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Claude François, surnommé « Cloclo », né le 1er février 1939 à Ismaïlia en Égypte et mort accidentellement le 11 mars 1978 à l'âge de trente-neuf ans à Paris, est un chanteur populaire et producteur français des années 1960 et 1970. Il est notamment l'un des auteurs-compositeurs et le premier interprète de Comme d'habitude, adapté en anglais par Paul Anka sous le titre mondialement célèbre de My Way.
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Son père, Aimé, Français originaire d'Égypte, est contrôleur du trafic sur le canal de Suez, lors de sa naissance le 1er février 1939, à Ismaïlia en Égypte. Il porte les prénoms Claude, Antoine, Marie. Il était de tradition chez les François d'appeler les garçons par un prénom commençant par un A, mais Chouffa, sa mère avec son caractère trempé d'italienne a su imposer le prénom de "Claude", Antoine fut donc attribué en deuxième prénom et Marie étant le prénom de la Vierge pour protéger l'enfant. Sa mère, Lucia alias Chouffa, originaire de Calabre en Italie, s'occupe du foyer familial. Frère : aucun. S½ur : une seule (Josette François) Claude François a aussi deux enfants, Claude Junior alias Coco, et Marc. Sa famille est expulsée d'Égypte (avec de nombreux Français et Britanniques) lors de la nationalisation du canal de Suez ; il arrive avec ses parents à Marseille en 1956. La famille s'installe à Monaco puis à Nice. Il apprend le piano, le violon et la batterie. Il trouve une place de batteur dans un orchestre de quartet de jazz à Monte-Carlo, place que son père refusera tout d'abord car celui-ci souhaitait que son fils soit comptable (réf: Clo-Clo, le film de sa vie) C'est à l'hiver 1960 qu'il arrive à Paris sur les conseils de Brigitte Bardot et de Sacha Distel avec Janet Woolcoot, qu'il a épousée le 5 novembre 1960 à Monaco. Mars 1961 : son père décède d'une maladie des poumons, se laissant mourir, persuadé que la France l'a abandonné.
1962 : premier succès avec Belles belles belles. 1963 : Claude François demande à Michel Bourdais, dessinateur à Salut les copains, de réaliser son portrait. Il qualifiera de « merveilleux » ce dessin hyperéaliste qui est devenu par la suite, très célèbre. 1964 : Claude François à l'Olympia 1966 : apparition des Clodettes, ses danseuses. 1967 : il compose avec Jacques Revaux et écrit avec Gilles Thibaut le titre Comme d'habitude, à la suite de sa rupture avec la chanteuse France Gall, qui sera adapté en anglais par Paul Anka (My Way) et repris notamment par Frank Sinatra Elvis Presley et Sid Vicious (mais avec des modifications du texte). 13 mars 1967 : Claude François et Janet Woolcoot divorcent. Elle l'avait quitté au printemps 1962 pour Gilbert Bécaud qu'elle avait rencontré à l'Olympia. 1967 : il fonde sa maison de disques Flèche. Il rencontre Isabelle Forêt qui donne naissance à Claude Junior le 8 juillet 1968 et Marc le 15 novembre 1969. Sa chanson Parce que je t'aime mon enfant est adaptée en anglais et reprise par Elvis Presley, sous le titre My Boy. 14 mars 1970 : malaise pendant un concert à Marseille salle Vallier, 17 mai : accident de voiture sur l'autoroute du sud près d'Orange, un pneu éclate, Claude saura faire par la suite la « publicité » de cette marque de pneu à chaque interview qui suivirent. Son nez est fracturé et les pommettes éclatées. Il devra subir une rhinoplastie. 1972 : Il reprend le journal Podium qui devient rapidement la plus grosse publication pour les jeunes. Séparation d'avec la mère de ses enfants. Il rencontrera Sofia, une suédoise avec laquelle il restera quatre ans. 1973 : un fan l'agresse lors d'un concert. 1975 : il est une victime collatérale d'un attentat de l'IRA dans son hôtel Hilton de Londres. Il doit la vie à une passante qui prendra la déflagration de plein fouet. 1977 : il découvre que les droits qui lui ont été versés pour les adaptations de My Way, qui est devenu un succès mondial, n'ont pas été calculés correctement. Son dossier lui permet cependant d'obtenir gain de cause vers la fin de l'année. Le 26 juin, il se fait tirer dessus alors qu'il est au volant de sa voiture, en chemin vers son moulin de Dannemois. Il échappe miraculeusement à la mort alors que la course poursuite avec ses agresseurs a duré pendant une dizaine de kilomètres. Son dernier titre sera Alexandrie Alexandra (composé à l'automne 1977). Claude François meurt le 11 mars 1978, par électrocution dans la salle de bains, boulevard Exelmans à Paris, alors qu'il tentait de redresser une applique en cuivre qui était de travers sur le mur au dessus de la baignoire. Il devait, l'après-midi même (il était déjà en retard) participer à l'émission Rendez-vous de Michel Drucker. Un flash spécial à la radio et à la télévision annonce, à 16 heures, son décès. 15 mars 1978 : son nouveau 45 tours Alexandrie, Alexandra arrive chez les disquaires, jour de ses obsèques qui eurent lieu en l'église d'Auteuil, à Paris. Il est enterré au cimetière de Dannemois (Essonne) où sa tombe est l'objet de nombreuses visites. Il était propriétaire du moulin du village, aujourd'hui transformé en musée. Le 11 mars 2000, une place Claude-François est inaugurée à Paris, boulevard Exelmans dans le 16e arrondissement, au pied de son ancien domicile parisien. En 2005, une rue d'Ismaïlia est également baptisée en son honneur. La discographie de Claude François comporte un peu plus de 400 titres, (près de 500 chansons avec les versions en public). Il en a commercialisé près de 400, ce qui démontre une volonté de travail hors du commun. La liste du lien ci-dessus concerne environ 380 titres différents commercialisés et un relevé exhaustif des essais et répétition. La discographie étrangère de Claude François comporte des titres en anglais, en italien, en espagnol et même en japonais. Il sortit 278 titres en France et en Français (car les chiffres donnés au-dessus comprennent les versions étrangères). Il est le sixième plus gros vendeurs de disques en France derrière Johnny Hallyday, Michel Sardou, Jean Jacques Goldman, Celine Dion et Sheila.
On peut déduire de cette discographie certains éléments : Son attachement à sa première parolière Vline Buggy, et plus tard aux paroliers Gilles Thibaut, Eddy Marnay, Jean-Michel Rivat, Michèle Vendôme, Yves Dessca (qui deviendra producteur de Gloria Gaynor), Jacques Plante, Pierre Delanoë et Didier Barbelivien. En 1977, il marque sa volonté de donner un sens plus pointu à ses chansons en faisant appel à Étienne Roda-Gil. Il ne compose et écrit personnellement que très peu de chansons, mais elles sont un indice de ses préoccupations personnelles. Dans la première partie de sa carrière, comme tous les chanteurs français yéyés de l'époque, il va surtout faire des reprises qu'il adapte au public français, les titres anglais originaux n'étant pas distribués ou tout simplement directement cédés à l'exportation pour adaptation. Si Claude François s'inspire souvent de la Motown, particulièrement du compositeur Lamont Dozier, associé aux frères paroliers-producteurs Brian & Eddie Holland, il fait également appel aux compositeurs français. Ainsi, il fait appel à Patrick Juvet, Alice Dona, Alain Le Govic (plus connu sous le nom d'Alain Chamfort) et Jacques Revaux qui composera Comme d'habitude. Mais c'est surtout Jean-Pierre Bourtayre qui, s'inspirant des sources de la Motown, lui composera ses plus grands succès. Sa minutie lui fait modifier toutes les partitions et paroles qui lui sont présentées comme pour Comme d'habitude qui s'inspire de sa rupture avec France Gall. Il est l'auteur du titre "Belles belles belles", que Vline Buggy à l'origine avait intitulée "Rien rien rien". Pour la plupart des chansons, un extrait sonore de 30 secondes est disponible sur le site de D. Vallin ou sur Amazon. À ce jour (2007), environ 70 millions d'albums ont été vendus.
Albums 1962 : Le nabout twist (sa toute première chanson qui sera peu connue en France) mais dont il dut changer les paroles car certains passages étaient en arabe. On était alors en pleine guerre d'Algérie. 1962 : Belles, Belles, Belles (c'est sa première chanson à succès : il devient une vedette) 1962 : Marche tout droit 1963 : Si j'avais un marteau 1964 : Donna, donna 1964 : J'y pense et puis j'oublie 1965 : Même si tu revenais 1967 : Comme d'habitude (c'est la troisième chanson la plus interprétée dans le monde) 1968 : Eloïse 1969 : J'attendrai 1969 : Un monde de musique 1969 : Tout éclate, tout explose 1969 : Claude François à l'Olympia 1970 : Le monde extraordinaire de Claude François 1970 : Le jouet extraordinaire 1971 : C'est la même chanson 1971 : Tournée été 71 1971 : Il fait beau, il fait bon 1972 : Y'a le printemps qui chante 1972 : Le lundi au soleil 1973 : Je viens dîner ce soir 1973 : Sha la la 1973 : Chanson populaire 1973 : Claude François sur scène 1974 : Le mal aimé 1974 : Le téléphone pleure (c'est son plus grand succès) 1975 : Toi et moi contre le monde entier 1975 : Pourquoi pleurer 1975 : Été 75 1975 : Le chanteur malheureux 1976 : Cette année-là 1976 : À 17 ans 1976 : Pour les jeunes de 8 à 88 ans 1976 : Le vagabond 1977 : Je vais à Rio 1977 : Magnolias for ever 1977 : Toi et le soleil 1978 : Bordeaux rosé 1978 : Alexandrie, Alexandra (c'est sa dernière chanson) 1993 : Hommages 1996 : Le monde extraordinaire de Claude François 1996 : En vrai 1998 : Danse ma vie (Remix) 1998 : Les concerts inédits de musicorama 1998 : Eloïse - 65/69 1998 : Bernadette - 68/75 2003 : J'attendrai 2004 : Comme d'habitude
Filmographie
1977 : Drôles de zèbres, film de Guy Lux 2004 : Podium, film pastiche sur les sosies de Claude François.
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Hildegard Knef, dite également Hildegarde Neff, née à Ulm le 28 décembre 1925 et morte à Berlin le 1er février 2002, est une actrice, chanteuse et compositrice allemande. Vedette cinématographique de l'après-guerre, elle est également la seule comédienne allemande à avoir tenu un rôle en vedette à Broadway.
Elle a tenu deux rôles marquants au cinéma. Elle interprète le premier rôle féminin dans Les assassins sont parmi nous (Die Mörder sind unter uns, Wolfgang Staudte, 1946), le premier film à l'affiche en secteur soviétique après la Seconde Guerre mondiale. L'autre est le rôle-titre dans Confession d'une pécheresse (Die Sünderin, Willi Forst, 1951), film provoquant un scandale par la scène où elle apparait nue, dans la première scène de nu du cinéma allemand.
En 1955-1956, elle connaît le succès à Broadway dans la comédie musicale Silk Stockings de Cole Porter.
De retour en Allemagne en 1957, elle entreprend une nouvelle carrière dans la chanson. Après un passage à Paris où elle joue dans La fille de Hambourg en 1959 et noue une relation avec Boris Vian, elle écrit elle-même les paroles de ses chansons. Avec le compositeur Hans Hammerschmid, elle compose ses plus grands succès et l'album Knef (1970).
Elle est aussi connue pour La complainte de Mackie (Die Moritat von Mackie Messer, la chanson phare de L'Opéra de quat'sous de Bertolt Brecht), Ich hab noch einen Koffer in Berlin (« J'ai toujours une valise à Berlin »), Heimweh nach dem Kürfurstendamm, ou des compositions plus personnelles comme Eins und Eins, das macht zwei (1962), Er war nie ein Kavalier (1963), Von Nun An Ging's Bergab (1967) ou Für mich soll's rote Rosen regnen (1968).
Elle a publié plusieurs livres. Son autobiographie À cheval donné (Der geschenkte Gaul - Bericht aus einem Leben) de 1970 est le récit de sa vie pendant et après la Seconde Guerre mondiale. Le livre est devenu un best-seller en Allemagne.
Considérée comme une opportuniste parce qu'elle reprend la nationalité allemande pour des raisons fiscales, elle devient impopulaire en Allemagne dans les années 1970. Sa revendication en faveur des opérations de chirurgie esthétique font d'elle une proie de choix pour les journaux à potins allemands et nuit à sa réputation.
Souvent comparée à Marlene Dietrich à cause de sa personnalité, celle d'une femme libérée très confiante en ses moyens, elle a noyé son talent à la fin de sa vie dans la dépendance à l'alcool et aux médicaments. Son combat contre le cancer est demeuré célèbre.
Elle est inhumée au cimetière Waldfriedhof Heerstrasse à Berlin.
Dans le film biographique Hilde, son rôle est interprété par Heike Makatsch
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Né Moshé Michaël Brand, plus connu sous le nom de Mike Brant (1er février 1947 à Famagouste, Chypre - 25 avril 1975 à Paris), était un chanteur crooner israélien. Il est le fils de Bronia Rosenberg, originaire de Lodz en Pologne, rescapée d'Auschwitz, et de Fichel Brand, résistant polonais originaire de Bilgoraj, de 20 ans son aîné. Ses parents se marient au sortir de la guerre puis essaient d'immigrer en Palestine mandataire, mais seront refoulés par les Britanniques dans un camp d'accueil à Famagouste à Chypre. C'est dans ce camp que naît Mike Brant. La famille Brand parvient finalement à débarquer en Israël à Haïfa fin septembre 1947 et y vit de l'agriculture dans un kibboutz en Galilée. Mike Brant ne parle qu'à l'âge de 4 ans et affirme très tôt à son entourage « plus tard, je serai vedette... ou clochard ! ». Il rentre à l'âge de 11 ans dans la chorale de son école. À 15 ans, il est choisi pour animer le réveillon de la Saint Sylvestre dans un grand hôtel d'Haïfa et à 17 ans il devient un artiste reconnu dans les grands hôtels israéliens à la tête de son groupe, « les Chocolate's ». Il interprète pour la clientèle internationale des hits américains de ses chanteurs préférés : Tom Jones, Elvis Presley, Frank Sinatra, Aretha Franklin, les Platters. Son père décède en 1967 et Mike Brant en est très affecté. Désormais il commencera chacune de ses prestations par interpréter en son honneur la chanson préférée de son père. Peu après, à l'âge de 20 ans il entre comme chanteur dans la célèbre troupe du grand music-hall d'Israël, Lakat Karmon et pendant deux ans, il fait connaître en Afrique, en Australie et aux États-Unis des airs du folklore israélien. Puis il est embauché dans un night-club en Iran à Téhéran, le Baccara, et est remarqué par Sylvie Vartan et Carlos qui l'invitent en France bien qu'il ne parle pas le français et à peine l'anglais. C'est en 1969 qu'il arrive à Paris et se produit grâce à Carlos au club Bistingo. Carlos lui fait également rencontrer Jean Renard, l'un des compositeurs de Johnny Hallyday qui lui écrit Laisse moi t'aimer. Il passera 2 mois à travailler la chanson dans les studios, en réécrivant phonétiquement les paroles en hébreu. Grâce à son travail acharné la chanson devient rapidement un énorme succès et il est invité dans les émissions de télévision qui le font connaître. Il vendra plus d'un million de disques de son premier hit. Le 28 octobre 1970, il interprète « Mais dans la lumière » et remporte le Grand Prix RTL international, référence de l'époque. Le 14 février 1971, il est victime d'un accident de la route à Bourg-en-Bresse. Il subit un traumatisme crânien et s'en sort très secoué. En novembre 1971 Dalida lui propose de participer à son prochain spectacle à l'Olympia de Paris qui dure 17 jours. À cette époque il part en tournée avec Esther Galil avec qui il noue une grande amitié. En 1972, il chante Qui saura, reprise de Ché Sara de José Feliciano, qui devient rapidement numéro 1 des hits et dépasse Claude François en popularité. Puis c'est au tour de C'est ma prière et, en 1973, viennent trois autres succès : Rien qu'une larme, Tout donné, tout repris et Viens ce soir. Il enchaîne tournée sur tournée et soixante-dix galas pendant l'été. En 1974 d'autres succès voient le jour : C'est comme ça que je t'aime, Serre les poings et bats-toi, On se retrouve par hasard et Qui pourra te dire ?. Epuisé par sa vie trépidante et très affecté psychologiquement par le cambriolage de son appartement, il fait une première tentative de suicide le vendredi 22 novembre 1974 en se jetant du 5e étage de l'hôtel de la Paix, à Genève. Par chance, il est bloqué aux rambardes du 3e étage : il en est quitte pour un nouveau traumatisme crânien et deux fractures des jambes. Une version rapporte qu'il aurait voulu faire une farce à un ami résidant à l'étage en dessous en se suspendant à la balustrade du balcon de sa chambre. C'est là qu'il aurait fait une chute. Mais le vendredi 25 avril 1975 à 11 h du matin, Mike Brant fait une nouvelle tentative de suicide en se jetant du 6e étage d'un immeuble situé au 6 de la rue Erlanger à Paris. La chute lui est fatale : Mike Brant avait 28 ans. Plusieurs thèses ont été mises en avant pour expliquer sa mort prématurée. Certains ont parlé d'assassinat, de sa difficulté grandissante à assumer les conséquences de son succès (vie désorganisée, harcèlement des fans), tandis que d'autres ont défendu la version du traumatisme psychologique qui touche les enfants de déportés. Parmi les autres versions qui firent également les gros titres des magazines à sensation : une implication dans un trafic d'½uvres d'art, une obscure histoire d'espionnage avec le Mossad (les services secrets israéliens) en toile de fond ou bien encore une dispute avec Simon Wajntrob (son dernier producteur qui sera retrouvé mort quelques années plus tard dans le Bois de Boulogne) qui aurait tourné à la tragédie. Il faut néanmoins employer le conditionnel tant les raisons expliquant sa disparition demeurent matières à controverse. Comme toute vedette morte de façon aussi tragique, une sorte de légende entoure sa mort car on a du mal à admettre qu'il ait disparu... Mike Brant a été enterré dans le cimetière Camp David de Haïfa en Israël le 7 mai 1975
1972 Sans amis 1973 Rien qu'une larme 1973 Toi mon enfant 1973 Tout donné, tout repris 1973 Viens ce soir 1974 Serre les poings et bats toi 1974 Qui pourra te dire 1974 C'est comme ça que je t'aime
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Pierre Jonquères d'Oriola, né le 1er février 1920 à Corneilla-del-Vercol (département des Pyrénées-Orientales, France) et mort le 19 juillet 2011 à l'âge de 91 ans dans sa propriété de Corneilla-del-Vercol, est le cavalier français le plus titré aux Jeux olympiques, en saut d'obstacles.
Sa médaille d'or aux Jeux olympiques de 1964 fut même qualifiée de Bijou de famille avec monture par Antoine Blondin car la France qui n'avait pas encore remporté de médaille d'or lors de ces jeux olympiques, a du attendre la toute dernière épreuve pour cela... Ses premières compétitions équestres remontent à l'âge de 12 ans, soit dès 1932. Il est alors interne au collège militaire de Sorèze, dans le Tarn, de 1935 à 1938. Homme de terroir au franc-parler, ses démêlés avec la Fédération française d'équitation furent particulièrement fréquents. .
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Rosemarie Frankland, née le 1er février 1943 et décédée le 2 décembre 2000, est une top model galloise.
Née à Rhosllannerchrugog, Wrexham, dans le nord-est du Pays de Galles en 1943, Frankland déménage à Lancashire, en Angleterre, encore enfant. Elle a participé à de nombreux concours de beauté et remporte le titre de Miss pays de Galles et, en 1961 à Londres, elle devient (comme Miss Royaume-Uni) la première femme britannique et la septième européenne à remporter le concours de Miss Monde. Elle fut également la première dauphine de Miss Univers 1961. Quand Bob Hope la couronna Miss Monde, il déclara qu'elle était la plus belle fille qu'il ait jamais vue.
Après son titre, Frankland a entrepris une courte carrière d'actrice. Son rôle le plus important (et le dernier) est celui du film I'll Take Sweden (1965) avec Bob Hope et elle fit une apparition dans A Hard Day's Night des Beatles. En 1970, elle épouse le chanteur/guitariste des The Grass Roots (en), Warren Entner (en) et va vivre à Los Angeles. En 1976, elle a donné naissance à une fille, Jessica, et a divorcé en 1981.
Elle meurt d'une overdose à Marina Del Rey. Ses cendres ont été ramenées au cimetière de Rhosllannerchrugog en février 2001
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