford Coppola, Jean Aurenche, Pierre Bost et Claude Brulé d'après le livre Paris brûle-t-il ? de Dominique Lapierre et Larry Collins Dialogues additionnels : Marcel Moussy (scènes françaises) et Beate von Molo (scènes allemandes) Musique : Maurice Jarre Photographie : Marcel Grignon Assistant réalisateur : Yves Boisset, Michel Wyn Producteur : Louis Daquin Format : Noir et blanc - sauf scène générique de fin : Couleur Pays : France, États-Unis Durée : 175 minutes Public : Tous publics Date de sortie en salles : France : 26 octobre 1966 Allemagne de l'Ouest : 28 octobre 1966 Suède : 2 novembre 1966 États-Unis : 10 novembre 1966 (New York) Royaume-Uni : 7 décembre 1966 (première à Londres)
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Acteurs crédités au générique Jean-Paul Belmondo : Yvon Morandat, dit « Pierrelot » Charles Boyer : le docteur Monod Leslie Caron : Françoise Labé Jean-Pierre Cassel : le lieutenant Henri Karcher George Chakiris : le GI devant Notre-Dame Bruno Cremer : le colonel Rol-Tanguy Claude Dauphin : le colonel Lebel Alain Delon : Jacques Chaban-Delmas Kirk Douglas : le général George Patton Pierre Dux : Alexandre Parodi, dit « Cerat » Glenn Ford : le général Omar Bradley Gert Fröbe : le général Dietrich von Choltitz Daniel Gélin : Yves Bayet Georges Géret : le boulanger Hannes Messemer : le général Alfred Jodl Harry Meyen : le lieutenant von Arnim Yves Montand : le sergent tankiste Marcel Bizien Anthony Perkins : le sergent américain Warren Michel Piccoli : Edgard Pisani Wolfgang Preiss : le capitaine Ebernach Claude Rich : le général Leclerc / le lieutenant Pierre de la Fouchardière Simone Signoret : la patronne du bistrot Robert Stack : le général Edwin Sibert Jean-Louis Trintignant : Serge Pierre Vaneck : le capitaine de réserve Roger Cocteau, alias « Commandant Gallois » Marie Versini : Claire Morandat Skip Ward : Charlie, un soldat US Orson Welles : le consul de Suède Raoul Nordling Michel Etcheverry : le préfet Luizet Billy Frick : Adolf Hitler Ernst Fritz Fürbringer : le général von Boinebourg Konrad Georg : le maréchal Walter Model Joachim Hansen : le commandant de la prison de Fresnes Félix Marten : Georges Landrieu Paloma Matta : Liliane Charvet, la jeune mariée Günter Meisner : le commandant SS à Pantin Sacha Pitoëff : Joliot-Curie Albert Rémy : le gendarme Christian Rode : le soldat allemand brûlé Helmuth Schneider : l'adjudant allemand dans le métro Otto Stern : le soldat allemand dans le métro Tony Taffin : Bernard Labé Jean Valmont : le FFI au bazooka Karl-Otto Alberty et Peter Neusser : les SS qui veulent prendre la tapisserie de Bayeux au musée du Louvre pour l'offrir à Hitler Pierre Collet : un policier résistant Paul Crauchet : le curé Germaine de France : une vieille dame Bernard Fresson : un agent de liaison des FFI Michel Gonzalès, Francis Nani, Sébastien Poitrenaud : des étudiants résistants Peter Jacob : le général Wilhelm Burgdorf Hubert de Lapparent : l'huissier à Matignon Roger Lumont : Jade-Amicol Pierre Mirat : le patron du bistro « Médicis » Jean-Michel Rouzière : l'homme au petit chien Georges Staquet : le capitaine Raymond Dronne Hénia Suchar : la standardiste à la préfecture Claude Vernier : prisonnier allemand
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Roland Armontel : un passant Georges Ass, Adrien Cayla-Legrand : des prisonniers à Pantin Philippe Baronnet : un résistant Georges Béreux Michel Berger : le chef des explosifs Paul Bisciglia : un homme sur le char Paul Bonifas : le maire Gehrard Bormann Colette Brosset Georges Carnazzo Georges Claisse : l'interne avec Monod Louis Daquin Suzy Delair : une Parisienne Patrick Dewaere : un jeune résistant fusillé Yves-Marie Maurin : un jeune résistant fusillé qui hurle : « Vive la France ! » Guy Di Rigo, Roland Fleury, Roger Pera : AGI C.O. Erickson Lutz Gabor : un officier allemand Pierre Fabrice André Falcon : un membre du conseil de la Résistance Pascal Fardoulis : Gilet Michel Fugain : un jeune résistant Monique Fusier Clara Gansard : la femme du colonel Tanguy Marcel Gassouk : un prisonnier allemand Rol Gauffin Jeanne Herviale Claus Holm : Hume Jean-Pierre Honoré : Alain Perpezat Nicole Jonesco Catherine Kamenka : Diane Billy Kearns : l'aide du général Patton Jacques Lalande : un policier Viviane Landford Joëlle LaTour : la jeune femme avec Warren Rudy Lenoir : un officier allemand Jacques Léonard : un soldat américain Michael Lonsdale : Debu-Bridel Rico López Maria Machado : Stella Philippe March : Roland Pré E.G. Marshall : Intelligence Officer Powell Mike Marshall : FFI Raymond Meunier : un policier en uniforme Jean Michaud : le commandant à Matignon Harold Momm : le colonel Jay Georges Montant : un docteur Russ Moro Del Negro : un officier avec Chaban-Delmas Jean Négroni : Villon Raymond Pierson Marcel Policard : Cafetier dans la scène avec Simone Signoret Alain Pommier : Franjoux Georges Poujouly : Landrieux Jacques Pradel : un jeune officier Jacques Préboist : l'homme qui se rase à sa fenêtre Michel Sardou : un jeune résistant Jean-Paul Tribout : un jeune résistant Georges Bidault, Charles de Gaulle, Pierre Koenig, Philippe Leclerc de Hauteclocque, André Le Troquer et Alexandre Parodi apparaissent dans des images d'archives du défilé de la victoire.
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Darryl F. Zanuck producteur de la 20th Century Fox voulut racheter les droits du livre pour renouveler le succès du jour le plus long mais Paul Graetz de la Paramount l'emporta, voulant produire un équivalent européen du jour le plus long.
Cent quatre-vingt lieux de tournage ont été nécessaires, principalement les rues de Paris (excepté les batailles dans la rue de Rivoli tournées en studio) pendant l'été 1965, entre 5 et 7 heures du matin pour ne pas gêner la circulation, les rues étant maquillées à la suie.
La réalisation académique de René Clément fut vivement critiquée par la « Nouvelle Vague ».
Le titre du film provient de la légende selon laquelle Hitler aurait téléphoné à von Choltitz, réfugié dans sa chambre d'hôtel du Faubourg Saint-Honoré, et lui aurait hurlé fou de rage : « Paris brûle-t-il ? » On aperçoit les figurants Michel Berger en « Chef des explosifs », Michel Fugain et Michel Sardou en « Étudiants résistants », tous trois non crédités...
Claude Rich joue deux rôles dans ce film : le général Leclerc (avec moustache) et le lieutenant Pierre de la Fouchardière (sans moustache). Mais il n'est crédité au générique final que du rôle du général Leclerc.
Le fait qu'il incarne le jeune lieutenant n'est pas un hasard. En effet, pendant les évènements de la libération de Paris, Claude Rich, jeune adolescent, admirait les exploits des militaires dans la rue. Pierre de la Fouchardière, l'ayant aperçu, lui somma de rentrer, pour le protéger des dangers que les soldats couraient. Pierre de la Fouchardière libèrera ensuite le Sénat de l'occupation allemande.
Une anecdote raconte que Kirk Douglas n'accepta le rôle, qu'à la seule présence au générique de Jean-Paul Belmondo, qu'il admirait.
Le thème musical composé par Maurice Jarre va se transformer en une chanson à succès et emblématique de Paris, « Paris en colère », grâce aux paroles de Maurice Vidalin et à l'interprétation de Mireille Mathieu Le film fut tourné en noir et blanc car les autorités refusèrent que de vrais drapeaux nazis flottent sur les bâtiments officiels de Paris. Ils acceptèrent seulement des drapeaux noir et blanc, avec la croix gammée. Yves Montand porta un calot à la place du Béret Noir, ce qui valut de nombreuses critiques d'anciens Bérets Noirs de l'Armée française.
Le livre de Larry Collins et Dominique Lapierre est né à la suite de leur lecture d'un entrefilet dans le Figaro révélant, d'après des archives militaires allemandes déclassifiées, que Paris aurait dû être détruit en août 1944.
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Philippe Leclerc de Hauteclocque, né Philippe François Marie de Hauteclocque le 22 novembre 1902 au château de Belloy (commune de Belloy-Saint-Léonard) dans le département de la Somme, est un militaire français, qui fût l'un des principaux chefs militaires de la France libre durant la Seconde Guerre mondiale. Ses fonctions au sein des Forces françaises libres l'amènent notamment à commander la 2e division blindée.
Officier exceptionnel, anticonformiste et brillant, il se révèle un stratège et un organisateur hors pair. Il est l'une des figures majeures de la libération de la France lors de la Seconde Guerre mondiale.
Il meurt le 28 novembre 1947 dans un accident d'avion près de Colomb-Béchar (territoire d'Ain Sefra, Algérie française), lors d'une mission d'inspection militaire. Il est inhumé dans un tombeau de la Crypte des Invalides.
« Leclerc » est tout d'abord son nom de guerre au sein des Forces françaises libres avant d'être ajouté à son patronyme légal : il a été autorisé à se nommer Leclerc de Hauteclocque par décret du 17 novembre 1945 publié au Journal officiel, daté des 19 et 20 novembre 1945 (à la date du 20 novembre, p. 7694-7695).
Il a été élevé à titre posthume à la dignité de maréchal de France.
Biographie
Les jeunes années
Enfance
Armes des Hauteclocque.
Philippe, François, Marie de Hauteclocque, est issu de la famille de Hauteclocque, originaire de la province d'Artois dont une branche a fait souche en Picardie, de noblesse chevaleresque dont l'existence est prouvée depuis 1340.
Il est le petit-fils de Gustave de Hauteclocque (Arras, 1829 – Naples, 30 avril 1914), historien et archéologue, maire de Bermicourt et de Marie-Henriette de Morgan-Frondeville (1834-1908). Le couple a trois fils : Henry (1862-1914, mort pour la France), Adrien (1864-1945) et Wallerand (1866-1914, mort pour la France).
Il est le fils d'Adrien de Hauteclocque (1864-1945) et de Marie-Thérèse van der Cruisse de Waziers (1870-1956), fille elle-même de Louis van der Cruisse de Waziers (1820-1907) et de Léontine du Passage (1841-1913).
Philippe de Hauteclocque grandit au sein d'une fratrie de six enfants :
Guy de Hauteclocque (1892-1965) qui épouse Madeleine de Gargan (s½ur de la maréchale Leclerc), dont postérité ;
Françoise de Hauteclocque (1895-1919), qui épouse Renaud de Chaumont-Quitry (sans postérité) ;
Madeleine de Hauteclocque (1897-1935), religieuse dominicaine ;
Yvonne de Hauteclocque (1900-1967), qui épouse Pierre de Bodard de La Jacopière, dont postérité ;
Colette de Hauteclocque (1906-1990), qui épouse Jacques de Baynast de Septfontaines, dont postérité.
Ses parents assurent son éducation jusqu'à l'âge de 13 ans. Il entre en quatrième en 1915 au collège de La Providence d'Amiens, évacué à Poitiers au cours de la Première Guerre mondiale, où il poursuit ses études en lycée.
Études supérieures et militaires
En 1922, après avoir préparé le concours à Sainte-Geneviève de Versailles, il est admis à l'École spéciale militaire de Saint-Cyr (promotion Metz et Strasbourg-1922-1924), dont il sort cinquième en 1924. Il entre alors à l'École d'application de la cavalerie de Saumur, dont il sort en 1925 en étant major.
Le futur maréchal Leclerc habite une maison, face à la gare de Saint-Cyr-l'École, avec sa famille de 1932 à 1938. Il est alors, en tant que capitaine, instructeur à l'école spéciale militaire. Charles, l'un de ses enfants, y fait ses premiers pas.
Famille
Il épouse la même année, le 10 août 1925, Thérèse de Gargan (1903-1996), fille d'Auguste de Gargan, (1861-1902) et d'Henriette d'Irumberry de Salaberry, (1866-1944). Ils auront six enfants :
Henri Leclerc de Hauteclocque (1926-1952, mort pour la France) ;
Hubert Leclerc de Hauteclocque (1927-2015) , maire de Tailly (Somme) de 1965 à 2008 , commandeur de la Légion d'honneur, qui épouse le 31 octobre 1956, Marie-Églé de Buxeuil de Roujoux. D'où : Bénédicte, Sylvia(+), Marie-Thérèse et Gilone ;
Charles Leclerc de Hauteclocque (1929-2016) , commandeur du mérite agricole , qui épouse Geneviève de Chabot-Tramecourt. D'où : Henri, Florence, Catherine, Yolaine et Gautier ;
Jeanne Leclerc de Hauteclocque (1931-2018), qui épouse, le 26 octobre 1960, Robert Galley (1921-2012), engagé dans les FFL à Londres en 1940, Compagnon de la Libération, grand officier de la Légion d'honneur, député de l'Aube, ministre, maire de Troyes. D'où deux enfants : Philippe Galley et Alexis Galley ;
Michel Leclerc de Hauteclocque (1933-2014), colonel de cavalerie, chevalier de la Légion d'honneur, qui épouse le 4 juillet 1964, Béatrice Guilhem de Pothuau. D'où : Isabelle, Arnaud, Sabine, Emmanuel, Hélène et Xavier ;
Bénédicte Leclerc de Hauteclocque (1936-), qui épouse, le 16 août 1958 à Tailly, Gérard de Francqueville, chevalier de la Légion d'honneur, d'où : Philippe, Pierre-Emmanuel, Thibault et Laure.
Débuts militaires
Depuis 1918 (et jusqu'en 1930), la Sarre est sous occupation française en conséquence du traité de Versailles faisant suite à la Première Guerre mondiale. Le jeune Philippe de Hauteclocque a pour première affectation le 5e régiment de cuirassiers à Trèves en Rhénanie-Palatinat; après y avoir passé un an, il obtient une affectation au 8e spahis, au Maroc. Il participe à la pacification du territoire au cours de la guerre du Rif, durant laquelle il se distingue. En 1929, le commandement du 38e goum lui est confié.
Il devient instructeur à l'École de Saint-Cyr en 1931. Lors d'un exercice à cheval, sa jambe se casse sous sa monture ce qui lui vaudra d'utiliser une canne tout le reste de sa vie. Au cours d'un second séjour au Maroc, il est promu capitaine en 1934, et obtient la Légion d'honneur. En 1938, il réussit le concours d'entrée à l'École de Guerre, dont il sort major en 1939.
Il est « issu d'une famille Action française jusqu'en 1940 ». Il lit l'Action française, sans adhérer à l'ensemble de la doctrine, appréciant surtout l'exaltation des valeurs de la France monarchique contenues dans ce journal et le fait qu'il fonde sa politique sur cette notion : « Le présent vient du passé ». Chevauchant à la tête de son escadron lors de la revue du 14 juillet 1936 et passant devant la tribune officielle où se tiennent Léon Blum et Édouard Daladier, il aurait brocardé ce dernier d'un « Pour le fusilleur, tête droite ! ».
Ruptures idéologiques
Il rompt avec l'Action française en 1940 et juge que le mouvement trahit ses idées et fourvoie les élites qui le suivent. Il se défait également, à cette même époque, des préjugés antisémites des milieux maurrassiens. Après la guerre, il n'évoque plus Charles Maurras que pour juger sa philosophie critiquable et fera détruire les exemplaires du journal conservés à Tailly.
De tradition catholique et fervent pratiquant, il manifeste toute sa vie son attachement à sa foi.
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