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dessinsagogo55

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15 articles taggés Louis de Funès

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La folie des grandeurs.

Don Salluste (Louis de Funès) est ministre du roi d'Espagne. C'est un être fourbe, hypocrite et cupide qui collecte lui-même les impôts, qu'il détourne en partie à son profit. Il est détesté par la population qu'il opprime.
Accusé par la reine, une belle princesse bavaroise, d'avoir fait un enfant illégitime à une de ses dames d'honneur, il est déchu de ses fonctions et condamné à se retirer dans un monastère. Décidé à se venger, il entre en contact avec son séduisant neveu, César, devenu brigand, mais ce dernier refusant d'entrer dans sa machination, il le fait capturer par ses sbires et l'envoie comme esclave aux Barbaresques. Il décide alors d'utiliser pour sa vengeance Blaze, son valet récemment congédié (Yves Montand) et dont il a découvert les sentiments pour la reine : il le fera passer pour César et l'aidera à séduire la reine.

La folie des grandeurs.

Le jour même de sa présentation à la cour, Blaze déjoue un attentat ourdi contre le roi par les Grands d'Espagne. Il s'attire ainsi les faveurs du couple royal et devient rapidement ministre. Suivant de loin l'évolution de la situation, Salluste découvre que les Grands ont décidé de se venger de Blaze, ce qui risque de faire capoter sa machination. De son côté, Blaze, à la suite d'une méprise, déclare sa flamme non pas à la reine mais à son acariâtre duègne (Alice Sapritch) dont l'appétence sexuelle est ainsi attisée. La situation se complique encore avec le retour du vrai César, échappé des Barbaresques...
La folie des grandeurs.

La folie des grandeurs.

Fiche technique
Réalisation : Gérard Oury
Réalisation de la seconde équipe : Jacques Besnard
Scénario : Libre inspiration et parodie de Ruy Blas drame romantique de Victor Hugo
Adaptation et dialogue : Gérard Oury, Danièle Thompson, Marcel Jullian
Assistants réalisateurs : Roberto Bodegas, Jacques Bourdon, Jean-Claude Sussfeld, Miguel-Angel Rivas
Producteur délégué: Alain Poiré
Production : Gaumont (Paris), Coral Films (Madrid), Mars Films (Rome) & Orion Filmproduktion (Munich)
Chef de production : Ricardo Bonilla, Jean Pieuchot
Directeur de production : Robert Sussfeld, Henri Baum
Administrateur de production : Robert Demollière, Guy Azzi
Distribution : Gaumont International
Musique : Michel Polnareff (Éditions musicales Hortensia Méridian)
Arrangements musicaux : Hervé Roy
Images : Henri Decae et Wladimir Ivanov, pour la seconde équipe
Opérateurs : Alain Douarinou, Franck Delahaye
Son : Antoine Bonfanti, assisté de André Louis
Mixage : Jacques Maumont à Paris-Studio-Cinéma de Billancourt
Script-girl : Colette Crochot
Décors : Georges Wakhevitch, assisté de Pierre-Louis Thévenet, José-Maria Alarcon, Jean Taillandier, Jean Forestier
Costumes : Jacques Fonteray, Humberto Cornejo, Pierre Nourry, Jeanne Renucci, provenant des maisons Monty Berman (Londres) et Cornejo (Madrid)
Robes : Marie Gromtseff
Montage : Albert Jurgenson, assisté de Jean-Pierre Besnard, Martine Fleury, Catherine Kelber, Dominique Landmann
Effets spéciaux : Pierre Durin, Jacques Martin, Gérard Guenier, Claude Carliez (combats), Daniel Braunschweig
Conseiller équestre : François Nadal
Régisseur général : Jean Pieuchot
Régisseur extérieur : Jean Nassereau
Générique : Jean Fouchet (Eurocitel)
Carrosses : Manfred de Diepold
Chapeaux : Jean Barthet - Perruques : Bertrand
Chaussures : Galvin - Mobilier : Pierre Charron
Caméra : Samuelson-Alga - 105 minutes
Genre : Comédie, Historique, Aventure
Format : Couleur, procédé Eastmancolor
Tirage : Laboratoire G.T.C
Date de sortie : 8 décembre 1971 (France)

La folie des grandeurs.

Distribution
Louis de Funès : Don Salluste de Bazan
Yves Montand : Blaze
Alice Sapritch : Doña Juana, la duègne (dite "la Vieille")
Karin Schubert : Marie-Anne de Neubourg, reine d'Espagne (non nommée)
Alberto de Mendoza : le Roi d'Espagne, Charles II (non nommé et sans rapport avec le personnage historique)
Gabriele Tinti : Don Cesar (voix doublée par Dominique Paturel)
Venantino Venantini : Del Basto (voix doublée par Jean-Pierre Duclos)
Don Jaime de Mora y Aragón : Priego, un Grand d'Espagne
Antonio Pica : De los Montès, un Grand d'Espagne (voix doublée par Jean Martinelli)
Eduardo Fajardo : Cortega, un Grand d'Espagne
Joaquín Solís : Sandoval, un Grand d'Espagne
Paul Préboist : le muet
Frédéric Norbert : le page
Salvatore Borgese : le borgne
Léopoldo Triestre : Giuseppe
Robert Le Béal : le chambellan
Astrid Franck : une dame d'honneur de la reine
La Polaca : la danseuse
Fernando Bilbao : le colosse (non crédité)
Clément Michu : le valet bègue de Salluste
Angel Alvarez : un notable
Claude Carliez : cascadeur
Sophia Palladium : doublure d'Alice Sapritch dans la scène de strip-tease (non crédité)

La folie des grandeurs.

La bande originale du film La Folie des grandeurs a été composée par Michel Polnareff.
1. La folie des grandeurs 02:38
2. Flamenco Blaze (interprété par Yves Montand) 04:39
3. Thème d'amour 02:09
4. Strip-tease de la duègne 01:21
5. Les barbaresques 01:10
6. La noria 02:37
7. L'arrivée du roi à l'escurial 01:23
8. La capture de César 01:25
9. Doña Salluste 03:08
10. Strip-tease de la duègne 01:23
11. Tango de l'arène 00:46
12. Thème myosotis et valse des courtisans 01:52
13. La fuite de Blaze / L'arrivée du taureau 02:19
L'édition remasterisée parue en CD en 2000 contient trois titres bonus et une interview du réalisateur Gérard Oury

La folie des grandeurs.


Autour du film



La Folie des grandeurs a été tournée en Espagne (Barcelone, Grenade, Madrid, Ségovie, Séville, Tolède) et au studio Franstudio, à Saint-Maurice dans le Val-de-Marne (France). Les scènes dans le désert ont été tournées dans le Désert de Tabernas, dans la province d'Alméria.
Gérard Oury a confié la bande originale du film à Michel Polnareff. Le style musical est donc en décalage total avec l'époque à laquelle se situe l'intrigue.
Bourvil était initialement prévu pour le personnage de Blaze, mais son décès a contraint la production à lui trouver un remplaçant. Gérard Oury et Danièle Thompson rapportent, dans le film documentaire La Folle Heure des grandis, que l'idée de faire jouer le rôle de Blaze par Yves Montand fut soufflée à Gérard Oury lors d'une soirée mondaine par Simone Signoret, épouse de l'acteur, et que les adaptateurs (Oury, Thompson et Jullian), d'abord circonspects, entreprirent alors de réécrire complètement l'adaptation en fonction de la différence de personnalités des deux acteurs successivement prévus pour incarner le personnage de Blaze.
Pour la célèbre scène d'effeuillage d'Alice Sapritch, celle-ci est doublée dans certains plans par la strip-teaseuse professionnelle Sophia Palladium, Gérard Oury signale d'ailleurs, dans le film documentaire La Folle Heure des grandis, le moment précis où l'on peut remarquer l'amincissement subit de la taille de la strip-teaseuse, dont on n'aperçoit plus le visage, mais seulement la « croupe » (selon les termes du réalisateur lui-même).
Les auteurs du film paient avec humour leur tribut à Victor Hugo en précisant dans le générique que même si « Toute ressemblance avec les personnages d'un célèbre drame ne serait que l'effet d'une fâcheuse coïncidence », ils le remercient pour sa « précieuse collaboration ». Gérard Oury et Danièle Thompson reviennent, dans le film documentaire La Folle Heure des grandis, sur l'inspiration puisée chez Hugo, et l'on aperçoit des images tirées du Ruy Blas adapté au Théâtre-Français par Raymond Rouleau (de 1960 à 1962), adaptation dans laquelle Gérard Oury, pensionnaire de la Comédie-Française, incarnait le personnage de Don Salluste.
Deux acteurs jouant les Grands d'Espagne en sont véritablement : Don Jaime de Mora y Aragón, qui incarne Priego, et est l'authentique marquis de Casa Riera, le frère de Fabiola, reine des Belges, et Louis de Funès lui-même (de son vrai nom Luis de Funes de Galarza) qui descend des marquis de Galarza, de noblesse sévillane.
À l'origine, le film devait s'intituler Les Sombres Héros.
Le chien du Roi, qui fait de nombreuses apparitions tout au long du film est un chien de Saint Hubert.

La folie des grandeurs.


Tags : La folie des grandeurs, Cinéma, Cinéma L, Film, Gérard Oury, Louis de Funès, Yves Montand, Alice Sapritch, Karin Schubert, Alberto de Mendoza, Gabriele Tinti, Venantino Venantini, Don Jaime de Mora y Aragón, Antonio Pica, Joaquín Solís, Eduardo Fajardo, Paul Préboist, Frédéric Norbert, Salvatore Borgese, Léopoldo Triestre, Robert Le Béal, Astrid Franck, La Polaca, Fernando Bilbao, Clément Michu, Angel Alvarez, Claude Carliez, Sophia Palladium, Xan de Bolas, Frank Brana, Fabian Conde, Fernando Hilbeck, Antonio Iranzo, Ricardo Palacios, Jésus Tordesillas, Lita Recio
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#Posté le mercredi 25 avril 2012 08:00

Modifié le vendredi 18 janvier 2013 09:48

La grande vadrouille

La grande vadrouille

Date de sortie 1966
Réalisé par Gérard Oury
Avec : Bourvil , Louis De Funès , Claudio Brook
Genre : Comédie , Guerre
Nationalité : Français

En 1942 , un avion anglais est abattu par les Allemands au-dessus de Paris .
Les trois pilotes sautent en parachute et atterrissent dans différents endroits de la capitale .
Ils sont aidés par deux civils français , un chef d'orchestre et un peintre en bâtiment
qui accèptent de les mener en zone libre ; ils deviennent ainsi , malgré eux , acteurs de la Résistance .

La grande vadrouille
La grande vadrouille

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#Posté le jeudi 07 juin 2012 08:00

Modifié le dimanche 26 janvier 2014 12:27

La soupe aux choux

La soupe aux choux

Date de sortie : 1981
Réalisé par Jean Girault
Avec : Louis De Funès, Jacques Villeret, Jean Carmet plus
Genre : Comédie
Nationalité : Français


Le Glaude et le Bombé, deux vieux paysans portés sur la bouteille ,
vivent très retirés de la vie moderne.
Une nuit , un extra-terrestre atterrit en soucoupe volante dans le jardin du Glaude.
En gage de bienvenue , ce dernier lui offre un peu de sa fameuse soupe aux choux ...

La soupe aux choux

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#Posté le mercredi 27 juin 2012 09:00

Modifié le vendredi 07 septembre 2012 06:47

La Zizanie (film)

La Zizanie (film)

La Zizanie est un film français réalisé par Claude Zidi sorti en 1978.



Guillaume Daubray-Lacaze, maire conservateur d'une ville de province, est un industriel au bord de la faillite, quand son usine spécialisée dans la lutte anti-pollution obtient d'un groupe japonais une commande énorme qui peut sauver l'usine : 3 000 appareils de dépollution de l'air, les CX‑22, à livrer sous 90 jours. Mais il manque d'espace pour produire et stocker ces appareils car l'usine est sous-dimensionnée.


Le préfet refusant l'autorisation d'étendre l'usine sur les terrains voisins, Guillaume décide alors d'installer ses machines successivement :
dans sa propre maison ;
puis, une fois la maison saturée, dans le potager de sa femme, Bernadette, horticultrice, Guillaume simulant une fuite de pétrole qui détruit les cultures ;
et enfin dans le jardin d'hiver de sa femme : il congèle la serre tandis que Bernadette y dormait.
Furieuse, Bernadette quitte le domicile conjugal. Guillaume la retrouve à l'hôtel où elle est descendue, et déclenche une rixe dans un bal costumé en découvrant qu'elle danse au bras de son médecin, le docteur Landry.



Guillaume promet à Bernadette de remettre la maison en état immédiatement, il la ramène à la maison, les époux s'endorment, et sont réveillés au matin par le tintamarre des machines-outils : rien n'avait bougé le soir précédent, les ouvriers ayant seulement recouvert d'un drap lesdites machines.
Bernadette quitte alors à nouveau la maison et se présente comme tête de la liste « Défense de la Nature » contre son propre époux à l'élection municipale, épaulée par le docteur Landry.


Tags : La Zizanie (film), Claude Zidi, 1978, Louis de Funès, Annie Girardot, Maurice Risch, Julien Guiomar, Jean-Jacques Moreau, Geneviève Fontanel, Jacques François, Georges Staquet, Mario David, Daniel Boulanger, Nicole Chollet, Ibrahim Seck, Van Duong, Joséphine Fresson, Robert Destain, Tanya Lopert, Jacqueline Jefford, Patrice Melennec, Gabriel Marfaing, Jean Cherlian, Vincent Gardair, Henri Attal, Renaud Barbier, Farid Ben Dali, André Badin, Christine Hermann, Philippe Brigaud, Hubert Deschamps, Pierre-Olivier Scotto, Luang Ham-Chau, Takashi Kawahara, Éric Desmaretz, Hubert Watrinet, Éric Wasberg, Comédie burlesque, Marcel Azzola, Cinéma, Cinéma L, Film
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#Posté le dimanche 27 janvier 2013 10:00

La Zizanie (film)


La Zizanie (film)



Fiche technique

Réalisation : Claude Zidi
Scénario, adaptation : Claude Zidi avec la collaboration de Michel Fabre
Dialogues : Pascal Jardin
Assistant réalisateur : Jacques Santi
Musique : Vladimir Cosma
Images : Claude Renoir
Décors : Théo Meurisse
Montage : Robert Isnardon, Monique Insnardon
Son : Bernard Aubouy, assisté de Jean-Louis Ughetto, Jean-Bernard Thomasson
Stagiaire son : Sophie Chabaut
Caméra : Patrick Wyers, Jean-Paul Meurisse
Assistant opérateur : Eduardo Serra
Régie générale : Patrick Delaneux
Costumière : Paulette Breil
Coiffures : Alice Schwartz
Maquillage : Anatole Paris, Louis Bonnemaison
Ensemblier : Roger Joint
Script-girl : Many Barthod
Casting : Margot Capelier
Chef éléctricien : Jacques Touillard
Mixeur : Claude Villand
Effets spéciaux : Christian Bourqui, Henri Assola, Serge Ponvianne, assisté de Jean François Cousson et Patrick Torossian
Cascades réglées par : Daniel Vérité - Doublure cascades "Louis de Funès" : Georges Fabre
Accessoiristes : Marcel Laude
Bruiteur : André Naudin
Générique : Michel Saignes (Eurocitel) - Trucages : Euro-Titres
Producteur délégué : Bernard Artigue
Une production : les Films Christian Fechner
Budget : [21 M.F]
Format : 2.35 : 1, CinemaScope
Langue : français
Genre : comédie burlesque
Durée : 93 minutes


Distribution

Louis de Funès : Guillaume Daubray-Lacaze
Annie Girardot : Bernadette Daubray-Lacaze
Maurice Risch : l'imbécile
Julien Guiomar : le docteur Landry
Jean-Jacques Moreau : le contremaître / l'adjoint au maire
Geneviève Fontanel : madame Berger
Jacques François : le préfet
Georges Staquet : le délégué-ouvrier
Mario David : le camionneur
Daniel Boulanger : le directeur du Crédit Agricole
Nicole Chollet : Léontine, la servante des Daubray-Lacaze
Ibrahim Seck : Ibrahim, un ouvrier
Van Duong : le président japonais
Joséphine Fresson : la secrétaire de Guillaume Daubray-Lacaze
Robert Destain : le directeur de l'hôtel
Tanya Lopert : une amie de Bernadette
Jacqueline Jefford : l'autre amie de Bernadette
Patrice Melennec : un ouvrier
Gabriel Marfaing : un ouvrier
Jean Cherlian : un ouvrier
Vincent Gardair : un ouvrier
Henri Attal : un ouvrier
Renaud Barbier : un ouvrier
Farid Ben Dali : un ouvrier
André Badin : M. Bernardin, un ouvrier
Christine Hermann : une ouvrière
Marcel Azzola : l'accordéoniste
Philippe Brigaud : le notaire
Hubert Deschamps : le réceptionniste de l'hôtel
Pierre-Olivier Scotto : l'imitateur
Luang Ham-Chau : Hitchumacho
Takashi Kawahara : l'interprète de la délégation
Éric Desmaretz : le nouveau chef du personnel
Hubert Watrinet : le metteur en scène télé
Éric Wasberg : un homme à la soirée costumée de l'hôtel


Autour du film


Le film attire 2 790 000 spectateurs en salles lors de sa sortie.
Ce film met à l'affiche deux des plus grandes vedettes du cinéma comique français des années 1970 : Annie Girardot et Louis de Funès.
Avant la sortie du film, Jean-Pierre Mocky attaque la production au tribunal pour plagiat parce qu'il avait auparavant proposé à Louis de Funès un projet baptisé Le Boucan dont le scénario ressemblait à celui de La Zizanie. Jean-Pierre Mocky gagne le procès et est indemnisé à hauteur de 250 000 francs, mais il y perd alors le soutien de la profession, l'industrie du cinéma n'acceptant pas qu'on aille devant les tribunaux1.
Dans le film, pour se rendre incognito à une soirée, Guillaume (Louis de Funès) met un masque de... Louis de Funès et assiste alors à un concours d'imitation du maire (lui-même).
La campagne municipale décrite dans le film (sorti le 22 mars 1978, trois jours après le second tour des élections législatives) rappelle le contexte politique de l'époque :
le thème du plein emploi : le taux de chômage étant passé de 3 % en 1975 à 5 % en 1979;
la place des femmes : Guillaume dit que celles-ci « n'ont rien à dire ». Il y aura 4,3 % de femmes au parlement en 1978;
l'environnement : l'écologie faisait son entrée en politique dans les années 1970. Dans le film, Bernadette présente une liste en faveur de la « protection de la nature » (liste raillée par son époux) et emporte finalement l'élection. L'élection présidentielle de 1974 avait quant à elle vu la première candidature écologiste, incarnée par René Dumont qui réunit alors... 1,32 % des suffrages.
 
 
 
 
 
 
Tags : La Zizanie (film), Claude Zidi, 1978, Louis de Funès, Annie Girardot, Maurice Risch, Julien Guiomar, Jean-Jacques Moreau, Geneviève Fontanel, Jacques François, Georges Staquet, Mario David, Daniel Boulanger, Nicole Chollet, Ibrahim Seck, Van Duong, Joséphine Fresson, Robert Destain, Tanya Lopert, Jacqueline Jefford, Patrice Melennec, Gabriel Marfaing, Jean Cherlian, Vincent Gardair, Henri Attal, Renaud Barbier, Farid Ben Dali, André Badin, Christine Hermann, Philippe Brigaud, Hubert Deschamps, Pierre-Olivier Scotto, Luang Ham-Chau, Takashi Kawahara, Éric Desmaretz, Hubert Watrinet, Éric Wasberg, Comédie burlesque, Marcel Azzola, Cinéma, Cinéma L, Film
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#Posté le mardi 09 juin 2020 04:00

Le gentleman d'Epsom 1962

Le Gentleman d'Epsom est un film français de Gilles Grangier, sorti en 1962.

Le gentleman d'Epsom 1962

Richard Briand-Charmery est connu sur tous les champs de course où on l'appelle "Le Commandant". À Longchamp avec Charly, un garçon d'écurie, il escroque ceux auxquels il vend des tuyaux. Un boucher, un patron de boîte de nuit, Arthur son ami... puis le restaurateur Gaspard Ripeux. Les jours de vaches maigres, il va déjeuner chez sa s½ur Thérèse, subissant stoïquement les sarcasmes de son beau-frère Hubert, riche industriel. Richard retrouve par hasard Maud, une femme qui l'a aimé autrefois et a fait un très riche mariage. Il l'invite au "Schéhérazade" et paye sans sourciller une fastueuse addition avec son dernier chèque... sans provision (mais le danger n'est pas immédiat: les banques sont en grève !). Il réussit, en le charmant, à obtenir du riche restaurateur Ripeux une grosse somme qu'il prétend miser sur un "crack" qui n'est en réalité qu'un tocard. Mais le cheval gagne, sur lequel il n'a évidemment rien misé ! Aux abois, il convainc alors le restaurateur de remettre tout ce qu'il croit avoir gagné sur "Minotaure", un cheval qui ne peut que rapporter des millions. Bien entendu, le cheval perd, et Ripeux, venu pour la première fois de sa vie sur le champ de courses, s'écroule victime d'une crise cardiaque. Dans la même course, on donne par erreur au Commandant des tickets pour un autre partant. Il les jette, furieux, mais heureusement sans les déchirer. C'est "son" cheval qui gagne, Richard retrouve les tickets et encaisse la forte somme mais se heurte à ses habituelles victimes furieuses de lui voir "toucher" un vainqueur alors qu'il ne leur a recommandé que des perdants. Il trouvera bien sûr moyen de les amadouer à nouveau mais... rentrera à pied de Longchamp à l'heure où... la grève des banques s'achève.

Le gentleman d'Epsom 1962

Fiche technique



Réalisation : Gilles Grangier
Scénario : Albert Simonin
Adaptation : Albert Simonin, Gilles Grangier, Michel Audiard
Dialogue : Michel Audiard
Assistant réalisateur : Jacques Rouffio, et Claude Clément pour la seconde équipe
Images : Louis Page
Opérateur : André Dumaître, assisté de Pierre Charvey, Maurice Kaminsky et Albert Militon (pour la seconde équipe)
Son : Jean Rieul
Recorder : Gabriel Salagnac
Perchman : Marcel Corvaisier
Décors : Jacques Colombier, assisté de Olivier Girard, Georges Richard
Montage : Jacques Desagneaux, assisté de Roger Cacheux
Musique : Francis Lemarque, Michel Legrand; (Éditions France Mélodie) – "La valse triste" de Jean Sibelius (Éditions Breitkopf et Martel Wiesbaden)
Régisseur général : René Fargeas
Régisseur adjoint : Jean Drouin
Ensemblier : Albert Volper
Maquillage : Yvonne Gasperina, Marcel Bordenave
Costumes : J.Gabin est habillé par Opelka
Photographe de plateau : Marcel Dole
Accessoiriste : René Albouze
Script-girl : Martine Guillou
Effets spéciaux : LAX
Pellicule 35 mm – noir et blanc
Tirage : C.T.M, studios "Franstudio" de Saint-Maurice
Enregistrement Poste Parisien, Westrex Recording
Tournage dans les studios de "Franstudio"
Production : Cité Films – Cipra Films – (Paris), Compagnia Cinématografica Mondiale (Rome) – Franco-Italienne
Chef de production : Jacques Bar
Directeur de production : Jacques Juranville
Première présentation le 3 octobre 1962
Durée : 82 minutes (1h22)
Genre : Comédie

Le gentleman d'Epsom 1962

Distribution

Jean Gabin : Richard Briand-Charmery, dit "le Commandant"
Louis de Funès : Gaspard Ripeux, restaurateur et turfiste enragé mais cardiaque
Jean Lefebvre : Charly, garçon de "courses"
Paul Frankeur : Arthur, croupier du cercle de jeux
Franck Villard : Lucien, tenancier de cabaret
Madeleine Robinson : Maud, femme du monde qui fut abandonnée par Richard à Saratoga
Joëlle Bernard : Ginette, femme de Lucien
Josée Steiner : Béatrice, nièce de Richard
Marie-Hélène Dasté : tante Berthe
Aline Bertrand : patronne du bar
Camille Fournier : Thérèse, s½ur de Richard
Georgette Peyron : une joueuse
Jean Martinelli : Hubert, mari de Thérèse et donc beau-frère de Richard
Paul Mercey : Oscar Robineau, provincial
Alexandre Rignault : Charlot
Albert Dinan : Léon, bonneteur
Jacques Marin : Raoul, boucher turfiste
Léonce Corne : M. Freedman, un joueur
Albert Michel : un joueur
Marcel Bernier : un joueur
Edouard Francomme : un joueur
René Hell : un joueur
Robert Blome : un joueur
Léon Zitrone : lui-même
Raymond Oliver : lui-même
Catherine Langeais : elle-même (avec Raymond Oliver dans "Art et magie de la cuisine" à la RTF)
Paul Faivre : le guichetier du champ de courses
Roger Dutoit : un spectateur du jeu de boule
Charles Millot : le maître d'hôtel du "Schéhérazade"
Pierre Collet : un parieur à jumelles
Michel Thomass : le chanteur russe du "Schéhérazade"
Pierre Durou : un joueur
Jean Bérard : un joueur
Edith Ker : la dame de vestiaire
Marc Arian : un serveur
Claude Joseph : un client de la boîte de nuit
Simone Landry
François Nadal
Jean-Claude Remoleux
Louis Saintève
Marcel Bertheau
Jean Degrave
Pierre Vernet

Tags : Le gentleman d'Epsom, Film, 1962, Cinéma, Jean Gabin, Louis de Funès, Jean Lefebvre, Gilles Grangier
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#Posté le vendredi 01 juin 2012 14:30

Modifié le dimanche 13 septembre 2015 02:14

Les Aventures de Rabbi Jacob

Les Aventures de Rabbi Jacob

Les Aventures de Rabbi Jacob est une comédie franco-italienne réalisée par Gérard Oury sous son propre scénario en compagnie de Danièle Thompson, Josy Eisenberg et Roberto De Leonardis.
Sorti dans les salles en 1973, le film a totalisé 7,30 millions d'entrées.


À Brooklyn, le vénéré Rabbi Jacob et son secrétaire Samuel sont en route pour l'aéroport JFK afin de se rendre à Paris pour la Bar Mitzvah du jeune David Schmoll.

Au même moment, en France, l'industriel Victor Pivert, personnage au caractère vif et aux idées assez traditionnelles qui se prépare à marier sa fille Antoinette au fils d'un général, rentre de week-end. Mais ce vendredi soir, alors qu'il rentre sur la capitale avec son chauffeur Salomon, dont il découvre avec stupeur qu'il est juif, il est victime d'une sortie de route. Resté seul après avoir congédié son employé qui refusait de travailler durant le Shabbat, Victor Pivert s'en va chercher de l'aide, et aboutit dans une usine de chewing-gum.
Il y assiste inopinément à un règlement de comptes entre les membres d'une police d'État d'un pays arabe (non nommé) et un dissident politique, Mohammed Larbi Slimane, que ces derniers veulent éliminer. Slimane parvenant alors à s'échapper entraîne, malgré lui dans sa cavale, Victor Pivert devenu son « otage » et qui se retrouve de surcroît aussi bien recherché par la police française, dont l'enquête a été confiée au commissaire Andréani, que par la police secrète du pays arabe menée par le sinistre Farès.

Slimane doit impérativement rentrer dans son pays pour y mener la révolution. Les deux hommes se retrouvent ainsi à l'aéroport d'Orly mais Farès et ses sbires les retrouvent. Alors que Rabbi Jacob et Samuel débarquent tout juste de New York, Pivert et Slimane volent les vêtements de deux autres rabbins hassidiques, Pivert s'affublant en outre d'une fausse barbe, afin d'échapper à leurs poursuivants. Dans le hall de l'aérogare, ils sont alors confondus avec le vénéré rabbin et son assistant, par la famille Schmoll venue les chercher. Ils entretiennent la méprise et sont alors entraînés, malgré eux, dans une cérémonie juive rue des Rosiers, dans le Pletzl à Paris, au cours de laquelle Victor, devenu donc « Rabbi Jacob », tombe nez à nez avec son ex-chauffeur Salomon ...


Tags : Les Aventures de Rabbi Jacob, Louis de Funès, Claude Giraud, Henri Guybet, Renzo Montagnani, Suzy Delair, Claude Piéplu, Marcel Dalio, Janet Brandt, Miou-Miou, Jean Herbert alias Popeck, Lionel Spielman, Denise Provence, Malek « Eddine » Kateb, Xavier Gélin, Jacques François, André Falcon, Roger Riffard, André Penvern, Michel Duplaix, Pierre Koulak, Gérard Darmon, Abder El Kebir, Alix Mahieux, Jean-Jacques Moreau, Michel Fortin, Annick Roux, Denise Péronne, Micheline Kahn, Dominique Zardi, Philippe Brigaud, Michel Robin, Georges Adet, Robert Duranton, Philippe Lemaire, Paul Bisciglia, Olivier Lejeune, Jérôme Deschamps, Paul Mercey, Catherine Marshall, Clément Michu, Maria Gabriella Maione, Cary Frick, Jacob Toledano, André Valardy, Yves Peneau, Chérif Admane, Gérard Melki, Noël Darzal, Rémy Julienne, Zvee Scooler, Marcel Gassouk, Jacques Pisias, Frédéric Norbert, Charles Bayard, Robert Chevrigny, Robert Le Béal, 1973, Comédie, Aventures, Gérard Oury, Cinéma, Cinéma L, Film
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#Posté le mardi 22 janvier 2013 13:00

Les Aventures de Rabbi Jacob

Fiche technique

Les Aventures de Rabbi Jacob

Titre : Les aventures de Rabbi Jacob
Titre italien : Le folli avventure di Rabbi Jacob
Réalisation : Gérard Oury
Réalisation de la seconde équipe : Jacques Besnard
Scénario, adaptation et dialogues : Gérard Oury, Danièle Thompson, Josy Eisenberg, Roberto de Léonardis
Assistants réalisateurs : Bernard Stora, Thierry Chabert, Philippe Lopes-Curval et pour la seconde équipe : Jean-Claude Sussfeld
Décors : Théo Meurisse, assisté de Marc Desage et Henri Sonois
Montage : Albert Jurgenson assisté de Jean-Pierre Besnard
Musique : Vladimir Cosma
Directeur de production : Georges Valon
Producteur exécutif : Michel Zemer
Production : Gérard Beytout, Bertrand Javal, Jacques Plante (producteur associé)
Distribution : Impéria Films
Images : Henri Decaë
Opérateurs : Charles-Henry Montel, Franck Delahaye et pour la seconde équipe Vladimir Ivanov, assistés de François Lauliac, Roger Gleize, Michel Laguntke
Son : William-Robert Sivel et Catherine Kelber, pour le montage son
Perchman : Jacques Berger
Script-girl : Colette Crochot et Dominique Piat, pour la seconde équipe
Chorégraphie : Ilan Zaoui
Régisseur général : René Fargeas
Régisseur adjoint : Robert Fugier
Ensemblier : Pierre Charron
Mixage : Jacques Carrère
Bagarres réglées par : Claude Carliez
Cascades réglées par : Rémy Julienne
Effets spéciaux : Pierre Durin
Accessoiristes : Jacques Martin, Daniel Braunschweig
Bruitages : Daniel Couteau
Générique : Jean Fouchet (Eurocitel)
Casting : Margot Capelier
Création des costumes : Tanine Autre, avec la maison Georges Bril
Robes et chapeaux : Jean Barthet
Caméra et objectif : Panavision
Photographe de plateau : Paul Apoteker
Coiffeur : Alex Archambault
Maquillage : Jean-Pierre Eychenne
Tirage aux studios et auditorium « Paris Studio Cinéma » de Billancourt - Laboratoire Franay L.T.C. Saint-Cloud
Format : 1.66 : 1
Langue : français, anglais, hébreu, yiddish, arabe
Genre : Comédie, Aventures
Durée : 91 minutes (1 h 31)
Visa d'exploitation : 3488
Dates de sortie :
France : 18 octobre 1973
Italie : 20 décembre 1973

Les Aventures de Rabbi Jacob

Distribution

Louis de Funès : Victor Pivert
Claude Giraud : Mohamed Larbi Slimane
Henri Guybet : Salomon
Renzo Montagnani : Farès
Suzy Delair : Germaine Pivert
Claude Piéplu : le commissaire Andréani
Marcel Dalio : Rabbi Jacob
Janet Brandt : Tzipé Schmoll
Miou-Miou : Antoinette Pivert
Jean Herbert alias Popeck : Moïshe Schmoll
Lionel Spielman : David Schmoll
Denise Provence : Esther Schmoll
Malek « Eddine » Kateb : Aziz
Xavier Gélin : Alexandre
Jacques François : Jean-François, le général
André Falcon : le ministre
Roger Riffard : un inspecteur
André Penvern : un inspecteur
Michel Duplaix : un inspecteur
Pierre Koulak : un homme de main de Farès
Gérard Darmon : un homme de main de Farès
Abder El Kebir : un homme de main de Farès
Alix Mahieux : la patiente chez la dentiste
Jean-Jacques Moreau : le policier motard
Michel Fortin : l'autre policier motard
Annick Roux : l'hôtesse au sol
Denise Péronne : la générale
Micheline Kahn : Anna
Dominique Zardi : le cuisinier de l'« Étoile de Kiev »
Philippe Brigaud : l'adjoint du ministre
Michel Robin : le curé
Georges Adet : le vieux Lévi
Robert Duranton : le C.R.S. de l'aéroport
Philippe Lemaire : un gendarme (non crédité)
Paul Bisciglia : le pompiste
Olivier Lejeune : un ami d'Alexandre (non crédité)
Jérôme Deschamps : un ami d'Alexandre (non crédité)
Paul Mercey : l'homme de la 2 CV
Catherine Marshall : le mannequin
Clément Michu : le gendarme devant l'église
Maria Gabriella Maione : Odile, la secrétaire de la dentiste
Cary Frick :
Jacob Toledano :
André Valardy :
Yves Peneau :
Chérif Admane :
Gérard Melki :
Noël Darzal :
Rémy Julienne : cascadeur
Zvee Scooler : un rabbin à New York
Marcel Gassouk : le boucher
Jacques Pisias : un policier
Frédéric Norbert : le livreur de fleurs
Charles Bayard : un invité au mariage
Robert Chevrigny : un invité au mariage
Robert Le Béal : un invité au mariage

Les Aventures de Rabbi Jacob

Autour du film


Le 6 octobre 1973, deux semaines avant la sortie du film, commençait au Proche-Orient la guerre du Kippour entre Israël et les pays arabes voisins.
La célèbre séquence dans l'usine de chewing-gum a connu un incident notable : dans la nuit, la cuve remplie du liquide composé de levure chimique a débordé et le produit s'est répandu dans tout le studio. Le lendemain, à sa grande surprise, l'équipe du film a dû tout nettoyer, et refabriquer le produit, ce qui explique que dans cette séquence, la couleur du chewing-gum n'est pas la même entre chaque plan (vert clair puis vert foncé).

Rémy Julienne a réglé l'une des cascades les plus compliquées de sa carrière dans laquelle la DS de Pivert évite un gros poids lourd, sort de route et tombe dans un lac. Il était accompagné par une équipe qui se trouvait sous l'eau dans le lac pour empêcher la voiture de couler.
Le film compte plus de 2000 plans.

La scène du mariage au début du film a été tournée devant l'église de Montjavoult dans l'Oise.
La rue des Rosiers, c½ur du vieux quartier juif du Marais à Paris, où ont lieu plusieurs des scènes les plus mémorables du film (notamment la fameuse danse hassidique), a été reconstituée dans la rue Jean-Jaurès à Saint-Denis.

Le film est la principale référence qu'utilise Jean-Paul Rakover, le héros du roman Le livre de Joseph de Bernard Dan pour se composer une identité juive.

C'est le dernier film du duo Gérard Oury - Louis de Funès. Ils devaient se retrouver en 1975 pour Le Crocodile. Ce dernier devait jouer le rôle d'un dictateur sud-américain, le colonel Crochet. Mais, peu de temps avant le début du tournage, Louis de Funès dut abandonner le projet, à la suite de deux infarctus.
Le jour de la sortie du film, le 18 octobre 1973, Danielle Cravenne, la femme de Georges Cravenne, le publicitaire du film, détourne le vol Air France Paris-Nice. Fragile psychologiquement, elle menace de détruire le Boeing 727 si le long métrage, dont elle juge la sortie intolérable au vu de la situation internationale et qu'elle considère « anti-palestinien », n'est pas interdit. Armée d'une carabine 22 long rifle et d'un faux pistolet, la jeune femme accepte que l'avion se pose à Marignane pour ravitaillement avant de repartir vers Le Caire. Sur place, au cours d'un échange de coups de feu, Danielle Cravenne est atteinte à la tête et à la poitrine. Elle décédera dans l'ambulance qui l'évacuait vers une clinique.

L'enlèvement de Slimane dans un café parisien (Les Deux Magots) est inspiré de l'enlèvement de l'homme politique marocain Mehdi Ben Barka devant la brasserie Lipp en 1965. L'un des protagonistes de l'affaire s'appelait « Benslimane »

Marcel Dalio (né Israel Moshe Blauschild), l'interprète de Rabbi Jacob, avait dû fuir Paris en 1940, car son portrait figurait sur des affiches nazies censées représenter le « Juif typique ».
Marcel Dalio qui n'aimait pas Gérard Oury l'appelait « the thief of bad gags » (le voleur de mauvaises plaisanteries), jeu de mots sur le titre du film « the Thief of Baghdad » (le Voleur de Bagdad), et sobriquet déjà utilisé à plusieurs reprises aux États-Unis pour désigner des comiques ayant volé quelques repliques à leurs confrères.

Marcel Dalio, qui dans ce film joue le rôle titre d'un rabbin qui chante J'irai revoir ma Normandie dans le taxi qui l'amène à l'aéroport de New York, avait fait une prestation comparable dans Le monocle rit jaune, où il tenait le rôle d'un « honorable correspondant » juif qui chantait aussi J'irai revoir ma Normandie.
Ce film se classe en tête du box-office durant l'année 1973 avec plus de 7 millions de spectateurs en salles.
Le tournage s'est déroulé environ huit semaines de mars à juillet 1973, en dehors des extérieurs, aux studios de Billancourt.

Une comédie musicale inspirée du film a été jouée à partir de septembre 2008 ; la musique est par ailleurs réalisée avec le musicien MC Solaar.

Ce film, empruntant au vaudeville ses grosses ficelles, dans le comique de situation comme dans l'emboîtement des intrigues, offre des scènes d'anthologie, comme la fameuse danse hassidique, mais aussi des moments plus profonds, comme la bénédiction que David, le jeune Juif, reçoit du faux Rabbi Jacob (sauf que la formule employée « je te bénis David » est tout à fait fantaisiste. Il aurait dû utiliser la formule biblique Nombres 6, 24-26 « Que l'Éternel te bénisse... »), ou la poignée de mains entre Salomon et Slimane (en toute connaissance de cause, cette fois-ci). De même, toujours dans la partie qui se déroule rue des Rosiers, le salut du faux Rabbi Jacob aux familles présentes, où une gaffe est reprise de main de maître. Rabbi Jacob est dans le cinéma français une des plus fameuses illustrations de l'humour juif.

La scène de la moto, où Slimane et Victor Pivert, déguisés en juifs hassidiques, traversent en trombe la rue de Rivoli (et le pont Alexandre-III) pour rejoindre les Invalides, est une des scènes les plus connues du cinéma français. La musique entraînante et jubilatoire de Cosma y est pour beaucoup. Cette séquence contient néanmoins un faux raccord puisque la moto passe d'abord devant la Samaritaine puis devant l'hôtel de ville de Paris alors que géographiquement l'hôtel de ville est avant la Samaritaine.

Le film est censé se dérouler du vendredi soir au samedi après-midi. C'est incohérent, car un rabbin orthodoxe new-yorkais ne voyagerait jamais le vendredi soir en plein shabbat.

Les Aventures de Rabbi Jacob

Lieux de tournages

France
Merry-sur-Yonne scène de nuit où De Funès pieds nus et en caleçon après être sorti de l'étang essaie d'arrêter une voiture sur la route
Montjavoult (Oise) scène du mariage devant l'église
Frémainville scène d'extérieur de nuit avec l'usine de chewing gum (ancienne distillerie)
Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) la longue séquence de la rue des Rosiers à Paris
Autoroute A13 au niveau de l'usine de Porcheville (Yvelines)
Aéroport Paris-Orly
Paris: rue de Rivoli, place du Palais-Royal, café Les Deux Magots (boulevard Saint-Germain)


États-Unis
New York
Brooklyn

Les Aventures de Rabbi Jacob

Récompenses

Nomination Golden Globes aux États-Unis en 1973.




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#Posté le vendredi 25 janvier 2013 10:00

Louis de Funès : citation




« Le cinéma ? Je le fais sur un écran, pas dans la vie ! »

« Le comique ça ne tient à rien, c'est une chose qui est dans l'air, le comique ! »

« Le gendarme ? C'est toute l'humanité ! Au fond, on cire toujours les pompes de ses supérieurs hiérarchiques et on s'essuie sur le derrière de son sous-fifre ! »

« Ne parlez pas trop de moi, les enfants ! »

« Je cultive mon jardin. Et dans ma vie professionnelle comme dans mon carré de jardin, j'ai bien l'intention d'exclure les navets ! »

« Le comique, ce n'est pas seulement du talent, mais c'est surtout un don, une façon de sentir, de pouvoir comprendre et interpréter ! »

« Les gens sont des comédiens, nous, nous sommes des acteurs. »

« Ce ne sont pas les attitudes que je trouve comiques mais les états d'esprit ! »

« Mon plus grand désir d'acteur ? C'est de faire des films destinés à faire rire les enfants et les parents à la fois dans ce monde trop triste ! »

« En voyageant sur ce merveilleux navire, c'est la première fois que je suis fier et heureux de payer ponctuellement mes impôts. » Louis de Funes dans le livre d'or du paquebot France

Tags : Louis de Funès, Cinéma, Cinéma L
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#Posté le lundi 26 mars 2012 14:57

Modifié le vendredi 13 avril 2012 10:46

Louis de Funès : Courts métrages


1951 : Station mondaine, court métrage documentaire, fiction de 12mn de Marcel Gibaud : Rôle : Adam chassé du paradis ou Il assure le commentaire de ce film
1951 : Les Joueurs, court métrage de Claude Barma : Piotr Petrovitch Spotniev, un des joueurs de cartes
1951 : Un amour de parapluie, court métrage de Jean Laviron : Rôle (?)
1951 : Boîte à vendre, court métrage de Claude-André Lalande : Un artiste
1951 : Champions Juniors, court métrage de Pierre Blondy : Le père autoritaire
1951 : 90 degrés à l'ombre, court métrage de Norbert Carbonnaux : Rôle (?)
1952 : Le Huitième Art et la Manière, court métrage de Maurice Regamey - Un fan de radio
1953 : Le Rire, court métrage de Maurice Regamey : Un conférencier
1953 : Visite au salon des arts ménagers, court métrage du journal actualité fiction de 4mn 18 réalisation anonyme où l'on voit De Funès dans le rôle de M. Dupont qui reste chez lui, pendant que sa femme se rend au salon des arts ménagers.
1954 : Maurice Chevalier et le recensement, court métrage du journal actualité fiction de 1mn 30 réalisation anonyme, où l'on voit De Funès dans le rôle de l'agent recenseur posant des questions à Maurice Chevalier.
1966 : Maurice Chevalier, court-métrage documentaire de 7 minutes de Mirea Alexandresco : Louis de Funès interviewe Maurice Chevalier à son domicile
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#Posté le lundi 26 mars 2012 15:02

Modifié le dimanche 15 avril 2012 20:44

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