N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.
Le bagne est un établissement pénitentiaire dédié aux travaux forcés. Toutefois, tous les bagnards ne sont pas condamnés aux travaux forcés. Les bagnes coloniaux français sont abolis en 1938.
Bagnard, du bagne de Toulon (Musée du Bagne, Fort Balaguier, Toulon)
L'origine du mot « bagne » vient de l'italien bagno, qui était le nom d'anciens « bains publics » à Constantinople, reconvertis en « prison d'esclaves ».
En France, l'utilisation des condamnés comme rameurs sur les galères royales semble remonter à Jacques Coeur au XVe siècle. Les galères de France, ayant à leur tête un Général des galères indépendant de l'Amiral de France et servies par un corps spécial, eurent dès l'origine leur base à Marseille ; c'est à Marseille que se trouvèrent jusqu'au milieu du XVIIIe siècle toutes les installations du Bagne. Quand les galères séjournaient à Toulon, les rameurs restaient en général à leur bord. Mais en 1748, Louis XV décréta la suppression du Corps des Galères et le rattachement de celles-ci à la Marine Royale. Toulon devint ainsi la base des galères qui quittèrent définitivement Marseille, dont le Bagne fut supprimé. Toulon dut dès lors loger les forçats. On le fit d'abord sur les galères auxquelles on adjoignit des vaisseaux qui prirent le nom de bagne flottants ; puis il fallut procéder à des installations à terre. A la fin du XVIIIe siècle, on ne construisit plus de galères mais on continuait à envoyer des forçats à Toulon. Il y en avait environ 3 000. Ces forçats ne faisaient plus office de rameurs ; on les employait à des travaux de force, de terrassement, de construction, dans l'Arsenal et même en ville. L'habillement des bagnards, composé d'un bonnet et d'un habit, avait une couleur différente suivant la nature et le motif de leur condamnation. Sous l'ancien Régime, ils étaient marqués au fer rouge. On encerclait un de leurs pieds d'un anneau muni d'un bout de chaîne permettant de les immobiliser. Les plus "durs" étaient enchaînés deux à deux ; le boulet au pied constituait une punition disciplinaire avec la bastonnade à coups de corde. Ces châtiments s'adoucirent progressivement. La nourriture qui comportait peu de viande et une ration de vin pour les travailleurs était surtout à base de légumes secs, d'où le nom de "gourgane" (« fèves » en provençal) qu'ils donnaient à leurs gardes-chiourme. L'état sanitaire n'était guère brillant, de sorte que, dès le début, on avait dû se préoccuper de loger les malades à terre et d'aménager un hôpital du Bagne. Celui-ci fut installé en 1777 dans les casemates du rempart Sud-Est de la Darse Vauban, où des constructions supplémentaires furent édifiées, adossées au rempart. Puis l'hôpital se transporta en 1797 dans un immense bâtiment de 200 mètres de long, orienté Nord-Sud, construit en 1783 le long du quai Ouest de la Vieille Darse, appelé « Grand Rang ». Ce bâtiment avait un vaste rez-de-chaussée voûté à trois travées ; l'hôpital occupa le 1er étage. Deux tours d'angle carrées à toit pyramidal le terminaient au Nord et au Sud ; dans celle du Nord fut installée la Chapelle des Forçats. Le reste du bâtiment était occupé par les Services Administratifs. Quant aux forçats valides, on les avait logés là où se trouvait antérieurement l'hôpital ; mais en 1814, ils furent installés dans un bâtiment Est-Ouest de 115 mètres de long, perpendiculaire à l'hôpital, bâti en 1783 sur le quai Sud-Ouest de la Vieille Darse, entre la Chaîne Vieille de la passe et le Grand Rang. Près de là se trouvait amarré un navire dit "Amiral" qui gardait la passe et tirait le coup de canon du matin et du soir.
Dès le début du Second Empire, la suppression des bagnes des ports militaires, jugés à la fois peu désirables et peu rentables, avait été envisagée mais elle ne fut effective que le jour où les bagnes de Cayenne et de Nouméa furent prêts à recevoir tous les condamnés. C'est en 1873 que le bagne de Toulon cessa d'exister. Ses bâtiments furent répartis entre divers services militaires, en particulier ceux de la défense du littoral ; on y vit le Centre d'études de la Marine, l'Artillerie de côte, etc. Ils survécurent jusqu'en 1944 où ils subirent alors une destruction presque totale. Actuellement, des locaux occupés par les bagnards, il ne subsiste qu'un bâtiment appuyé sur un fragment de l'ancien rempart sud-est de la Darse Vauban, conservé à titre de souvenir ; ce bâtiment est utilisé comme restaurant pour le personnel de l'Arsenal. En 1836 le Bagne de Toulon comptait 4 305 détenus, 1 193 condamnés à perpétuité, 174 à plus de vingt ans, 382 entre seize et vingt ans, 387 entre onze et quinze ans, 1 469 entre cinq et dix ans et 700 à moins de cinq ans. De nombreux bagnards célèbres y sejournèrent dont Vidocq en 1799, Marie Lafarge en 1840, l'imposteur Coignard, quant à Jean Valjean, il ne fut que le fruit de l'imagination de Victor Hugo.
Bagnes français
Congé délivré à un forçat libéré de Lorient en mars 1810 l'autorisant à se rendre dans sa commune et à se présenter au commissaire de police en application du décret impérial du 17 juillet 1806.
Métropole
pénitencier militaire d'Albertville (Albertville) Bagne de Brest (Brest) Bagne de Lorient (Lorient) Bagne de Nîmes (Nîmes) Bagne du Havre (Le Havre) Bagne de Cherbourg (Cherbourg) Bagne de Nice (Nice) Bagne de Rochefort (Rochefort) Bagne de l'île de Ré (Saint-Martin-de-Ré) Bagne de Tatihou (Saint-Vaast-la-Hougue) Bagne de Toulon (Toulon) Bagne de Belle-Île-en-Mer (Belle-Île-en-Mer)
Outre-mer
Guyane française
On ne parle que d'un seul bagne de la Guyane française mais il se compose de plusieurs camps et pénitenciers : Bagne de Cayenne (Cayenne) Bagne des Îles du Salut Bagne de Mana (ou bagne des femmes) Bagne de Saint-Laurent-du-Maroni (Saint-Laurent-du-Maroni et Saint-Jean-du-Maroni) Camp Charvein (dit "Camp de la Mort") Camp Crique Anguille (Montsinéry-Tonnegrande) Camp des Hattes Camp du kilomètre quarante Camp de l'Îlet Saint Louis Camp de la Montagne d'Argent Camp de Saint Augustin Camp de Sainte Anne Camp de Sainte Marguerite Camp de Sainte Marie Camp de Saint Georges Camp de Saint Jean Camp de Saint Maurice Camp de Saint Philippe Camp de Saint Pierre Camp de Sparouine Camp des Malgaches Camp d'Organabo Camp Godebert Camp La Forestière Camp Saut du Tigre Nouveau Camp Pénitencier de l'Îlet la Mère Pénitencier de Kourou (Kourou) Plusieurs pénitenciers flottants se trouvaient au large de Cayenne et Kourou et se nommaient La Chimère, Le Grondeur et La Truite.
Nouvelle-Calédonie
Bagne de Nouvelle-Calédonie Bagne de Nouméa (Nouméa) Bagne de l'île des Pins Indochine[modifier] Bagne de Poulo Condor
Madagascar
Bagne de Nosy Lava
Bagnes militaires
L'armée française crée également des bagnes militaires destinés aux fortes têtes et au service militaire des condamnés de droit commun : Bagne de Tataouine (Tataouine, Tunisie) Bagne de Biribi (Algérie)
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.
Ses premiers contacts avec le cinéma ont lieu en 1955 à Venise, durant la Biennale, au cours d'un voyage qui lui a été offert après qu'elle a gagné, à dix-sept ans, l'élection de « la plus belle italienne de Tunis ». Cependant, désirant être institutrice, elle décline toutes les propositions qui lui sont faites et ne fait qu'une brève apparition dans un court métrage, Anneaux d'or de René Vautier.
Ses véritables débuts dans un long métrage se feront en 1958 dans Goha de Jacques Baratier et surtout Le Pigeon de Mario Monicelli, sous l'égide du producteur Franco Cristaldi qu'elle épousera en 1966. Dans les années 1960, on la retrouve à l'affiche de nombreux succès critiques et publics. De célèbres réalisateurs vont se disputer sa présence devant leurs caméras. Ce sont Mauro Bolognini, Abel Gance, Luchino Visconti, Henri Verneuil, Philippe de Broca, Luigi Comencini, Federico Fellini, Blake Edwards, Henry Hathaway, ou Sergio Leone.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.
À cause de sa voix rauque et de son italien alors approximatif, l'actrice était systématiquement doublée dans ses films jusqu'à Huit et demi. Dans la version italienne originale du film Le Guépard, elle est doublée par Solveyg D'Assunta. Sur le tournage, Cardinale parlait français dans les scènes avec Alain Delon, anglais avec Burt Lancaster et italien par ailleurs.
Sa présence aux côtés d'Alain Delon dans Rocco et ses frères et dans Le Guépard de Visconti, et aux côtés de Jean-Paul Belmondo dans Cartouche la font connaître du public français, alors que le succès aux États-Unis et une renommée internationale lui viennent en 1963 de Huit et demi de Federico Fellini puis, en 1964, du film Le Plus Grand Cirque du monde d'Henry Hathaway, confirmés en 1969 par Il était une fois dans l'Ouest de Sergio Leone.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.
Les années 1970 et 1980 la voient alterner les rôles :
Réalisations italiennes avec Marco Ferreri, Luigi Comencini, Franco Zeffirelli, Marco Bellocchio, Luchino Visconti (avec qui elle a joué quatre fois) et surtout son mari, le producteur Pasquale Squitieri.
Réalisations françaises avec Christian-Jaque, José Giovanni, Michel Lang, Nadine Trintignant, Diane Kurys ou Robert Enrico.
Réalisations internationales avec Jerzy Skolimowski, Mikhaïl Kalatozov, George P. Cosmatos, Alan Bridges, Werner Herzog ou Blake Edwards (pour Le Fils de la panthère rose, 30 ans après le premier rôle).
Assemblé à partir de 4 fichiers transformés Réalisé par Eric Picard / dessinsagogo55
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.
À partir de la fin des années 1990, elle tourne moins, se consacrant davantage au théâtre ou à l'écriture. En 1993, elle est membre du jury pour la sélection officielle des longs métrages au Festival de Cannes. Dans les années 2000, elle monte sur scène à Paris, interprétant, en 2000, La Vénitienne (anonyme du xvie siècle) et Doux oiseaux de jeunesse de Tennessee Williams en 2005.
Elle a toujours adopté des positions politiques marquées par des idées libérales. De gauche, elle s'est souvent battue pour des causes concernant les droits des femmes et des homosexuels. Elle a apporté sa contribution à nombre de causes humanitaires. En 1999, l'UNESCO l'a désignée Ambassadrice de bonne volonté. « J'ai été une star, très jeune. Je n'ai pas de mérite, le destin en a décidé ainsi. Une étoile a toujours veillé sur moi ». Cette phrase est extraite de son livre autobiographique, paru le 20 janvier 2005, Mes étoiles, aux éditions Michel Lafon.
En 2009, elle publie Ma Tunisie aux éditions Timée, un livre de photos sur les traces de son enfance tunisienne.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.
Elle a deux frères et une s½ur. Claudia Cardinale est tunisienne depuis plus de trois générations. « Ma mère est née à La Goulette ! » affirme-t-elle, « Moi, je suis née sur l'avenue Habib-Bourguiba, dans un grand immeuble qui porte le nom de Foyer du combattant, derrière cet immeuble il y avait la Petite Sicile ». Et puis, elle égrène ses souvenirs en Tunisie avec une parfaite précision. « Je n'ai pas étudié au lycée Carnot, mais au lycée Cambon, rue de Marseille. Le jour où j'ai été élue la plus belle Italienne de Tunisie ! Je me souviens que c'était un ami qui m'a traînée à ce concours ! Mais je ne m'attendais pas du tout à cela ». Se sent-elle mieux à Djerba ou à Tunis ? « Je suis très heureuse de retrouver Djerba. Les bijoux en argent que je porte aujourd'hui viennent de Djerba ! D'ailleurs partout en Tunisie, je me sens bien ! Et j'ai toujours revendiqué ma tunisianité partout dans le monde. »
Le dialecte sicilien était la langue parlée dans sa famille et le français la langue apprise pendant son enfance au point que, bien qu'ayant toujours eu la nationalité italienne, elle n'a vraiment maîtrisé l'italien qu'à l'âge adulte
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.
Cinéma 1955 : Anneaux d'or, Court métrage de René Vautier 1958 : Goha le simple de Jacques Baratier : Amina 1958 : L'Étrangère à Rome (Tre straniere a Roma) de Claudio Gora : Marisa 1958 : Le Pigeon (I soliti ignoti) de Mario Monicelli : Carmelina 1959 : Vent du sud (Vento del Sud) de Enzo Provenzale : Grazia Macri 1959 : Meurtre à l'italienne (Un maledetto imbroglio) de Pietro Germi : Assuntina 1959 : Nous sommes tous coupables (Il magistrato) de Luigi Zampa : L'épouse d'Orlando 1959 : Hold-up à la milanaise (Audace colpo dei soliti ignoti) de Nanni Loy : Carmela Nicosia 1959 : Les Noces vénitiennes (La prima notte) d'Alberto Cavalcanti : Angelica 1959 : Entrée de service (Upstairs and Downstairs) de Ralph Thomas : Maria 1960 : La Fille à la valise (La Ragazza con la valigia) de Valerio Zurlini : Aïda Zepponi 1960 : Les Dauphins (I delfini) de Francesco Maselli : Fedora Santini 1960 : Rocco et ses frères (Rocco e i suoi fratelli) de Luchino Visconti : Ginetta 1960 : Le Bel Antonio de Mauro Bolognini : Barbara Puglisi 1960 : Austerlitz d'Abel Gance : Pauline Bonaparte 1961 : Le Mauvais Chemin (La Viaccia), de Mauro Bolognini : Bianca 1961 : Les lions sont lâchés d'Henri Verneuil : Albertine 1961 : Auguste de Pierre Chevalier 1962 : Cartouche de Philippe de Broca : Vénus 1962 : Quand la chair succombe (Senilità) de Mauro Bolognini : Angiolina Zarri 1963 : La Ragazza (La ragazza di Bube) de Luigi Comencini : Mara 1963 : Huit et demi (Otto e mezzo) de Federico Fellini : Claudia 1963 : Le Guépard (Il gattopardo) de Luchino Visconti : Angelica Sedara/Bertiana 1963 : La Panthère rose (The Pink Panther) de Blake Edwards : Princesse Dala 1964 : Le Cocu magnifique (Il magnifico cornuto) d'Antonio Pietrangeli : Maria Grazia 1964 : Les Deux Rivales (Gli indifferenti) de Francesco Maselli : Carla 1964 : Le Plus Grand Cirque du monde (Circus World) d'Henry Hathaway : Toni Alfredo 1965 : Sandra (Vaghe stelle dell'Orsa) de Luchino Visconti : Sandra 1965 : Les Yeux bandés (Blindflod) de Philip Dunne : Vicky Vincenti 1966 : Les Ogresses (Le fate) de Mauro Bolognini : Armenia 1966 : Les Centurions (Lost Command) de Mark Robson : Aïcha 1966 : Les Professionnels (The Professionals) de Richard Brooks : Mrs. Maria Grant 1967 : Comment réussir en amour sans se fatiguer (Don't Make Waves) d'Alexander Mackendrick : Laura Califatti 1967 : Une Rose pour tous (Una Rosa per tutti) de Francesco Rosi : Rosa 1968 : La amante estelar (Court métrage)d'Antonio de Lara 1968 : La mafia fait la loi (Il giorno della civetta) de Damiano Damiani : Rosa Nicolosi 1968 : Tous les héros sont morts (The Hell With Heroes) de Joseph Sargent : Elena 1968 : Il était une fois dans l'Ouest (C'era una volta il West) de Sergio Leone : Jill McBain 1968 : Un couple pas ordinaire (Ruba al prossimo tuo) de Francesco Maselli : Esmeralda Marini 1969 : Les Conspirateurs (Nell'anno del Signore) de Luigi Magni : Giuditta Di Castro 1969 : La Tente rouge (Krasnaya palatka) de Mikhaïl Kalatozov : L'infirmière Valeria 1969 : Certain, probable et même possible (Certo, certissimo anzi probabile) de Marcello Fondato : Marta Chiaretti 1970 : Les Aventures du brigadier Gérard (The Adventures of Gerard) de Jerzy Skolimowski : Téresa, comtesse de Moralès 1971 : L'Audience (L'Udienza) de Marco Ferreri : Aïche 1971 : Bello, onesto, emigrato Australia sposerebbe compaesana illibata de Luigi Zampa : Carmela 1971 : Popsy Pop de Jean Herman : Popsy 1971 : Les Pétroleuses de Christian-Jaque : Marie Sarrazin 1972 : La Scoumoune de José Giovanni : Georgia Saratov 1973 : Libera mon amour (Libera, amore mio...) de Mauro Bolognini : Libera Valente 1973 : Les Gouapes (I guappi) de Pasquale Squitieri : Lucia Esposito 1973 : Days of Fury (Il giorno del furore) de Antonio Calenda : Anya 1974 : Violence et passion (Gruppo di famiglia in un interno) de Luchino Visconti : L'épouse du professeur 1975 : Histoire d'aimer (A mezzanotte va la ronda del piacere) de Marcello Fondato : Gabriella Sansoni 1976 : La lozana andaluza de Vicente Escrivá 1976 : Il Comune senso del pudore d'Alberto Sordi : Armida Ballarin 1977 : Ici commence l'aventure (Qui comincie l'avventura) de Carlo Di Palma : Claudia 1977 : L'Affaire Mori (Il prefetto di ferro) de Pasquale Squitieri : Anna Torrisi 1977 : Goodbye e amen de Damiano Damiani : Aliki 1977 : Corleone de Pasquale Squitieri : Rosa Accordino 1978 : L'arma de Pasquale Squitieri : Marta Compagna 1978 : La Part du feu d'Étienne Périer : Catherine Hansen 1978 : Bons baisers d'Athènes (Escape to Athena) de George P. Cosmatos : Eleana 1979 : La Petite fille en velours bleu (Little Girl in Blue Velvet) d'Alan Bridges : Francesca Modigliani 1980 : Si salvi chi vuole de Roberto Faenza 1981 : La Salamandre (The Salamander) de Peter Zinner : Elena Leporello 1981 : La Peau (La pelle) de Liliana Cavani : Princesse Consuelo Caracciolo 1982 : Fitzcarraldo de Werner Herzog : Molly 1982 : Le Cadeau de Michel Lang : Antonella Dufour 1983 : Le Ruffian de José Giovanni : La baronne 1984 : Claretta de Pasquale Squitieri : Clara « Claretta » Petacci 1984 : Henri IV, le roi fou (Enrico IV) de Marco Bellocchio : Matilda 1985 : La donna delle meraviglie d'Alberto Bevilacqua 1985 : L'Été prochain de Nadine Trintignant : Jeanne 1986 : La Storia de Luigi Comencini : Ida 1987 : Un homme amoureux (Un uomo innamorato) de Diane Kurys : Julia Steiner 1988 : Blu elettrico de Elfriede Gaeng : Tata 1989 : La Révolution française de Robert Enrico et Richard T. Heffron : Yolande-Gabrielle de Polastron, duchesse de Polignac 1989 : Hiver 54, l'abbé Pierre de Denis Amar : Hélène 1989 : Acte d'amour (Atto di dolore) de Pasquale Squitieri : Elena 1990 : Les Cavaliers de la gloire (La batalla de los tres reyes) de Souheil Ben-Barka et Uchkun Nazarov : Roxelane 1991 : Mayrig d'Henri Verneuil : Araxi (Mayrig) 1991 : 588, rue Paradis d'Henri Verneuil : Araxi (Mayrig) 1993 : Le Fils de la panthère rose (Son of the Pink Panther) de Blake Edwards : Maria Gambrelli 1994 : Elles ne pensent qu'à ça... de Charlotte Dubreuil : Margaux 1996 : Un été à La Goulette de Férid Boughedir 1997 : Sous les pieds des femmes de Rachida Krim : Aya 1997 : Riches, belles, etc de Bunny Godillot (alias Bunny Schpoliansky, alias Harmel Sbraire) 1999 : Un café... l'addition court métrage de Félicie Dutertre et François Rabes : Mme Gigi 1999 : Li chiamarono... briganti! de Pasquale Squitieri : Donna Assunta 2001 : And now... Ladies and Gentlemen de Claude Lelouch : Madame Falconetti 2005 : Le Démon de midi de Marie-Pascale Osterrieth : Claudia Cardinale 2007 : Cherche fiancé tous frais payés de Aline Issermann : Elisabetn 2009 : Le Fil de Mehdi Ben Attia : Sara 2010 : Un balcon sur la mer de Nicole Garcia : La mère de Marc 2010 : Sinyora Enrica ile Italyan Olmak de Ali Ilhan : Signora Enrica 2011 : Joy de V. de Nadia Szold : Signora Morosini 2012 : Gebo et l'ombre de Manoel de Oliveira : Doroteia 2013 : The Silent Mountain de Ernst Gossner : Nuria Calzolari 2012 : El artista y la modelo de Fernando Trueba : Léa
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.