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Tu ne rêves pas, cet athlète sud-africain court avec des prothèses ! Amputé des deux jambes avant l'âge d'un an, Oscar Pistorius sera au départ du 400 m et du relais 4 x 400 m des Jeux olympiques de Londres.
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dimanche 29 juillet 2012 19:54 | Par www.lequipe.fr
Grâce à son explosivité et sa jeunesse, Priscilla Gneto décroche ce dimanche la médaille de bronze en -52 kg. La Nord-Coréenne An Kum-ae remporte le titre.
Grâce à son explosivité et sa jeunesse, Priscilla Gneto a décroché ce dimanche la médaille de bronze en -52 kg. La Nord-Coréenne An Kum-ae remporte le titre.
Elle n'a que 20 ans, mais Priscilla Gneto (-52 kg) n'a pas de temps à perdre. Dans le ''golden score'', elle a terrassé la Belge Ilse Heylen, son aînée de presque quinze ans, sur ippon. Après avoir bondi de joie et serré les poings, elle s'est alors tournée vers sa famille, ses différents coaches et est tombée dans les bras de son entraîneur national, Martine Dupond qui lui lance : « C'est super. Génial, tu l'as fait. Dans quatre ans, on attendra l'or. » Pour l'instant, la jeune fille savoure avec délice la médaille de bronze. « C'est un rêve d'enfant. Je ne me voyais déjà pas aux Jeux de Londres. J'y suis et je ramène une médaille, raconte la Corse qui enlace en zone mixte un long moment son entraîneur de Levallois, Christophe Dumont. C'est tout simplement génial. » Et cette médaille, elle est vraiment allée la chercher. Très expérimentée, Ilse Heylen lui a d'abord joué un mauvais tour : « A la base, elle est gauchère, mais elle a changé sa tactique sur ce combat. Elle a plombé tous mes projets (sourires). » Mais Priscilla Gneto ne s'est pas affolée. Très détendue depuis le début de la compétition, elle a d'abord attendu la faute qui n'arrivait pas et son tempérament a pris le dessus : «Je me suis dit : j'ai toujours tenté à gauche, cela ne passe pas. Vu que je savais aussi attaquer à droite, je me suis dit ça passe ou ça casse. J'ai lancé et ça a marqué. » Bingo !
Son bras gauche surpuissant et son explosivité ont encore fait merveille. «Elle est capable d'exploser et de mettre un plomb à n'importe quel moment », se réjouit Martine Dupond. Et le plomb est sorti au bon moment malgré la déception de son quart de finale perdu contre la future championne olympique, An Kum-ae. «Je suis sortie, j'ai pleuré un bon coup, on m'a remis dedans et c'était reparti », raconte la Corse qui rêve maintenant d'une bonne coupe de champagne et d'un plateau plein de nourriture. Elle les mérite bien.
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Mise à jour : jeudi 2 août 2012 22:54 | Par www.lequipe.fr
Fer, c'est d'enfer
Deux jours après Estanguet, Emilie Fer remporte la première d'or féminine française de l'histoire du slalom en devançant la Franco-Australienne Jessica Fox.
Deux jours après Estanguet, Emilie Fer remporte la première médaille d'or féminine française de l'histoire du slalom en devançant la Franco-Australienne Jessica Fox.
On a toujours dit d'Emilie Fer qu'elle était capable du pire comme du meilleur. Il y a quatre ans, à Pékin, elle a vécu le pire, menant après un tiers de course en finale avant de perdre les pédales. Cette fois-ci, dès la demi-finale, on a compris que ça pouvait être son jour : 3e sans forcer, en prenant soin de ne pas trop prendre de risque, il y avait de la marge. «On a vite identifié où elle pouvait gagner du temps, raconte son coach Sylvain Curinier. Du coup, même quand Jessica est passée, je savais qu'Emilie pouvait faire mieux.» Une conviction. Mais le dire et la Fer, c'est une autre histoire.Car Jessica, c'est Fox, Australienne mais fille de la Marseillaise Myriam Jerusalmi et de Richard Fox, quintuple champion du monde de kayak. «Du coup, elle a une culture énorme de son sport et toute l'insouciance de ses 18 ans», résume Curinier. Ce que n'a plus Fer, à 29 ans. Mais Emilie se balançait sur le bassin de Lee Valley pour la manche de sa vie. Après cinq portes, la vice-championne d'Europe 2009 virait déjà en tête, mais d'un rien (12 centièmes). Après seize portes, l'avantage se creusait (90 centièmes). Mais il restait à ne pas craquer, à ne pas toucher. Elle a toujours eu le physique pour y parvenir. Cette fois-ci, Emilie a aussi eu la tête.
Ne restait plus que deux concurrentes, l'Espagnole Maialen Chourraut, qui craquait un peu sur le bas du parcours pour se contenter du bronze. Et la Polonaise Pacierpnik, qui explosait elle franchement tandis que les 12 000 spectateurs du bassin n'en finissaient plus de fêter le doublé britannique en C2. Fer tombait dans les bras de Tony Estanguet et du clan bleu. Avec deux ors, il réédite l'exploit de 2004 (Estanguet déjà et Benoît Peschier).Myriam Jerusalmi, elle, avait pleuré de ne finir que 3e en 1996. Le jour même où une Française parvient pour la première fois à remporter l'or, sa fille l'accompagne sur le podium et fait mieux qu'elle. «C'est chouette. Et pour Jess, c'est incroyable pour son âge», souriait la maman-coach, tandis que clans français et australiens s'emmêlaient un peu dans l'air d'arrivée. Et sur le podium, Fox pouvait savourer la Marseillaise de sa mère avec Fer.
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Germain Chardin et Dorian Mortelette ont décroché l'argent, la 17e médaille du camp français, en deux sans barreur derrière le duo de la Nouvelle-Zélande.
En conduisant de main de maître leur course, les Français Germain Chardin et Dorian Mortelette sont allés cueillir la plus belle des médailles derrière d'intouchables Néo-Zélandais.
L'aviron mondial savait depuis longtemps que Murray et Bond, les Néo-Zélandais volants, qui dominent le deux sans barreur, seraient intouchables pour l'or sur le bassin d'Eton. Et ils le sont demeurés. Mais, en étant les seuls à les provoquer, en partant même plus vite que les rameurs Blacks, Germain Chardin et Dorian Mortelette ont atteint leur objectif en repoussant finalement l'assaut final, sur leurs deux flancs, des Italiens et, surtout, des Britanniques : «Ça fait plaisir de battre les Anglais chez eux, rigolait le pétulant Chardin à sa descente de bateau. Nous avons couru comme nous savons le faire, en démarrant fort, en stabilisant notre effort aux mille mètres et en menant un superbe enlevage sur la fin.»
Daniel Fauché, leur entraîneur, savourait la performance : «Ils ont été dans le contrat jusqu'au bout. Pour une paire relativement neuve, qui avait peu de repères internationaux, c'est un bel exploit. Ils ont fait leur expérience et jaugé l'opposition au fur et à mesure des tours ici, ils ont vite su qu'ils avaient les moyens de monter sur le podium. Il faut dire qu'ils possèdent, selon moi, une des plus belles pointes de vitesse qui soient, au début et en fin de course.»Une pointe de vitesse qui donnait confiance à Dorian Mortelette : «Au moment d'accélérer, on n'a même pas eu un cri à lancer... On a fermé les yeux et on y est allé !». Heureux papa depuis quelques semaines, il exhibait fièrement la photo de son bébé, qu'il avait embarquée avec lui. Et dédiait cette médaille à Jean-Baptiste Macquet et Julien Després, avec lesquels ces deux-là avaient déjà été en or aux Mondiaux 2010, mais qui n'avaient pas pu, en baisse de forme, continuer l'aventure du quatre sans barreur.
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Gévrise Emane (-63kg) a décroché la médaille de bronze aux dépens de la Coréenne Da-Woon Joung, sur décision (unanime) des juges. C'est son premier podium olympique.
Gévrise Emane a décroché mardi la médaille de bronze en moins de 63 kg aux dépens de la Sud-Coréenne Da-Woon Joung, sur décision (unanime) des juges. C'est la première fois que la championne du monde 2011 grimpe sur un podium olympique.
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LONDRES (Reuters) - Hamilton Sabot a créé la surprise mardi aux Jeux de Londres en s'adjugeant la médaille de bronze des barres parallèles, une récompense accueillie avec un immense soulagement par l'équipe de France de gymnastique, peu épargnée ces derniers mois.
Qualifié pour la finale de justesse, l'étudiant en kiné de 25 ans que personne n'attendait à ce niveau, pas même ses adversaires, a livré une prestation de haute volée pour se voir gratifier de la note de 15,566.
Sans un salto légèrement déséquilibré, suivi d'une réception logiquement rendue délicate, Hamilton Sabot aurait même pu disputer l'or, revenu au Chinois Feng Zhe (15,966), ou encore l'argent, remporté par l'Allemand Marcel Nguyen (15,800).
"Je suis hyper heureux, surtout du mouvement que j'ai réussi à produire. Avec une telle performance, je méritais largement le score que j'ai eu", a déclaré le Français à l'issue de sa finale.
"Comme quoi, tout peut arriver dans une finale olympique. Tous les favoris n'ont pas été présents et moi, je suis entré avec un état d'esprit de conquérant. En voyant mon visage, vous pouvez facilement deviner ce que je ressens", a ajouté le licencié à l'Olympique Antibes Juan-les-Pins Gymnastiques, un large sourire à l'appui.
Pour le Français, un des éléments déterminants de cette finale a été de s'élancer en deuxième position sur neuf, loin de l'atmosphère tendue de fin de concours.
"Je suis entré très tôt, avec beaucoup moins de pression que si j'avais dû effectuer mon mouvement dans les derniers. Cela m'a permis de mieux de me concentrer", a-t-il expliqué.
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